Attaché par des garnements, libéré par leur maman
Récit érotique écrit par Christian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Attaché par des garnements, libéré par leur maman
<p>Je l’ai rencontrée à la piscine, une femme mignonne dans la trentaine en compagnie de ses deux enfants, des jumeaux. À vrai dire des enfants terribles, heureusement qu’il n’y avait pas beaucoup de monde ce vendredi là car je crois qu’elle aurait eue droit à une engueulade du maître-nageur.
Toujours est-il que après avoir reçu plusieurs fois leur balle sur la tête, j’entre en conversation avec les enfants et partage leurs jeux ce qui apparemment soulage la maman et ramène un peu de calme sur la pelouse.
Lorsque leur mère décide d’aller se baigner elle prend les jumeaux avec elle, j’espère pouvoir me reposer un peu mais c’est sans compter sur les deux garnements qui me prenne par la main et m’invite à les suivre.
- Avez-vous demandé à votre maman si elle veut que je vienne avec vous.
- Maman, maman, est-ce que Christian peut venir avec nous dans la piscine ?
- S’il le veut, pourquoi pas… mais n’exagérez pas quand même.
Et vlan me voilà pris pour une bonne d’enfants.
Enfin, je joue le reste de l’après-midi avec ces deux terribles. Je dois avouer que lorsqu’ils sont occupés, ils ne sont même pas aussi désagréables.
Vers 18 heure, maman les appelle car il est l’heure de rentrer à la maison,
- Maman, est-ce que tu crois que Christian pourrait venir chez nous demain pour jouer avec nous.
Eh, je n’ai rien demandé, là ils exagèrent un peu mais je n’ai pas le temps de donner mon avis que maman me demande un sourire séducteur si je veux tenir compagnie à ses enfants… pas très longtemps car de toute façon, leur papa vient les chercher en fin d’après-midi. Ils passent la soirée et le dimanche avec lui.
Maman est donc soit célibataire soit divorcée et vit ses deux enfants… seule ? Famille recomposée ?
Son sourire est tellement sollicitant que je n’ose lui dire non. Elle ne doit pas avoie la vie facile tous les jours avec deux durs-à-cuir comme ça.
J’accepte donc de venir le lendemain. Elle m’explique où elle habite, à environ dix kilomètres de là à la sortie du village dans l’ancienne maison du curé.
Le lendemain matin, après avoir pris un bon petit déjeuner, je prends un bain et surtout je ras de près mon corps car les poils commençaient à repousser, c’est quelque chose que j’entretiens régulièrement car j’aime bien sentir ma peau lisse sous mes vêtements.
Il fait un temps magnifique ce matin et pour l’après-midi je décide de porter un short ainsi qu’une chemisette. Comme d’habitude, je suis nu sous mon short, je n’aime pas porter de slip ou autre truc comme ça. De toute façon personne ne remarque rien.
Vers les quatorze heure, je me rends donc dans le village où elle habite et cherche l’ancienne cure au bout du village. Je trouve facilement… à vrai dire c’est une grosse bâtisse entourée d’un mur d’au moins trois mètres de haut. Je pousse le portail à l’entrée et me trouve dans un grand parc parfaitement entretenu avec de vieux arbres centenaires et un jardin qui fourni quelques légumes.
J’appuie sur la sonnette à l’entré de la maison et d’emblée les cris des deux jumeaux emplissent les couloirs.
J’ai juste le temps de dire bonjour à la maman qu’ils m’entrainent dans le parc où ils ont une construit une hutte dans un arbre. Nous jouons au gendarmes et au voleur, je suis naturellement le voleur et ils me capturent après une course effrénée dans le par et autour de la maison. À chaque fois, c’est le même scénario, ils m’attachent dans ce qui doit être ma prison… Les pauvres, à chaque fois, je me détache et je repars me cacher dans le parc… Le jeu dure toute l’après-midi et je commence à être fatigué, il fait surtout très chaud et rapidement j’ai enlevé ma chemisette, mes chaussures aussi je les ai enlevées, il est plus agréable de courir les pieds nus dans l’herbe que de transpirer. Heureusement, il y a une douche d’eau froide pas très loin près de la cabane à outils de jardin.
