Au bout du monde - 10

- Par l'auteur HDS Ingyt -
Récit érotique écrit par Ingyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Au bout du monde - 10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au bout du monde - 10
Le vernissage

Luce était assise sur le sofa très exciter et jouait avec mes seins, moi, à genoux au-
dessus d’elle, je tenais fermement ça bite d’une main entre mes cuisses pour
m’enculer. Je sentis très bien cette fois mon anus se dilater et le gland s’y faufiler
aisément en se compressant bien lubrifier par ma salive. Si facilement en fait que
j’en fus surprise, moi qui avais tant stresser a essayé la sodomie et c’était si
agréable de me sentir pénétrer par le cul et si excitant que ma bouche s’entrouvrit et
que je commençais déjà a gémir faiblement le corps parcourue de délicieux frissons. Ça
m’agaçait terriblement et me faisait mouiller en abondance.

Luce avança la tête et entreprit de me soulever les seins à deux mains pour les
presser ensemble et me sucer les mamelons coller l’un contre l’autre en les agaçant du
bout de la langue rajoutant a mon plaisir. Mon corps fut parcouru de frissons
fantastiques. Ma vulve gonflée était des plus humide contre mon poignet écrasant mon
clito, rajoutant a tout ce que je ressentais. Des que le gland commença a entré dans
mon rectum, je lâcher sa hampe pour m’agripper fermement a ses épaules en finissant de
m’empaler lentement sur son membre dur jusqu’a ce que je me retrouve bien assise sur
ses cuisses. Cette fois je n’étais pas saoule, contrairement à hier soir, et j’allais
me souvenir de tout et j’aimais ça. Oh oui ! Je rester sans bouger un moment pour
mieux sentir mon anus dilater qui pulsait contre ça bite enfoncer complètement entre
mes fesses. C’était si étrange comme sensation et en même temps si agréable que je
compris que je n’hésiterais jamais à le refaire, pas avec Luce en tout cas. J’adorais
m’y faufiler un doigt parfois en me masturbant ou qu’on me le fasse mais une bite,
c’était nettement mieux, mais pas trop grosse. Cela m’excitait et m’agaçait
terriblement en plus des lèvres et de la langue de Luce qui me titillait les mamelons
presque trop sensibles m’arrachant des grimaces. Je gémissais les yeux quasi fermer en
soulevant les fesses et les rabaissant, commençant à m’enculer lentement savourant
chaque seconde de cette pénétration anale. Luce cessa de me sucer la pointe des seins
sans arrêter de me les malaxer pour me dire les yeux mis clos elle aussi :

— Tu y prends goût on dirait ?

Je stopper un instant, bien assise sur ça bite pour onduler des hanches, cela me
chatouilla l’anus et je lui caresser la poitrine a mon tour en répondant la voix un
peut rauque :

— Oui, j’aime ça, mais... Mais hier j’avais trop bu, j’ai tout oublié.

Elle sourit un peut surprise en plissant un plus les yeux, peut-être parce que je lui
agaçait les mamelons avec mes pouces comme elle me le faisaient.

— Oh ! C’est donc une autre première fois !

— Hum ! Fi-je presque les larmes aux yeux tellement j’appréciais.
— Et t’as regardé le film pour te rafraîchir la mémoire, c’est ça que tu faisais au
petit lac ?

La, je souris un peut embarrasser. Oui, c’est ce que j’avais fait ce matin sur mon
ordinateur pendant qu’elle dormait, pas loin de la roulotte au bord de cette mare aux
grenouilles et cela avait mal tourner. Je m’étais fait attaquer par une colonie de
fourmis. Mon corps en portait les traces, j’étais recouverte de petits picots rouges
virant au brun.

— WAIS ! C’est ce que je faisais.
— Oh ! Et, ta jouis avant de te faire attaquer ?
— Ça oui.

Elle me regarda avec un petit sourire moqueur tandis qu’on se pelotait les seins et me
demanda :

— J’aimerais voir le film, ce soir après mon vernissage.

— On verras, dis-je en lâchant sa poitrine pour croiser mes mains sur sa nuque en me
penchant pour l’ambrasser à pleine bouche langue sortit. Elle en profita pour frotter
nos mamelons ensemble, j’en frémis de la tête aux pieds en sentant mon clitoris durcir
contre son pubis sans poil tout comme le mien.

Tandis que nos langues se tortillaient l’une contre l’autre et que je mouillais de
plus en plus, cette fois, c’est le téléphone de Luce qui sonna poser sur la table de
salon. Je me redresser en ravalant ma langue me léchant les lèvres les yeux brumeux
tandis quelle étirait le bras pour agripper son appareil. J’en profiter pour me
masturber, toujours bien assise sur ça bite qui pulsait en moi. Dès que mes doigts
effleurèrent mon clito y faisant des pressions un petit orgasme éclata dans mon bas
ventre et me fit crier et me tordre de plaisir en tremblant. Encore un ! Cela faisait
4 ou 5 depuis mon réveil. Luce plaqua rapidement sa main libre sur ma bouche en
répondant tandis que mon anus se contractait contre sa hampe et que je me tortillais
en gémissant contre ses doigts. Griser de plaisir je ne put m’empêcher d’accentuer mes
pressions sur mon pubis...

