Jana, la louve de Milan

- Par l'auteur HDS Stan23JR -
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Récit libertin : Jana, la louve de Milan Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jana, la louve de Milan
Jana,La loutre de Milan
29 Avril 2022 (Castello Santa Anna, Muronico a 70 km au Nord de Milan)

Le matin après sa folle nuit avec Inès, au moment de se préparer, Inès lui demanda quel costume il comptait mettre pour son dîner d’affaire. Il lui montra mais elle semblait en désaccord avec son choix.

- Il faut que tu saches que Jana Lorenzi regarde beaucoup la façon de s’habiller. Pour elle, l'allure d’un homme, la manière dont il coordonne les couleurs, en dit bien plus sur lui que la façon dont il s’exprime et ce qu’il a à lui dire.

C’est un peu ce que lui avait dit Francis au sujet de Jana, que ces valeurs lui avaient été transmises par sa mentor, Giorgia.

- Jana prend souvent le même exemple : « tu peux naître dans le quartier le plus mal famé de Naples mais si tu t’habilles bien, on t’écoutera.
Par contre tu peux bien naître dans le quartier le plus huppé de Milan, si tu t’habilles comme un sac, tout le monde se focalisera sur ta tenue et ne t’écoutera pas, continua-t-elle.

- Donc tu es en train de dire que je m’habille comme un sac, lui rétorqua-t-il l’air un peu boudeur

- Mais non ! Ce n’est pas ce que j’ai dit répondit-elle, tandis qu’elle appuyait ses seins nus contre son torse, afin de l’amadouer un peu. Ce que je dis c’est qu’on peut mieux faire et justement à Milan il y a ce qu’il faut. Je crois que ta boîte n’est pas très regardante sur tes notes de frais. Et vu le montant des deux pièces de lingerie que tu as acheté hier, je ne
crois pas qu’ils chipotent tant que tu rentres de l’argent. C’est bien ça ?

- Oui c’est à peu près ça. La lingerie est passée sur le compte «cadeaux aux clients », mais le costume lui, il sera imputé sur mon compte de représentation que fort heureusement je n’ai pas encore complètement épuisé.

- Bien ! Voilà ce que tu vas faire… Nous n’aurons pas le temps de te faire faire un costume sur mesure avant ce soir. Néanmoins chez Ranieri sur la Via Giuseppe Ferrari ils font de très beaux costumes quand même. Je connais bien Angelo, dis-lui que tu viens de ma part et il ne te fera pas trop patienter. Mais pour l’heure on a une douche à prendre ensemble et je meurs d’envie de regoûter à ta belle queue mon bel étalon.

Et c’est par l’élastique du boxer qu’elle l’attira dans la salle de bain. Quelques minutes plus tard, il allait et venait dans son cul jusqu’à leurs jouissances respectives.

Il prit ensuite donc la route pour se rendre sur la Via Giuseppe Ferrari. C’est une des plus grandes artères de la ville. Il y trouva assez facilement la boutique. Et là encore, la personne à l’accueil le reçu dans plusieurs langues. Il demanda Angelo et on le conduisit à un homme qui devait avoir à peine quelques années de plus que lui.
Il arborait des cheveux et une barbe poivre et sel, avait l’œil vif et portait un costume trois pièces impeccablement coupé. Un mètre ruban pendait autour de son cou, comme tout tailleur qui se respecte.

Cal l’informa que c’était Inès qui l’avait recommandé et les raisons de sa venue. Il fut décontenancé par l’attitude d’Angelo. Celui-ci ne lui répondit pas. Il se contenta de grommeler «hum hum » et de tourner autour de lui. Cal comprit que le tailleur le jaugeait. Enfin, il jaugeait plutôt ses mensurations. Au bout de quelques secondes, il l’invita à le suivre.
Il le dirigea vers la partie gauche du magasin où était exposé de très nombreux modèles.

- Si nous avions le temps, nous pourrions vous confectionner un très beau modèle. Votre physique se prête vraiment à un complet taillé sur mesure. Mais comme votre rendez-vous a lieu ce soir, nous n’aurons, bien sûr, pas le temps. Mais, je vous rassure, nous avons de très beaux articles de luxe en prêt à porter aussi.
Je vous laisserai ma carte. La prochaine fois, vous pourrez prendre rendez-vous par téléphone. Notre nouveau site internet permet désormais de faire son propre choix à l’avance et de le modélisé en 3D.