J’ai hâte que leur papa vienne les chercher…
Nous prenons un quatre heure dans la hutte, ce qui nous repose un peu et redonne des forces… surtout à ces petits diables qui en redemandent encore plus.
Je repars me cacher, il ne leur faut pas longtemps pour me trouver et me capturer… ils vont de nouveau m’attacher.
Comme à chaque fois, ils passent un nœud coulant autour de mes poignets devant moi puis ils enroulent la corde plusieurs fois encore avant de passer la corde entre mes bras et mes mains et de faire plusieurs tours qui serrent la corde autour de mes poignets, ils vont certainement faire un nœud qui sera aussi facile à défaire que les autres mais au lieu de cela, l’un d’ente eux monte sur une branche assez haute du vieil arbre qui porte leur cabane pendant que l’autre lui lance la corde qu’il attache à la branche… hum, il ne me sera pas difficile de me détacher mais ce n’est pas un problème, je n’ai pas allongé les bras complètement au dessus de ma tête et la corde n’est donc pas tendue.
Celui resté au sol, m’attache de la même façon les chevilles et termine en fixant la corde après une grosse racine sur laquelle j’étais monté. Il ne me laisse pas beaucoup de corde libre mais je peu quand même me déplacer d’une vingtaine de centimètres autour du nœud qu’il vient de faire.
Il montre dans l’arbre rejoindre son frère, et là les deux garnements détachent mes poignets de la branche qui s’abaisse sous leur poids, la corde était complètement détendue… mais pas longtemps car à deux, ils tirent maintenant sur la corde, me soulèvent presque et l’amarre fermement à la branche.
Oups, là, ça se complique…
Ils descendent de l’arbre… à peine ont-ils quittés la branche que celle-ci se relève et me soulève presque du sol… je gigote pour essayer de soulager la traction sur mes bras mais il n’y a rien à faire. Là, je sais que je ne pourrai pas me détacher, les garnements ont réussis leur coup… à force d’essayer, c’était à parier.
Ils terminent alors tranquillement leur quatre heure en pariant que cette fois ci je ne pourrai pas me libérer.
En effet, j’ai beau secouer la branche pour faire se desserrer le nœud, il n’y a rien à faire.
Je réussi seulement à serrer la corde autour de mes poignets encore plus.
- Les enfants papa est là, vous venez !
- Oui maman tout de suite
Bien que je les appelle pour ne pas qu’ils me laissent comme cela, ils disparaissent en quelques secondes.
Me voila dans une drôle de situation, je me débats comme un diable, j’essaye de sauter en l’air pour donner un peu de jeu à la corde autour de mes poignets mais je suis rappelé à l’ordre par la corde de mes chevilles fixée à la racine de l’arbre, il n’y a rien à faire je ne peux pas me libérer seul.
Est que leur mère ne s’est pas rendue compte que je suis encore là.
Je jure au fond de moi mais cela ne me détache pas. Je suis bel et bien prisonnier de ces deux vauriens.
Je ne sais pas combien de temps je vais rester comme ça, probablement longtemps, trop longtemps à mon goût. Je compte les quarts d’heure : cela fait maintenant une heure et demie que je suis dans cette position, il n’y a donc plus personne dans cette maison, les jumeaux n’ont même pas rapporté les restes du quatre heure, leur mère doit bien en être rendue compte.
Il doit être au moins dix-huit heure, le soleil commence à s’étirer sous les arbres, je suis maintenant en plein soleil, je vais même prendre un coup de soleil si ça continue.
Soudain alors que je n’avais plus grand espoir, j’entends des bruits de pas… il y a donc encore quelqu’un ici.
La maman… la maman apparait vêtue d’une tunique courte, à ras des fesses, et transparente, elle porte un petit bikini.
- Je vois que mes deux sacripants ont bien suivis mes conseils
- Lesquels ?
