Au bout du monde - 3
Récit érotique écrit par Ingyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au bout du monde - 3
Le paradis
J’ouvris les yeux sans y croire, je m’étais encore endormi. Je me les frotter tout en
réalisant que le camion était de nouveau arrêté a l’ombre d’un grand sapin, mais cette
fois, je compris que l’on était à destination car juste a côté il y avait une grande
maison mobile verte et blanche adosser a la forêt. Sur le toit il y avait deux
panneaux solaires qui étincelaient au soleil et une petite éolienne blanche dont les
pales tournaient lentement, sans bruit. Je regretter aussitôt d’avoir laissé mon
séchoir a cheveux sur mon lit. Sous un auvent, devant la roulotte il y avait une
grande table de jardin verte, un peu plus loin un foyer en pierres rondes bricoler
maison et même un hamac installer entre deux sapins. Des lumières colorer s’étiraient
du toit de la maison mobile jusqu’aux arbres, le soir cela devait être plutôt mignon.
Le terrain n’était pas aménagé, c’était un mélange de terre battue et de sable qui
s’étendait jusqu’à une petite rivière tranquille ou il y avait une plage, pas très
grande, mais une plage. Je m’y voyais déjà étendu en bikini à me laisser doré au
soleil, le paradis.
Luce était là, assise près de l’eau sur une chaise de camping et prenait une bière
jambes croiser en battant du pied. Elle s’était changée; short en jean effilocher
ultra sexy et haut de bikini noir. Je n’arrivais toujours pas à croire que cette fille
était le même gars que j’avais rencontré hier. J’admirai ses longues jambes galber
encore plus blanches que les miennes en lui enviant. Je remis a salivé, mais de soif
cette fois. Et soudain, je rougis en me rappelant la pipe que je lui avais faite
tandis qu’elle conduisait, mais je n’avais aucun goût saler dans la bouche. Je ne
savais même plus si je l’avais rêvé ou si je l’avais vraiment fait. Je soupirer
longuement car c’était plutôt embarrassant et je me sentais toujours épuiser et
vaseuse tandis que le feu me montait aux joues. Je l’avais fait ou pas ? Je décider de
ne rien dire et d’attendre quelle m’en parle, si ce n’était pas un rêve.
Je me regarder dans le miroir du pare-soleil en clignant des yeux, me rajuster un peut
puis étirer ma camisole pour regarder mes seins ruisselants de sueur et les petites
blessures sans gravité causer par les griffes d’un écureuil juste au dessus de mon
soutien-gorge. Je retirer les napperons de papier qui m’avait servis de pansement en
grimaçant pour les jeter derrière mon siège. Que de petites éraflures qui allaient
guérir vite, mais mon soutien-gorge préférer était un peut tacher de sang. Merde !
J’ouvris la portière en me frottant la poitrine car les griffures me brûlaient un peu.
Mais en descendant je me rendis compte, paniquer, que ma jambe gauche était encore
engourdie, même carrément morte. Je sautiller sur la droite, les yeux ronds en perdant
l’équilibre pour tomber en hurlant sur les mains, restant comme ça, plier en deux,
pour finalement rire comme une folle, les cheveux dans le visage. Et je l’entendis
crier :
— Un autre écureuil Julie ?
Je ris encore plus en me relevant pour me masser vigoureusement la cuisse en équilibre
sur un pied en ayant l’impression que des milliers de petites aiguilles se baladaient
dans mon réseau sanguin jusqu’au bout de mes orteils.
— Très drôle Luce. Lui criai-je. T’aurais du faire humoriste, tu sais, comme ceux qui
travaillent juste dans les foyers pour personne âgée et qu’on applaudit par
compassion.
Je l’entendis rire, tandis que je massais toujours ma maudite jambe qui revenait peut
a peut a la vie.
— OK ! Belle mais cruel. Une bière froide la bombe qui va bientôt m’applaudir par
compassion avec ses amis grisonnants.
Je souris en plissant les yeux tout en me disant que décidément j’aimais bien ce gars.
Car avant tout c’en était un. Je l’aimais bien tout simplement parce qu’il ne faisait
pas le lèche-cul pour me baiser. Ce n’était pas encore fait mais... après tout,
c’était pour ça qu’il m’avait invité et pour ça que j’avais accepté et aussi pour me
reposer, en principe. Je n’allais quand même pas le sucer sans arrêt. Je n’étais pas
sotte au point d’imaginer qu’on allait juste se faire bronzer le temps que je serais
là et parler du beau temps. Mais il restait naturel même transformer en jolie femme.
