Wanda, Usual Deception
Récit érotique écrit par Stan23JR [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Wanda, Usual Deception
Wanda (Usual Deception)
11 Septembre 2021 (Aéroport International Ministro Pistarini d’Ezeiza, Buenos Aires)
C’est toujours curieux de partir en voyage le jour des vingt ans du onze septembre, un événement où tout le monde se rappelle très bien où il était ce jour là en début d’après-midi.
Cela l’est encore davantage quand on doit prendre un vol transatlantique, en l’occurrence de l’Amérique du Sud vers l’Europe.
Mais cela devient carrément caricatural quand on se retrouve attaché à une chaise, les deux mains dans le dos, comme un vulgaire voleur ou un terroriste. Encore heureux qu’ils ne lui aient pas mis une cagoule sur la tête (il est claustrophobe mais bon il ne va pas le dire trop fort, c’est un coup à finir dans un cercueil fermé à son prochain enterrement de vie de garçon).
Rembobinons un peu pour comprendre comment il en est arrivé là.
Tout a commencé par une promotion qu’il n’avait pas vraiment demandée et qu’on lui a proposée, du moins temporairement.
A la mi-juin, juste après son retour de Lyon (Épisode Keisha), il a appris qu’Anne-Sophie Rosière, qui préside depuis quatre ans la direction opérationnelle Luis Cenobio Cantenaria (la direction du groupe pour la zone sud-américaine), quittera son poste mi-septembre pour rejoindre la direction de la compagnie aérienne Quantas.
L’entreprise depuis que les vice-présidences du groupe ont été confiés à Béa et à son frère Antonin, a fait l’objet en mars 2020 d’une note d’organisation qui définit l’architecture pyramidale du groupe.
En haut il y a le Conseil d’Administration, puis les vice-présidents qui chapeautent les deux divisions géographiques.
Chacune de ces divisions a plusieurs directions opérationnelles pour les continents qu’elles englobent, il y en a quatre pour la division Atlantique :
- La DO Louis Blériot pour l’Europe
- La DO Amélia Earhart pour l’Amérique du Nord
- La DO Luis Cenobio Cantenaria (premier homme a traversé les Andes en 1918) pour l’Amérique du Sud
- La DO Johnny Smythe (pilote Sierra-Léonais de la RAF détenu par l’Allemagne nazie puis ministre des Colonies britanniques) pour l’Afrique de l’Ouest.
Le départ d’Anne-Sophie entraine une réorganisation. Béa lui a demandé de prendre en charge cette DO, en plus de la direction commerciale de la division Atlantique.
Au même titre, ce qui n’était qu’officieux depuis presque deux ans devient effectif :il est promu au rang de Directeur Exécutif Adjoint de la division.
La passation se prépare activement avec Anne-Sophie dès le début de l’été, tout d’abord à distance et ensuite sur place, à partir de début septembre, où Cal va se rendre en Amérique du Sud pour rencontrer les équipes et visiter les diverses agences et sites d’exploitation.
Le planning prévu va être très chargé, d’où l’intérêt pour Cal de prendre quelques jours de vacances auparavant. Il sera donc aux Portes du Ré chez son ami Robbie pour la fin août (épisode Esther) puis, en vue de son absence pendant au moins une semaine, Manon a accepté de lui laisser Max entre le premier et le trois septembre.
C’est lui qui accompagne Max pour sa rentrée, cela lui fait beaucoup de bien de passer du temps avec son fils avant une semaine qui s’annonce bien chargée.
Le quatre dans la nuit, il prend un jet privé pour se rendre à Caracas au Venezuela où va avoir lieu la première de ses quatre étapes en Amérique du Sud.
En accord avec Béa il a décidé de profiter du départ d’Anne-Sophie pour enfin réorganiser la direction du groupe en Amérique du Sud, beaucoup des directeurs ou directrices d’agences sont des historiques du groupe, nommés par Antoine Dumarais et qui lui doivent leurs carrières.
Béa a voulu les remplacer il y a un an et demi mais Anne-Sophie s’y est opposée et comme Béa avait besoin de l’expérience des DO, rien n’avait été fait et donc aujourd’hui la nomination de Cal permet une réorganisation d’ensemble.
Il arriva donc après plusieurs heures de vol au nord de l’Amérique du Sud où la future ex DO l’accueillit et ils prirent la direction du quartier de La California Norte non loin du centre ville où se trouvaient les bureaux de l’agence ainsi que l’entrepôt avec ses nombreux quais de déchargement.
Son accueil se fit en grande pompe, l’ensemble du personnel l’attendait devant l’entrée du bâtiment, l’enthousiasme était non feint car dans la journée le siège avait communiqué que le nouveau directeur d’agence serait l’un d’entre eux : Ivan Ramiro Salazar.
Il avait près de 30 ans de boîte chez Spittrain : il était entré comme soudeur et gravi tous les échelons, depuis chef d’équipe jusqu’à responsable d’atelier où il plafonnait depuis environ 7 ans. Le départ forcé d’Hubert Grasse de La Motte, le précédent directeur, impliqué dans divers scandales dont un de collusion avec le pouvoir de Nicolas Maduro, lui permit d’enfin obtenir la juste récompense de sa carrière.
Cela entrait aussi dans la logique de Béa de promouvoir les talents internes, « l’Am Sud » était son premier laboratoire.
La visite fut une immense réussite et le point d’orgue fut le discours de Cal en Espagnol pour vanter l’excellent travail de l’agence de Caracas, malgré un contexte social et politique compliqué.
De nouvelles perspectives était données par la division et Ivan serait chargé de diriger la manœuvre, notamment celui de la spécialisation : l’objectif était de transformer cette agence en l’un des plus grands hub du groupe, du fait de sa proximité avec les États-Unis qui était un de leurs marchés les plus porteurs. En effet les coûts de fabrication et d’expédition étaient moindre ici.
Il consacra la matinée du 5 à la visite de l’éventuel site qui servirait de Hub, non loin de l’aéroport, avant de prendre l’avion en fin de journée pour se rendre à Lima au Pérou, où aurait lieu la seconde étape de son voyage.
Là aussi il en profita pour présenter la nouvelle directrice d’agence : Carmen Condori, qui, après 23 ans au sein du Bureau d’études à divers postes, prenait donc la tête de l’agence pour mener la transformation en bureau d’études régionales, avec donc de nombreuses propositions de mutation géographique.
Là aussi sa tournée dura 1 jour et demi, pas une minute de plus car il était attendu le matin du 8 à Rio de Janeiro pour nommer celle qui présidait désormais au destinée de l’agence brésilienne : Nadine Arantes Do Filho.
Elle était entrée au sein du groupe il y a 20 ans en tant que secrétaire et à notamment été l’assistante de direction de 4 des derniers directeurs d’agences.
Elle aura la charge de mettre sur pied le tout nouveau pôle Support Régional qui regrouperait au sein de la même unité toutes les fonctions de support managériales et c’est Nadine qui en serait la responsable unique.
Le rythme éreintant ne favorisa pas le moindre relâchement, des opportunités il en avait eu de passer un bon moment mais cela serait pour une prochaine visite car la présence quasi - constante d’Anne– Sophie, même à l’hôtel, car elle occupait toujours la chambre d’à côté ne favorisait pas ses desseins d’autant qu’elle était mariée, avec 4 enfants.
Madame Rosière n’était pas du genre à donner la moindre opportunité de s’encanailler, elle était du genre un peu terne et « tue le plaisir », peut-être que l’air australien lui redonnerait plus de couleurs et puis la possibilité de retrouver son époux, muté en Australie quelques mois avant elle, l’épanouirait davantage.
Il en était là de ses réflexions quand il appela Béa le soir du 9, à quelques heures de prendre l’avion pour Buenos Aires pour la dernière étape de son voyage, il était 22h00 à Rio.
Elle était à Houston pour la Convention Nord-Américaine de l’Aéronautique (il était donc 19h au Texas quand il l’appela).
Il eut plaisir de la découvrir totalement nue, en effet elle se préparait pour la soirée, Benjamin Carter l’avait invité et il comprit clairement le but de l’invitation, Cal n’y voyait rien de mal, ils connaissaient bien Benji, c’était un de leurs plus gros clients aux Etats-Unis, sa compagnie privée couvrait une bonne partie du territoire américain.
Ils connaissaient leur situation particulière à lui et Béa et il avait pu le voir de ses propres yeux lors d’une de ces invitations dans son chalet d’Aspen l’hiver dernier.
Il semblerait que Benji lui ait fait du rendre dedans toute la journée. Sa culotte a fini totalement trempée. Il lui avait dit que son meilleur ami Mike Brown serait également présent.
Cal le connaissait de nom et de réputation : c’était un ancien joueur de basket en NBA, il avait fait toute sa carrière au Dallas Mavericks et avait notamment joué avec Dirk Nowitzki. Il avait raccroché 2 ans avant le seul titre de l’histoire de la franchise texane, Cal se rappelait bien de ces 2m11, sa queue devait être du même acabit.
C’est sûrement ce que se dit Béa car elle s’affairait en ayant l’air toute excitée, cela fit plaisir à Cal de la voir heureuse, même si en ce moment il aimerait être auprès d’elle.