— Oui... Répondit Luce... Salut ! Oui... On va être là, a 7 h pile... oui... promis...
ah oui... OK ! À ce soir. Bye !

Elle reposa son téléphone en disant :

— C’était là...

Étourdit par un nouvel orgasme nettement plus puissant celui-là je me pencher vers
l’avant tout d’un coup et mon front heurta son nez délicat avant que mon visage ne
glisse sur son épaule.

— Outch ! Fit-elle tandis que je jouissais bouche ouverte, manquant d’air. La bite
entre mes fesses sortit de moitié accentuait tellement mon plaisir que j’en tremblais
des cuisses. Elle me caressa le dos et les fesses en riant tandis que je frissonnais
et reprenait mes sens peut a peut sentant mes seins traîner sur les siens. Toutes ses
sensations nouvelles pour moi me rendaient folle de Luce. Son corps de fille et sa
belle bite.

— T’es vraiment dangereuse Julie. Me dit-elle a l’oreille.
— Merde ! Fis-je contre son épaule, les yeux larmoyants. Désolé !
— Ça va, mais bouge ma belle ! M’ordonna-t-elle en plantant ses doigts dans mes fesses
pour que je me démène ?

Je le fis en gardant le visage sur son épaule, m’empalant sur sa queue dure sentant
son gland presque sortir de mon cul, ça, ça me fit frissonner et c’était si bon de
sentir son membre aller et venir par là, que je faillis jouir a nouveau. Je n’aurais
jamais cru que c’était si agaçant de se faire prendre par le cul, si jouissif. Mes
fesses un peu molles heurtaient ses cuisses avec force et soudain je la sentis
éjaculer. Encore une étrange sensation tandis que je continuais à me démener en
sentant chaque giclée de sperme jaillir dans mon derrière. Cette fois, c’est elle qui
gémissait en me serrant contre elle jusqu’à ce qu’elle me force à stopper et on resta
comme ça, souder l’un à l’autre à reprendre notre souffle tous les deux.

Je fermer les yeux, le coeur battant, réalisant pleinement que je venais de me faire
éjaculer dans le cul pour la deuxième fois a 50 ans. Au bout d’un moment elle dit :

— C’était la proprio de la galerie, elle stresse, elle a peur que je ne me présente
pas à mon vernissage.
— Je sais, j’ai promis de t’y traîner de force s’il le fallait. Murmurai-je a son
oreille me sentant si bien que je serais resté comme ça toute la journée a sentir ça
bite dans mon cul et ses longues mains me caresser le dos et les fesses.
— Le maire vas être la, sa femme meurt d’envie de te rencontrer, et tout le gratin du
village.
— Merde. Murmurai-je à son oreille. Qu’est-ce que je vais mettre ? Je ne peux pas
porter la belle robe que tu m’as achetée. Même avec bas nylon noir mes morsures de
fourmis vont paraître, sans parler de mes égratignures sur les seins et de mes autres
blessures.
— J’ai une grosse malle en bas remplie de vêtements. T'inquiètes pas on va te trouver
quelque chose la bombe. Ça va ? Pas de douleur.
— Oh oui ça vas ! On le refait quand tu veux. J’aime vraiment ça !
— J’ai l’impression de rêver Julie.

Je me redresser doucement, sentant son membre reste dure palpiter dans mon ventre me
sentant encore un peut groggy par mes orgasmes. Je lui pris le visage en disant :

— Si c’est un rêve Luce, je ne veux vraiment pas me réveiller.

Elle sourit et se plaqua contre moi pour me serrer fort, comme une enfant qui
s’accroche a sa mère. Le menton sur sa tête, en caressant ses cheveux et son dos
osseux, j’avais l’impression de rêver moi aussi. Tout s’était passé si vite entre elle
et moi en plus de cette histoire de téléphone avec ma meilleure amie. Non, je ne
voulais vraiment pas me réveiller. Je me sentais trop bien avec elle, là, assise sur
elle avec sa queue entre mes fesses. C’était fantastique. Mais au bout d’un moment
j’eus envie d’uriner, je soulever les fesses pour laisser sortir ça bite toujours dure
de mon cul mais elle dit :

— Attends, ça risque de couler, accroche-toi.

Surprise, je la sentit se lever sans me lâcher et croiser les bras sous mes fesses
pour me supporter très facilement tandis que, le sourire aux lèvres je m’accrochais a
sa nuque en passant mes pieds derrière ses cuisses comme je le faisais avec mon ex
quand il voulait me baiser debout ou contre un mur. Sauf que la, je sentais mes seins
écraser des seins et que j’avais une bite dans le derrière au lieu du vagin et ça me
fit gémir de plus belle aux moindres mouvements.

— Ouuuu... on recommence, murmurai-je à son oreille. Good !
— Ne le prend pas mal Julie mais t’es un peut lourde, dit-elle moqueuse en m’amenant
comme ça aux toilettes.
— Je le prends très mal. Répondis-je amuser et agacer par son membre qui remuait en
moi à chaque pas en lui mordant légèrement un lobe d’oreille.
— Outch !
— Ce n’est pas quelque chose à dire à une dame qui a eu la gentillesse de se laisser
enculer ma belle.
— C’est toi qui as commencé je te rappelle la vedette.
— Une autre croquée ?
— Non, ça vas.