La plupart des hommes qui me tournaient autour même quand j’étais marié ou après mon
divorce essayaient toujours de se montrer sous leur meilleur jour en me disant a quel
point je semblais rester jeune et belle et la plupart semblaient en admiration devant
moi parce que j’étais une vedette du petit écran et je détestais ça. Mais pas lui et
ça me remettaient les deux pieds sur terre.
— WAIS ! La sans-coeur, merci de me rappeler mon âge. Mais un vrai gars serait venu
sauver la belle fille au casse-croûte. Même si le vrai gars a l’air d’une femme plutôt
bien conserver pour une personne plus âgée que moi.
— Je tiens trop à mes beaux grands yeux noirs ma belle. C’est dangereux un écureuil tu
sais, pire qu’un dragon, enfin, un petit et merci aussi de me rappeler mon âge. Ce
n’est pas très délicat ça.
— Ben oui. Regarde qui parle ! Criai-je en pliant et dépliant ma maudite jambe qui
revenait enfin à la vie.
Je boiter jusqu’a sa chaise avec un sourire gêner a cause son regard moqueur sur ma
jambe encore raide et de son sourire en coin tandis qu’elle se levait pour aller a sa
roulotte. J’en profitai pour me laisser tomber lourdement dans sa chaise de camping.
J’enlevai mes sandales pour enfouir mes pieds dans le sable brûlant, un pur bonheur.
Je regarder avec envie le petit bassin naturel que formait la rivière en me massant
encore la cuisse. L’eau était limpide et si invitante que je ne pensais plus qu’à
aller enfiler mon bikini moi aussi pour y plonger. Mais la bière avant.
Elle revint avec une autre chaise de camping et une bière tiède qu’elle me donna et
que je caler de moitié d’une seule gorgée en regardant sa poitrine qui débordait de
son haut de bikini ainsi que sa gorge en sueur et ses longues jambes blanches croiser
et son rouge sur ses orteils. Plus fille que ça tu meurs, pas une once de gras en
plus. La peau lisse et blanche de ses longues jambes luisait au soleil, je ne pouvais
pas m’empêcher de les admirer.
— Ça va prendre un moment avant que le frigo ne refroidisse. Tu les aimes mes longues
jambes galber et sensuelles ? Dit-elle en n’en pointant une pour m’agacer.
— Bof, c’est des jambes, mais les miennes, ça c’est quelques choses. Fi-je tout
sourire en n’en pointant une moi aussi tout en amenant le goulot de la bière a ma
bouche. J’avalai le liquide pétillant mais un peu amer en grimaçant. Je n’avais pas
pris de bière depuis des années. Malheureusement j’avais le dessous des cuisses un
peut mou, mais pas elle.
— Ces belles jambes la, dit-elle, m’on fait gagner un concours de beauté : Miss St-
David de Falardo 1976.
Je rit et dit :
— Miss St-David de Falardo, c’est ou ça ?
— Pas loin de Chicoutimi.
— Ben oui ! Fi-je septique en retenant encore un fou rire, tandis qu’on reposait nos
pieds dans le sable.
— Je te jure.
— Hum hum ! Avec le petit bikini, la banderole et les talons hauts, les sourires
forcer et les déhanchements exagérer.
— Absolument.
— Et tu veux me faire croire qu’en bikini personne n’as remarquer t’on petit paquet.
— Ma mère m’avait cousu un rembourrage spécial. Je te monterai la photo avec ma
médaille, j’étais drôlement mignonne à l’époque. Je le suis encore d'ailleurs.
Et c’était reparti pour le fou rire, j’en pleurais cette fois.
— Seigneur, fis-je en m’essuyant les yeux. On ne s’ennuie pas avec toi. Non, je n’y
crois pas a t’ont histoire.
— Et toi, l’ex-mannequin. T’as sûrement gagné des concours de beauté toi aussi ?
— Non, je trouvais ça niaiseux ces concours-là. Il y a longtemps qu’on est arrivé ?
Seigneur, je n’arrive pas a croire que j’ai dormi tout le voyage, 10 h de route.
— Ça fait une heure environ qu’on est là, j’ai préféré te laisser ronfler. Les seins
ça va ?
