Tamara, Fuck Gun

- Par l'auteur HDS Stan23JR -
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Récit libertin : Tamara, Fuck Gun Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2023 dans la catégorie Plus on est
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Tamara, Fuck Gun
Tamira (Fuck Gun)
29 décembre 2019 (Quelques parts au-dessus de l’Atlantique Nord)

Suite aux événements de l’épisode Béa, sachant qu’ils n’auront pas leurs enfants respectifs pour Noël, mais plutôt pour le nouvel an où toute la petite bande doit se retrouver dans une villa loué par Stella face au Lac de Côme.

Béa lui propose de l’accompagner à New York avec du sexe et rien que du sexe, ils ont beaucoup d’années de frustration à rattraper.

Déjà, le vol en jet privé a été très chaud, le steward Anthony, un grand colosse noir s’est bien mis en retrait pour les laissés profiter, la cabine a beaucoup servi.

Les badinages gentils ont continué dans la voiture qui les emmène vers Greenwich Village où Béa possède un magnifique penthouse au sommet d’un building en plein cœur de Manhattan, le genre d’appartement qui s’ouvre avec clé de sécurité et empreinte digitale.

Elle possède aussi une maison à l’extérieur de New York qui est la maison où elle vit avec Brittany depuis son divorce, Cal y est venu une fois ou deux lors des anniversaires de la petite.

C’était à Edison dans le New Jersey à trente-cinq miles au sud de New York.

Ils se sont aussi envoyé en l’air dans l’ascenseur (encore un) puis dans tous le penthouse pendant cinq jours, ils ont évolué en sous-vêtements dans l'appartement, ce n'était pas utile de remettre des vêtements.

Un de ses meilleurs souvenirs : quand il l’a pris par-derrière contre la rambarde du balcon panoramique alors qu’il neige.

Mais toute bonne chose a forcément une fin et donc le matin du vingt-neuf, il s’engage dans la Berline après un baiser passionné avec Béa dans le parking souterrain du building.

Lui doit regagner Paris pour récupérer Max dès demain tandis que Béa va présider un Comex depuis New York (Comex auquel participera Cal depuis le jet privée de la société), puis elle devra aussi récupérer Brittany et prendre l’avion pour Côme le trente-et-un.

Après un trajet en voiture depuis Manhattan, il arrive au bout d’une demi-heure à l’aéroport de Teterboro à l’Ouest de New York d’où décolle les jets privés.

Sur le tarmac, il est accueilli par le pilote Mike Trenton et son copilote Wesley Sharp, ainsi que par l’hôtesse Tamira Covington qui ne doit pas avoir plus de vingt-six ou vingt-sept ans, elle a un teint chocolat au lait (dans le même style qu’Iris West-Allen dans la série Flash), porte son joli uniforme bleu : un tailleur dont l’ourlet de la jupe arrive juste au-dessus du genou, son écharpe et son béret donnant un style très parisien a l’ensemble.

Il prend place dans la cabine et cette fois prend le soin de bien regarder les équipements, à l’aller avec Béa cela a été un peu compliqué.

Le jet est coupé en trois parties : la première est composée du cockpit, mais aussi des toilettes et de la douche des pilotes, la seconde est la partie principale de l’appareil avec quatre sièges baquets en cuir véritable, un grand canapé juste devant l’écran géant permet de prendre des appels, de se faire un film, mais aussi de participer à des réunions.

Enfin dans la dernière partie en queue d’appareil a été aménagée une chambre, une douche et un bureau.

II y a tout le confort adéquat pour passer les huit heures du vol.

Cela commence bien avec un Whisky sur glace servi par Tamira, apparemment, elle a bien été briefé sur ce qu’il aime.

Il a un peu de temps, la réunion n'ayant lieu que dans trois heures, il trouve donc plus intéressant d’aller parler à Tamira.

- Dites-moi Tamira, hôtesse de l’air, c’est une vocation ? C’est quelque chose que vous avez toujours voulu faire ? Commence-t-il

- Eh bien, j’ai toujours beaucoup aimé les voyages, avec un père militaire, c’est un peu logique donc changer souvent de lieu ce n’est pas quelque chose qui me dérange particulièrement.

- Ah oui ! Votre père est militaire ? Où a-t-il été affecté ?

- Mon père est lieutenant-colonel au sein des marines, il a surtout été chargé de la sécurité des ambassadeurs, c’est lors d’une de ces missions qu’il a rencontré Maman, je crois que c’était à Bangkok en Thaïlande où maman dirige alors la mission économique américaine.