Il lui fit essayer divers modèles. Finalement, Cal porta son choix sur un costume vert. Cela allait bien avec la couleur de ses yeux, d’après Angelo.
C'était un modèle avec revers en pointe contrastant noir, coupe slim avec une tirette à l’ancienne sur le blazer. Le tailleur ajouta une cravate et une pochette vert bouteille de chez Mario Moyano et donc des manchettes aussi siglées MM.

C’est donc affublé de la sorte qu’il passa revoir Inès avant de prendre la route, elle le trouva très beau et très classe. Pour lui porter chance, elle lui fit une pipe divine dans son bureau. Elle avala tout pour ne rien tacher. Il tenait absolument à lui rendre la pareille avec un bon cuni où elle dut se mordre la main pour ne pas alerter tout le magasin.

Après cette intermède bien intéressant, il devait se rendre à soixante-dix kilomètres au nord de Milan, précisément à Muronico sur les bords du Lac de Côme. Francis lui avait
conseillé de réserver une table au Castello Santa Anna, la très grande table lombarde où tout le gotha y a son rond de serviette.
Il longea Argegno d’où partait beaucoup de sentiers de promenade comme l'indiquent les cartes de la région. Il prit ensuite à gauche après la place principale et emprunta une route en pavés qui ne cessait de monter. Il se serait cru au Pecq, en bas de chez lui. Il négocia plusieurs virages à flanc de montagne. Bientôt les lumières de la ville furent derrière lui. La végétation devenait plus dense, heureusement que les lampadaires étaient déjà allumés.
Au détour d’un virage, il vit la pancarte indiquant la direction de Muronico tout droit, et celle menant vers le Castello Santa Anna, vers la gauche par la route qui continuait de grimper. Au bout de trois autres kilomètres, il arriva sur le domaine, traversa une sorte de grand labyrinthe fait de grandes haies. On se serait cru vraiment dans la dernière épreuve du tournoi des trois sorciers, dans Harry Potter et la Coupe de Feu.
Finalement au bout du chemin, il arriva près du perron du château où l’attendait un voiturier.

Celui-ci portait un uniforme impeccable de couleur rouge bordeaux et noir avec une casquette à visière ou était gravé les initiales CSA. On retrouvait ces initiales aussi sur l’avant de la manche droite. Une plaquette au nom de Mauro était visible sur le torse de la veste.
Il laissa donc à Mauro les clefs de sa voiture de location ainsi qu’un beau billet, avant d’admirer le panorama.
Le cadre était magnifique et offrait une vue plongeante sur le Lac de Côme depuis le Promontoire. Les premiers reflets de la lune miroitaient sur le lac. Sur sa gauche se trouvait un petit chemin arboré qui menait sur les hauteurs du domaine et notamment vers la belle allée et la coupelle ou de nombreux mariages étaient célébrés comme le vantait la brochure du domaine disponible sur internet.

Il entra dans l’établissement où la gérante de l’hôtel, Maria l’accueillit et le dirigea vers la salle privée qu’il avait
réservé. Le château était bien conçu. Un escalier dans le hall, menait vers les étages et les chambres du château. A gauche
de l’accueil, la salle de restauration et à droite les espaces privatifs, c’était un endroit très cosy et très fonctionnel, mais surtout très grand avec beaucoup de superficie entre chaque
pièce.

La salle qui lui avait été dédiée, disposait d’une bibliothèque au fond de la salle, justement devant laquelle se trouvait une table de travail ronde, d’où on pouvait tenir des petites réunions. A droite, trônait un canapé très probablement en daim. Enfin, au centre de la pièce avait été dressé une table pour deux personnes, éclairées par des chandelles.
Tous ces luminaires tamisaient la pièce. L’électricité remplaçait les bougies. Les propriétaires ne voulaient pas prendre le risque de provoquer un incendie dans un tel lieu.