Ses beaux yeux noirs luisaient à demi-fermer. Seigneur je lui enviais même ces cils
encore une fois. Je lui fis une grimace.
— J’ai un baume qui guérit tout dans la sale de bain, le petit pot bleu.
— Et t’aimerais m’en appliquer évidemment.
— Pas du tout, t’es assez grande pour le faire toit même.
— Ben oui ! Je suis certaine que t’en meurs d’envie.
— C’est une zone atteignable avec tes grandes mains, t’as pas besoin de moi.
Je la regarder vraiment intriguer en rajoutant :
— T’es un drôle de moineau toi. Tous les gars de la province se battraient pour me
toucher les seins et pas toi ? Mon oeil !
— Oh, prétentieuse un peut la dame.
— Pas du tout, j’ai encore une belle poitrine.
— Ça, c’est certain. Mais moi aussi, si je veux jouer avec des seins, je te rappelle
que j’en aie et aussi beau que les tient et...
— Et ?
— Rien.
— T’allait dire plus haut, ou moins tombant. Baveuse avec ça. C’est mal parti ton
affaire.
Là, elle secoua les épaules comme une danseuse de baladi. Ses seins lourds jaillirent
quasiment du maillot.
— Pitié, dis-je en riant.
— Jalouse ?
— Bof ! Fi-je en faisant remuer les miens un peut gêner. Pas le moins du monde ma
belle. Mais hier, ils t’ont drôlement excité mes seins. Tu voulais plus me les lâcher.
— Comme toi cette nuit avec les miens, tu m’as même bavé dessus je te rappelle.
— Ronfler dessus tu veut dire.
— OK, on est cute, on est des bombes, point barre.
— Oui madame.
Ses mamelons commençaient a pointé, les miens aussi d'ailleurs et je rougissais en me
demandant toujours si je lui avais fait une pipe au volant. Tout ça était si étrange,
mais je m’amusais et d’être en pleine nature comme ça, ça me plaisait vraiment.
Maintenant, c’était Montréal qui était au bout du monde et tant mieux.
— Bon, fis-je en rabaissant mes lunettes et claquant ma bouteille de bière contre la
sienne, aux vacances ma belle.
— Aux vacances ma belle.
On bue et on se jeta un coup d’oeil narquois avait d’éclater de rire.
— Seigneur, fis-je en soufflant, je suis vraiment fatigué et tu me donnes des sueurs.
— Pas trop décourager par... moi?
— Non, pas du tout ! Enfin, ces déroutants mais... Je m’habitue.
— Y as longtemps que ta contracter la maladie du sommeil ?
Je le regarder les yeux petits en disant :
— Mais t’es ben tannante toi ? T’es toujours comme ça ? Je vais trouver le temps long,
même que j’ai déjà le goût de m’en retourner en Montréal.
— C’est dangereux de conduire en dormant.
— Va donc taquiner un ours ! Fi-je en riant comme une folle avec elle. Je suis ici
pour me reposer en principe.
— Tu fais que ça depuis qu’on est partie de Montréal. Si tu as une petite envie la
pelle est là-bas, pour le tapis rouge la vedette... on verra.
Je secouer la tête en riant tout en regardant la forêt et les montagnes au loin en
reprenant mon souffle. Apparemment, je venais de trouver mon maître pour ce qui est
des répliques rapide et ces petites joutes verbales me plaisaient. J’aurais quand même
bien aimé qu’elle soigne mes petites blessures histoire de l’exciter. Un gars
ordinaire l’aurait déjà fait. Je pourrais l’inciter a le faire mais d’un autre coté je
me sentais si bien la, assise au soleil a ne rien faire avec elle. C’était tellement
calme et si paisible, on entendait que des oiseaux cacher sous les branches, des
grillons et la rivière. Il devait y avoir de petits rapides plus loin en amont cacher
par les broussailles et les grands arbres qui ceinturait tout le terrain. Surtout des
sapins et des épinettes noires mais aussi des trembles, des bouleaux et même un
cerisier. Et étrangement, je me sentais tellement bien que je lui pris la main
timidement en disant.
— C’est magnifique ici, si tranquille. Merci de m’avoir invité.
— Hum ! C’est mon petit coin de paradis et je suis heureuse que tu sois là. Tu
t’habitues à m’appeler Luce on dirait ?
Ces doigts fins jouaient avec les miens et j’adorais ça.
— WAIS, tranquillement et...
