Vacances aux Antilles

- Par l'auteur HDS Christian -
Récit érotique écrit par Christian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Vacances aux Antilles Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vacances aux Antilles
<p>Je passe mes vacances sur une île aux Antilles… 3 semaines de repos complet surtout que je peux m’offrir le luxe d’être en vacances en basse saison, c’est la période que je préfère car il y a moins de monde sur les plages.
Je loge dans un hôtel au bord de la plage et je dois dire que c’est merveilleux, les autres touristes vont et viennent tranquilles, il n’y a pas le stress de la haute saison et le personnel de l’hôtel est plus intentionné pour chacun.
Sur la plage privée de l’hôtel, je fais la connaissance d’une jeune femme qui vient du Canada, de Montréal plus précisément, elle est arrivée le même jour que moi, elle se prénomme Joëlle, prénom qui fait facilement penser à d’autres mots comme jolie ou jouir.
Elle est mignonne dans un bikini réduit à sa plus simple dimension, surtout que le bikini se transforme la plupart du temps en monokini, le dessus : une poitrine remarquable, ne résiste pas à l’appelle du soleil, le bas de son bikini : un string montrant de jolies fesses bien rondes avec devant un triangle coulissant monté sur le lacet noué sur ses hanches qui ferait rougir les adeptes du tanga Brésilien.
Autant vous dire que lorsqu’elle me demande si je veux bien lui mettre de l’ambre solaire, je n’ai pas envie de passer pour un goujat et que c’es avec plaisir que je lui apporte mon assistance.
Elle aime se faire bronzer du matin au soir sur cette plage qui n’a pas vraiment d’intérêt.
Après deux jours passés sur cette plage, je l’invite à découvrir l’île et surtout d’autres plages beaucoup plus tranquilles.
C’est ainsi que nous partons dès le levé du soleil choisir la plage où nous allons passer la journée.
Nous trouvons une plage qui en haute saison doit fourmiller de monde mais qui en cette saison n’est même pas fréquentée par les rentiers qui peuplent les hôtels de basse saison et qui n’osent pas trop s’aventurer. Heureusement pour nous.
C’est ainsi que nous passons une journée bien sage à nous faire bronzer, à nous mettre de l’ambre solaire mutuellement. Il va de soit que là, elle ne se gène pas et d’amblée, son bikini devient un monokini.
- Quand tu me mets de l’ambre solaire dans le dos, c’est comme si tu me caressais.
Me dit-elle. J’avoue que, lui mettre de l’huile solaire sur les épaules, le dos, descendre sur ses fesses et continuer sur ses longues jambes fines. Ça ne me donne pas envie de jouer le lourdaud malotru mais bien au contraire lui montrer que j’apprécie suffisamment son corps pour savoir être très prévenant avec elle. Surtout quand après avoir huilé convenablement ses jambes, mes mains remontent entre ses cuisses qu’elle entrouvre légèrement pour laisser passer mes doigts à l’intérieur de ses cuisses avant de continuer leur course dans la raie de ses fesses…
La première fois que j’ai fais cela j’ai senti ses fesses se crisper pour se resserrer mais vers la fin de journée, elle s’est décontractée et mes doigts glissaient maintenant plus profondément entre ses fesses ravissantes.
Je lui écartais maintenant les fesses et caressais imperceptiblement le fond de sa fente mais elle sentait ma caresse et soulevait furtivement son bassin de la serviette de bain… ses fesses huilées brillaient au soleil.
Elle ne m’a pas laissée lui mettre de l’ambre solaire sur la poitrine, c’est dommage, j’aurais bien aimé sentir sa poitrine bien ferme dans le creux de mes mains, seul le vent audacieux à eu la chance de les effleurer… suffisamment pour que ses mamelons se durcissent.
Lorsqu’elle me met de l’ambre solaire, elle m’avoue apprécier le fait que mon corps soit épilé et vers la fin de la journée elle m’avoue condamner le fait que mon maillot de bain soit trop grand. Hop là…. Plus petit que le slip de bain que je porte, il n’existe que le string.
- Si cela te fait plaisir je peux en acheter un plus petit ce soir dans une des boutiques de l’hôtel ou du village.
En guise de réponse elle me sourit et m’offre m’envoie un bisou par la voie des airs.
De retour à l’hôtel elle me dépose à la réception.
- Je crois que monsieur n’a pas de temps pour me mettre de l’après soleil… monsieur veut faire des emplettes… à demain.
