Une sacrée vendeuse de sex-shop

- Par l'auteur HDS Christian -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Une sacrée vendeuse de sex-shop Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une sacrée vendeuse de sex-shop
<p>Pour l’anniversaire de ma femme, j’ai envie de lui acheter une paire de chaussures à talons hauts… très hauts… des pointes de danse avec talons !

Je me rends dans un magasin d’articles exclusifs… sex-shop plus ou moins privé spécialisé dans des articles extravagants pour un public fantaisiste.

La vendeuse est une femme mignonne qui vit le style de son magasin : la trentaine, vêtue d’une jupe courte de cuir noir fendue sur le coté jusqu’à la hanche, sa taille est serrée dans un bustier, également en cuir noir bordé au niveau de la poitrine d’un filet de cuir rouge, généreusement court qui ne lui fait pas seulement une taille d’abeille mais surtout rehausse sa poitrine généreuse en cachant tout au plus ses mamelons. Elle porte des bas noirs très fins tenus par un porte-jarretelle noir et rouge.
Ses pieds son enfermés dans une paire de bottines, elles aussi en cuir noir, avec de hauts talons d’au moins 10 centimètres.
Il est environ dix heure du matin, le magasin est calme en ce mardi. Elle me conseille avec précision sur les matériaux, la meilleure forme, la pointure à choisir et me montre plusieurs modèles dont un qui me plait : une paire de chaussures à faire des pointes de danse à talons en cuir fermé autour de la cheville par une lanière et un petit cadenas dont la pointe est encore surélevée et le talon encore plus haut… dans la rehausse du bout de la chaussure il y a un trou de gauche à droite qui permet de passer une barre de fer chromé pour réunir les pointes ensemble (comme un clou sans la pointe mais avec un cadenas) autant dire qu’une fois la barre passée dans le pointe des chaussures, il n’est plus possible de se déplacer beaucoup.
Comme étonnée de mon choix elle m’informe que ce n’est pas facile de marcher avec des talons aussi hauts de lus est sur la pointe des pieds et que de toute façon, si ma femme n’est pas habituées, cela doit se faire progressivement.
Je lui réplique, presque un peu vexé, que quand je vois avec quelle aisance elle se déplace avec des talons qui son également très haut, ma femme va bien s’habituer rapidement.
- Si vous le voulez, vous pouvez en essayer une paire, les pointures vont jusqu’au 46. Quelle pointure avez-vous ?
Pris de vitesse.
- Normalement du 41.
Sur ce elle disparait dans l’arrière du magasin et revient avec un carton à chaussures contenant exactement la même paire de chaussures que celle que j’ai choisi pour ma femme mais dans ma pointure.
- Voila, si le cœur vous en dit, si vous voulez savoir comment va se chausser votre femme.
Et déjà, sans attendre de réponse de ma part, elle ouvre le carton, s’assied sur un tabouret devant moi et se saisit d’un de mes pieds. Elle m’enlève ma chaussure, ma socquette et me met un mi-bas, dans la même matière que des bas de femme, qui moule mon pied parfaitement puis elle glisse mon pied dans la chaussure à pointes qu’elle ferme sur ma cheville et place finalement le cadenas… elle fait la même chose avec mon autre pied et l’autre chaussure.
- Si vous voulez vous mettre debout ?
- Vous voulez vraiment que je me mette debout avec ces chaussures là ?
- Vous voulez certainement que votre femme se mette elle debout avec les chaussures que vous avez choisies ?
- Oui, mais ce n’est pas la même chose, elle est une femme et elle porte déjà des chaussures à talons, même s’ils ne sont pas aussi hauts que ceux-ci, elle est déjà habituées.
- Pas d’excuses, mettez vous debout.
Avec beaucoup de précaution, je me lève du fauteuil dans lequel j’étais installé. Comme pour ne pas que je puisse me rassoir d’aussi vite, elle le retire et la place hors de ma portée.
- Vous pouvez aussi essayer de marcher…
Ce que je fais aussi… après tout pour qui me prend elle, après quelques pas :
- Alors, vous voyez, ce n’est pas aussi difficile que vous le prétendez… je ne sais pas ce que vous avec les femmes de toujours vous plaindre.