Elle se rendit compte de son spleen en enfilant le porte jarretelle d’un nouvel ensemble qu’il n’avait pas encore vu :
- Écoute mon chéri, je suis désolé que toi non plus tu ne t’amuses pas plus que sa, c’est moi qui t’es envoyé là-bas et promis je me fais pardonner ce Week-end, je veux que tu me rejoignes à New-York avant de rentrer sur Paris, je ferai tout ce que tu voudras, tu sais que je t’aime mon amour et je porterai cet ensemble qui a l’air de te faire beaucoup d’effet, donc je porterai cet ensemble à l’aéroport et rien d’autre sous mon Imper .
- J’ai vraiment beaucoup de chance, j’ai hâte de te retrouver ma douce. , tu es vraiment très belle. Benji a beaucoup de chance, tu lui passeras le bonsoir de ma part. Pour ma part je vais assurer ne t’inquiète pas, ne reste que Buenos Aires et la réception de demain soir et ensuite j’ai plein d’idée pour punir une vilaine fille qui se balade à moitié a poil.
- J’ai encore quelques minutes avant de partir enchaîna- t- elle, et si on se faisait plaisir ensemble, alors qu’elle commençait à se toucher les seins et que Cal avait sorti sa bite de son pyjama pour se branler, promis je te raconte tout demain en détail sur le déroulement de la soirée et toi mon mignon je veux que tu t’amuses demain soir et je connais certaines des invitées, elles n’ont pas froid aux yeux, oublie un peu cette grenouille de bénitier.
Ils se portèrent jusqu’à l’extase tout les deux par écrans interposés, elle mit sa robe et lui envoya des baisers avant de partir.
Cal se mit au lit, sa nuit fut peuplée de rêves érotiques, où il voyait sa compagne possédée par une queue noire monstrueuse dans tous les trous et dans toutes les positions.
Il se réveilla avec une trique d’enfer, la femme de chambre lui sembla bien intéressante mais si on n’était pas au Sofitel, certes, ce n’est pas pour autant qu’il voulait finir comme DSK et puis la encore il n’avait pas le temps.
Un coup d’œil à sa montre, il était 5h du matin, l’avion décollait dans 1h, il se dépêcha de se préparer et rejoignit Anne-Sophie dans le lobby, elle était déjà toute pimpante alors que lui émergeait à peine, il faut croire qu’avoir quatre enfants cela aide.
C’est environ 45 minutes après le décollage qu’il reçut un appel visio de Béa, comme il se doutait de la teneur de l’appel, il s’enferma dans la cabine du fond.
Effectivement lui apparut une Béa à moitié nue, elle semblait être rentrée à son hôtel car il reconnut le décor en arrière fond, elle avait cette éclat dans les yeux qui montrait qu’elle avait bien pris son pied.
Il ne lui restait que son porte jarretelle et ses bas, elle lui montra ces deux trous rougies par les passages de ces étalons, un peu de sperme s’écoulait encore de son cul.
Comme promis avant d’aller se coucher, elle lui raconta en détail la soirée et effectivement il n’y eut presque pas de round d’observation, chacun savait pourquoi il était là.
A peine le temps de prendre un verre de scotch, qu’elle se retrouver avec la bite de Benji dans la bouche, sous les yeux d’un Mike qui les observait.
Apparemment c’était une chorégraphie bien rodée entre eux, Benji se chargeant d’ouvrir la route pour préparer la route pour son meilleur ami qui semblait bien dimensionné.
La queue de Benji était bonne quoi que plus petite et moins épaisse que celle de Cal, cela flatta l’ego de notre alsacien. Il la prit par tous les trous, c’était no limit avec Béa.
Et pendant qu’elle se faisait défoncée le cul par leur ami texan, Mike se décida enfin à sortir le python qui était vraiment énorme.
Elle était aussi longue que l’avant bras de Béa et avait une circonférence d’au moins 6,5 cm.
Elle manqua de lui décrocher la mâchoire quand il lui baisa la bouche, elle comprit pourquoi Benji avait tenu à lui fister les deux trous, il lui avait entré les deux mains dans les deux trous et la ramoner de l’intérieur sous les cris de plaisir de sa compagne.
Quand enfin vint le tour du black, elle prit cher quand même, il lui écarta littéralement la chatte et envoya sa queue jusqu’a son estomac presque.
Heureusement que Benjamin avait une villa en dehors de Houston car vu les cris qu’elle poussa quand Mike la sodomisa, les voisins auraient pu appeler la police.
L’extase totale fut atteint quand elle fut prise en sandwich par les deux hommes, d’abord debout les bras autour du cou de Mike qui l’a tenait pendant que Benji lui faisait le cul.
Et ensuite en Amazone inversé sur la bite de Mike enfoncé au fond de son anus pendant que Benji lui faisait le con.
Mike avait explosé dans son cul pendant que Benji se répondait sur son ventre, Le black y était allé tellement fort dans son cul que la capote avait explosé dans son cul d’où la raison pour laquelle elle avait encore du foutre dans cette zone.
Elle allait un peu se reposer pour les prochains jours, elle voulait être toute pimpante pour son homme.
Benji et Mike lui dirent qu’elle était la femme idéale et qu’ils l’épouseraient bien mais elle leurs dit qu’elle ne se remarierait qu’une seule fois et ce serait avec Cal.
Cela le toucha profondément et il lui promit que lui aussi en mourrait d’envie, ils trouveraient une solution à la distance et formerait une belle et grande famille.
Après cela, il fallut bien dix minutes de plus à Cal pour se calmer et se rendre présentable auprès d’Anne-Sophie à qui il dit que Béa tenait à lui donner quelques consignes pour ce soir.
Madame Rosière fut étonnée du timing, elle savait qu’il était 4h du matin à Houston mais se dit que Béa avait dû se lever tôt.
Ils arrivèrent à Buenos Aires aux alentours de 9h du matin et ils prirent directement la route pour se rendre au siège régional, un bâtiment construit il y a à peine trois ans dans le quartier de Puerta Madero, sur la côte en face du casino.
Ils se trouvaient sur l’autre rive, proche de l’un des principaux axes routiers et avec un accès direct au port.
Cal fut vite mis à contribution, il devait calmer les syndicats qui, mis au courant des nouvelles prérogatives obtenues par les autres agences, s’inquiétait d’une perte de l’activité.
Il s’efforça dans ce qui était prévu avec Béa de dessiner le virage qu’allait prendre cet agence avec déjà une nomination qui portait son empreinte à lui puisque c’est son adjoint actuel à la direction commerciale en charge de l’Am Sud qui était nommé à la tête de l’agence : Javier De Fuenza.
L’agence conservait les attributions de direction régionale mais récupérait la gestion des affaires financières, la négociation mais aussi se voyait mieux pourvue au niveau de la production avec la volonté du siège de lancer deux nouvelles lignes de production ici à Buenos Aires.
Cela permis de contenter l’antenne argentine, Javier étant chargé de mettre tout cela en place.
Cal visita l’ensemble des installations administratives et des sites de production, c’était très instructif comme voyage, c’était la première fois qu’il faisait autant de politique, c’était un sacré tournant dans sa carrière.
La politique il allait encore falloir qu’il en fasse ce soir car le groupe avait organisé une réception en l’honneur d’Anne-Sophie mais c’était aussi un moment pour promouvoir les nouvelles directions prises par le groupe au sud du continent Américain.
La soirée aurait lieu au Musée d’Art Latino-Américain de Buenos Aires, dont le bâtiment avait été privatisé.
Tout le gratin de ce que compte la capitale Argentine serait présent : des ministres du président Macri serait présents : celui des Transports, de l’Industrie et des Infrastructures, mais aussi des artistes, des membres de la jet-set, des influenceurs, tout ce qui compte dans le monde du business et de la tech, grands sportifs… ce soir c’était « the place to be ».
Cal revêtit son plus beau costume, ses plus belles chaussures cirées et après deux appels successifs : l’un à Manon pour avoir des nouvelles du petit en milieu d’après - midi à Buenos Aires (début de soirée à Paris), Max était pressé de retrouver son papa en début de semaine prochaine, dans 5 minutes dodo.
Il appela ensuite Béa qui le trouva vraiment très beau dans son beau costume et qui était pressé de le croquer à pleines dents.
Il rencontra monsieur Rosière qui avait fait le déplacement depuis Sydney : c’est un homme de grande taille qui avait une très bonne prestance, il dégageait le charisme de quelqu’un qui a réussi et Anne-Sophie était radicalement différente à ses côtés dans sa belle robe bleu nuit, elle semblait comme revivre.
Ils se rendirent ensemble dans la limousine où Cal apprit notamment que Bruno comme il voulait qu’il l’appelle était Commercial dans le domaine viticole, ce qui expliquait sa mutation en Australie de la part de son groupe.
Spittrain avait fait les choses en grand avec tapis rouge, parterre de journaliste, projecteurs : tout était réuni pour que la soirée soit grandiose et elle le fut.
Il fut présenté à tout ceux qui comptait ici, on l’interrogea sur les chances de voir l’Argentine de Messi gagnait la coupe du monde dans un an, sur divers autres sujets ayant trait à l’Amérique du Sud, ayant été bien briefé, il ne tomba dans aucune chausse-trappe.
Il rendit un hommage de la part du groupe à la grande carrière chez Spittrain d’Anne - Sophie, il lui souhaitait bonne chance dans ses nouvelles missions avant de détailler devant tous les invitées les lignes directrices du groupe pour les prochaines années.