- Mais… mais…
Elle a déjà tourné le dos et se dirige vers sa chambre.
Je vais aussi dans ma chambre prendre une bonne douche froide… disons 20° et après cela je me rends dans les boutiques de l’hôtel ou je trouve ce que je cherche : un string (pour homme) juste mini, mini, je dirais presque un cache sexe, un triangle bien formé pour recevoir ma verge et mes testicules tenu par une ficelle élastique à la taille et au lieu d’avoir l’une ficelle dans la raie des fesse, il y a deux ficelles qui parte de chaque coté de mes fesses pour rejoindre la taille, il est tellement mini qu’il ne me cache même pas mon petit trou, les deux ficelles partent juste de dessous mon sexe.
Je rentre à mon hôtel et téléphone à Joëlle pour lui annoncer que j’ai trouvé ce que je pense qui va lui plaire et l’invite à diner avec moi, invitation qu’elle refuse pour mieux se reposer après cette longue journée à la plage.
Et nous prenons rendez-vous pour le lendemain matin.
Je prends le petit déjeuné avec Joëlle. Elle est vraiment à croquer dans une minirobe moulante qui découvre ses longues jambes. Sa taille est rehaussée par une ceinture faite de chaînes de différentes longueurs qu’elle porte, les unes nouées, les autres fermées par un mousqueton.
- Alors, on y va maintenant je suis impatiente de découvrir ce que tu as acheté hier soir…
- J’espère que cela va te plaire.
- Est-ce que tu vas trouver une plage aussi tranquille qu’hier ?
- Je pense que oui, il y en a suffisamment.
Nous nous rendons sur une autre plage, plus précisément une petite anse comme ils disent ici : du beau sable fin, quelques cocotiers et quelques arbustes sous lesquels nous nous installons, avec une mer quelque peu agitée avec de belle vague mais surtout, à cause de la mer qui est souvent forte et n’invite pas vraiment à la baignade l’assurance de la tranquillité car ce que veulent les touristes, c’est se baigner.
Pendant que j’étends les draps de bain sur le sable, elle retire les chaînes qui ornent sa taille puis sa minirobe … elle ne porte que le string de son bikini.
- Allez dépêche toi, je suis déjà prête.
- Juste un petit moment.
Je retire mon teeshirt puis mon short, j’ai moi aussi mon maillot de bain sous mes vêtements… elle me voit de face.
- Il ne semble pas mal, tourne-toi que je voie s’il est plus petit que le maillot de bain de grand-père que tu portais hier.
- Tu exagères un peu sur mon maillot d’hier…
Je me tourne, un peu gêné quand même.
Elle siffle comme un mec qui siffle pour se faire retourner une nana.
- Pas mal, c’est vraiment mieux qu’hier… vient me mettre de la crème.
Elle est allongée sur le dos. Je m’’empresse mais avec beaucoup de discrétion à lui mettre de l’ambre solaire… lorsque je remonte mes mains entre ses jambes pour lui mettre de l’huile entre les cuisses, celles-ci s’ouvrent largement laissant mes mains libres de passer et repasser et de remonter très haut entre ses cuisses, je frôle même le tissu qui cache son sexe…
Mes mains remontent alors sur ses fesses qui ne cherchent pas à résister à la pression de mes doigts qui glissent dans la raie entre ses fesses, elle soulève son bassin de la serviette, ses fesses s’ouvrent… Oh quelle vue magnifique… je n’ai pas le temps de regarder comme j’en aurais envie, elle se rallonge de nouveau sur sa serviette, resserre ses jambes et se tourne sur le dos.
- Met-moi de l’huile aussi sur le ventre.
Ce n’est vraiment pas besoin de me le dire deux fois, moi qui ai rêvé de cela hier…
Je m’applique à bien lui huiler le ventre puis le bas du ventre jusqu’au triangle qui protège son sexe et je continue à descendre sur ses jambes puis ses pieds. Je recommence à lui mettre de l’huile solaire juste sous la poitrine… mes mains glissent sur ses seins, mes doigts se saisissent légèrement ses tétons durcis qui pointent encore plus sous mes caresses… elle respire fortement pour augmenter le volume de sa poitrine mais peut-être aussi pour sentir mes caresses. Je suis à genoux dans le sable.
- Ne prends pas trop ton temps sinon tu vas prendre un coup de soleil sur tes fesses, elles ont besoin de ma protection.