Elle rit en me déposant au dessus du bol et des que je poser les pieds par terre et
quelle se retira, j’en frémit les yeux tout petit.

Gadget

Après le souper, alors que le soleil se couchait derrière les montagnes, je riais
comme une folle en regardant Luce tourner en rond dans la roulotte en prenant une
bière. Elle avait changé de perruque et était maintenant rousse. Un roux plus
prononcer que le mien mais de dos je croyais m’apercevoir. Je réaliser que l’on
pourrait facilement passer pour des soeurs. Même taille, même silhouette. On était
prête à partir pour son vernissage, habiller et maquiller. Comme il y avait l’air
climatiser a la galerie j’avais décider d’enfiler un jean bleu pale pour cacher mes
blessures, une blouse saumon a peine déboutonner, un superbe tailleur noir et les
souliers que Luce m’avait achetés. Elle, elle ne portait que du noir ; mini jupe avec
des bas nylons a motif qui lui faisait de sacrer belle jambe, un tailleur également,
mais, au lieu d’une blouse, elle avait opté pour un t-shirt des Pretenders et comme
pour bien démontrer qu’elle était une artiste elle avait gardé ses runnings blanc et
noir a motif de crane ricanant. Elle était superbe et moi aussi, des vraies bombes
toute les deux, des bombes de 50 ans et plus mais encore plutôt minces et sexy.

— Arrête de tourner en rond Luce tu m’étourdis. Lui dis-je en m’accrochant de gros
anneaux aux oreilles.

Elle stoppa en prenant une gorgée puis me regarda avec un petit sourire en coin et dit
:

— J’oubliais ton cadeau.
— Ah ! Fis-je surprise. J’adore les cadeaux ma belle.
— Vient, fit-elle en m’entraînant par la main dans la chambre où l’autre air
climatiser ronronnait.

« Ce soir on va bien dormir » Pensai-je en la regardant prendre le sac du sex-shop
puis s’asseoir sur le lit en l’ouvrant.
— Enfin, dis-je planter devant elle, je vais savoir ce qu’il y a là-dedans.
— Baisse ton jean et ta petite culotte, m’ordonna-t-elle en sortant du sac ce qui
ressemblait à deux raisins mauves en plastique moue relier par un minuscule fil
électrique de la même couleur. Je plisser les yeux intriguer, je me demandais quelle
utilisation on pouvait faire de ses petits raisins. Je savais a quoi servait des
boules chinoises mais ça, c’était vraiment trop petit à part pour se les fourrer entre
les fesses et même la...


Je regarder l’heure a ma montre vert fluo en protestant.

— Pas question ma belle, on a juste le temps de se rendre là-bas. On essaiera tes
petits gadgets érotiques en revenant.
— Culotte et slip aux genoux la bombe ou je reste ici, ça ne prendra qu’une minute.
— T’es pas sérieuse ?
— Absolument.

Je soupirer en la regardant me fixer avec un sourire en coin avant d’amener un des
petits raisins a ses belles lèvres couvertes de rouge et de le sucer comme un bonbon.
Juste de la voir faire me donna le frisson et aussi d’imaginer ce quelle pensait me
faire avec ça. J’étais une femme alors elle avait le choix, vagin ou anus ou les deux,
mais je voyais mal le plaisir d’avoir ses petits bidules en moi. Mais s’il y a une
chose que je déteste c’est d’être en retard alors...

— Seigneur, fis-je en me déboutonnant baissant jean et slip sur mes cuisses, une
minute pas plus l’obséder.

Me retrouver nue fesses devant elle me donna tout de même la chair de poule et me fit
sourire Elle sortit le raisin de sa belle bouche et dit :

— Écarte un peu les cuisses Julie et ouvre ton sexe.

Je déglutis d’entendre ça et je le fis, exciter, agrippant mes grandes lèvres pour les
ouvrir et les étirer en écartant un peut les cuisses et projetant mon bassin vers
l’avant. Le simple fait de me toucher et de me voir faire ça juste sous ses yeux me
fit mouiller. Je fixais le raisin luisant de salive qu’elle tenait à présent entre son
pouce et son index aux ongles long et couvert de rouge. Elle l’amena contre mon sexe
en souriant, dès qu’elle me toucha, j’en frémis bien malgré moi en serrant les fesses.
Elle le plaça à l’entrée de mon vagin et le poussa profondément a l’intérieur avec son
index. Je mouillais déjà plus, les yeux mis clos en me mordillant les lèvres car
c’était vraiment agréable. Je sentis juste son doigt entré jusqu’a la jointure et
remuer un peut glissant l’objet le plus loin possible dans mon vagin, cela me mit dans
tous mes états et me fit durcir la pointe des seins dans mon soutien-gorge et même mon
clitoris. Puis, elle sortit son index luisant de cyprine de ma vulve et m’ordonna de
me retourner. Je lâcher mes grandes lèvres, gonflé et luisante et me frotter un peut
le sexe touchant le fil qui en sortait sentant un peut l’espèce de raisin en moi mais
à peine tandis que l’autre pendait entre mes cuisses. Je me retourner, exciter tout de
même en comprenant que l’autre raisin était pour mon derrière en disant :

— Tu rêves ma belle si tu t’imagines que je vais garder ça la pendant le vernissage.
— Penche toi beau cul et écarte les fesses.