Il parla à beaucoup de monde mais un couple retint son attention : celui formé par le Ministre des Transports Guillermo Quinonez et sa compagne, l’influenceuse aux 2 millions d’abonnés Instagram : Isabel De Cabenda.
Lui était présenté par la presse comme le nouveau poulain de la famille Kirchner : probablement à l’heure actuelle la famille politique la plus importante, cela se voyait : il était très sûr de lui, sourire photogénique, poignet de main franche, rolex au poignet et costume gris Hugo Boss.
Et que dire de sa compagne, brune tapageuse avec une robe Saint-Laurent argenté avec un sacré décolleté plongeant et bien au dessus du genou, des plateformes aux pieds siglés Louboutin, la presse people et les réseaux sociaux en étaient fan, ex de deux footballeurs internationaux argentins et d’un chanteur célèbre ici en Argentine.
Ils se savaient beaux tous les deux et en jouaient, cela sentait la mégalomanie à plein tube.
Il leur fut présenté et s’ill perçut chez lui le côté affable, beau parleur et très fin politiquement, chez elle il perçut une certaine convoitise, apparemment il lui plaisait, il commençait à bien détecter cela chez une femme.
Mais bon, son coté raisonnable, lui rappelait que déjà elle était en couple et cela le faisait grandement hésiter. Certes il y avait eu Esther cet été mais elle avait un mari très consentant, ce n’était pas la même chose : là Guillermo risquait de pas apprécier.
Il s’en tint donc à son rôle de représentant de l’image de l’entreprise et il le fit plutôt bien d’après les dires d’un certain nombre d’invitées.
Vers minuit alors que beaucoup d’invités étaient déjà partis, Isabel proposa de finir la soirée en boîte de nuit et justement son frère en possédait une dans le quartier de Palermo Hollywood : El Pumas.
C’était une boîte de nuit tout à fait intéressante, elle mélangeait un style musical très jeune avec beaucoup de morceaux américains, de la bonne musique pour s’éclater sur le dancefloor et de véritables morceaux de tango et c’est sur l’un d’entre eux qu’Isabel l’entraîna sous le regard ombrageux de Guillermo.
Cal tenta vainement de garder une distance, de ne pas indisposer plus le ministre mais la demoiselle ne l’entendait pas de cette oreille et sur un tango c’est compliqué de garder ces mains dans ses poches, il avait un peu bu aussi : sa résistance s’en retrouva affaiblie.
Le morceau fut très collé-serré et très caliente aussi, sa plastique était parfaite, il le remarqua notamment quand il attrapa sa jambe à hauteur de sa hanche comme de coutume sur un tango.
Par contre au fil de la danse, elle l’entraînait de plus en plus vers le fond à proximité du bar et sans qu’il n’ait le temps de s’en rendre compte, ils franchirent une porte pour passer dans un salon privé avec canapé bien moelleux et tabouret de bar.
Il tenta de reprendre la main mais c’était peine perdue :
- Écoutez Isabel, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée et puis Guillerm…
- On s’en fout de lui, quand il baise ses putes, il ne me demande pas mon avis et puis je fais ce que je veux de mon corps et là, j’ai envie de me faire sauter comme une salope répondit-elle tout en extrayant son pénis de son pantalon de façon vorace et en entamant une fellation spectaculaire.
Elle avait poussait Cal sur un tabouret, elle était restée debout face à lui, la tête bien penchée en avant et les jambes bien écartés.
La pipe était divine, elle avait du en voir passer des bites, il décida de tâter le terrain en relevant sa robe au dessus de ces fesses pour admirer son string ficelle avec lequel il joua un peu avant de fourrer deux doigts à plat dans sa chatte et de découvrir qu’elle était totalement trempée.
Et parce qu’une chienne est une chienne, elle lécha un autre de ses doigts à lui et le poussa à doigter son cul aussi.
Au bout d’un moment, Cal perdit toute mesure, la frustration des derniers jours lui fit perdre la raison et il l’attrapa par le bras pour la coller contre le bar où il la prit violemment.
Il n’y allait pas de mains mortes et elle poussait de sacrés cris de plaisir, elle voulait de la baise sauvage, elle en avait.
Il s’en foutait qu’elle soit sûrement écrasé contre le zinc du bar, là tout ce qui l’importait c’est sa bite dans ce fourreau chaud et étroit, enfin plus tellement vu ces coups de boutoir.
Il la retourna et sans sommation s’enfonça au plus profond de ses entrailles, ce fut d’abord un petit cri de douleur au vu de l’intromission un peu rude mais elle fit bouger son cul afin de lui faire comprendre qu’elle appréciait le traitement.
Il se lâcha carrément en lui assenant des claques sonores sur les deux fesses, tout en continuant à lui marteler le trou du cul, ses coups étaient tellement violents qu’elle se retrouva quasiment la tête en bas au dessus du bar.
Il l’enculait sur un rythme effréné et quand il sentit ses parois se resserrer, preuve qu’elle avait un orgasme du cul, il ressortit, la mit à genou et gicla avec force et en beuglant à voix haute sur son visage.
Il la noya littéralement sous une douche de sperme, preuve qu’il se retenait depuis trop longtemps.
Elle se lécha les doigts, récupéra ce qu’elle avait sur le visage et se lécha à nouveau les doigts, il ne demanda pas son reste et sortit du salon privé.
Il vit Guillermo au loin, il n’était vraiment pas content, s’il n’y avait pas eu autant de monde qui le connaissait, il serait venu en découdre, par contre pour Cal il ne fallait pas traîner et quitter le pays, le temps qu’il se calme.
Baiser la compagne d’un ministre, cela pouvait mener loin surtout si le type s’est senti humilié et niveau fierté, les Argentins n’en manquaient pas.
Il ne croyait pas si bien dire quand deux agents de la police de l’aéroport lui demandèrent de les suivre à l’enregistrement juste avant qu’il embarque.
Il se retrouva dans une salle d’interrogatoire de l’aéroport, les mains attachées dans le dos, ses affaires étalées devant lui, apparemment le ministre Quinonez avait réussi à le faire passer pour un narcotrafiquant.
Ça aller barder pour lui car les deux types semblaient être des hommes de main de Quinonez, le poing américain que mettait l’un des gars (que Cal appellerait Diesel pour sa ressemblance avec l’acteur) voulait dire qu’il allait passer un mauvais quart d’heure.
Mais tout à coup, la porte s’ouvrît violemment sur une officier de police, apparemment une très haut gradé au vu des insignes sur ses épaulettes et aux chevrons présent à l’avant de sa chemise blanche, elle observa la scène et interrogea le type le plus proche de la porte (il ressemblait beaucoup à Guillermo Del Toro).
- Qu’est-ce que vous faites dans mon aéroport et dans ma salle d’interrogatoire, vous n’avez aucun pouvoir ici leur balança- t- elle
- Nous sommes envoyés par le Ministre Quinonez pour interroger cet homme pour des soupçons de trafic de drogue internationale, alors sortez d’ici et laissez nous faire notre travail lui répondit du tac au tac Del Toro.
- Le ministre Quinonez n’a pas changé de portefeuille en une nuit que je sache, c’est toujours Emiliano Fernandez le ministre de la sécurité publique et c’est lui mon ministre de tutelle, le ministre Quinonez n’a aucune autorité dans ces lieux. Donc, manquez moi encore une fois de respect dans mon aéroport et je vous promets que les femmes de ménage ramasseront vos dents demain matin, donc dégagez d’ici et vite.
Dis donc elle avait un sacré répondant, celle qui venait de le sauver, tiens elle reprenait tout en regardant Diesel et son poing américain.
- Et vous vous êtes cru où ? Dans un bar de Boca (quartier de Buenos Aires), vous me rangez votre truc et vous dégagez maintenant !
Voyant qu’ils n’avaient pas la main surtout avec autant de policiers à proximité, ils sortirent, l’air très mécontent.
Elle se tourna alors vers lui et lui dit :
- Bon vous je vais voir ce que l’on doit faire de vous, j’espère que ce qu’ils disent de vous est faux car sinon je vous promets que vous allez vite le regretter.
Elle tourna les talons et sortit de la salle, Cal observa ses fesses qui avaient l’air bien rondes et ferme sous son pantalon noir.
Quelques minutes plus tard, elle revint :
- Le ministre Quinonez a l’air vraiment remonté contre vous ? Vous lui avez fais quoi pour qu’il envoi des hommes à lui pour vous mettre une raclée.
- Je n’en sais rien lui mentit-il, je n’ai aucun rapport avec cette histoire de drogue, vous allez me libérer ? Je peux partir ? Ou passer un coup de fil ?
- Je vous rappelle la règle ici, je pose les questions et vous y répondez c’est tout ! C’est clair pour vous, avec la loi sur les trafics et le terrorisme j’ai le droit de vous garder 24h sans avoir besoin de faire appel à un avocat, alors je vous repose la question, vous avez fait quoi ?
- Bon très bien capitula- t- il, j’ai couché avec sa compagne hier soir en boîte de nuit et à dire vrai je le regrette un peu, d’ordinaire je suis plus regardant mais j’avais un peu trop bu et c’est elle qui m’a fait du rentre dedans, je ne suis qu’un homme.
- Alors comme ça, vous avez baisé Isabel De Cabenda, cela lui fera les pieds à ce ministre qui se croit tout permis. Et donc elle était bonne l’influenceuse ?