La, elle approcha sa bouche de la mienne en penchant la tête, ce que je fis aussi
naturellement sans y penser les yeux déjà mis-clos mais le coeur battant a la vue de
son rouge et elle me donna un baiser. Quand sa langue se faufila dans ma bouche pour
jouer avec la mienne, la pointe de mes seins durcit et mon bas ventre me chatouilla.
C’était si différent d’hier mais encore plus troublant à cause du goût de ses lèvres.
J’avais vraiment l’impression de frencher une fille et... j’aimais ça. Quand nos
bouches se séparèrent elle me regarda les yeux brumeux. Moi, j’en étais étourdi en
ravalant ma salive.
— Ouf, fi-je, la bière coincer entre mes cuisses en pinçant ma camisole entre mes
seins et la secouant, fait vraiment chaud tout à coup.
— Hum, très chaud. Dit-elle.
— Pas de voisins ?
— Non, personne, c’est pour ça que je me suis installé ici. Autrefois il y avait un
moulin a scie 100 miles plus hauts dans les montagnes au bord d’un petit lac, mais
c’est abandonner depuis 30 ans, depuis qu’il y a eu un incendie. Il y a seulement des
pêcheurs qui vont par là-bas à présent. Ils ne s’arrêtent jamais par ici, la truite
est trop petite dans cette rivière. Il n’y a pas d’autres chalets non plus, il y a
trop de lac et de grands espaces ici pour que les gens s’agglutinent les uns sur les
autres.
Je bailler et m’excuser décourager de moi en buvant une autre gorgée avant de coincer
encore la bière entre mes cuisses qu’elle ne put s’empêcher de regarder rapidement. Et
ça ne me dérangeait pas du tout, au contraire. Ce gars-là me plaisait vraiment, même
en fille. Je soulever mes cheveux et me fit un gros noeud sur la tête pour dégager ma
nuque en sueur et les garder relever. Là, ses ma poitrine qui se balançait qu’elle
regarda les yeux petits comme tout à l'heure dans le camion pendant quelle se
branlait, à moins que ce ne fût qu’un rêve. Mais un homme reste un homme malgré tout.
Je me demandais s’il bandait sur moi quand il devait me voir parfois à la télé,
probablement. Qui ne regarde pas le petit écran ?
— Je n’ai jamais autant dormi le jour qu’aujourd’hui. Désoler de ne pas avoir conduit.
— Pas de problème, repose toi, t’es la pour ça.
— Ça ne me gêne pas tu sais.
Elle me regarda intriguer.
— Quoi ? De dormir tout le temps !
— Mais non, que tu me regardes. Tu ne le fais pas la langue a terre comme la plupart
des hommes et t’as tout vue ce qu’il y avait a voir cette nuit de toute façon.
— Hum ! Et c’était magnifique.
— Ça l’est encore, sauf pour mes seins couverts d’égratignures. J’ai hâte de me
baigner, je vais aller enfiler mon bikini.
— Moi, je vais descendre au village chercher de la bouffe, c’est presque l’heure du
souper. J’ai un vieux 4x4 cacher derrière la roulotte.
Surprise je regarder ma petite montre tout en plastique verte fluo, 4 h, déjà. Je
n’avais pas vu passer cette journée.
— Je vais te donner de l’argent.
— Tu paieras la prochaine fois. Dit-elle en partant. Si tu restes, miss j’ai la langue
bien pendue. Besoins de quelque chose ?
— Du vin la polissonne ! Tu veux que je vienne avec toi ?
— Non, je t’ai assez vue dormir pour aujourd’hui, même si c’était un beau spectacle.
J’aurais du filmer ça; la bouche ouverte, la bave au menton, les mamelons qui
pointaient, qui se cachaient et qui resurgissaient. T’as fait un rêve cochon ?
Je rester bouche ouverte tandis quelle riait.
— J’en ai pour une heure environ. Rouge ou blanc miss télé ?
— Pas d’importance. Si jamais tu m’as pris en photo ou filmé, je t’assomme avec la
vieille pelle qui traîne là-bas.
— Végétarienne la psychopathe ?
— Non ? Dis-je avant d’éclater de rire en admirant son joli petit cul qui se balançait
avant qu’elle ne disparaisse dans la roulotte en réalisant que si elle n’avait pas eu
une bite, jamais je n’aurais fait ça. « Ouf, t’es pas devenue lesbienne ma vielle mais
peut-être un peut bi et t’as rêvé cette pipe. » J’étais vraiment dû pour me faire
baiser, Marie avait raison. Et je l’ai peut-être toujours été finalement, bi. Je
soupirer longuement, un peut, même pas mal mélanger. À part ma meilleure amie, Marie,
personne ne me répliquait comme ça et aussi rapidement et ça me plaisait.