Je le fis, obéissante, me penchant dos a elle en agrippant mes fesses pour les
écarter, de plus en plus troubler de lui offrir cette vue imprenable sur mon anus
moite que je sentais si bien en repensant a la pénétration anale de ce midi et au
plaisir que j’y avais ressenti. Mon petit trou pulsait et elle cracha dessus et poussa
la salive a l’intérieur avec un doigt en le tournant, son majeur apparemment. Je le
deviner en sentant ses jointures toucher mes fesses. Je gémissais faiblement tellement
ça m’agaçait et me faisait mouiller et fut déçu de sentir le doigt déjà ressortir. Je
sursauter un peut quand l’autre bidule glissant de salive fut poussé, toujours avec un
seul doigt, profondément dans mon anus jusqu’a mon rectum, me procurant de délicieuses
sensations qui me firent grimacer de plaisir a nouveau et fléchir les genoux. Dieu que
j’aimais ça ! J’en oublier pour un instant le vernissage tandis que mes genoux se
frappaient et que je gémissais. Quand le doigt ressortit lentement, j’en tremblai des
cuisses en expirant fortement en ressentant encore une fois de la déception. Je
réalisais que j’aurais bien aimé qu’elle m’encule à nouveau. Je sentais très bien à
présent les deux raisins en moi et le fil qui les reliait et c’était, ma foi, assez
agréable et un peut dérangeant, mais pas trop. Puis Luce me tapota les fesses en
disant :

— Reculotte toi la bombe, ces pas si terribles non ?

Je me redresser en me retournant pour remonter slip et jean un peut en chaleur, même
pas mal. Je les sentais bien, le fil surtout contre mon anus, ça agaçait mais ce
n’était pas si inconfortable, au contraire, c’était excitant, grisant, surtout de me
balader avec ça, de rencontrer des gens. Je m’étais déjà faite à l’idée de porter ça
ce soir, moi, Julie Demers. Je n’en revenais pas, mais c’était amusant, grisant.

— Vicieuse, lui dis-je en me reboutonnant tout sourire, le visage rougit. Et toi ?
— J’ai les même, dit-elle en fouillant encore dans le sac, mais les deux dans le
derrière évidemment.

Surprise, je la vis sortir deux minuscules télécommandes ; une mauve comme mes
raisins, l’autre orange, qu’elle me tendit. J’avais déjà compris à quoi elle servait.
Il n’y avait qu’un seul bouton sur le quelle était écrit start/stop. Un sourire aux
lèvres j’appuyai dessus, Luce se raidit aussitôt en croisant les cuisses se mordillant
les lèvres les yeux tout vicieux. On n’entendait pas le moindre son. Elle appuya sur
le bouton de la mauve, aussitôt je sentis les deux raisins vibrer en moi et si près
l’un de l’autre qu’ils semblaient se toucher par la mince paroi anale. Bouche ouverte,
les yeux tout ronds, je serrai les cuisses et les fesses de plaisir en mouillant
encore plus. J’en avais des frétillements dans le bas ventre, ça agaçait tellement que
remontait jusqu’à la pointe de mes seins.

Luce riait a me voir me tortiller comme si j’avais envie de pisser en appuyant a
nouveau sur le bouton. Les vibrations cessèrent aussitôt. Je soupirer longuement un
put déçut tout de même en me frottant la fourche et dit :

— Merde !
— Tu pourrais stopper le mien, bander en jupe c’est gênant.

Je le fis en voyant sa bite qui soulevait légèrement sa mini jupe. Je saliver en
rêvant de m’asseoir dessus et de me mettre en sentant les vibrations. Mais on n’avait
pas le temps.

— Seigneur ! T’es malade Luce, je ne vais pas garder ça pour aller là-bas ? Protestai-
je pour la forme.
— Oh oui ! Parce que c’est agréable et aussi parce que si je te fais le coup de
démarrer ça en public tu me ferais bander devant tout le monde en me rendant la
politesse. Personne ne sait que j’ai une bite, sauf celles que j’ai baisées au village
évidemment. Alors ne t’inquiète pas, je ne ferais jamais ça. Mais après, on va bien
s’amuser. Et puis... tu ne trouves pas ça excitant de juste les sentir et de les
savoir là, en public?

Je la regarder un moment en me mordillant les lèvres goûtant mon rouge en souriant de
malice. Elle avait raison, sentir ses gadgets en moi pendant le vernissage
m’exciterait terriblement, j’en avais même déjà la chair de poule. Encore du nouveau
dans ma vie sexuelle. Je soupirer et dit en la pointant du doigt.

— OK, mais si jamais... Je t’assomme pour de vrai en revenant. À bien y penser remets
les télécommandes dans le sac. Elle le fit. Bon, on se remet du rouge et on file, le
temps passe ma belle.