- Lorsqu’ils sont venus chercher le quatre heure, ils m’ont expliqués que vous vous détachiez toujours, que vous étiez un mauvais prisonnier. Alors, je leur ai expliqués qu’ils pouvaient vous attacher comme ça… et même vous laisser comme ça lorsque je les appellerais. Mais ils n’ont pas oser faire tout ce que je leur ai dit.
- Détachez-moi tout de suite. C’est donc un coup monté, un piège ?
- Bien sur, j’ai même pu t’observer tous le temps et ne crois pas que je vais monter dans l’arbre pour te détacher maintenant. Je ne sais pas monter aux arbres, je vais donc aller chercher une échelle pour te détacher…. Mais certainement pas de suite, j’ai envie de profiter des derniers rayons de soleil.
Ce faisant, elle installe une chaise-longue en face de moi, retire sa tunique. Le bas de son bikini est un string à faire rougir les biens pensants.
- Qu’est-ce qu’ils n’ont pas osé faire vos chérubins ?
- Tu cas voir !
Elle prend une longue perche de bois avec une fourche à son extrémité, une perche comme celle que les paysans utilisent pour soulager les branches trop chargées de fruits et empêcher que celle-ci ne se casse sous le poids.
Qu’est-ce quelle mijote avec ça ?
Je n’ai pas à attendre longtemps, elle passe la fourche sous la branche qui me soutient et la lève jusqu’à ce que je sois sur la pointe des pieds.
- Non, pas ça !
- Tu vas voir, ce n’est pas bien méchant et puis tu me plais comme ça.
- Je n’ai pas envie de vous plaire, détachez-moi !
Elle va prendre une douche et revient près de moi… ses tétons se sont durcis sous l’effet de l’eau froide, elle les caresse sous le tissu.
La salope, il ne manque plus que ça.
Elle écarte ensuite les petits triangles de tissus qui couvrent les seins somptueux qu’elle masse et triture, elle roule ses tétons entre ses doigts, puis elle retire sont soutien gorge mouillé.
- Ce n’est pas bon pour la santé de porter quelque chose d’humide
- Détachez-moi donc au lieu de faire ce théâtre.
Elle ne m’écoute pas ou ne veut pas m’entendre. Elle pose le soutien gorge sur une de mes épaules. Le contact froid de l’eau sur ma peau m’excite, elle m’excite déjà suffisamment.
Elle se tourne pour me montrer ses deux fesses rondes qu’elle frotte contre mon short… et dire que je ne porte rien dessous.
Elle se retourne et frotte maintenant le bas de son ventre contre mon sexe durci. Ses doigts caressent son ventre puis s’introduisent voluptueusement sous son string qu’elle fait glisser sur ses longues jambes fines. Elle le retire complètement et le pose sur mon autre épaule
- Tu bandes espèce de salopard, j’espère que tu n’as pas été comme ça devant mes enfants. Même là, regarde tes tétons…
- Certainement pas mais détachez-moi maintenant, ça suffit.
- Il faut que je fasse sécher mon maillot de bain.
Elle s’éloigne, nue et revient avec deux pinces à linge… prend le soutien gorge et le fixe avec une pince à l’un de mes tétons.
Je me tords de douleur, je ne sais pas si je dois crier, je me mords les lèvres.
Déjà elle fixe son string à mon autre téton, la morsure des pinces est trop forte.
- Arrêtez, s’il vous plait…
- Tu deviens plus poli petit polisson.
Ses doigts effleurent alors mon ventre, passent entre mon short dont la ceinture est élastique et ma peau.
Elle les dirige, imperturbable, vers ma verge tendue.
- C’est bien ce que j’ai pensée hier, tu es complètement rasé, même ta queue…. Et tes couilles, sont elles aussi rasées ?
- Laissez-moi tranquille !
Insensible à mes réclamations elle s’empare de mes œufs et les serre entre ses doigts. Elle me fait mal… je n’ai pas le temps d’avoir vraiment mal, elle m’enlève mon short, le baisse jusqu'à mes chevilles, je suis nu comme un ver livrer à cette femme magnifique mais excitante…
Moi aussi je suis fortement excité, je ne sais plus lui dire non… Je ne sais pas se qui a encore se passer mais elle est tellement enthousiaste… peut être même dangereuse, grisée par ses envies libertines.