Elle ressortit portant un t-shirt gris orné du visage du « Ché » en monochromie et des
lunettes de soleil rondes sur le nez. Je me surpris encore à admirer son déhanchement
nullement exagérer et le balancement de son derrière bien moulés dans les shorts bleu
pâle avant qu’elle ne disparaisse derrière la roulotte en y cherchant une faille qui
indiquerait qu’elle était un gars. Mais rien à faire, surtout de dos et même par
devant avec ses vrais seins. Et là, j’entendis le ronflement d’un moteur puissant. Je
m’attendais à voir surgir une vieille camionnette toute rouiller mais, surprise, je
vis apparaître un Hummer, un vrai, pas la version civile. Il était noir avec une
cabine à l’arrière et un support sur le toit pour les bagages. Elle prit le chemin de
terre en m’envoyant la main comme une vraie fille et disparue rapidement derrière les
arbres. Wow ! Moi qui avais toujours rêvé de conduire un engin comme ça. « Et bien, me
dis-je, mon artiste mystérieuse doit avoir pas mal de sous dans son compte en banque
pour se payer un 4x4 à 100,000. » Plus que moi en tout cas depuis mon divorce qui
m’avait coûté la peau des fesses.
Je soupirer longuement éberluer d’être la. Tout s’était passé si vite depuis hier et
tout était si étrange mais en même temps si agréable.
Les fesses à l’air, quel bonheur
Quelques minutes plus tard le son de son moteur se perdit au loin pour finir par
disparaître complètement. Un silence reposant s’installa, le genre de silence
impossible à connaître dans une grande ville et même en banlieue où j’habitais. Je
n’avais pas ressenti un tel apaisement depuis si longtemps. En faite je n’avais jamais
été seul quelque part en pleine nature depuis ma jeunesse et ce n’est que maintenant
que je le réalisais. Je remplis mes poumons d’air pur et soupirer longuement,
heureuse, profitant pleinement de cette solitude inespérée et j’éclatai de rire en
repensant à ce maudit écureuil.
Au bout de dix minutes la chaleur devint trop écrasante et je me mis à cligner des
yeux, j’allais m’assoupir encore. Merde ! Je me lever en m’étirant, bras en l’air,
arquant mon dos douloureux, offrant mon visage au soleil brûlant ainsi que mon nombril
et me mit a l’affut du moindre bruit qui soulignerait une présence humaine; autre
véhicule, scie a chaîne, bateau a moteur, tout terrain, mais rien. Juste les oiseaux
et le murmure de la rivière d’on l’eau paraissait très sombre à cause de la terre
noire qui formait une bonne partie du sol de la région. Mais elle était pure et non
polluer, c’était bien visible. J’étais en sueur et la chaleur m’écrasait. Je fis un
pas vers mon 4x4 pour aller chercher mon maillot mais je stopper net en me mordillant
une lèvre songeuse. Être une vedette a ses bons et ces mauvais côtés et l’un de ceux-
là c’est que jamais je n’ai pu me baigner nue au Québec par peur d’être filmé ou prise
en photo ce qui aurais fait la une des journaux, sans parler d’internet. Mais, ici,
présentement, je me sentais vraiment seul, en sécurité et si loin de tout que je me
mis a détaché mes shorts pour les baisser en même temps que mes slips qui collèrent un
peut a ma fourche humide et je m’en débarrasser les laissant par terre.