Elle se leva pour m’enlacer et m’embrasser longuement. Je me sentis devenir toute
molle en serrant contre moi cette belle grande fille ne pouvant m’empêcher de glisser
une main sous sa jupe sur ses fesses pour palper par-dessus son slip sa craque de
fesses. J’y sentis un bout de fil et cela me fit sourire. Elle embrassait si bien et
je sentais si bien ça bite encore dure contre on ventre que la tête me tourna et que
je faillis la jeter sur le lit.

Vibrations

Une fois stationner au village, en marchant dans une petite rue tranquille vers la
galerie brillamment éclairer dans la pénombre du soir, je sentais les raisins à chaque
pas, le fil surtout qui m’agaçaient et j’adorais. Je me sentais vicieuse, lubrique et
ça me donnait des chaleurs. Et soudain, Luce que je sentais très nerveuse et qui était
resté très silencieuse depuis notre départ stoppa, pale comme un fantôme en disant:

— Désolé Julie, je... je ne peut pas...

Stupéfaite, je la regarder s’en retourner a grand pas vers la voiture. Elle succombait
aux stress de son premier vernissage. Je la comprenais bien, surtout que c’était des
oeuvres érotiques.

— Oh non Luce ! Dis-je en courant pour la rattraper par un bras et me planter devant
elle. Elle tenta de me contourner mais je lui barré la route aussi efficacement qu’un
agent des douanes extrêmement soupçonneux.

— Seigneur Luce, personne ne vas te manger là-dedans, au contraire. Ce que...

Elle se tourna subitement pour se plier en deux et vomir sur le trottoir. Sa mini jupe
remonta jusqu’à dévoiler la bande décorative de ses bas nylons et même le dessous de
ses fesses et ses slips gonfler par les couilles. Heureusement la rue était déserte et
sombre mais je me placer tout de même derrière elle. Je lui caresser le dos en
compatissant, je savait trop bien ce qu’elle ressentait. La même chose m’arrivait
souvent avant de débuter une émission en direct. Je sortis des papiers mouchoir de mon
sac pour qu’elle s’essuie la bouche quand elle se redressa.

— Ça m’arrive souvent Luce avant une émission, c’est le stress.
— C’est vrai ? Fit-elle les larmes aux yeux.

Je lui donner un autre papier mouchoir pour qu’elle essuie ses larmes.

— Oh oui ! Affirmais-je en sortant cette fois mon rouge pour lui en remettre.
— Tu vomis ?
— Et oui, même après 20 ans de carrière j’ai toujours le stresse. Pousse tes jolies
lèvres en avant.

Elle le fit me faisant sourire et je rajouter en appliquant le rouge :

— Je suis la Luce t’inquiètes pas, ça vas bien se passer. Bon, t’es superbe. On y va ?

— Mes yeux sont corrects ?
— Oui, aller, viens ? On est en retard ma belle.

Elle acquiesça simplement en me fixant avec ses grands yeux troubles. C’était si
touchant de la voir dans cet état, elle semblait si fragile que j’aurais voulu
l’enlacer pour la rassurer mais pas en pleine rue comme ça au risque d’être vue.

Juste avant d’entrer elle inspira profondément et me sourit, j’ouvris la porte en la
poussant doucement devant moi, pas question de lui voler la vedette c’était ça soirée.
La galerie était bondée et on l’applaudit chaudement. La proprio la présenta et les
gens, bienveillants, se firent un devoir d’aller lui serrer la main et de la
complimenter avant de venir me voir. Je serrer la pince a un maire sympathique,
bedonnant, a moitié chauve et grisonnant et a sa femme, superbe en robe de soirée la
chanceuse et plutôt ronde la dame. Tous les deux étaient très fiers de m’accueillir
dans leur municipalité et déçut d’apprendre que je repartais déjà demain mais je
m’empresser de les rassurer en leur disant que j’allais revenir bientôt. Puis on passa
dans la salle ou étaient exposées les oeuvres de Luce qui avait repris des couleurs.
Je pris soin de rester en arrière tandis que les gens s’exclamaient et appréciaient
son travail magnifique et ils appréciaient vraiment. J’avais assisté a des tas
vernissage dans ma longue carrière et vu tellement de pédant, fendant, faire semblait
d’aimer tel ou tel chose que je les repérais facilement mais ici, loin du gratin de
Montréal, ce n’était pas le cas et j’en étais vraiment heureuse pour Luce. Accaparer
de toute part on la félicitait on la questionnait et, fidèle a elle même, elle
souriait et répondait timidement en me jetant parfois de petits regards et je lui
faisais des clins d'oeil complices. Et cette belle grande rousse attisait les regards
des maris, cela me fit sourire.

— Bonsoir Mme Demers.