Par la suite, et même après ma naissance, on a continué à déménager au gré de leurs missions respectives.

Ils se sont séparé l’année de mes neuf ans et j’ai vécu à Washington avec maman jusqu’à mes seize ans.

- Je suis désolé, un divorce ce n’est jamais facile à vivre pour un enfant, j’en sais quelque chose, mais par chance mon petit Max n’avait que 2 ans quand sa mère et moi, on s’est séparé.

- Je suis désolée pour vous, j’espère que votre fils le vit bien aujourd’hui ?

- Oui, Max le vit très bien, monsieur à double anniversaire, doubles cadeaux, double sorties et puis mon ex-femme et moi, nous restons en bons termes.

- Papa et Maman aussi sont restés en bons termes, ce sont plutôt les relations avec maman qui se sont détériorées au fil du temps, son niveau d’exigence dans la vie à fini par me lasser et après une grosse dispute, j’ai demandé à aller vivre chez mon père.
Il était en poste à l’époque en Egypte, c’était juste avant le début du printemps arabe.
Papa fait toujours très attention, mais ce n'est pas la première fois que je me retrouve avec lui en zone de conflit, nous avons été au Nigeria, en Colombie, mais aussi en Corée du Sud.
Je sais me servir d’une arme depuis mes treize ans et je ne sors jamais sans un couteau à double lame que m’a offert papa.

- Comment a été la cohabitation avec votre père surtout à seize ans en pleine découverte sur soi, à ce qu’on dit, les militaires sont encore plus protecteurs envers leurs filles.

- Cela, je ne vous le fais pas dire ! Papa est rentré une fois à la maison plus tôt alors que je me fais défoncer par mon mec du moment Yazid, il a juste eu le temps de se refroquer et de se barrer par la fenêtre de ma chambre qui donne sur les toits du Caire, je revois encore cette scène hilarante avec son cul quasiment à l’air en train de prendre ses jambes à son cou pour pas que mon père le descende à coup de crosse.

- Oui ce doit être bien hilarant, j’imagine ! Après cela, comment vous avez fait, cela a dû être bien compliqué.

- En fait, tous les garçons non-militaires n’osent pas m’approcher, ils ont trop peur de mon père et les militaires ont trop de respect pour lui donc je me suis d’abord fait la main sur les aides de camp et puis j’ai par moment visé plus haut.

L’année de mes dix-huit ans, nous habitons à ce moment-là du côté du Cap en Afrique du Sud, je me suis entiché d’un attaché militaire qui est marié et qui a au moins quinze ans de plus que moi.

- Marié et plus âgée, vous n’avez pas froid aux yeux et puis je pense qu’il n'y a pas mieux pour énerver votre père.

- Il est vraiment trop mignon Chester, je n'ai pas pu résister, une fois, mon père m’a envoyé jouer les estafettes, je dois porter un document top secret à l’attaché militaire, j’arrive à son bureau, la secrétaire est pas là donc je me dis que j’ai envie de jouer un peu.

Je dépose le document, je me dessape et ne garde que mes sous-vêtements.

Je me glisse ensuite sous le bureau qui par chance n’a pas de fond, j’attends qu’il arrive à son bureau et commence sa réunion à distance et là, je sors sa queue du pantalon et sans prévenir, je me mets à le sucer comme une folle.

Je me glisse ensuite sous le bureau qui par chance n’a pas de fond, j’attends qu’il arrive à son bureau et commence sa réunion à distance et là, je sors sa queue du pantalon et sans prévenir, je me mets à le sucer comme une folle.

Par moments, il me met même quelques coups de bassins ou m’appuie plus fortement sur la tête.