Déjà heureuse d’avoir les fesses a l’air j’enlevai ma camisole et regarder mon vieux
soutien-gorge blanc si confortable tacher de sang. Des que je le dégrafer mes seins
tombèrent près de mon nombril. C’est ça vieillir, on n’y échappe pas. Mais quel
plaisir tout de même que de se retrouver nue en plein soleil. Wow ! Décourager par les
égratignures rouges sur ma peau si blanche et par me seins tombant, j’entrai à l’eau
jusqu’aux genoux, la trouvant un peu froide pour y rincer ma brassière, plier en deux,
seins ballottant et se frappant mollement. Mon corps fut parcouru de doux frissons à
sentir mes fesses et mon anus à l’air. Les taches rouges se transformèrent en tache
brune, tant pis. Je la tordis et l’accrocher a une branche de sapin pour la laisser
sécher au soleil et m’avancer tranquillement jusqu’au centre du bassin ou l’eau, qui
me paraissait déjà plus chaude, m’arrivait seulement a mis cuisse. Ma toison noire en
ovale luisait au soleil tandis que je m’aspergeais le visage, les épaules et la
poitrine en me sentant si libre nue comme ça en plein air. Mes petites égratignures me
brûlèrent un peu tandis que l’eau s’écoulait sur mes seins. Mes mamelons se tendirent
et se couvrir de grosse chair de poule tout comme mes fesses et c’était vraiment
agréable, rafraîchissant, j’en frissonner de plaisir. Il faisait chaud mais l’air ici
était sec contrairement à Montréal ou le taux d’humidité était épouvantable. J’avais
déjà fait du nudisme, mais sur des plages désertes au Mexique avec mon ex et j’avais
adoré cette sensation de liberté totale; de sentir la moindre brise vous caresser la
peau. Je retrouvais se plaisir présentement et ne regrettait vraiment pas d’être venu.
Non, vraiment pas.
Le bassin était entièrement sablonneux avec juste un soupçon de courant et pas la
moindre brise de vent. Je me retourner pour regarder son petit coin de paradis tandis
que mes seins me piquaient en me disant que j’aimerais bien avoir un coin comme ça, a
moi. Loin des regards omniprésents des autres.
— Pourquoi tu n’as jamais eu de chalet idiote ? Me dis-je tout haut, main sur les
hanches. Parce que tu travaillais tout le temps et t’ont ex également et qu’il
détestait le plein air, la vie en forêt. Tu t’achètes un chalet ma vielle, c’est
décider.
Le sourire aux lèvres, je me pincer le nez en pliant les genoux et me laisser couler
sous l’eau fraîche avec un sourire de gamine en écarquillant soudainement les yeux à
cause d’une petite truite qui me fila sous le nez a la vitesse de l’éclair. Je me
relever d’un bond en me passant les mains dans le visage tout en crachant de l’eau et
clignant des yeux en regardant aux alentours. Personne pour se foutre de ma gueule,
WAIS, ça c’est le paradis. L’eau m’avait bien rafraîchi et débarrasser de la couche de
sueur qui adhérait a ma peau et curieuse de nature et ne tenant jamais en place je
décidai d’aller voir les rapides qui me semblait tout proches mais aussi pour le
simple plaisir de marcher nue, les pieds dans l’eau fraîche. Une fois sorti du bassin,
je franchis un étroit banc de sable pour remonter la petite rivière qui était en fait
juste un gros ruisseau. C’était du sable doux partout et le courant, un peu plus fort,
me chatouillait à peine les chevilles. Je me sentais libre et légère comme un oiseau à
me balader nue entre les arbres dont les branches me chatouillaient parfois les
cuisses ou les fesses. Et pas de moustiques, ou presque. Vingt pas plus loin je vit un
autre bassin visiblement plus profond et y entrer d’un bon pas. Mon tibia droit heurta
un tronc émerger me faisant perdre l’équilibre et je m’affaler à plat ventre dans le
trou d’eau en criant comme une imbécile.. M’aidant de mes mains dans le fond, je me
tirer jusque de l’autre coté du basin entre deux eaux pour en sortir comme un commando
en me traînant sur un autre banc de sable chaud qui me chatouilla les seins
agréablement tout en crachant de l’eau et riant comme une idiote. Je me retourner sur
le dos pour apercevoir une autre blessure sur mon tibia légèrement écorcher en me le
prenant.
— Outch ! Merde ! Ce n’est pas ta journée ma vielle.
La blessure m’élançait mais pas trop, ça chauffait surtout. Et là, je vis un spectacle
magnifique. Un aigle ou une buse qui passa tout doucement en planant au-dessus de moi
pour disparaître derrière les arbres. Wow ! Je n’aurais jamais cru que c’était si gros
ces oiseaux-là. Je me remis sur le ventre les pieds dans l’eau, le sable me
chatouillant toujours les seins et réaliser que, malgré mes petites pertes de
conscience de la journée, j’étais toujours aussi épuiser. La rivière faisait une
courbe et un arbre s’était abattu par-dessus et depuis longtemps à le voir. Il n’avait
plus d’écorce, pratiquement plus de branche et son tronc était devenu parfaitement
lisse et gris.