Je tourner la tête pour apercevoir la propriétaire de la galerie. Une femme de mon
âge, très ronde, que j’avais rencontrée hier et qui avait le même prénom que moi,
Julie, mais tout le monde l’appelait ma tante Julie, une femme très sympathique
d’ailleurs. Elle portait un tailleur marine, jupe noire et blouse blanche semi-
transparente dont la boutonnière semblait vouloir éclater sous la pression de ses
seins énorme. La voir me troubla quelque peut car il y avait une illustration d’elle
sur les murs que j’avais regarder de très près hier sans savoir que c’était elle car
son visage n’était pas visible. J’avais examiné intriguer ses seins ballons dont les
bouts, étrangement, étaient rentrés par en dedans laissant deux petits trous au centre
des mamelons. Je n’avais jamais vu ça et elle m’avait surprise le nez presque coller à
l’image. Elle me donna un verre de vin rouge tandis que je ne pus m’empêcher de jeter
un coup d’oeil à son opulente poitrine. J’en fus aussitôt embarrassé car moi, je sais
très bien quand quelque’ un me regarde les seins, même du coin de l’oeil. Mais cela
avait été plus fort que moi car elle me faisait penser à Marie.

— Merci ! Dis-je. Vous pouvez m’appeler Julie.
— Et bien c’est un succès Julie, on lève nos verres à Luce.
— À Luce !

On frappa nos verres avant de boire, le vin était délicieux.

— Alors, me dit-elle tout bas les yeux pétillant, elle ne voulait pas venir je paris ?
— Non, heureusement que j’étais la, sinon...
— J’aurais dû aller la chercher dans son coin perdu. Merci Julie.

Je me contenter de sourire en buvant ne pouvant m’empêcher de penser, en ressentant de
la jalousie, qu’elle et Luce baisaient ensemble ou l’avait fait en tout cas et elle
rajouta :

— Je suis si heureuse pour elle.
— Hum ! Moi aussi.
— Je suis très heureuse également qu’elle vous ait comme amie Julie, vraiment, elle le
mérite, dit-elle les yeux petits river sur les miens. Ils étaient d’un gris bleu
fascinant et elle me fixait si intensément que cela me troubla.
— Ça vous fait quoi de vous savoir regarder nue ? Lui demandai-je tout bas.
— Oh ! Fit-elle en jouer. Ça donne le frisson et puis c’est agréable d’entendre les
commentaires des gens sur son corps sans qu’ils sachent que ces vous. Ils me trouvent
joli comme toutes les autres. Toutes ses belles rondes. Le plus drôle c’est que tous
les modèles de Luce, ou presque habitent ici au village et personne ne le sait. Il y
en a une autre ici ce soir d'ailleurs.
— Laquelle, demandais intriguer.
— La femme du maire. Dit-elle tout bas.

Mes yeux s’écarquillèrent de surprise.

— Et vous, elle vous a posé ? Me demanda t-elle.

La question me prit de court et m’embarrassa quelque peut.

— Oui ! Avouai-je du bout des lèvres. Mais... pas pour une exposition.
— Dommage, vous êtes si belle. C’est anonyme, on ne voit pas de visage, vous devriez
essayer, ça vous plairait. J’aimerais bien voir les...

Un groupe vint nous rejoindre intéresser à acheter quelques tableaux. Je la regarder
s’éloigner avec eux en réalisant quelle savait qu’il se passait quelque chose entre
Luce et moi, que nous étions plus que des amis. Décidément j’aimais bien cette femme.


Un peu plus tard les gens s’éparpillèrent dans les différentes salles en prenant du
vin et on me prit d’assaut. Je serrais les mains et répondaient aux sempiternelles
mêmes questions sur mes émissions et tout ça en sentant les satanés petits raisins.
Puis je me prêter avec joie a des séances de pose avec Luce, le maire et son épouse
pour la journaliste locale elle aussi très sympathique en sentant constamment ma
culotte humide me collant a la fente sans parler de mon anus moite.

Alors que je prenais un verre de vin encercler par quatre femmes dont celle du maire
avec qui je discutais et qui était une vrai fan de moi les maudits raisins se mirent à
vibrer. J’écarquillai les yeux aussitôt en serrant les cuisses, un genou fléchit. Les
vibrations s’étendaient jusqu’a mon anus et bien profond dans mon vagin, ça remontait
même jusqu’a la pointe de mes seins qui enflèrent. Je resserrai mon tailleur mine de
rien pour que personne ne s’en aperçoive en me sentant les joues en feux. Les
vibrations cessèrent tandis que je cherchais Luce des yeux avec un sourire mauvais.
Elle m’avait promis de ne pas le faire et en plus elle avait amené la télécommande. Je
la vis devant un tableau avec un bel homme qui visiblement essayait de la séduire et
cela me rendit un peu jaloux, même pas mal. Elle m’envoya la main toute sourire avant
de détourner la tête. Je mis les mienne dans mes poches en arborant un gros sourire
forcer. Surprise, je ne sais trop comment ou quand mais elle y avait glissé l’autre
télécommande. J’appuyai sur le bouton avec grand plaisir. En la voyant se raidir et
serrer les cuisses l’homme la regarda bizarrement et je ne me pus m’empêcher de rire
en stoppant le gadget sinon, le gars risquerait d’être déçu en voyant cette belle
grande rousse bander sous sa jupe.

— J’ai dit quelque chose de drôle, me demanda la mairesse amuser menton lever pour me
regarder. Les autres femmes aussi me reluquaient bizarrement. Comme je fais presque 6
pieds elle devait tout lever la tête.
— Oh ! Non pas du tout, désolé. Je pensais à quelque chose.