Le chef de salle, Antonio, l’invita à s’installer et à prendre un apéritif en attendant l’arrivée de Madame Lorenzi. Ce qu’il fit mais sans prendre de l’alcool. Voulant garder les idées claires, il commanda un cocktail sans alcool.*

Au bout de quelques minutes, il entendit qu’on s’affairait derrière la porte. Antonio ouvrit la porte suivit et fit entrer dans la pièce une jolie femme, petite par rapport au Maitre d’Hôtel qui devait faire dans les un mètre soixante-quinze et encore plus vis à vis de son mètre quatre-vingt-huit.
En revanche, niveau classe rien à redire. Elle portait une robe rouge en crêpe couture, col en V, avec ouverture à tirette. Une chaîne en or se trouvait au niveau de la taille. C’était un modèle de chez Valentino, le logo était visible au niveau du cou. Elle était chaussée d’escarpins de couleur rouge vernis, des Gianvito Rossi. Le modèle cent quinze, le chiffre correspondant à la longueur en millimètres du talon, de couleur rouge verni.
Un collier de perles et de pierre semi-précieuse de couleur corail de chez Valentino Garavani ornait son cou.

- Bonjour Monsieur Liénard. Ravie de vous revoir après toutes ces années commença-t-elle en lui tendant la main. Ce sera un plaisir si nous pouvions de nouveau faire du business ensemble.

Il la surprit agréablement en lui faisant un baise main au lieu de la traditionnelle poignée de main.

- Mais c’est également une joie de mon côté, cela fait déjà cinq ans mais je me rappelle bien de vous dans votre robe blanche et rouge. Je vois que le rouge vous va toujours très bien. En tout cas il se marie très parfaitement avec vos cheveux noir corbeau. Ça sera un plaisir de faire affaire avec vous, pour moi aussi. Je suis là pour vous confirmer que nous sommes les meilleures partenaires possibles.

Même s’il l’avait seulement suggéré, mais elle semblait avoir compris qu’il ne parlait pas que business. En tout cas, Francis lui avait conseillé de jouer la carte séduction avec Jana. C’était la meilleure tactique avec elle. S’il devait faire don de son corps, c’est le genre de sacrifice qui ne le dérangeait pas.

- Merci beaucoup, vous êtes bien flatteur. Quelle mémoire vous avez. Je me rappelle bien de vous le soir du défilé de monsieur Loriot. Par ailleurs comment va-t-il. J’ai appris qu’il vient de se marier « encore » ! Il me semble qu’il y a cinq ans, il venait de divorcer pour la troisième fois.
Le vert vous va très bien, ce costume vous va à ravir, il vient de chez Ranieri c’est bien cela ?

- Mais de rien. Il n’est point besoin de flatterie quand il peut y avoir de l’honnêteté. Francis va très bien. Nous nous sommes vu avant que je n’arrive sur Milan. Il vient d’épouser Oleksandra qui est sa cinquième épouse il y a un an, Merci pour le compliment, le costume vient effectivement de chez Ranieri. Mais comment diable pouvez-vous le savoir ?

- Angelo est un excellent tailleur. Je vous recommande de vous en faire confectionner un prochainement. Ses costumes sont si seyants. Mon époux ne fait couper ses costumes que par Angelo. Disons que c’est notre travail de savoir qui sont nos interlocuteurs.

- Ah donc il y a un monsieur Lorenzi. Pourtant Lorenzi est bien votre nom de jeune fille ?

- Mon époux s’appelle Andrea De Marchi, mais il accepte totalement que dans le business, comme dans la vie, mon besoin de me sentir libre, enchaîna-t-elle avec un regard bien évocateur.

Cela s’annonçait bien intéressant, surtout que l’on se dirigeait vers une partie d’échec grandeur nature. Heureusement qu’il s’était aussi renseigné sur la dame auparavant. Il reprit donc :

- Voilà ce que je vous propose, dînons d’abord, je n’ai entendu que du bien de leurs osso-buco. Sans parler du vin qui serait fabriqué à partir des vignes du domaine. Ensuite je pourrai vous présenter notre proposition commerciale, si vous voulez bien ?

- Mais je vous suis volontiers monsieur Liénard. Je vous laisse les clefs en ce début de soirée.

Elle comptait les reprendre plus tard, serait-elle du genre dominante la petite dame ?

Le repas fut très agréable, la cuisine excellente et le vin délicieux. La conversation fut fort intéressante. Mais il bascula très vite vers ce vers quoi Francis lui avait conseillé d’aller,
à savoir un jeu de séduction. Toutefois, quelques surprises l'attendaient.