Cal que l’histoire a quelque peu excité, semble être un peu plus à l’étroit, se replace sur son siège, ce qui bien sûr n’échappe pas à Tamira pas plus que la légère bosse, elle continue néanmoins son histoire :

- Et puis alors que la réunion se termine et qu’on allait faire notre petite affaire, la secrétaire indique à Chester que mon père est présent et souhaite lui parler.À ce moment, je me suis senti trop mal, j'ai voulu me tirer avant que mon paternelle arrive, mais l’attaché militaire a d’autres idées en tête, il reçoit donc mon père alors que je suis dans son bureau avec sa bite dans la bouche, il parle tranquillement avec mon père du document confidentiel et de la réunion qui vient de se terminer.
Alors que leurs entrevues se terminent, il accélère la cadence de ses coups de bite et finit par se déverser dans ma bouche sans faire le moindre bruit alors que moi, j’essaye de faire un minimum de bruit en avalant son foutre.
Papa ne s’est rendu compte de rien ou alors il ne pense pas que c’est moi.
En partant, il demande à Chester s’il ne m’a pas vu, celui-ci répond avec tout son aplomb qu’ils se sont croisés le temps qu’elle lui dépose le document et qu’apparemment elle doit passer chez une copine récupérer un devoir.
Cela eut l’air de convaincre papa, car il s’en va, j’attends quelques minutes de plus pour ressortir, mais ce laps de temps a permis à Chester de reprendre de la vigueur, car sitôt sorti du bureau, sitôt recouché sur le ventre, pendant qu’il me prend sauvagement par-derrière, j’ai dû mordre dans une liasse de documents pour ne pas crier.
Ce fut un quickie bref et intense, j’ai juste eu le temps de repartir par une porte dérobée et d’envoyer un sms à ma copine Anisha pour la prévenir du subterfuge.

- Eh bien, Chère Tamira, laissez-moi vous dire que vous êtes une petite gourgandine, a dix-huit ans faire cela sous le nez de son père, c’est sacrément osé, vous en avez d’autres de ces histoires en stock mademoiselle Covington ?

Ils se racontent leurs histoires de cul tout au long des deux heures qui suivent jusqu’à faire monter la pression à un niveau proche du hot, mais Cal n’a pas trop le temps pour le badinage, le COMEX va commencer, il lui faut donc aller s’installer au bureau de la chambre du jet privée.

Quelques minutes après le début de la réunion, Tamira entre discrètement pour déposer des rafraîchissements et des amuse-gueule avant de progressivement se retirer, elle est tellement discrète qu’il n’entend même pas la porte se refermer.

C’est seulement quand il sent une main sur sa boucle de ceinture qui extirpe son phallus de son pantalon qu’il comprend que l’hôtesse n’est pas ressortie et qu’elle s’est glissé à quatre pattes sur l’épais tapis de la chambre, il fait un effort pour ne rien montrer quand elle prend doucement sa queue entre ses petites lèvres.

Sa fellation est douce et légère, elle sait prendre son temps, faire monter la pression et presque instantanément la redescendre, elle donne de petits coups de langue-ci et là, ce qui lui donne à Cal très vite un intense plaisir.

Ce dernier surveille les regards des différents membres du COMEX et seuls Béa semble avoir remarqué quelque chose, elle lui envoie par ailleurs un petit message par Teams :

- Alors elle est comment ? Lui écrit-elle ?

- Tu parles de quoi ? Lui répondit-il l’air presque innocent.

- Ne fais pas l’innocent, je te connais pas cœur ! Mon petit bonhomme, je te parle du fait que tu ne suis pas pleinement une réunion du COMEX parce que monsieur se fait sucer par l’hôtesse de l’air.

- Attends ! Ne me dis pas que tout le monde voit ce qui se passe, se raidit-il

- Non, t’inquiètes mon chou, c’est juste que je connais Tamira et ce qu’elle peut faire avec une langue.

- Tu veux dire que toi et elle, vous avez eu une aventure ? Elle est sacrément douée, moins que toi, je t’assure, mais c’est assez différent, j’aime qu’elle prenne son temps quand elle me suce.

Il attend un peu sa réponse, car elle doit intervenir durant la réunion, mais finit par lui répondre :

- Et plutôt deux fois qu’une mon chou, tu crois que c’est qui, qui l’a repéré sur un vol d’American Airlines.

Depuis, on se voit régulièrement quand j’ai besoin du jet et puis à ton avis qui lui a suggéré de se glisser sous le bureau pour te tailler une pipe et je vais même faire mieux, je veux la voir te sucer et que tu la sautes devant moi face au grand écran de la cabine principale.

Qui ne dit mot, consent et Cal ne va pas contredire cet adage.

Sitôt la fin du COMEX, il entraîne Tamira dans la cabine principale et allume le grand écran où le bureau de Béa s’affiche en gros plan, elle prend la parole :

- Coucou tous les deux, n’allons pas par quatre chemins, Tamira tu vas sucer Cal qui sera assis sur le canapé, à quatre pattes comme une chienne, ensuite tu vas la baiser cette chaudasse Cal mais avant ça montre nous ce que tu caches sous ton uniforme.