- Ce n’est pas souvent que je vois un homme perché sur des talons, vous pourriez marcher plus… aller et venir dans le magasin par exemple puisque vous trouvez cela facile.
Oh la vache, elle me prend à mon propre piège… je ne vais quand même pas me dégonfler… je vais lui montrer moi ! Et je me mets à aller et venir dans son magasin, d’abord lentement puis de plus en sur de moi je me déplace de plus en plus vite… comme pour en finir le plus rapidement possible. Le tout sous sons regard amusé, presque moqueur…
- Je vois que vous apprenez rapidement, vous êtes un bon élève.
- Merci des compliments
- Mais de rien, je trouve que vous vous débrouillez très bien pour la première fois. Si vous le voulez, je peux vous montrer aussi un accessoire qui passe parfaitement avec ces chaussures. C’est d’ailleurs produit par le même fabricant.
Sans attendre de réponse elle disparait quelques rayons plus loin et revient me montrant un objet en cuir plus rigide mais dont une partie rappelle exactement la pointe des chaussures avec le même rehaussement et le même trou dans la pointe, la grande différence est que cela ressemble plus à une botte qu’à une chaussure.
- C’est est un mono-gant… vous joignez la paume de vos mains et vous les glissez dans la « chaussure ». C’est un accessoire qui est souvent acheté avec ces chaussures… si vous le voulez, vous pouvez aussi l’essayer…
- Pourquoi pas, il a presque la même forme que les chaussures.
- D’accord… le mieux serait de retire votre chemise à cause de la gaine.
Je retire calmement ma chemise pendant qu’elle se place derrière moi puis elle me joint les mains et les glissent dans la « chaussure ».
- Vous voyez… comme ça. Pouvez-vous appuyer la pointe de la « chaussure » sur la table là ?
Trouvant ce mono-gant pas mal, je me dirige vers la table et appuie la pointe de la « chaussure » sur celle-ci de telle sorte que mes mains soient bien au fond de la « chaussure ».
- Vous voulez que j’appuie comme ça ?
- Oui, c’est parfait, il ne doit pas y avoir de place entre la pointe de vos doigts et le bout de la « chaussure »… appuyez le plus possible.
Et moi de m’exécuter naturellement et d’appuyer encore plus fort…
Tout d’un coup, je sens quelque chose se serrer autour de mes poignets… elle a fermé le mono-gant avec une lanière en serrant fortement.
- Maintenant, il faut que je ferme les le lacet autour de vos mains.
Je sens mes doigts être écrasés dans cette gaine qui forme la « chaussure », je fais une grimace qu’elle ne voit heureusement pas. Elle remonte alors la gaine de la botte autour de mes bras et tire le haut de celle-ci avec une lanière qui passe autour de mes épaules.
- C’est juste pour ne pas que cela glisse sur vos bras.
Et déjà je sens qu’elle ferme la gaine en serrant très fort le lacet… tellement fort que arrivée à seulement à mi- bras, mes coudes se touchent presque et elle continue de plus belle… je sens mes épaules se tendre, mon torse se bomber vers l’avant, mes coudes se touchent maintenant… plus, ils sont écrasés l’un contre l’autre.
- Vous êtes certaine que cela doit aussi serré que ça ?
- Pourquoi ?
- Je ne savais même pas que mes coudes pouvaient se toucher dans mon dos mais cela me fait mal aux épaules…
- Monsieur est douillet ???
- Certainement pas !
Sans continuer sur ce terrain :
- Est-ce que vous pouvez encore marcher avec les bras comme ça ?
- Bien sur, drôle de question.
Et moi de lui faire une démonstration, les bras attachés dans le dos et toujours perché sur la pointe des pieds quand quelques instants plus tard, la sonnerie de porte du magasin se fait entendre…
- Un client… vous voulez rester là ?
- Ça ne va pas… dans cette tenue et dans cette position… détachez-moi que je me rhabille et enlève ces chaussures.
- Je n’ai pas le temps de vous enlever le mono-gant et si vous ne voulez pas que l’on vous voie ainsi, venez avec moi…
Elle m’attire à coté des cabines d’essayages, ouvre un placard d’environ 50 cm au carré.