Que feriez-vous mesdames à sa place ?
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Toujours est-il que après avoir reçu plusieurs fois leur balle sur la tête, j’entre en conversation avec les enfants et partage leurs jeux ce qui apparemment soulage la maman et ramène un peu de calme sur la pelouse.
Lorsque leur mère décide d’aller se baigner elle prend les jumeaux avec elle, j’espère pouvoir me reposer un peu mais c’est sans compter sur les deux garnements qui me prenne par la main et m’invite à les suivre.
- Avez-vous demandé à votre maman si elle veut que je vienne avec vous.
- Maman, maman, est-ce que Christian peut venir avec nous dans la piscine ?
- S’il le veut, pourquoi pas… mais n’exagérez pas quand même.
Et vlan me voilà pris pour une bonne d’enfants.
Enfin, je joue le reste de l’après-midi avec ces deux terribles. Je dois avouer que lorsqu’ils sont occupés, ils ne sont même pas aussi désagréables.
Vers 18 heure, maman les appelle car il est l’heure de rentrer à la maison,
- Maman, est-ce que tu crois que Christian pourrait venir chez nous demain pour jouer avec nous.
Eh, je n’ai rien demandé, là ils exagèrent un peu mais je n’ai pas le temps de donner mon avis que maman me demande un sourire séducteur si je veux tenir compagnie à ses enfants… pas très longtemps car de toute façon, leur papa vient les chercher en fin d’après-midi. Ils passent la soirée et le dimanche avec lui.
Maman est donc soit célibataire soit divorcée et vit ses deux enfants… seule ? Famille recomposée ?
Son sourire est tellement sollicitant que je n’ose lui dire non. Elle ne doit pas avoie la vie facile tous les jours avec deux durs-à-cuir comme ça.
J’accepte donc de venir le lendemain. Elle m’explique où elle habite, à environ dix kilomètres de là à la sortie du village dans l’ancienne maison du curé.
Le lendemain matin, après avoir pris un bon petit déjeuner, je prends un bain et surtout je ras de près mon corps car les poils commençaient à repousser, c’est quelque chose que j’entretiens régulièrement car j’aime bien sentir ma peau lisse sous mes vêtements.
Il fait un temps magnifique ce matin et pour l’après-midi je décide de porter un short ainsi qu’une chemisette. Comme d’habitude, je suis nu sous mon short, je n’aime pas porter de slip ou autre truc comme ça. De toute façon personne ne remarque rien.
Vers les quatorze heure, je me rends donc dans le village où elle habite et cherche l’ancienne cure au bout du village. Je trouve facilement… à vrai dire c’est une grosse bâtisse entourée d’un mur d’au moins trois mètres de haut. Je pousse le portail à l’entrée et me trouve dans un grand parc parfaitement entretenu avec de vieux arbres centenaires et un jardin qui fourni quelques légumes.
J’appuie sur la sonnette à l’entré de la maison et d’emblée les cris des deux jumeaux emplissent les couloirs.
J’ai juste le temps de dire bonjour à la maman qu’ils m’entrainent dans le parc où ils ont une construit une hutte dans un arbre. Nous jouons au gendarmes et au voleur, je suis naturellement le voleur et ils me capturent après une course effrénée dans le par et autour de la maison. À chaque fois, c’est le même scénario, ils m’attachent dans ce qui doit être ma prison… Les pauvres, à chaque fois, je me détache et je repars me cacher dans le parc… Le jeu dure toute l’après-midi et je commence à être fatigué, il fait surtout très chaud et rapidement j’ai enlevé ma chemisette, mes chaussures aussi je les ai enlevées, il est plus agréable de courir les pieds nus dans l’herbe que de transpirer. Heureusement, il y a une douche d’eau froide pas très loin près de la cabane à outils de jardin.