Et je ne trouver rien de mieux que de leur raconter mon aventure avec l’écureuil, ce
qui fit rigoler tout le monde.

— Ce n’est pas vrai, fit la femme du maire morte de rire faisant sursauter ses gros
seins couverts de tache de rousseur.
— Hum, fis-je, pas de décolleter pour moi pendant un bon...

Encore les vibrations et juste quelques secondes, mais cela me donna vraiment envie de
pisser cette fois. Je m’excuser pour filer aux toilettes en rendant la politesse a
Luce et pas longtemps non plus, je ne voulais tout de même pas quelle est une érection
pour lui gâcher sa soirée. Encore les vibrations tandis que je me faufilais mine de
rien entre les gens qui voulaient me parler. Mes joues et mon bas ventre étaient en
feux. Une fois enfermer dans la minuscule salle de bain les vibrations cessa tandis
que je baissais jean et slip pour m’asseoir sur la cuvette et uriner en soupirant
longuement. Je songeais sérieusement à enlever les raisins quand ils recommencèrent à
vibrer.

— Ouuuuffff, fis-je en serrant les genoux et me pliant en deux de plaisir en croisant
les bras sur mes cuisses. Uriner en même temps semblait redoubler l’effet des
vibrations et mon téléphone sonna pendant que quelqu’un essayait d’ouvrir la porte que
j’avais heureusement barrée. Plus de vibration tandis que je sortais le téléphone de
mon sac un peu étourdit. Marie. Je pris la communication.

Les vibrations reprirent juste au moment ou j’ouvris la bouche.

— Hummm ! ouuuuu !
— Tu te fais encore enculer Julie ? Chanceuse.
— Noooon... ohhh, je suis dans un... Shit !

J’eus un petit orgasme au moment où les vibrations cessèrent, je faillis en échapper
mon téléphone et le rattraper de justesse en plaquant mon autre main sur mon pubis.
J’en pleurais presque en frémissant de plaisir tandis que quelqu’un essayait encore
d’ouvrir la porte.

— Tu te fais baiser, c’est ça ?

J’expirai longuement, l’orgasme disparu pendant que je finissais de vider ma vessie.

— Non, seigneur !
— Tu te branles encore en te filmant pour moi ? Tes derniers films étaient... wow !
T’es dans un quoi, un spa, un sauna, un club de danseuses... ?
— Non, j’assiste à un vernissage, je suis aux toilettes et j’ai un minuscule vibrateur
en forme de raisin dans le derrière et un autre dans le vagin. Je me promène avec ça
en moi en discutant avec les gens et mon ami a une télécommande et s’amuse à démarrer
ça de temps en temps. C’est... complètement fou Marie. Ouf...

Un silence et :

— Wow ! Ça c’est vicieux. Une idée de ton amant j’imagine ? C’est un sacré cochon
celui-là.
— Oh oui, mais c’est le fun. Je ne peux pas te parler longtemps ma belle.
— T’as regardé ce que je t’ai envoyé ?
— Pas encore désolé.
— Pas de problème la cochonne, mais t’en reviendras pas en voyant ou j’ai osé me
masturber. Tu rentres demain comme prévu ?
— Oui. Où T’as fait ça ? Demandai-je curieuse.
— Je serai chez toi vers 19 h ?
— Tu n’as pas répondu !
— Bye !

Elle raccrocha. Je voulus regarder mais on essaya encore d’ouvrir la porte à nouveau.

Une tache de vin

Je soupirer longuement en rangeant mon téléphone dans mon sac et plus de vibration
comme si Luce avait deviné qu’elle m’avait fait jouir ou les piles était déjà morte.
Je m’essuyai, me rajuster en décidant de ne pas enlever les gadgets, j’aimais trop ça
finalement et je sortit. Une femme me bouscula aussitôt pour entrer dans la salle de
bain en s’excusant. Je me renverser du rouge sur la belle blouse de Luce. Merde ! Je
me retourner mais elle avait déjà refermé derrière moi. Je soupirer regardant la tache
de vin et j’aperçus la propriétaire de la galerie qui apparemment avait tout vu et qui
me faisait signe de venir a elle au fond du couloir qui séparait les salles. Je
refermer le tailleur en la rejoignant.

— Venez, dit-elle en me prenant par le bras pour m’entraîner dans un atelier à
l’arrière de la galerie. Il faut nettoyer ça au plus vite sinon ça va rester tacher.

Elle referma derrière nous et barra la porte. Il y avait des tas d’outils sur des
tablettes, une grande table pour faire des encadrements et un évier.

Elle se planta devant celui-ci en disant :

— Enlever la, on ne sera pas dérangé Julie.

J’ouvris la bouche pour protester, prude comme je suis, je n’ai jamais aimé me dévêtir
même devant une autre fille, surtout une inconnue, enfin presque. Je connaissais cette
femme depuis hier seulement. Et je réaliser que la blouse était a Luce alors... Je
poser mon verre sur la table et dos a elle, j’enlevai le tailleur et la blouse pour me
retrouver en soutien-gorge noir semi-transparent en rougissant et il était tacher lui
aussi. Tant pis !