- Vous ne voulez quand même pas que je rentre là dedans ?
- C’est à prendre ou à laisser, moi ça ne me gène pas…
- Bon mais dépêchez-vous…
Et moi de m’engouffrer dans ce petit placard.
- Vous avez oublié cela…
Et de me montrer la barre métallique qu’elle enfile dans les pointes de mes chaussures avant d’y mettre le cadenas et de fermer le placard avec une clé.
En fermant le placard, elle me presse les bras contre mon dos, ce qui me fait encore plus mal les épaules et me fait encore plus ressortir le torse.
Je l’entends discuter avec le client qui ne semble pas très bien savoir ce qu’il veut… le temps passe… bon sang, je ne peux même pas m’assoir tellement c’est petit et mes orteils me font me souvenir que je suis sur la pointe des pieds…
La sonnerie de la porte du magasin retentit de nouveau… ce doit être le client qui s’en va… elle va bientôt me faire sortir de ce placard… j’écoute, tout est tranquille… pas un bruit… j’appelle pour savoir si quelqu’un est encore là… pas de réponse si ce n’est le bruit des cloches d’une église du coin qui sonnent midi… cela fait plus d’une heure que je suis debout sur la pointe des pieds, je commence à en avoir assez…
Les cloches sonnent une heure puis deux heure, j’ai maintenant mal aux pieds, ou est-elle donc passée ???
J’entends la sonnerie de la porte du magasin… ce doit être elle. La clé du placard tourne dans la serrure et la porte qui s’ouvre… elle est là avec un sourire des plus séducteur.
- Je ne vous ai pas oublié mais le client de tout à l’heure m’a invité à déjeuner, je n’allais quand même pas dire non, vous en convenez ? Comment allez-vous, je vois que vous vous habituez bien à ces chaussures… vous n’avez pas encore envie de marcher un peu, je n’ai pas eu beaucoup de temps pour vous regarder tout à l’heure ?
- Comme vous le voulez…
Après qu’elle ait retiré la barre métallique qui rejoignait la pointe de mes pieds et tout en serrant les dents pour ne pas lui montrer que j’ai mal, vraiment mal maintenant, je déambule encore devant elle… une fois, deux, trois fois et estimant que cela suffisait, je retourne auprès d’elle.
- Vous ne trouvez pas que cela fait longtemps que je suis comme ça, vous pourriez me détacher le mono-gant maintenant.
- Je voulais encore vous montrer quelque chose, vous avec certainement encore quelques minutes ?
Et de me montrer un objet qui représente la forme de la pointe d’une chaussure avec une longue lanière de cuir.
- C’est un bâillon en forme de pointe de chaussure, les personnes qui aiment les chaussures aiment aussi cet accessoires sympa… ouvrez la bouche.
Et de me serrer la mâchoire avec ses doigts pour que j’ouvre la bouche. Je la laisse faire car de toute façon je ne peux pas l’en empêcher.
Elle m’enfile la pointe de chaussure dans la bouche, ferme la lanière de cuir derrière ma nuque, me voila bâillonné… les bras attachés dans le dos le torse nu et bombé en avant et pour couronné le tout perché sur la pointe des pieds qui me font maintenant très mal.
- Ce bâillon peut même être gonflé.
Sans attendre elle presse sur la poire en caoutchouc et je sens le bâillon se gonflé dans ma bouche… mes mâchoires se tendent et me font mal.
- Humpf, humpf
- Tu veux me dire quelque chose ?
Je hoche de la tête pour lui faire signe que oui quand la porte du magasin s’ouvre de nouveau.
- Un client, tu veux aller dans le placard ?
- Humpf, humpf
Je lui fais signe que non… je n’ai pas envie qu’elle m’oublie encore une fois
- Je n’ai pas envie qu’il t’arrive un accident alors tu permets que je t’attache les pointes des pieds ensemble…
Et clic le cadenas se referme, je ne peux même plus marcher.