L’éclat qu’il vit dans les yeux de la policière lui dit que les choses allaient se passer de meilleure manière qu’il pouvait imaginer il y a 10 minutes, il décida de jouer carte sur table, toute façon il n’avait pas le choix, il était attaché au siège et donc pas en position de négocier.
- Oh oui et je l’ai baisé comme une chienne et par tous les trous avant de lui gicler à la gueule puis de me barrer comme un voleur.
Ces paroles la stimulèrent elle mais lui aussi car son érection commençait à bien prendre forme dans son pantalon, la policière le vit et sans cérémonie, elle le sortit de son carcan de tissu.
Il était là la bite à l’air en plein milieu d’une salle d’interrogatoire a Buenos Aires et il attendait impatiemment la suite.
Elle se releva de son siège et commença à déboutonner sa chemise pour faire apparaître un
Soutien-gorge noir qui s’attachait autour du cou comme un maillot de bain et totalement transparent laissant clairement apparaître ses deux gros obus (probablement un 95C), elle garda sa chemise ouverte mais détacha ses cheveux bruns qui étaient en chignon jusque là.
De sa main droite, elle vint empoigner sa queue, sa main était chaude et comme un étau autour de son pénis qu’elle se mit à branler doucement tout en le regardant dans les yeux.
Quand du liquide pré-séminal s’échappa de son méat, elle le lécha du bout de sa langue et commença à le pomper, la tête penchée vers le bas et le corps bien en arrière lui donnant une vue imprenable sur ses fesses moulés dans son pantalon noir.
La fellation était douce et exigeante à la fois, elle en contrôlait totalement le rythme, lui ne pouvant rien faire si ce n’est mettre de petit coup vers le haut comme s’il voulait lui baiser la bouche.
La baise d’hier lui permettait d’être bien endurant et elle vit donc qu’il était prêt pour un rodéo.
Elle se releva alors, retira la ceinture avec son arme qu’elle posa sur la table, puis son pantalon pour faire apparaître un mini string noir d’une marque argentine qu’il avait déjà vu dans un défilé à Paris : la marque Jane Pain, il savait que cela avait un rapport avec la douleur.
La c’est pas la douleur qu’il allait ressentir, elle lui avait mis une capote sur la queue aidée de sa langue, elle écarta son string sur la gauche et vint s’enfoncer sur lui.
Sans attendre elle rebondissait déjà sur lui et s’empalait tout en se triturant les seins qu’elle sortit de son soutien, les soupesa et vint les mettre sous le nez de Cal qui les lécha l’un après l’autre.
Les seins devaient être une zone érogène chez elle car elle se tortilla dans tous les sens et finit par avoir un orgasme alors qu’elle se baisait avec sa queue et qu’il lui léchait les seins.
Après son orgasme et sans ressortir elle se retourna et se plaça entre lui et le table, cette fois ci il avait une superbe vue sur le côté pile, proportionnellement à la taille de ses seins, elle avait une magnifique croupe bien ronde qui, au moment présent, absorbait le vit de notre alsacien.
Elle l’utilisait comme un sex-toy en chair et en os, il fut donc totalement spectateur quand elle ressortit sa bite de sa chatte et l’inséra plus haut pour se sodomiser elle-même.
La chatte enduite de mouille glissa tout seul au plus profond de ses entrailles, c’était aussi bien d’être spectateur car il lui laissait faire le travail et admirer sa queue qui élargissait son trou du cul.
Elle se servait de la table comme point d’appui pour s’enculer sur sa bite et lui de temps à autre mettait des coups pour lui rappeler qu’il était bien vivant.
Elle finit par s’en souvenir car elle le détacha de sa chaise car elle s’épuisait un peu et voulait qu’il prenne l’initiative. Il ne se le fit pas dire deux fois mais inversa les rôles en lui attachant les mains dans le dos et la couchant totalement sur la table, cela lui donnait un meilleur angle.
La salle était sûrement insonorisée car vu les cris qu’elle poussait, il allait finir par voir une demi- douzaine d’agent entrer l’arme au poing et se faire exploser le caisson pour agression sur agent.
Elle semblait totalement absente à ces considérations, elle accompagnait même sa pénétration anale de violents coups de cul, elle semblait en vouloir la capitaine, il allait lui en donner.
Il mit son pied gauche sur la table et remonta un peu plus son bon cul et il se mit à la marteler encore plus fort et plus profond, son conduit devenait totalement élastique à mesure qu’il lui défonçait le fion.
Elle s’agrippa à la table du mieux qu’elle put malgré ses deux mains attachées, sa tête bougeant d’avant en arrière mais elle n’aurait pour rien au monde échanger sa place.
Elle finit par avoir un nouvel orgasme, cette fois venant du cul, celui-ci se contracta si fort que Cal n’eut même pas la force et l’envie de se retirer de son conduit quand il jouit.
Il lâcha sa semence directement au fond de son anus tout en ahanant avec force, une fois fini, il ressortit sa queue, un filet de sperme coulant de son cul.
Il s’assit à bout de force dans son siège et la regarda reprendre ces forces.
Au bout d’un moment, elle voulut se relever mais était un peu entravée par ses menottes donc elle lui dit :
- Vous pourriez me retirer mes menottes monsieur Liénard ? J’aimerai pouvoir me relever.
- Aucun problème mais seulement si vous me dites comment vous vous appelez ? Je n’ai pas pour habitude de coucher avec Jane Doe.
- Capitaine Wanda Martinez, chef de la police aéroportuaire de cet aéroport, bon maintenant vous me libérez ?
- Oui oui capitaine ! J’imagine que je dois me les remettre demanda- t- il
- Non monsieur Liénard, vous pouvez les laisser sur la table, votre situation est déjà régularisée, vous avez une patronne qui tient énormément à vous et qui a le bras long, elle a appelé directement le ministre de la sécurité publique et lui a demandé de s’assurer que vous montiez bien dans votre avion.
Il m’a demandé de m’assurer personnellement de votre personne.
- Et vous vous en êtes bien assuré, c’est certain ! Par contre une chose m’interpelle, cela doit faire plusieurs heures que je suis ici et vous me dites que seulement maintenant que mon cas est réglé. Il y a quelque chose que vous ne m’avez pas dit je crois.
- Effectivement, cela fait à peu près deux heures que j’ai reçu l’ordre de vous mettre dans votre avion, en fait quand je suis entrée ici c’était dans l’idée de vous conduire sur la piste mais je me suis dis que si cette pimbêche d’influenceuse de mes deux pouvait profiter des belles queues, moi aussi je pouvais.
Après si vous tenez vraiment à chipoter, on a de très bonnes cellules ici, vous y serez très bien et à ma disposition finit- elle avec un clin d’œil.
- Non merci, j’apprécie beaucoup votre proposition soyez en certain mais je suis attendu à New - York.
- Oui je sais madame Dumarais, avait très hâte de vous récupérez, donc soit vous êtes en possession de documents sensibles, soit vous êtes un très bon amant, clairement je penserai pour la seconde option.
Le sourire de Cal valait toutes les réponses du monde.
Elle le raccompagna dans l’aérogare où d’autres agents la rejoignirent, les gens se poussaient sur leur passage, on aurait dit une délégation officielle, il se sentait important et apprécia encore plus la situation en voyant les têtes dépitée de Diesel et Del Toro qui étaient encore là, Wanda le vit aussi et lui glissa a l’oreille.
- Vous inquiétez pas, même pour les prochaines fois où vous viendrez ici en Argentine, le ministre Quinonez ne peut rien contre vous, vous avez trouvé le moyen de tremper votre biscuit entre les jambes de quelqu’un qui a beaucoup de pouvoir.
- Que voulez- vous dire l? Lui répondit Cal
- Que mademoiselle De Cabenda est tout simplement l’une des filles d’Euphemiano Rocha, je pense que vous voyez de qui je parle ?
- Le patron du groupe de presse Rocha, l’un des plus importants en Amérique du Sud, propriétaire des journaux Clarin et Diaro de Noticias, Béa est actionnaire du groupe en son nom propre.
- Vous avez bien cerné les enjeux je pense, votre patronne connaît très bien monsieur Rocha qui est aussi l’un des plus importants donateurs du parti de la famille Kirchner et monsieur Quinonez ne fera rien pour froisser ses mentors en politique.
Ils arrivèrent finalement devant son jet privé qui avait attendu depuis plusieurs heures qu’il le rejoigne.
Il pu donc rejoindre les membres d’équipage, Wanda lui souhaitait de bien s’amuser à New-York avec un clin d’œil.
Il lui glissa qu’elle et ses menottes pourraient les rejoindre à l’occasion à New-York ou à Paris.
Elle rougit légèrement mais parvint à garder son sérieux devant ses hommes.
L’avion quitta finalement l’aéroport Ministro Pistarini avec plusieurs heures de retard.
Après plusieurs heures de vol, il retrouva une Béa soulagée dans l’aéroport, au détour d’un couloir il put vérifier qu’elle avait juste son ensemble de lingerie sous son imper et qu’en plus qu’elle était la chatte à l’air.
Il garda une bonne érection tout au long de la sortie de l’aéroport.
Sa Béa chérie se chargea de bien le soulager à l’arrière de la limousine qui les ramenait à sa maison dans la banlieue New-Yorkaise.
Comme elle se chargea de vérifier sur tout son corps que les hommes de Quinonez n’avaient rien abîmé.
Il passa deux jours très agréables où seul avec sa compagne ils purent rattraper le temps perdu.