- Vous êtes un homme assez surprenant, je vous imaginais très sûr de vous. Vous êtes sûr de vous c’est indéniable mais aussi très humble aussi. Vous ne vous prenez la tête. Le tableau que l’on m’avait dressé de vous est assez différent de celui que j’ai en face de moi. Lequel êtes-vous vraiment ?

- Eh bien pour répondre à votre question, il faudrait que je sache quel tableau on vous a brossé de moi.

- Cal, jouons cartes sur table vous voulez bien ? Vous n’ignorez pas que ma société apprécie de tout connaître de nos partenaires.
Par conséquent, je connais certaines choses sur votre vie privée. Mais rassurez-vous rien qui doit servir à faire pression sur vous. Juste savoir que nous ne nous lions pas à n’importe qui.

- Jana… je peux vous appeler par prénom j’imagine ? Je suis comme vous dans le domaine commercial. Je connais donc les pratiques en usage. J’en conclut donc que vous m’avez fiché et m’avez fait suivre. Qu’est-ce que vous avez découvert d’intéressant ?

- Bien, j’apprécie que vous preniez bien notre démarche. Disons que nous savons que vous êtes divorcé, et cela aux torts de votre ex-épouse. Nous savons aussi que vous avez un petit garçon de six ans. Mais surtout que vous êtes l’amant de votre patronne depuis déjà deux ans et demi mais que vous avez une relation très libérée.
Puis changeant de ton et avec une certaine malice dans les prunelles, elle enchaîna :

- Sachant aussi que vous appréciez baiser les femmes mariées, surtout au vu de tous, sur une plage. Qu’en plus de cela, vous faites des parties à trois
avec la femme adultère et son mari bien consentant, dans les bois et dans leurs maison de location.
Elle avait décidé de faire monter la pression, il allait mettre la barre encore plus haut :

- Ah je vois que votre enquêteur ou enquêtrice était à l’île de Ré. J’espère que le spectacle a plu. Néanmoins, sachez que vous n’êtes pas la seule à avoir mené votre petite enquête. Je sais par exemple que Francis a été le premier à vous faire le cul dans un cadre professionnel. Mais d’après ces dires, ce cul avait déjà du vécu et puis surtout je sais ce
qu’il s’est passé à la dernière Mostra de Venise.
Sous son regard étonné, il enchaîna :

- Oui je sais que vous aimez vous envoyez en l’air avec d’autres femmes sous le nez d’hommes qui se branlent et qu’apparemment les orgies ne vous effraie pas. Je sais que vous aimez que tous vos orifices soient remplis en même temps.

- Tiens donc, votre amie Stella vous a parlé de Venise. Mais bon, vous envoyez en l’air dans les lieux publics, c’est une constante chez vous. Une
cabine téléphonique anglaise ou encore un banc dans un parc public parisien le mois dernier.

- Mais vous pouvez parler chère Jana. C’était vous l’attraction principale d’un peep show puis d’un gloryhole sous les yeux de votre mari très
consentant à Rome il y a deux mois. Donc pour résumer vous et moi n’avons aucun problème à faire cela dans des lieux où nous pouvons être surpris.
Sous ces yeux ébahis, il sortit sa bite de son pantalon et lui lança :

- C’est pas le moment de faire les vierges effarouchées, vous vous touchez la chatte depuis le début de cette conversation. La nappe est moins épaisse de votre côté. Vous savez que je vais vous baisez ici dans cette pièce et ce même si le serveur débarque, vous allez crier comme une truie qu’on égorge.

Il se leva et mit sa chaise a côté de la sienne avec toujours la bite à l'air. Elle observa la porte qui pouvait s’ouvrir à tout moment, puis fit le tour de son membre avec sa main et l'enserre avant de commencer à le branler pour son plus grand plaisir. Lui se fit plaisir et baissa la tirette de sa robe pour attraper son sein gauche à pleine main.