Je l’entends saluer son client, sa cliente car la voix que j’entends est celle d’une femme… et blablabla et blablabla, elles discutent de sous-vêtements etc.…
Après une demie heure à essayer des vêtements, sous-vêtements dans une cabine d’essayage à l’avant du magasin d’où sa cliente ne peut pas me voir, je les entends se diriger vers moi, vers le coin accessoires.
- Vous avez un mannequin en chair et en os pour présenter vos collections maintenant, je trouve cela original.
- Monsieur a acheté une paire de chaussure identique à celles qu’il porte pour sa femme, je voulais seulement qu’il voie comment c’est de marcher sur la pointe des pieds. Je dois avouer qu’il ne se débrouille pas mal.
- Je peux voir aussi ce que ça donne un homme qui marche sur la pointe des pieds ?
- Allez, tu as entendu, Madame veut te regarder marcher alors ne te fait pas supplier.
Elle enlève la barre métallique mais de la tête, je lui fais signe que je ne veux pas marcher… et pour cause, mes pieds me font trop mal.
- Je crois qu’il faut que je l’aide un peu.
- Humpf, humpf
Elle me met un collier en cuir noir autour du cou qu’elle ferme avec un cadenas, y met une laisse en chaîne et me tire au travers de son magasin.
- Vous voyez, il faut juste le dire avec les mots qu’il faut.
Puis de remettre la barre métallique.
- Est-ce que vous pensez que chez les hommes, marcher sur des talons hauts ça leur raffermit les mollets.
- Je ne peux pas vous dire mais on pourrait regarder !
Et la vendeuse de se baisser devant moi pour remonter mon pantalon pour mieux voir mes mollets.
- C’est un peu étroit, je cois que le mieux serait de baisser son pantalon mais je ne voudrais pas vous choquer.
- Je ne sais pas si monsieur va être consentant ?
- Humpf, humpf
- Vous voyez bien, monsieur est consentant, il en est tellement flatté qu’il en hoche la tête.
La salope, je lui fais signe que non, que je ne veux pas de cela d’autant plus que j’ai pour habitude de ne pas porter de slip.
Mais il n’y a rien à faire, ses doigts s’affairent sur la ceinture puis sur les boutons à la taille de mon pantalon… ses doigts glissent sur mes fesses tout en faisant glisser mon pantalon sur mes jambes…
- Monsieur n’a même pas de culotte, regardez moi cela… un petit cul épilé ou bien rasé fraichement… même ses couilles son rasées….
- Il est mignon comme ça, il a un joli petit cul, et ses cuisses sont bien tendues, vous pensez que monsieur va vous laisser lui baisser son pantalon pour nous puissions regarder si ses mollets sont aussi raffermis.
- Je ne vais lui demander s’il le veut, je sais qu’il en a envie.
Et de baisser mon pantalon par-dessus les chaussures.
- Comment avez-vous su qu’il en avait envie ?
- Regardez seulement, il n’est même pas poli il vous montre du doigt le salop.
Et de monter ma verge tendue.
- En effet, je crois qu’il faut lui donner une leçon de politesse.
La vendeuse s’empare d’une cravache très fine et me donne des coups tout d’abord léger puis de plus en plus fort.
- Humpf, humpf
- Qu’est ce qu’il dit ?
- Il dit qu’il aime ça…
- Vous ne pensez pas que vous pourriez lui retirer son bâillon
- Vous avez raison
- Humpf… vous allez arrêtez vos conneries, détachez moi maintenant, j’en ai assez, je ne peux plus rester debout, mes pieds me font trop mal et mes épaules aussi.
- Monsieur est douillet ?
- Absolument pas mais cela fait un bon moment que je suis comme ça.
- Vous voyez, c’est ce que je vous avais dit, il ne faut exagérer dès le début, il faut faire des séances tout d’abord courte puis de plus en plus longue… Si vous voulez que je vous détache il va falloir tout d’abord être bien gentil avec moi et avec Madame…je pense que Madame a envie que vous soyez gentil et je suis certaine que vous allez être gentil.
De sa cravache elle caresse le creux de mes reins, mes fesses, mes cuisses… puis elle lève sa cravache et l’abat sèchement sur mes fesses.
- Aye ! ça ne va pas !