11 Septembre 2021 (Aéroport International Ministro Pistarini d’Ezeiza, Buenos Aires)
C’est toujours curieux de partir en voyage le jour des vingt ans du onze septembre, un événement où tout le monde se rappelle très bien où il était ce jour là en début d’après-midi.
Cela l’est encore davantage quand on doit prendre un vol transatlantique, en l’occurrence de l’Amérique du Sud vers l’Europe.
Mais cela devient carrément caricatural quand on se retrouve attaché à une chaise, les deux mains dans le dos, comme un vulgaire voleur ou un terroriste. Encore heureux qu’ils ne lui aient pas mis une cagoule sur la tête (il est claustrophobe mais bon il ne va pas le dire trop fort, c’est un coup à finir dans un cercueil fermé à son prochain enterrement de vie de garçon).
Rembobinons un peu pour comprendre comment il en est arrivé là.
Tout a commencé par une promotion qu’il n’avait pas vraiment demandée et qu’on lui a proposée, du moins temporairement.
A la mi-juin, juste après son retour de Lyon (Épisode Keisha), il a appris qu’Anne-Sophie Rosière, qui préside depuis quatre ans la direction opérationnelle Luis Cenobio Cantenaria (la direction du groupe pour la zone sud-américaine), quittera son poste mi-septembre pour rejoindre la direction de la compagnie aérienne Quantas.
L’entreprise depuis que les vice-présidences du groupe ont été confiés à Béa et à son frère Antonin, a fait l’objet en mars 2020 d’une note d’organisation qui définit l’architecture pyramidale du groupe.
En haut il y a le Conseil d’Administration, puis les vice-présidents qui chapeautent les deux divisions géographiques.
Chacune de ces divisions a plusieurs directions opérationnelles pour les continents qu’elles englobent, il y en a quatre pour la division Atlantique :
- La DO Louis Blériot pour l’Europe
- La DO Amélia Earhart pour l’Amérique du Nord
- La DO Luis Cenobio Cantenaria (premier homme a traversé les Andes en 1918) pour l’Amérique du Sud
- La DO Johnny Smythe (pilote Sierra-Léonais de la RAF détenu par l’Allemagne nazie puis ministre des Colonies britanniques) pour l’Afrique de l’Ouest.
Le départ d’Anne-Sophie entraine une réorganisation. Béa lui a demandé de prendre en charge cette DO, en plus de la direction commerciale de la division Atlantique.
Au même titre, ce qui n’était qu’officieux depuis presque deux ans devient effectif :il est promu au rang de Directeur Exécutif Adjoint de la division.
La passation se prépare activement avec Anne-Sophie dès le début de l’été, tout d’abord à distance et ensuite sur place, à partir de début septembre, où Cal va se rendre en Amérique du Sud pour rencontrer les équipes et visiter les diverses agences et sites d’exploitation.
Le planning prévu va être très chargé, d’où l’intérêt pour Cal de prendre quelques jours de vacances auparavant. Il sera donc aux Portes du Ré chez son ami Robbie pour la fin août (épisode Esther) puis, en vue de son absence pendant au moins une semaine, Manon a accepté de lui laisser Max entre le premier et le trois septembre.
C’est lui qui accompagne Max pour sa rentrée, cela lui fait beaucoup de bien de passer du temps avec son fils avant une semaine qui s’annonce bien chargée.
Le quatre dans la nuit, il prend un jet privé pour se rendre à Caracas au Venezuela où va avoir lieu la première de ses quatre étapes en Amérique du Sud.
En accord avec Béa il a décidé de profiter du départ d’Anne-Sophie pour enfin réorganiser la direction du groupe en Amérique du Sud, beaucoup des directeurs ou directrices d’agences sont des historiques du groupe, nommés par Antoine Dumarais et qui lui doivent leurs carrières.
Béa a voulu les remplacer il y a un an et demi mais Anne-Sophie s’y est opposée et comme Béa avait besoin de l’expérience des DO, rien n’avait été fait et donc aujourd’hui la nomination de Cal permet une réorganisation d’ensemble.
Il arriva donc après plusieurs heures de vol au nord de l’Amérique du Sud où la future ex DO l’accueillit et ils prirent la direction du quartier de La California Norte non loin du centre ville où se trouvaient les bureaux de l’agence ainsi que l’entrepôt avec ses nombreux quais de déchargement.
Son accueil se fit en grande pompe, l’ensemble du personnel l’attendait devant l’entrée du bâtiment, l’enthousiasme était non feint car dans la journée le siège avait communiqué que le nouveau directeur d’agence serait l’un d’entre eux : Ivan Ramiro Salazar.
Il avait près de 30 ans de boîte chez Spittrain : il était entré comme soudeur et gravi tous les échelons, depuis chef d’équipe jusqu’à responsable d’atelier où il plafonnait depuis environ 7 ans. Le départ forcé d’Hubert Grasse de La Motte, le précédent directeur, impliqué dans divers scandales dont un de collusion avec le pouvoir de Nicolas Maduro, lui permit d’enfin obtenir la juste récompense de sa carrière.
Cela entrait aussi dans la logique de Béa de promouvoir les talents internes, « l’Am Sud » était son premier laboratoire.
La visite fut une immense réussite et le point d’orgue fut le discours de Cal en Espagnol pour vanter l’excellent travail de l’agence de Caracas, malgré un contexte social et politique compliqué.
De nouvelles perspectives était données par la division et Ivan serait chargé de diriger la manœuvre, notamment celui de la spécialisation : l’objectif était de transformer cette agence en l’un des plus grands hub du groupe, du fait de sa proximité avec les États-Unis qui était un de leurs marchés les plus porteurs. En effet les coûts de fabrication et d’expédition étaient moindre ici.
Il consacra la matinée du 5 à la visite de l’éventuel site qui servirait de Hub, non loin de l’aéroport, avant de prendre l’avion en fin de journée pour se rendre à Lima au Pérou, où aurait lieu la seconde étape de son voyage.
Là aussi il en profita pour présenter la nouvelle directrice d’agence : Carmen Condori, qui, après 23 ans au sein du Bureau d’études à divers postes, prenait donc la tête de l’agence pour mener la transformation en bureau d’études régionales, avec donc de nombreuses propositions de mutation géographique.
Là aussi sa tournée dura 1 jour et demi, pas une minute de plus car il était attendu le matin du 8 à Rio de Janeiro pour nommer celle qui présidait désormais au destinée de l’agence brésilienne : Nadine Arantes Do Filho.
Elle était entrée au sein du groupe il y a 20 ans en tant que secrétaire et à notamment été l’assistante de direction de 4 des derniers directeurs d’agences.
Elle aura la charge de mettre sur pied le tout nouveau pôle Support Régional qui regrouperait au sein de la même unité toutes les fonctions de support managériales et c’est Nadine qui en serait la responsable unique.
Le rythme éreintant ne favorisa pas le moindre relâchement, des opportunités il en avait eu de passer un bon moment mais cela serait pour une prochaine visite car la présence quasi - constante d’Anne– Sophie, même à l’hôtel, car elle occupait toujours la chambre d’à côté ne favorisait pas ses desseins d’autant qu’elle était mariée, avec 4 enfants.
Madame Rosière n’était pas du genre à donner la moindre opportunité de s’encanailler, elle était du genre un peu terne et « tue le plaisir », peut-être que l’air australien lui redonnerait plus de couleurs et puis la possibilité de retrouver son époux, muté en Australie quelques mois avant elle, l’épanouirait davantage.
Il en était là de ses réflexions quand il appela Béa le soir du 9, à quelques heures de prendre l’avion pour Buenos Aires pour la dernière étape de son voyage, il était 22h00 à Rio.
Elle était à Houston pour la Convention Nord-Américaine de l’Aéronautique (il était donc 19h au Texas quand il l’appela).
Il eut plaisir de la découvrir totalement nue, en effet elle se préparait pour la soirée, Benjamin Carter l’avait invité et il comprit clairement le but de l’invitation, Cal n’y voyait rien de mal, ils connaissaient bien Benji, c’était un de leurs plus gros clients aux Etats-Unis, sa compagnie privée couvrait une bonne partie du territoire américain.
Ils connaissaient leur situation particulière à lui et Béa et il avait pu le voir de ses propres yeux lors d’une de ces invitations dans son chalet d’Aspen l’hiver dernier.
Il semblerait que Benji lui ait fait du rendre dedans toute la journée. Sa culotte a fini totalement trempée. Il lui avait dit que son meilleur ami Mike Brown serait également présent.
Cal le connaissait de nom et de réputation : c’était un ancien joueur de basket en NBA, il avait fait toute sa carrière au Dallas Mavericks et avait notamment joué avec Dirk Nowitzki. Il avait raccroché 2 ans avant le seul titre de l’histoire de la franchise texane, Cal se rappelait bien de ces 2m11, sa queue devait être du même acabit.
C’est sûrement ce que se dit Béa car elle s’affairait en ayant l’air toute excitée, cela fit plaisir à Cal de la voir heureuse, même si en ce moment il aimerait être auprès d’elle.
Elle se rendit compte de son spleen en enfilant le porte jarretelle d’un nouvel ensemble qu’il n’avait pas encore vu :
- Écoute mon chéri, je suis désolé que toi non plus tu ne t’amuses pas plus que sa, c’est moi qui t’es envoyé là-bas et promis je me fais pardonner ce Week-end, je veux que tu me rejoignes à New-York avant de rentrer sur Paris, je ferai tout ce que tu voudras, tu sais que je t’aime mon amour et je porterai cet ensemble qui a l’air de te faire beaucoup d’effet, donc je porterai cet ensemble à l’aéroport et rien d’autre sous mon Imper .