Après avoir un peu mouillé ses mains pour mieux le branler, elle pencha sa tête et goba sa bite. En trois aller-retours, elle était déjà sur son pubis et commençait à lui faire une gorge profonde. Décidément, c’était une sacré avaleuse de sabre.
Elle le pompait en cadence, par moment elle ressortait pour aller lui gober les boules une par une. Elle lui faisait subir un traitement de choc mais il avait de la ressource. Il lui laissa l’initiative encore quelques minutes, puis au moment où elle le ressortait une nouvelle fois, il l’attrapa par le poignet, la tourna face à la porte et se mit à genoux dans son dos.
Il lui releva la robe et embrassa ses belles fesses avant de décaler sa dentelle pour aller embrasser sa moiteur qui était détrempée. Il lui lécha la fente de bas en haut, en poussant sa langue le plus loin possible, même s’il était un peu gêné par son nez. Il lui écarta les lèvres à l’aide de ses mains et se mit en mode explorateur.
Elle feulait, mais tentait d’atténuer le bruit de ces cris. Elle finit par mordre dans un petit pain quand il se mit à lécher alternativement son con et son cul. Sur ce dernier, il lécha, y mit un doigt d’abord, puis deux et la porta jusqu’à la jouissance.

Elle s’écroula de tout son long sur la table, il se rhabilla un peu et lui conseilla de faire pareil. Ils devaient, en effet, faire revenir Antonio. Même s’il était coutumier du fait, il ne pensait pas qu’elle était du genre exhibitionniste.
Il rappela donc le chef de salle. C’était par ailleurs surprenant que ce soit lui qui s’occupe d’eux et non pas un simple serveur. Mais Jana Lorenzi était quelqu’un d’importante dans le secteur. Ceci devrait expliquer cela. Il utilisa donc l’interphone mis à disposition dans leur salle.

Antonio se présenta, il ne montra aucun signe malgré leurs cheveux défaits et la chemise froissée de Cal, ou bien encore le décolleté trop prononcé pour un rendez-vous commercial.
Cal lui demanda de lui ramener le paquet qu’il avait laissé à l’accueil. Une fois remis, il offrit le cadeau à Jana, qui attendit que le chef de salle sorte pour découvrir l’ensemble de lingerie.
Cela semblait lui plaire. Elle lui dit :

- Vous connaissez mes goûts ? J’imagine que Francis vous a bien renseigné et qu’Inès vous a aidé à choisir la parure. Elle aussi vous la baisez ?

Il ne vit pas pourquoi il mentirait alors il dit sans ambages :

- Hier dans le salon privatif, hier soir et ce matin à l’hôtel. Elle a un certain talent pour faire monter l’excitation. Mais je ne vous apprend rien, même si elle n’est pas lesbienne, je sais que vous l’avez vu à l’œuvre avec votre époux.

- Oui effectivement, Inès est une habituée de nos soirées à la villa. Tout comme votre amie Stella par ailleurs. Andrea ne tarit pas d’éloges sur ses talents et sur sa sensualité. J’ai bien envie d’essayer votre cadeau et voir comment il me va.
Sans hésitation, elle fit tomber sa robe puis son soutien-gorge, révélant une poitrine intéressante, un 90 B qui avait bien tenu dans ses mains tout à l’heure. Par contre pour son tanga, elle ne plia pas les genoux et se courba en deux pour faire admirer tous ces orifices à Cal qui se délecta du spectacle.
Elle enfila d’abord le porte-jarretelles, puis les bas une jambe après l’autre en se servant des cuisses de Cal comme appui, puis le string minimaliste et enfin la brassière.
Elle était divine. Elle fit un tour complet puis se tourna, le regarda intensément et l’embrassa passionnément avant de le pousser vers le canapé où elle l’assit pour se mettre à califourchon sur lui. Elle se frotta comme une chienne en chaleur à sa bosse sous son pantalon. Quand elle n’en pu plus, elle le débraguetta et sortit le moineau de son
nid, le petit oiseau qui alla dans une caverne bien chaude. Elle remua du bassin, ce qui le fit ahaner. Puis elle monta et descendit sur son vit.
Il voulait lui attraper les fesses pour diriger la manœuvre mais elle prit ses mains, les enserra dans les siennes, puis les garda prisonnière au-dessus de la tête de Cal. C’est elle qui avait l’initiative pour l’instant. Il se laissa faire et finit par poser les mains derrière sa tête comme s’il était à la plage à profiter du soleil. Là en l’occurrence, le spectacle n’était pas mal non plus.
Ces seins qui se balançaient devant son visage étaient vraiment tentants. Il pencha la tête et goba un téton, puis l’autre. C’eut l’air de lui faire très plaisir, car elle accéléra le rythme et bougeait de façon plus erratique.
Elle prenait un sacré plaisir mais le naturel chez Cal revint au galop et il saisit l’occasion de reprendre la main alors que ces mouvements saccadés semblaient plus désordonnés. Il l’attrapa par les épaules et la coucha en missionnaire sur le canapé et rentra sa bite comme on enfonce un clou. Il imprima un rythme endiablé, ponctué de gros coup de bassin par intermittence, la faisant crier encore plus fort. Puis, pour avoir un meilleur angle, il plaça les jambes de Jana sur ses épaules et poussa tellement fort que ces cuisses se retrouvèrent quasiment à hauteur de sa tête. Il la besognait en cadence, mais de sa main gauche il testait déjà la souplesse de son sphincter. Quand il la jugea prête, il passa de son orifice du haut à celui d’en dessous.
Elle prenait encore plus de plaisir, car elle planta ses ongles dans son dos comme pour marquer son territoire. Il la baisa en missionnaire un moment puis il ressortit et la souleva. Il la dirigea vers la table. Elle comprit le message, écrasa ses seins sur la table et cambra très haut son cul, qu’elle tendit vers lui comme une invitation plus qu’explicite. Il ne se fit pas prier et l’embrocha par derrière dans le cul. L’avantage de leurs trente centimètres d’écarts, c’est qu’il n’eut pas à plier les genoux, son trou du cul était totalement dans son axe Il prenait un plaisir vorace à la défoncer comme cela.