J’ai hâte que leur papa vienne les chercher…
Nous prenons un quatre heure dans la hutte, ce qui nous repose un peu et redonne des forces… surtout à ces petits diables qui en redemandent encore plus.
Je repars me cacher, il ne leur faut pas longtemps pour me trouver et me capturer… ils vont de nouveau m’attacher.
Comme à chaque fois, ils passent un nœud coulant autour de mes poignets devant moi puis ils enroulent la corde plusieurs fois encore avant de passer la corde entre mes bras et mes mains et de faire plusieurs tours qui serrent la corde autour de mes poignets, ils vont certainement faire un nœud qui sera aussi facile à défaire que les autres mais au lieu de cela, l’un d’ente eux monte sur une branche assez haute du vieil arbre qui porte leur cabane pendant que l’autre lui lance la corde qu’il attache à la branche… hum, il ne me sera pas difficile de me détacher mais ce n’est pas un problème, je n’ai pas allongé les bras complètement au dessus de ma tête et la corde n’est donc pas tendue.
Celui resté au sol, m’attache de la même façon les chevilles et termine en fixant la corde après une grosse racine sur laquelle j’étais monté. Il ne me laisse pas beaucoup de corde libre mais je peu quand même me déplacer d’une vingtaine de centimètres autour du nœud qu’il vient de faire.
Il montre dans l’arbre rejoindre son frère, et là les deux garnements détachent mes poignets de la branche qui s’abaisse sous leur poids, la corde était complètement détendue… mais pas longtemps car à deux, ils tirent maintenant sur la corde, me soulèvent presque et l’amarre fermement à la branche.
Oups, là, ça se complique…
Ils descendent de l’arbre… à peine ont-ils quittés la branche que celle-ci se relève et me soulève presque du sol… je gigote pour essayer de soulager la traction sur mes bras mais il n’y a rien à faire. Là, je sais que je ne pourrai pas me détacher, les garnements ont réussis leur coup… à force d’essayer, c’était à parier.
Ils terminent alors tranquillement leur quatre heure en pariant que cette fois ci je ne pourrai pas me libérer.
En effet, j’ai beau secouer la branche pour faire se desserrer le nœud, il n’y a rien à faire.
Je réussi seulement à serrer la corde autour de mes poignets encore plus.
- Les enfants papa est là, vous venez !
- Oui maman tout de suite
Bien que je les appelle pour ne pas qu’ils me laissent comme cela, ils disparaissent en quelques secondes.
Me voila dans une drôle de situation, je me débats comme un diable, j’essaye de sauter en l’air pour donner un peu de jeu à la corde autour de mes poignets mais je suis rappelé à l’ordre par la corde de mes chevilles fixée à la racine de l’arbre, il n’y a rien à faire je ne peux pas me libérer seul.
Est que leur mère ne s’est pas rendue compte que je suis encore là.
Je jure au fond de moi mais cela ne me détache pas. Je suis bel et bien prisonnier de ces deux vauriens.
Je ne sais pas combien de temps je vais rester comme ça, probablement longtemps, trop longtemps à mon goût. Je compte les quarts d’heure : cela fait maintenant une heure et demie que je suis dans cette position, il n’y a donc plus personne dans cette maison, les jumeaux n’ont même pas rapporté les restes du quatre heure, leur mère doit bien en être rendue compte.
Il doit être au moins dix-huit heure, le soleil commence à s’étirer sous les arbres, je suis maintenant en plein soleil, je vais même prendre un coup de soleil si ça continue.
Soudain alors que je n’avais plus grand espoir, j’entends des bruits de pas… il y a donc encore quelqu’un ici.
La maman… la maman apparait vêtue d’une tunique courte, à ras des fesses, et transparente, elle porte un petit bikini.
- Je vois que mes deux sacripants ont bien suivis mes conseils
- Lesquels ?
- Lorsqu’ils sont venus chercher le quatre heure, ils m’ont expliqués que vous vous détachiez toujours, que vous étiez un mauvais prisonnier. Alors, je leur ai expliqués qu’ils pouvaient vous attacher comme ça… et même vous laisser comme ça lorsque je les appellerais. Mais ils n’ont pas oser faire tout ce que je leur ai dit.