Devant eux, Tamira se dévêtit pour se retrouver bien vite en ensemble soutien-gorge et slip brésilien en dentelle vert colombien Bluebella Isadora de chez La Journelle ainsi que ses talons et le béret qui donne un côté décalé à l’ensemble.

Cal s’installe sur le canapé ou le rejoint bien vite Tamira, sous le regard de Béa, elle tète un peu la bite de Cal pour le mettre au supplice avant de l’engloutir pour faire quatre allers-retours endiablés puis de le ressortir et de bien le lécher comme un cône glacé sur les côtés avant même de descendre prendre ces boules une par une en bouche.

Béa regarde avec intérêt la pipe de l’hôtesse, mais elle voit aussi la main de Cal qui a investi la caverne détrempée de la jeune hôtesse, il la doigte à plat afin de bien élargir la fente, sa mouille lui élargissant bien le trou, on peut même y tenir à plusieurs.

Il a une idée qui le fait gonfler encore plus, ce peut être très excitant si cela se concrétise, ni une ni deux, il envoie sa main gauche prendre le téléphone de cabine et appelle le cockpit sous le regard curieux de Béa :

- Commandant Trenton, dites moi vous êtes bien équipé de l’application FlyConnected sur votre montre et qui permet de suivre les différentes données du vol ?

- Oui monsieur, c’est bien cela.

- Très bien ! Combien d’heures de vol restent-ils avant d’atterrir au Bourget ?

- Un peu moins de quatre heures monsieur.

- C’est parfait et enfin dernière question cet appareil peut-être piloté en automatique, c’est bien cela ? Il croise le regard de Béa qui lui adresse un clin d’œil ayant compris sa manœuvre.

- Oui, c’est exact, le pilotage automatique peut-être enclenché.

- À la bonne heure, faites le puis vous et votre copilote Wesley pourrait venir nous rejoindre pour trinquer à la nouvelle année.

Il se relève du canapé et Tamira en fit de même, elle voulut se nettoyer la bouche ou de la salive a couler, il l’en dissuade voulant que les pilotes voient quelle traînée elle est.
Elle comprend ces envies et tout naturellement décide de préparer le service en sous-vêtement.

Les deux pilotes arrivent depuis leurs espaces et sont surpris de trouver Tamira presque dénudée et Cal carrément débraillé, mais ne disent rien.

- Asseyez-vous monsieur, profitez du foie gras et des huîtres, Tamira va vous servir du champagne sans alcool comme cela zéro chance que nous ayons le moindre souci et puis Tamira vous proposera aussi sa spécialité.

Après les avoir servis du champagne sans alcool, elle s’agenouille sans ambages entre les jambes du capitaine, sort un sexe de bonne facture et embouche directement tout en branlant la queue que Wes a déjà sortie de son pantalon.
Elle alterne entre les deux sexes et parfois lèche les deux en même temps après les avoir placé côte à côte, par moment, c’est Cal qui vient profiter de sa cavité buccale après avoir trempé sa bite dans le champagne.

Béa n’en perd pas une miette, mais elle veut plus de spectacles alors elle hèle Wes pour qu’ils passent derrière Tamira pendant qu’elle suce Cal et Mike, il doit lui lécher la fente afin de préparer les futures intromissions dans son fondement.

Il doit être très doué de sa langue et de ses doigts, car Tamira s’active encore plus sur leurs hampes, on ne distingue pas ce qu’elle dit, car sa bouche est prise, mais apparemment Wes a compris, car il se met à là fister avec trois doigts puis bientôt quatre et enfin carrément la main entière, s’en est trop pour elle, car elle recrache la bite de Mike afin de crier son plaisir.
Ce dernier mécontent d’avoir été coupé dans son élan, lui triture la pointe des seins méchamment tout en la bifflant avec son membre.

Béa a une nouvelle fois ordonné la reprise des hostilités sérieuses, ordre est donc donné à Wes de commencer à prendre Tamira par-derrière dans la chatte.

Ce qu’il fait pour le plus grand plaisir de la métisse, Cal se décale pour observer la scène, c’est assez excitant, elle est prise en levrette par le copilote pendant que sa tête monte et descend sur le pieu du pilote.