- J’ai vraiment beaucoup de chance, j’ai hâte de te retrouver ma douce. , tu es vraiment très belle. Benji a beaucoup de chance, tu lui passeras le bonsoir de ma part. Pour ma part je vais assurer ne t’inquiète pas, ne reste que Buenos Aires et la réception de demain soir et ensuite j’ai plein d’idée pour punir une vilaine fille qui se balade à moitié a poil.
- J’ai encore quelques minutes avant de partir enchaîna- t- elle, et si on se faisait plaisir ensemble, alors qu’elle commençait à se toucher les seins et que Cal avait sorti sa bite de son pyjama pour se branler, promis je te raconte tout demain en détail sur le déroulement de la soirée et toi mon mignon je veux que tu t’amuses demain soir et je connais certaines des invitées, elles n’ont pas froid aux yeux, oublie un peu cette grenouille de bénitier.
Ils se portèrent jusqu’à l’extase tout les deux par écrans interposés, elle mit sa robe et lui envoya des baisers avant de partir.
Cal se mit au lit, sa nuit fut peuplée de rêves érotiques, où il voyait sa compagne possédée par une queue noire monstrueuse dans tous les trous et dans toutes les positions.
Il se réveilla avec une trique d’enfer, la femme de chambre lui sembla bien intéressante mais si on n’était pas au Sofitel, certes, ce n’est pas pour autant qu’il voulait finir comme DSK et puis la encore il n’avait pas le temps.
Un coup d’œil à sa montre, il était 5h du matin, l’avion décollait dans 1h, il se dépêcha de se préparer et rejoignit Anne-Sophie dans le lobby, elle était déjà toute pimpante alors que lui émergeait à peine, il faut croire qu’avoir quatre enfants cela aide.
C’est environ 45 minutes après le décollage qu’il reçut un appel visio de Béa, comme il se doutait de la teneur de l’appel, il s’enferma dans la cabine du fond.
Effectivement lui apparut une Béa à moitié nue, elle semblait être rentrée à son hôtel car il reconnut le décor en arrière fond, elle avait cette éclat dans les yeux qui montrait qu’elle avait bien pris son pied.
Il ne lui restait que son porte jarretelle et ses bas, elle lui montra ces deux trous rougies par les passages de ces étalons, un peu de sperme s’écoulait encore de son cul.
Comme promis avant d’aller se coucher, elle lui raconta en détail la soirée et effectivement il n’y eut presque pas de round d’observation, chacun savait pourquoi il était là.
A peine le temps de prendre un verre de scotch, qu’elle se retrouver avec la bite de Benji dans la bouche, sous les yeux d’un Mike qui les observait.
Apparemment c’était une chorégraphie bien rodée entre eux, Benji se chargeant d’ouvrir la route pour préparer la route pour son meilleur ami qui semblait bien dimensionné.
La queue de Benji était bonne quoi que plus petite et moins épaisse que celle de Cal, cela flatta l’ego de notre alsacien. Il la prit par tous les trous, c’était no limit avec Béa.
Et pendant qu’elle se faisait défoncée le cul par leur ami texan, Mike se décida enfin à sortir le python qui était vraiment énorme.
Elle était aussi longue que l’avant bras de Béa et avait une circonférence d’au moins 6,5 cm.
Elle manqua de lui décrocher la mâchoire quand il lui baisa la bouche, elle comprit pourquoi Benji avait tenu à lui fister les deux trous, il lui avait entré les deux mains dans les deux trous et la ramoner de l’intérieur sous les cris de plaisir de sa compagne.
Quand enfin vint le tour du black, elle prit cher quand même, il lui écarta littéralement la chatte et envoya sa queue jusqu’a son estomac presque.
Heureusement que Benjamin avait une villa en dehors de Houston car vu les cris qu’elle poussa quand Mike la sodomisa, les voisins auraient pu appeler la police.
L’extase totale fut atteint quand elle fut prise en sandwich par les deux hommes, d’abord debout les bras autour du cou de Mike qui l’a tenait pendant que Benji lui faisait le cul.
Et ensuite en Amazone inversé sur la bite de Mike enfoncé au fond de son anus pendant que Benji lui faisait le con.
Mike avait explosé dans son cul pendant que Benji se répondait sur son ventre, Le black y était allé tellement fort dans son cul que la capote avait explosé dans son cul d’où la raison pour laquelle elle avait encore du foutre dans cette zone.
Elle allait un peu se reposer pour les prochains jours, elle voulait être toute pimpante pour son homme.
Benji et Mike lui dirent qu’elle était la femme idéale et qu’ils l’épouseraient bien mais elle leurs dit qu’elle ne se remarierait qu’une seule fois et ce serait avec Cal.
Cela le toucha profondément et il lui promit que lui aussi en mourrait d’envie, ils trouveraient une solution à la distance et formerait une belle et grande famille.
Après cela, il fallut bien dix minutes de plus à Cal pour se calmer et se rendre présentable auprès d’Anne-Sophie à qui il dit que Béa tenait à lui donner quelques consignes pour ce soir.
Madame Rosière fut étonnée du timing, elle savait qu’il était 4h du matin à Houston mais se dit que Béa avait dû se lever tôt.
Ils arrivèrent à Buenos Aires aux alentours de 9h du matin et ils prirent directement la route pour se rendre au siège régional, un bâtiment construit il y a à peine trois ans dans le quartier de Puerta Madero, sur la côte en face du casino.
Ils se trouvaient sur l’autre rive, proche de l’un des principaux axes routiers et avec un accès direct au port.
Cal fut vite mis à contribution, il devait calmer les syndicats qui, mis au courant des nouvelles prérogatives obtenues par les autres agences, s’inquiétait d’une perte de l’activité.
Il s’efforça dans ce qui était prévu avec Béa de dessiner le virage qu’allait prendre cet agence avec déjà une nomination qui portait son empreinte à lui puisque c’est son adjoint actuel à la direction commerciale en charge de l’Am Sud qui était nommé à la tête de l’agence : Javier De Fuenza.
L’agence conservait les attributions de direction régionale mais récupérait la gestion des affaires financières, la négociation mais aussi se voyait mieux pourvue au niveau de la production avec la volonté du siège de lancer deux nouvelles lignes de production ici à Buenos Aires.
Cela permis de contenter l’antenne argentine, Javier étant chargé de mettre tout cela en place.
Cal visita l’ensemble des installations administratives et des sites de production, c’était très instructif comme voyage, c’était la première fois qu’il faisait autant de politique, c’était un sacré tournant dans sa carrière.
La politique il allait encore falloir qu’il en fasse ce soir car le groupe avait organisé une réception en l’honneur d’Anne-Sophie mais c’était aussi un moment pour promouvoir les nouvelles directions prises par le groupe au sud du continent Américain.
La soirée aurait lieu au Musée d’Art Latino-Américain de Buenos Aires, dont le bâtiment avait été privatisé.
Tout le gratin de ce que compte la capitale Argentine serait présent : des ministres du président Macri serait présents : celui des Transports, de l’Industrie et des Infrastructures, mais aussi des artistes, des membres de la jet-set, des influenceurs, tout ce qui compte dans le monde du business et de la tech, grands sportifs… ce soir c’était « the place to be ».
Cal revêtit son plus beau costume, ses plus belles chaussures cirées et après deux appels successifs : l’un à Manon pour avoir des nouvelles du petit en milieu d’après - midi à Buenos Aires (début de soirée à Paris), Max était pressé de retrouver son papa en début de semaine prochaine, dans 5 minutes dodo.
Il appela ensuite Béa qui le trouva vraiment très beau dans son beau costume et qui était pressé de le croquer à pleines dents.
Il rencontra monsieur Rosière qui avait fait le déplacement depuis Sydney : c’est un homme de grande taille qui avait une très bonne prestance, il dégageait le charisme de quelqu’un qui a réussi et Anne-Sophie était radicalement différente à ses côtés dans sa belle robe bleu nuit, elle semblait comme revivre.
Ils se rendirent ensemble dans la limousine où Cal apprit notamment que Bruno comme il voulait qu’il l’appelle était Commercial dans le domaine viticole, ce qui expliquait sa mutation en Australie de la part de son groupe.
Spittrain avait fait les choses en grand avec tapis rouge, parterre de journaliste, projecteurs : tout était réuni pour que la soirée soit grandiose et elle le fut.
Il fut présenté à tout ceux qui comptait ici, on l’interrogea sur les chances de voir l’Argentine de Messi gagnait la coupe du monde dans un an, sur divers autres sujets ayant trait à l’Amérique du Sud, ayant été bien briefé, il ne tomba dans aucune chausse-trappe.
Il rendit un hommage de la part du groupe à la grande carrière chez Spittrain d’Anne - Sophie, il lui souhaitait bonne chance dans ses nouvelles missions avant de détailler devant tous les invitées les lignes directrices du groupe pour les prochaines années.
Il parla à beaucoup de monde mais un couple retint son attention : celui formé par le Ministre des Transports Guillermo Quinonez et sa compagne, l’influenceuse aux 2 millions d’abonnés Instagram : Isabel De Cabenda.