- Détachez-moi tout de suite. C’est donc un coup monté, un piège ?
- Bien sur, j’ai même pu t’observer tous le temps et ne crois pas que je vais monter dans l’arbre pour te détacher maintenant. Je ne sais pas monter aux arbres, je vais donc aller chercher une échelle pour te détacher…. Mais certainement pas de suite, j’ai envie de profiter des derniers rayons de soleil.
Ce faisant, elle installe une chaise-longue en face de moi, retire sa tunique. Le bas de son bikini est un string à faire rougir les biens pensants.
- Qu’est-ce qu’ils n’ont pas osé faire vos chérubins ?
- Tu cas voir !
Elle prend une longue perche de bois avec une fourche à son extrémité, une perche comme celle que les paysans utilisent pour soulager les branches trop chargées de fruits et empêcher que celle-ci ne se casse sous le poids.
Qu’est-ce quelle mijote avec ça ?
Je n’ai pas à attendre longtemps, elle passe la fourche sous la branche qui me soutient et la lève jusqu’à ce que je sois sur la pointe des pieds.
- Non, pas ça !
- Tu vas voir, ce n’est pas bien méchant et puis tu me plais comme ça.
- Je n’ai pas envie de vous plaire, détachez-moi !
Elle va prendre une douche et revient près de moi… ses tétons se sont durcis sous l’effet de l’eau froide, elle les caresse sous le tissu.
La salope, il ne manque plus que ça.
Elle écarte ensuite les petits triangles de tissus qui couvrent les seins somptueux qu’elle masse et triture, elle roule ses tétons entre ses doigts, puis elle retire sont soutien gorge mouillé.
- Ce n’est pas bon pour la santé de porter quelque chose d’humide
- Détachez-moi donc au lieu de faire ce théâtre.
Elle ne m’écoute pas ou ne veut pas m’entendre. Elle pose le soutien gorge sur une de mes épaules. Le contact froid de l’eau sur ma peau m’excite, elle m’excite déjà suffisamment.
Elle se tourne pour me montrer ses deux fesses rondes qu’elle frotte contre mon short… et dire que je ne porte rien dessous.
Elle se retourne et frotte maintenant le bas de son ventre contre mon sexe durci. Ses doigts caressent son ventre puis s’introduisent voluptueusement sous son string qu’elle fait glisser sur ses longues jambes fines. Elle le retire complètement et le pose sur mon autre épaule
- Tu bandes espèce de salopard, j’espère que tu n’as pas été comme ça devant mes enfants. Même là, regarde tes tétons…
- Certainement pas mais détachez-moi maintenant, ça suffit.
- Il faut que je fasse sécher mon maillot de bain.
Elle s’éloigne, nue et revient avec deux pinces à linge… prend le soutien gorge et le fixe avec une pince à l’un de mes tétons.
Je me tords de douleur, je ne sais pas si je dois crier, je me mords les lèvres.
Déjà elle fixe son string à mon autre téton, la morsure des pinces est trop forte.
- Arrêtez, s’il vous plait…
- Tu deviens plus poli petit polisson.
Ses doigts effleurent alors mon ventre, passent entre mon short dont la ceinture est élastique et ma peau.
Elle les dirige, imperturbable, vers ma verge tendue.
- C’est bien ce que j’ai pensée hier, tu es complètement rasé, même ta queue…. Et tes couilles, sont elles aussi rasées ?
- Laissez-moi tranquille !
Insensible à mes réclamations elle s’empare de mes œufs et les serre entre ses doigts. Elle me fait mal… je n’ai pas le temps d’avoir vraiment mal, elle m’enlève mon short, le baisse jusqu'à mes chevilles, je suis nu comme un ver livrer à cette femme magnifique mais excitante…
Moi aussi je suis fortement excité, je ne sais plus lui dire non… Je ne sais pas se qui a encore se passer mais elle est tellement enthousiaste… peut être même dangereuse, grisée par ses envies libertines.
Que feriez-vous mesdames à sa place ?
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