— Seigneur, fit-elle, vous avez le dos toute égratigner et la peau couverte de petits
boutons. Vous n’avez quand même pas la rougeole à votre âge Julie ?

Je souris embarrasser en remettant le tailleur avant de me retourner.

— Non, je me suis fait attaquer par des fourmis en me faisant bronzer au bord d’un
petit lac. J’ai plongé dedans pour m’en débarrasser et en suit ressortit avec une
sangsue coller au mollet et une autre sur un sein. Paniquer, je les ai enlevés pour
ensuite me frotter le dos contre un arbre au cas ou.


— Pauvre vous, fit-elle en riant tandis que je lui donnais la blouse pour ensuite
m’asseoir sur un banc en reprenant mon verre pendant quelle ouvrait un robinet et
nettoyait la tache avec du savon me tournant le dos.

— C’était le petit lac aux sangsues, près de la roulotte de Luce ? La ou le docteur
les ramasse ?
— WAIS ! Admis-je en rougissant. Mais j’aimerais bien que ça reste entre nous, c’est
un peu gênant.

C’est ça un petit village, tout le monde connaît son coin de pays et tout le monde
sait tout.


— Mais oui Julie, rassurez-vous, je garde ça pour moi. Et vos seins sont tout
égratigner, encore l’arbre ?

Je pencher la tête pour regarder mon décolleté, j’avais refermé le tailleur sans
l’attacher et mes égratignures brunies qui dataient de trois jours était bien visible.
Je soupirer en riant.

— Un écureuil.
— Quoi !

Cette fois, elle riait aux éclats en me regardant les yeux quasi fermer en frottant et
je lui raconter cette autre petite aventure. Elle rit de plus belle en fermant l’eau
pour venir étendre la blouse sur la table. Puis elle prit un séchoir à cheveux sur une
tablette et le brancha pour faire sécher la tache.

— Vous n’êtes pas chanceuse vous.
— Non, admis-je en riant.

Son sourire s’évanouit peut a peut en me regardant. Chaque fois qu’elle remuait le
poignet pour agiter le séchoir ses énormes seins remuaient et elle me demanda :

— Cela fait trois fois que je vous surprends à regarder ma poitrine, hier et ce soir
et ça ne m’ennuient pas du tout Julie, je vous attire ? Ne le prenez pas mal mais
moi... moi je vous trouve superbe.

Encore les joues en feux en réalisant qu’elle me draguait. Je déglutis en lui avouant
ce que je regardais hier.

— Oh ! Fit-elle simplement en stoppant le séchoir. Mes mamelons, je comprends. Ils me
font ça depuis la trentaine. Voilà, c’est presque parti.

Je me retourner a nouveau pour enlever le tailleur et l’enfiler la sentant me
regarder.

— J’aurais tant aimé être grande, mince et élégante comme vous Julie. Dieu que vous
êtes belle.

Je déglutis en me boutonnant.
— Vous êtes superbes vous aussi, lui dis-je sentant mon coeur accélérer, les rondes
sont les préférer des hommes c’est bien connu.
— Of ! Je crois que les gars bandent sur n’importe quoi. Et vous, les rondes ça vous
branche ?

Cette fois j’avais des palpitations et des chaleurs en réalisant pleinement que
j’avais une occasion de baiser avec une femme, ce que je n’avais jamais fait et j’en
avais drôlement envie depuis quelques jours. Je croyais que ma première fois serait
avec ma meilleure amie en revenant à Montréal. Ont en mouraient d’envie toutes les
deux d’essayer ça. Mais jamais je n’aurais cru que cela pourrait m’arriver ici, ce
soir, en plein vernissage. Je me retourner, elle me fixait en s’approchant, les yeux
petits et pétillants, menton en l’air tendant sa bouche vers moi en m’enlaçant. Je me
pencher très exciter sentant sa grosse poitrine écraser la mienne pour poser mes
lèvres sur les siennes si douce. La tête me tournait en la prenant par les hanches, si
large comparer a celle de Luce. J’adorais ce baiser tendre et sucrer et sentir ses
rondeurs contre moi mais en même temps j’avais l’impression de tromper Luce et... on
frappa à la porte.

On se lâcha en riant comme deux gamines surprises à faire un mauvais coup.

— Merde ! Désoler Julie, dit-elle les joues rouges, on se reprend quand vous voulez.
— C’est promis, dis-je étourdis et un peut désorienter en me rajustant. Ouf ! J’ai
chaud !
— Moi aussi. Bon, retour au boulot, pas le choix. Vous inquiétez pas, je n’en parlerai
a personne, de ce baiser et... si vous revenez.
— Je pars demain pour Montréal mais je reviens dès que possible.
— Super, fit-elle en ouvrant la porte.

Je souris en retournant dans la galerie un peu déçue en réalisant que deux rondes
voulaient baiser avec moi, elle et Marie, et que cela me plaisait terriblement.
Décidément, jamais je ne pourrais oublier ce weekend au bout du monde.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Toujours aussi "coquin" et prenant ....



Texte coquin : Au bout du monde - 10
Histoire sexe : Une rose rouge
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