Leurs cris résonnaient entre les murs. Ils espéraient tout de même que l’isolation était bonne et que les autres clients n’allaient pas être dérangés.
Leur coït dura longtemps. Au bout d’un moment, il sentit la fin venir alors il lui attrapa les deux fesses à pleine main et accéléra le rythme de ces coups. Il ne ressortait plus.
Sa bite se gonfla. On aurait dit un feu liquide qui remontait de ces reins et allait se déverser par sa lance. Jana, après avoir déjà eu au moins deux orgasmes, eut droit à un troisième au moment où lui se vidait en masse dans son anus, le flot fut tellement important que ça dégoulinait sur le sol.

Au cas où le personnel de l’hôtel n'aurait pas compris qu’ils n’avaient pas que passer leur temps à enfiler des perles, ils seraient bon pour changer le lino sans poser de question. Quand le flot se tarit enfin, il ressortit sa queue un peu ramolli et frotta les dernières traces de semence sur son cul rebondi. Il fit le tour de la table et poussa sa queue dans sa petite bouche pour qu’elle en extirpe les dernières gouttes de foutre. Elle était épuisée. Ses cheveux collés à son front, elle transpirait abondamment.
Ils remirent un peu d’ordre dans leurs tenues mais sans pour autant se rhabiller. Ce fut très plaisant de négocier un contrat avec la partie adverse en sous-vêtements de luxe.

Les termes de l’accord convenaient à Jana et elle ne voyait pas l’intérêt de voir d’autres entreprises. D’autant que le fait de continuer à collaborer serait une occasion de revoir Cal. Mais dix ans serait trop long, ils se mirent donc d’accord sur des visites de contrôles tous les six mois avec leurs présences respectives.

En attendant, il lui proposa de passer la nuit ensemble au Castello Santa Anna où ils remirent le couvert une fois dans la chambre, une bonne partie de la nuit.

Ils se séparèrent le lendemain, elle devait se rendre au siège du groupe à Rome et lui avait prévu de revoir Stella et Inès avant de rentrer à Paris.
Jana le convia dès le mois suivant à sa villa pour lui présenter son mari ainsi que quelques amis. Inès et Stella seraient bien sûr de la partie.
Milan était décidément très aphrodisiaque.

Les avis des lecteurs

Merci ma chère Olga, oui effectivement très enchanteur et on y reviendra dans l’épilogue.
Cal est un négociateur hors pair

Voici une négociation intéressante, dans un cadre enchanteur: Milan, une des capitales de la mode et du plaisir



Texte coquin : Jana, la louve de Milan
Histoire sexe : Une rose rouge
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