Je m’étends sur ma serviette, les bras allongés par-dessus ma tête, elle verse un petit filet d’huile solaire sur mon dos et je sens ses mains étendre cette huile sur mon reins, mes épaules, mes bras.
- Tes mains sont vraiment douces…
- Elles peuvent l’être encore plus, j’espère pouvoir te le montrer.
Elle verse maintenant de l’huile sur mes jambes, ses mains vont et viennent de mes chevilles jusqu’à la base de mes fesses.
- Ecarte tes jambes.
Je la sens presser ses deux genoux entre les miens, je suis obligé de lui obéir. Elle est à genoux entre mes jambes écartées. Elle remonte entre mes cuisses ce qui m’oblige à écarter encore plus mes jambes.
Elle recouvre maintenant mes fesses d’huile qui ruisselle entre mes fesses. Ses mains caressent mes fesses huileuses, elle glisse ses doigts entre mes fesses que je serre fortement.
- Ne fait pas le coincé, je ne veux pas te faire de mal.
Elle me saisit alors par les hanches, me tire contre ses genoux, ce qui signifie sans équivoque qu’elle veut passer ses genoux sous mes cuisses… respectivement sous mon ventre…
Sa demande est tellement autoritaire et irrésistible que je glisse délicatement sur ses genoux…
Dans cette position mes fesses surélevées sont naturellement écartées.
- Je dois avouer que ton maillot de bain te va à ravir, il me plait très bien
- C’est pour qu’il te plaise que je l’ai choisi.
Je sens ses doigts glisser impétueusement dans la raie entre mes fesses puis masser mon anus que je serre autant que je le peu.
En même temps, ses pouces me malaxent entre les cuisses, je suis tout excité, le triangle de mon maillot de bain se dresse malicieusement et presses contre ses genoux.
Je rassemble mes bras dans le dos et cherche avec mes mains à écarter ses doigts baladeurs.
- Si tu ne me laisse pas faire, je t’attache les mains.
- Non, tu ne vas oser.
- Remet tes bras au dessus de ta tête. Si tu les rebaisse de nouveau je t’attache. Mais je crois qu’il est temps que je te mette de la crème sur le ventre.
- Non, pas encore, tu as le temps.
- C’est vrai ? Tu aimes quand je m’occupe de ton cul ? Pourquoi est tu aussi crispé ? Détend toi maintenant.
Comment me détendre quand je sens qu’elle cherche absolument à glisser ses doigts dans mon anus. Ses caresses se font de plus en plus précises, trop précise à mon gout. Je ne sais pas si c’est par réflexe ou bien si c’est volontairement, je baisse de nouveau mes bras pour écarter ses mains de mes fesses.
- Bon, je t’ai prévenu, de toutes façons, tu as envie que je t’attache.
- Non, et en plus de ça, tu n’as rien pour m’attacher.
- Tu te trompes…
Elle me fait descendre de dessus ses genoux, j’en profite pour resserrer mes jambes.
Elle se saisi des chaînes qui tout à l’heure décoraient sa taille ainsi que de son sac à main puis impitoyable, elle s’assied sur mes jambes, l’intérieur de ses cuisses glisse sur les miennes, un contact magique.
De son sac à main, elle sort plusieurs cadenas puis elle passe une chaîne autour de mes poignets et ferme le tout avec un cadenas. Elle remonte mes bras dans mon dos et fixe la chaîne après mes épaules. Elle fixe une autre chaîne à ma cheville droite et la fixe à un arbuste.. elle fait la même chose avec mon autre cheville mais cette là, elle écarte mes jambes grandes ouverts avant de fixer la chaîne à un autre arbuste.
- Si tu veux que je te détache, dis le moi.
- Tu le feras vraiment ?
Elle se replace entre mes jambes et glisse ses genoux sous mon bassin.
Mon derrière lui est complètement offert. Ses doigts glissent sur mon anus.
- Je ne crois pas que tu en aies envie, alors je crois que je déclinerai ta demande.
Je sens un doigt se glisser dans mon petit trou que je serre fortement mais qui est tellement lubrifié que je ne peux opposer aucune résistance.
Je me tortille pour essayer de lui échapper mais il n’y a rien à faire.
- Je vois que tu aimes ça. Ça ne fait que commencer.
Je n’ose imaginer la suite et vous ?
Racontez là moi…

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