- Tu vas te taire espèce d’imbécile je suis sûre que tu plais à Madame, n’est-ce pas Madame. Je crois aussi pouvoir dire que tu n’es pas aussi malheureux que tu veux le faire croire, si tu le veux, tu peux appeler ta maman au secours… comme ça : « au secours maman » alors je te détacherai tout de suite et tu n’auras plus qu’a te casser avec ta paire de chaussures pour ta grosse. Je te laisse réfléchir…. Je vais fermer le magasin, je vous laisse avec monsieur.
J’ai bien compris que je suis victime de mes propres envies. Ces deux femmes sont magnifiques, seuls ces chaussures sur lesquelles je suis toujours perché et mes épaules qui me font mal m’empêchent de savourer cette situation
- S’il vous plait Madame détachez-moi, vous voyez bien que j’ai mal partout.
Mais déjà la vendeuse revient.
- Mademoiselle, vous n’auriez pas une autre paire de chaussures, les miennes paraissent ternes avec la poussière qu’il y a dessus.
- Ce n’est pas un problème Madame, je suis sûre que monsieur va se faire un plaisir de nettoyer vos chaussures…. Met toi à genoux !
Me dit-elle et comme pour prévenir mes réclamations, la cravache s’écrase de nouveau crument sur mes fesses.
- Vous êtes deux salopes
- Peut-être mais pour le moment tu obéis.
J’exécute son ordre lentement mais le lui obéis elle en profite pour retirer mon pantalon complètement.
- Voila… comme ça ! Lèche les chaussures de Madame jusqu’à ce qu’elles soient propres.
Je me penche en avant pour lécher les chaussures de la cliente mais de nouveau la cravache siffle dans l’air et claque durement sur une fesse puis sur l’autre. Elle se saisi alors d’un martinet avec de lourdes lanières de cuir… elle vise plusieurs fois mes fesses l’une après l’autre quand soudain les lanières du martinet s’écrase lourdement et cruellement entre mes fesse sur mon petit trou.
- Aye, arrêtez, je vous en supplie.
- Vous voyez Madame comme il apprend rapidement la politesse.
- Et en plus de cela mes chaussures sont propres. J’ai envie qu’il se relève…
- Tu as entendu ce que Madame a dit ou bien préfères-tu que je t’aide ?
Je n’ai pas le temps de dire quoique ce soit, le martinet siffle et les lanières s’aplatissent méchamment sur mon petit trou de nouveau, je me redresse rapidement en criant de douleur et je me remets debout sur la pointe des pieds.
Madame s’approche de moi, elle caresse ses jambes contre les miennes pendant qu’elle roule mes tétons entre ses doigts ce qui me fait me tordre d’une douleur qui provoque autant de plaisir si ce n’est plus.
- Je trouve que Mademoiselle est gentille avec toi… vous n’auriez pas des pinces pour ces petits tétons qui bandent ?
- Bien sur que si, lesquelles voulez vous ?
- Je trouve que ceux-ci en métal sont parfaits.
- Non, s’il vous plait pas ça… Aye, non…
Madame posait avec soin les pinces sur mes tétons…
- Si tu veux que je te les retire, tu vas me sucer, j’ai envie d’être sucer et vous Mademoiselle, vous veillerez à ce qu’il fasse sont travail correctement…. Met toi genoux de nouveau.
Elle écrase les pinces ce qui me fait encore plus mal les tétons… si je la supplie, elle n’arrêtera pas pour autant, si j’appelle maman au secours… tout s’arrêtera là… j’ai envie de la lécher alors je serre les dents et ne dit rien. Elle accompagne mon corps qui se baisse tout en triturant mes tétons jusqu'à ce que je sois à genoux… elle s’allonge devant moi les jambes grandes ouvertes, elle aussi ne porte pas de culotte. Elle m’offre son sexe mouillé à lécher.
- je veux d’abord que tu me sèches.
Je me penche sur elle et m’applique du mieux que je peux.
- Fait-il cela correctement Madame ?