Lui était présenté par la presse comme le nouveau poulain de la famille Kirchner : probablement à l’heure actuelle la famille politique la plus importante, cela se voyait : il était très sûr de lui, sourire photogénique, poignet de main franche, rolex au poignet et costume gris Hugo Boss.
Et que dire de sa compagne, brune tapageuse avec une robe Saint-Laurent argenté avec un sacré décolleté plongeant et bien au dessus du genou, des plateformes aux pieds siglés Louboutin, la presse people et les réseaux sociaux en étaient fan, ex de deux footballeurs internationaux argentins et d’un chanteur célèbre ici en Argentine.
Ils se savaient beaux tous les deux et en jouaient, cela sentait la mégalomanie à plein tube.
Il leur fut présenté et s’ill perçut chez lui le côté affable, beau parleur et très fin politiquement, chez elle il perçut une certaine convoitise, apparemment il lui plaisait, il commençait à bien détecter cela chez une femme.
Mais bon, son coté raisonnable, lui rappelait que déjà elle était en couple et cela le faisait grandement hésiter. Certes il y avait eu Esther cet été mais elle avait un mari très consentant, ce n’était pas la même chose : là Guillermo risquait de pas apprécier.
Il s’en tint donc à son rôle de représentant de l’image de l’entreprise et il le fit plutôt bien d’après les dires d’un certain nombre d’invitées.
Vers minuit alors que beaucoup d’invités étaient déjà partis, Isabel proposa de finir la soirée en boîte de nuit et justement son frère en possédait une dans le quartier de Palermo Hollywood : El Pumas.
C’était une boîte de nuit tout à fait intéressante, elle mélangeait un style musical très jeune avec beaucoup de morceaux américains, de la bonne musique pour s’éclater sur le dancefloor et de véritables morceaux de tango et c’est sur l’un d’entre eux qu’Isabel l’entraîna sous le regard ombrageux de Guillermo.
Cal tenta vainement de garder une distance, de ne pas indisposer plus le ministre mais la demoiselle ne l’entendait pas de cette oreille et sur un tango c’est compliqué de garder ces mains dans ses poches, il avait un peu bu aussi : sa résistance s’en retrouva affaiblie.
Le morceau fut très collé-serré et très caliente aussi, sa plastique était parfaite, il le remarqua notamment quand il attrapa sa jambe à hauteur de sa hanche comme de coutume sur un tango.
Par contre au fil de la danse, elle l’entraînait de plus en plus vers le fond à proximité du bar et sans qu’il n’ait le temps de s’en rendre compte, ils franchirent une porte pour passer dans un salon privé avec canapé bien moelleux et tabouret de bar.
Il tenta de reprendre la main mais c’était peine perdue :
- Écoutez Isabel, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée et puis Guillerm…
- On s’en fout de lui, quand il baise ses putes, il ne me demande pas mon avis et puis je fais ce que je veux de mon corps et là, j’ai envie de me faire sauter comme une salope répondit-elle tout en extrayant son pénis de son pantalon de façon vorace et en entamant une fellation spectaculaire.
Elle avait poussait Cal sur un tabouret, elle était restée debout face à lui, la tête bien penchée en avant et les jambes bien écartés.
La pipe était divine, elle avait du en voir passer des bites, il décida de tâter le terrain en relevant sa robe au dessus de ces fesses pour admirer son string ficelle avec lequel il joua un peu avant de fourrer deux doigts à plat dans sa chatte et de découvrir qu’elle était totalement trempée.
Et parce qu’une chienne est une chienne, elle lécha un autre de ses doigts à lui et le poussa à doigter son cul aussi.
Au bout d’un moment, Cal perdit toute mesure, la frustration des derniers jours lui fit perdre la raison et il l’attrapa par le bras pour la coller contre le bar où il la prit violemment.
Il n’y allait pas de mains mortes et elle poussait de sacrés cris de plaisir, elle voulait de la baise sauvage, elle en avait.
Il s’en foutait qu’elle soit sûrement écrasé contre le zinc du bar, là tout ce qui l’importait c’est sa bite dans ce fourreau chaud et étroit, enfin plus tellement vu ces coups de boutoir.
Il la retourna et sans sommation s’enfonça au plus profond de ses entrailles, ce fut d’abord un petit cri de douleur au vu de l’intromission un peu rude mais elle fit bouger son cul afin de lui faire comprendre qu’elle appréciait le traitement.
Il se lâcha carrément en lui assenant des claques sonores sur les deux fesses, tout en continuant à lui marteler le trou du cul, ses coups étaient tellement violents qu’elle se retrouva quasiment la tête en bas au dessus du bar.
Il l’enculait sur un rythme effréné et quand il sentit ses parois se resserrer, preuve qu’elle avait un orgasme du cul, il ressortit, la mit à genou et gicla avec force et en beuglant à voix haute sur son visage.
Il la noya littéralement sous une douche de sperme, preuve qu’il se retenait depuis trop longtemps.
Elle se lécha les doigts, récupéra ce qu’elle avait sur le visage et se lécha à nouveau les doigts, il ne demanda pas son reste et sortit du salon privé.
Il vit Guillermo au loin, il n’était vraiment pas content, s’il n’y avait pas eu autant de monde qui le connaissait, il serait venu en découdre, par contre pour Cal il ne fallait pas traîner et quitter le pays, le temps qu’il se calme.
Baiser la compagne d’un ministre, cela pouvait mener loin surtout si le type s’est senti humilié et niveau fierté, les Argentins n’en manquaient pas.
Il ne croyait pas si bien dire quand deux agents de la police de l’aéroport lui demandèrent de les suivre à l’enregistrement juste avant qu’il embarque.
Il se retrouva dans une salle d’interrogatoire de l’aéroport, les mains attachées dans le dos, ses affaires étalées devant lui, apparemment le ministre Quinonez avait réussi à le faire passer pour un narcotrafiquant.
Ça aller barder pour lui car les deux types semblaient être des hommes de main de Quinonez, le poing américain que mettait l’un des gars (que Cal appellerait Diesel pour sa ressemblance avec l’acteur) voulait dire qu’il allait passer un mauvais quart d’heure.
Mais tout à coup, la porte s’ouvrît violemment sur une officier de police, apparemment une très haut gradé au vu des insignes sur ses épaulettes et aux chevrons présent à l’avant de sa chemise blanche, elle observa la scène et interrogea le type le plus proche de la porte (il ressemblait beaucoup à Guillermo Del Toro).
- Qu’est-ce que vous faites dans mon aéroport et dans ma salle d’interrogatoire, vous n’avez aucun pouvoir ici leur balança- t- elle
- Nous sommes envoyés par le Ministre Quinonez pour interroger cet homme pour des soupçons de trafic de drogue internationale, alors sortez d’ici et laissez nous faire notre travail lui répondit du tac au tac Del Toro.
- Le ministre Quinonez n’a pas changé de portefeuille en une nuit que je sache, c’est toujours Emiliano Fernandez le ministre de la sécurité publique et c’est lui mon ministre de tutelle, le ministre Quinonez n’a aucune autorité dans ces lieux. Donc, manquez moi encore une fois de respect dans mon aéroport et je vous promets que les femmes de ménage ramasseront vos dents demain matin, donc dégagez d’ici et vite.
Dis donc elle avait un sacré répondant, celle qui venait de le sauver, tiens elle reprenait tout en regardant Diesel et son poing américain.
- Et vous vous êtes cru où ? Dans un bar de Boca (quartier de Buenos Aires), vous me rangez votre truc et vous dégagez maintenant !
Voyant qu’ils n’avaient pas la main surtout avec autant de policiers à proximité, ils sortirent, l’air très mécontent.
Elle se tourna alors vers lui et lui dit :
- Bon vous je vais voir ce que l’on doit faire de vous, j’espère que ce qu’ils disent de vous est faux car sinon je vous promets que vous allez vite le regretter.
Elle tourna les talons et sortit de la salle, Cal observa ses fesses qui avaient l’air bien rondes et ferme sous son pantalon noir.
Quelques minutes plus tard, elle revint :
- Le ministre Quinonez a l’air vraiment remonté contre vous ? Vous lui avez fais quoi pour qu’il envoi des hommes à lui pour vous mettre une raclée.
- Je n’en sais rien lui mentit-il, je n’ai aucun rapport avec cette histoire de drogue, vous allez me libérer ? Je peux partir ? Ou passer un coup de fil ?
- Je vous rappelle la règle ici, je pose les questions et vous y répondez c’est tout ! C’est clair pour vous, avec la loi sur les trafics et le terrorisme j’ai le droit de vous garder 24h sans avoir besoin de faire appel à un avocat, alors je vous repose la question, vous avez fait quoi ?
- Bon très bien capitula- t- il, j’ai couché avec sa compagne hier soir en boîte de nuit et à dire vrai je le regrette un peu, d’ordinaire je suis plus regardant mais j’avais un peu trop bu et c’est elle qui m’a fait du rentre dedans, je ne suis qu’un homme.
- Alors comme ça, vous avez baisé Isabel De Cabenda, cela lui fera les pieds à ce ministre qui se croit tout permis. Et donc elle était bonne l’influenceuse ?
L’éclat qu’il vit dans les yeux de la policière lui dit que les choses allaient se passer de meilleure manière qu’il pouvait imaginer il y a 10 minutes, il décida de jouer carte sur table, toute façon il n’avait pas le choix, il était attaché au siège et donc pas en position de négocier.