Puis ils inversent les rôles, elle s’empale sur le vit de Mike tout en suçant la bite de Wes, son baiseur du dessous l’a fait rebondir sur sa bite et dans le même temps, il lui fourre un doigt dans son fion.
Béa le presse de mieux dilater son sphincter, car elle veut que Cal lui fasse le cul en double, Tamira en transe se laisse docilement faire et suit comme tout le monde les ordres de la patronne.

Quand son cul fut bien ouvert, l’hôtesse écarte ses globes fessiers pendant que Mike stoppe ses mouvements pour faciliter l’intromission de la bite de Cal, il se positionne bien dans son axe et commence à forcer pour faire passer le gland, ressort trois autres fois et rentre tout aussi instantanément en allant un peu plus loin à chaque fois.
Il finit par atteindre le bout et Mike reprend ses mouvements en dessous, Calvin peut presque sentir les vibrations de la bite du pilote quasiment contre la sienne, Mike la couche contre lui en lui tenant les bras pour que Cal s’enfonce jusqu’au fond de ses entrailles.
Wes, qui regarde la scène impressionnante, se reprend et vient participer à la fête à son tour, il place sa queue entre ses lèvres et force le passage, pour faire bonne mesure, il lui prend la tête à deux mains et lui baise la bouche.

Tamira est complètement prise et par tous les trous sous les yeux d’une Béa extatique qui donne des ordres par ci, des encouragements par là.

Ils changent plusieurs fois de position où chacun des trois hommes visite à tour de rôle l’ensemble de ces orifices, Mike se répand une première fois sur ses fesses, Wes dans sa bouche tandis que Cal lâche sa semence dans son anus pour un beau creampie anal.

Ils la souillent une dernière fois avec une douche de sperme alors que Tamira est à genoux entre eux, elle en a dans les cheveux, sur le front, sur les yeux, les seins, le ventre, mais aussi la bouche où chacun va se faire nettoyer la bite dans une bouche toujours accueillante.

Les pilotes repartent vidés à leurs cabines, il est temps d’entamer la dernière partie du voyage, Béa leur envoie des baisers avant de les laisser, Tamira peut ensuite prendre sa douche dans la cabine de Cal, mais elle laisse la porte de la douche ouverte afin qu’il profite du spectacle.
Elle n’hésite pas à se caresser sous la douche, Cal ne résiste donc pas à se faire sucer une dernière fois sous la douche et cette fois-ci, il va jusqu’au bout en se répandant entre ses lèvres fermées.

Il est vidé et finit par faire un léger somme avant l’atterrissage pendant que Tamira se rhabille et retourne dans la cabine principale.

C’est la sonnerie de son téléphone qui le réveille, c’est un sms de Béa :

« J’espère que tu as bien profité de ton cadeau mon amour, mais tâche de refaire des réserves, j’ai envie de faire des folies avec vue sur le Lac de Côme. Embrasse Max pour moi, je t’aime. »

Ta Béa pour toujours.

S’il y a bien quelque chose qui est facile entre eux, c’est de se dire, je t’aime, ils savent que ce n’est pas dénué de sens, c’est juste le reflet de ce qu’ils ressentent l’un pour l’autre depuis si longtemps.

Il sort de sa cabine pour savoir quand ils vont atterrir et apparemment, le personnel a remis le couvert.

La porte du cockpit est ouverte et d’où il est, il voit une Tamira couchée sur le dos, elle tète le gland de Wes pendant que Mike lui met des coups de boutoir, il semble lui maintenir sa jambe droite en travers sur son épaule.
Elle le voit et lui fait signe, mais il lui fait signe de la tête qu’il a eu sa dose et qu’il va juste les regarder depuis son siège.

La partie dure bien encore vingt minutes avec un double mémorable où les deux hommes envoient la sauce quasiment en même temps au fond de sa chatte et de son cul après qu’elle ait joui.

Ils atterrissent au Bourget à l’heure prévue vers vingt-deux heures.
Il remercie l’ensemble du personnel qui lui rend la réciproque pour ce bon moment et souhaite vite le revoir.

Tamira lui fait un clin d’œil bien évocateur en désignant du menton les deux américains, apparemment la soirée n’est pas fini pour tout le monde.

Les avis des lecteurs

Oui, Cal compte énormément pour Béa.
Elle fera tout ce qu’il faut pour le combler.
Merci Olga.

Une façon particulierement agréable de voyager. Béa prend soin de Cal!



Texte coquin : Tamara, Fuck Gun
Histoire sexe : Une rose rouge
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