- Non absolument pas… aidez le…
Le martinet siffle et s’écrase lourdement sur mes fesses, sur mon petit trou, j’essaye d’éviter les coups mais il n’y a rien à faire, mes pieds sont reliés enter eux par la pointe et mes bras sont coincés dans ce fourreau de cuir.
Je n’en peux plus, elle me fait trop mal, je me relève mais avant que je ne puisse dire un mot elle s’empare de mes poignets qu’elle lève vers le haut… mon visage se retrouve de nouveau contre la chatte de Madame.
- Tu n’as pas terminé ton travail, Madame n’est pas encore sèche.
Elle tient mes poignets coincés vers le haut et continue de s’occuper de mes fesses et mon anus… cette fois avec la cravache fine qu’elle semble apprécier…
- Hum… tu as enfin terminé, je veux que tu me suces et me fasses jouir maintenant.
La vendeuse relâche sa traction sur mes poignets et je m’applique à lécher Madame pour la faire jouir… elle se tortille sous les caresses de ma langue, elle aime cela la salope.
- Applique toi encore mieux que ça.
- Je vais m’occuper de lui un peu mieux Madame.
Je sens quelque chose de froid et de glissant contre mon anus… mon corps se raidit… elle veut s’en prendre à mon petit trou. Je ne sais pas si Madame a vu cela mais elle s’est emparée des pinces qui ornent toujours mes tétons et qui continuent de me faire mal… elle joue avec les pinces ce qui m’empêche de me relever. Quelque chose glisse maintenant et cherche à s’introduire dans mon petit trou, je contracte les muscles de mon anus pour en rétrécir le trou au maximum…
- Tu es parfait comme ça… mais ça ne va pas te servir à grand-chose !
En effet je sens qu’elle appuie plus fort sur ce qui est certainement un Plug… Madame appuie cruellement sur les pinces… de douleur, je relâche les muscles qui protégeaient jusqu’alors mon petit trou je sens quelque chose me pénétrer… mon trou s’ouvre… cela me fait mal et puis d’un coup, je sens que tout es entré dans moi… la tension contre mon anus se fait moins forte.
Ce n’est pas pour durer longtemps, c’est un Plug gonflant qu’elle m’a mit entre les fesses et déjà je sens cet objet grossir dans mon ventre, grossir mon petit trou, je me débats mais Madame a toujours les pinces bien dans ses doigts, je ne peux pas me relever.
Mon petit trou se dilate, il doit être énorme à moins que cela ne soit qu’une sensation… elle continue à gonfler le Plug… j’ai l’impression que mon trou va se déchirer quand elle arrêtera de pomper.
- Monsieur n’est plus très vaillant Mademoiselle, pouvez-vous vous occuper de lui un peu mieux ?
La vendeuse s’empare de mes testicules et les malaxent entre ses mains avant de les ligaturer durement jusqu'à ce qu’ils ne ressemblent plus qu’à deux œufs bien dures… elle remonte la ficelle entre mes fesses en tirant sur mes œufs et appuie sur le Plug qui remplit mon ventre et mon trou… j’ai envie de me relever malgré les tortures à mes tétons et de crier « au secours maman » et pourtant je reste encore… juste encore un peu… elle passe la ficelle dans la pointe de la « chaussure » qui entour mes poignets et y attache mes œufs… elle s’applique à bien tirer ce qui me fait encore plus mal les épaules et je sens mes œufs offerts comme deux égarés, ma verge qui est toujours dure n’est plus relevée contre mon ventre, elle pointe maintenant entre mes jambes et montre en direction du sol.
- Vous allez voir Madame, monsieur va retrouver son ardeur et vous lécher avec plus d’ardeur que jamais.
J’entends les lanières du martinet qui siffle avant de s’abattre sur mes fesses… l’une après l’autre sans ménagement, elle vise ensuite avec une précision diabolique mes œufs puis ma verge…. À chaque coup reçu mon corps trésaille de surprise mais aussi de douleur. Madame cesse de jouer avec mes tétons, je continue de la sucer et me m’appliquer quand tout d’un coup son corps se cambre, elle appuie sa chatte contre mon visage pour mieux me faire sentir qu’elle joui.
- Madame, moi aussi j’ai envie de jouir

Comment cela va-t-il se terminer ?

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