- Oh oui et je l’ai baisé comme une chienne et par tous les trous avant de lui gicler à la gueule puis de me barrer comme un voleur.
Ces paroles la stimulèrent elle mais lui aussi car son érection commençait à bien prendre forme dans son pantalon, la policière le vit et sans cérémonie, elle le sortit de son carcan de tissu.
Il était là la bite à l’air en plein milieu d’une salle d’interrogatoire a Buenos Aires et il attendait impatiemment la suite.
Elle se releva de son siège et commença à déboutonner sa chemise pour faire apparaître un
Soutien-gorge noir qui s’attachait autour du cou comme un maillot de bain et totalement transparent laissant clairement apparaître ses deux gros obus (probablement un 95C), elle garda sa chemise ouverte mais détacha ses cheveux bruns qui étaient en chignon jusque là.
De sa main droite, elle vint empoigner sa queue, sa main était chaude et comme un étau autour de son pénis qu’elle se mit à branler doucement tout en le regardant dans les yeux.
Quand du liquide pré-séminal s’échappa de son méat, elle le lécha du bout de sa langue et commença à le pomper, la tête penchée vers le bas et le corps bien en arrière lui donnant une vue imprenable sur ses fesses moulés dans son pantalon noir.
La fellation était douce et exigeante à la fois, elle en contrôlait totalement le rythme, lui ne pouvant rien faire si ce n’est mettre de petit coup vers le haut comme s’il voulait lui baiser la bouche.
La baise d’hier lui permettait d’être bien endurant et elle vit donc qu’il était prêt pour un rodéo.
Elle se releva alors, retira la ceinture avec son arme qu’elle posa sur la table, puis son pantalon pour faire apparaître un mini string noir d’une marque argentine qu’il avait déjà vu dans un défilé à Paris : la marque Jane Pain, il savait que cela avait un rapport avec la douleur.
La c’est pas la douleur qu’il allait ressentir, elle lui avait mis une capote sur la queue aidée de sa langue, elle écarta son string sur la gauche et vint s’enfoncer sur lui.
Sans attendre elle rebondissait déjà sur lui et s’empalait tout en se triturant les seins qu’elle sortit de son soutien, les soupesa et vint les mettre sous le nez de Cal qui les lécha l’un après l’autre.
Les seins devaient être une zone érogène chez elle car elle se tortilla dans tous les sens et finit par avoir un orgasme alors qu’elle se baisait avec sa queue et qu’il lui léchait les seins.
Après son orgasme et sans ressortir elle se retourna et se plaça entre lui et le table, cette fois ci il avait une superbe vue sur le côté pile, proportionnellement à la taille de ses seins, elle avait une magnifique croupe bien ronde qui, au moment présent, absorbait le vit de notre alsacien.
Elle l’utilisait comme un sex-toy en chair et en os, il fut donc totalement spectateur quand elle ressortit sa bite de sa chatte et l’inséra plus haut pour se sodomiser elle-même.
La chatte enduite de mouille glissa tout seul au plus profond de ses entrailles, c’était aussi bien d’être spectateur car il lui laissait faire le travail et admirer sa queue qui élargissait son trou du cul.
Elle se servait de la table comme point d’appui pour s’enculer sur sa bite et lui de temps à autre mettait des coups pour lui rappeler qu’il était bien vivant.
Elle finit par s’en souvenir car elle le détacha de sa chaise car elle s’épuisait un peu et voulait qu’il prenne l’initiative. Il ne se le fit pas dire deux fois mais inversa les rôles en lui attachant les mains dans le dos et la couchant totalement sur la table, cela lui donnait un meilleur angle.
La salle était sûrement insonorisée car vu les cris qu’elle poussait, il allait finir par voir une demi- douzaine d’agent entrer l’arme au poing et se faire exploser le caisson pour agression sur agent.
Elle semblait totalement absente à ces considérations, elle accompagnait même sa pénétration anale de violents coups de cul, elle semblait en vouloir la capitaine, il allait lui en donner.
Il mit son pied gauche sur la table et remonta un peu plus son bon cul et il se mit à la marteler encore plus fort et plus profond, son conduit devenait totalement élastique à mesure qu’il lui défonçait le fion.
Elle s’agrippa à la table du mieux qu’elle put malgré ses deux mains attachées, sa tête bougeant d’avant en arrière mais elle n’aurait pour rien au monde échanger sa place.
Elle finit par avoir un nouvel orgasme, cette fois venant du cul, celui-ci se contracta si fort que Cal n’eut même pas la force et l’envie de se retirer de son conduit quand il jouit.
Il lâcha sa semence directement au fond de son anus tout en ahanant avec force, une fois fini, il ressortit sa queue, un filet de sperme coulant de son cul.
Il s’assit à bout de force dans son siège et la regarda reprendre ces forces.
Au bout d’un moment, elle voulut se relever mais était un peu entravée par ses menottes donc elle lui dit :
- Vous pourriez me retirer mes menottes monsieur Liénard ? J’aimerai pouvoir me relever.
- Aucun problème mais seulement si vous me dites comment vous vous appelez ? Je n’ai pas pour habitude de coucher avec Jane Doe.
- Capitaine Wanda Martinez, chef de la police aéroportuaire de cet aéroport, bon maintenant vous me libérez ?
- Oui oui capitaine ! J’imagine que je dois me les remettre demanda- t- il
- Non monsieur Liénard, vous pouvez les laisser sur la table, votre situation est déjà régularisée, vous avez une patronne qui tient énormément à vous et qui a le bras long, elle a appelé directement le ministre de la sécurité publique et lui a demandé de s’assurer que vous montiez bien dans votre avion.
Il m’a demandé de m’assurer personnellement de votre personne.
- Et vous vous en êtes bien assuré, c’est certain ! Par contre une chose m’interpelle, cela doit faire plusieurs heures que je suis ici et vous me dites que seulement maintenant que mon cas est réglé. Il y a quelque chose que vous ne m’avez pas dit je crois.
- Effectivement, cela fait à peu près deux heures que j’ai reçu l’ordre de vous mettre dans votre avion, en fait quand je suis entrée ici c’était dans l’idée de vous conduire sur la piste mais je me suis dis que si cette pimbêche d’influenceuse de mes deux pouvait profiter des belles queues, moi aussi je pouvais.
Après si vous tenez vraiment à chipoter, on a de très bonnes cellules ici, vous y serez très bien et à ma disposition finit- elle avec un clin d’œil.
- Non merci, j’apprécie beaucoup votre proposition soyez en certain mais je suis attendu à New - York.
- Oui je sais madame Dumarais, avait très hâte de vous récupérez, donc soit vous êtes en possession de documents sensibles, soit vous êtes un très bon amant, clairement je penserai pour la seconde option.
Le sourire de Cal valait toutes les réponses du monde.
Elle le raccompagna dans l’aérogare où d’autres agents la rejoignirent, les gens se poussaient sur leur passage, on aurait dit une délégation officielle, il se sentait important et apprécia encore plus la situation en voyant les têtes dépitée de Diesel et Del Toro qui étaient encore là, Wanda le vit aussi et lui glissa a l’oreille.
- Vous inquiétez pas, même pour les prochaines fois où vous viendrez ici en Argentine, le ministre Quinonez ne peut rien contre vous, vous avez trouvé le moyen de tremper votre biscuit entre les jambes de quelqu’un qui a beaucoup de pouvoir.
- Que voulez- vous dire l? Lui répondit Cal
- Que mademoiselle De Cabenda est tout simplement l’une des filles d’Euphemiano Rocha, je pense que vous voyez de qui je parle ?
- Le patron du groupe de presse Rocha, l’un des plus importants en Amérique du Sud, propriétaire des journaux Clarin et Diaro de Noticias, Béa est actionnaire du groupe en son nom propre.
- Vous avez bien cerné les enjeux je pense, votre patronne connaît très bien monsieur Rocha qui est aussi l’un des plus importants donateurs du parti de la famille Kirchner et monsieur Quinonez ne fera rien pour froisser ses mentors en politique.
Ils arrivèrent finalement devant son jet privé qui avait attendu depuis plusieurs heures qu’il le rejoigne.
Il pu donc rejoindre les membres d’équipage, Wanda lui souhaitait de bien s’amuser à New-York avec un clin d’œil.
Il lui glissa qu’elle et ses menottes pourraient les rejoindre à l’occasion à New-York ou à Paris.
Elle rougit légèrement mais parvint à garder son sérieux devant ses hommes.
L’avion quitta finalement l’aéroport Ministro Pistarini avec plusieurs heures de retard.
Après plusieurs heures de vol, il retrouva une Béa soulagée dans l’aéroport, au détour d’un couloir il put vérifier qu’elle avait juste son ensemble de lingerie sous son imper et qu’en plus qu’elle était la chatte à l’air.
Il garda une bonne érection tout au long de la sortie de l’aéroport.
Sa Béa chérie se chargea de bien le soulager à l’arrière de la limousine qui les ramenait à sa maison dans la banlieue New-Yorkaise.
Comme elle se chargea de vérifier sur tout son corps que les hommes de Quinonez n’avaient rien abîmé.
Il passa deux jours très agréables où seul avec sa compagne ils purent rattraper le temps perdu.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Olga, oui effectivement c’est une policière très dévouée à sa profession
Voici une policière qui a donné de sa personne pour le plus grand plaisir de Cal!