Je m’en approcher avec de l’eau au mollet et comme je ne pouvais passer en dessous je
lever une de mes longues jambes pour l’enjamber a me tenant a un bout de branche
cassée. Je me donner un élan pour me retrouver assise à cheval dessus ressentant
aussitôt une agréable sensation dans le bas ventre des que mon sexe s’y écrasa. La
même agréable sensation que j’avais ressentie la première fois que j’avais eu un
orgasme sans savoir ce qui m’arrivait. Un après midi coucher sur le ventre sur mon lit
a lire une bd avec une jambe pendante, mon sexe écraser sur le rebord de mon matelas
c’était mis, pour la première fois a me procurer d’étranges sensations. C’était si
agréable que je m’étais mise à faire des pressions avec ma jambe en la raidissant.
Plus j’appuyais plus c’était agréable et même la pointe de mes petits seins était
devenu plus sensible. Le front sur ma bd, bouche entrouverte j’avais eu très vite un
orgasme. J’en tremblais le rouge aux joues sans comprendre ce qui m’arrivait en
sentant mes petites culottes collantes. J’avais recommencé ça presque chaque jour
jusqu’à ce que Marie m’apprenne la bonne manière de se masturber.
Et la, je faisais la même chose sans y penser, de légères pressions avec mon basin
écrasant mon sexe en serrant les fesses, dos courber, une main sur la branche l’autre
sur mes seins me pinçant les mamelons délicatement avec le pouce et l’index. Je
gémissais déjà, tellement c’était excitant de le faire la, nue en plein air, sur un
tronc lisse et chauffer par le soleil avec les pieds qui traînait dans l’eau. Je me
balançais légèrement d’avant en arrière en repensant à mon rêve de toute à l’heure en
me mordillant les lèvres ressentant déjà un intense plaisir qui me faisait haleter.
Mon clitoris durcit et sortit de sa cachette et, à chaque fois que je me penchais vers
l’avant, l’écrasant, je gémissais faiblement tellement c’était bon. Comme autrefois je
jouis sans avoir à me toucher juste par pression, je ne l’avais pas fait depuis
quelques années. L’orgasme me fit gémir, grimacer, dents serrées et raidir les jambes,
les orteils replier sous l’eau. Mon corps était parcouru de spasmes délicieux. Je me
mis à gémir plus fort le corps parcouru de tremblement... L’orgasme qui me traversa le
bas ventre fut court mais très intense.
Je repris mon souffle doucement en voyant que mon sexe avait laissé une trace humide
sur le tronc. Je ne me sentais soulager, alangui, heureuse mais je n’avais plus la
force de continuer, comme si cet orgasme m’avait vidé de toute énergie. Je remis mon
exploration à plus tard en retournant sagement et prudemment cette fois au basin
devant la maison mobile.
J’y barboter un bon quart d’heure avant d’aller me rasseoir dans la chaise en
défaisant le noeud dans mes cheveux teints en blond roux pour les laisser sécher. Je
me sentais vraiment bien, rafraîchi par ma baignade et soulager par cet orgasme
fantastique en plein air en sentant le sable doux sous mes pieds et le soleil sur ma
peau encore mouiller. Être la, cuisses écarter, offrant mon sexe au soleil me
procurait un bien-être incroyable. J’aurais dû m’enduire de lotion mais je ne voulais
pas rester la longtemps. Ma peau blanche bronzait à peine l’été. En fermant les yeux
je me remis à planer, à repenser à Luce et son corps de fille et encore a cette nuit;
son pénis, ses seins, mon orgasme et son doigt entre mes fesses et ma main droite
glissa toute seule sur mon pubis tandis que je mouillais. Une vraie obsédée.
Mes longs doigts chatouiller par mes poils pubiens se mirent à faire des cercles près
de mon clitoris tandis que ceux de ma main gauche glissaient sur mon sexe gonfler aux
grandes lèvres brunes et ouvertes jusqu’à dévoiler les petites lèvres rose bonbon
luisante d’humidité. Tandis que mes cuisses s’ouvraient beaucoup plus et tout
naturellement tout comme mes lèvres vaginales, je glisser un doigt dans mon sexe bien
mouiller et le fit aller et venir doucement en réalisant que je ne m‘étais pas
masturbé en plein air depuis mon adolescence avec Marie. Elle et moi avions partagé
des tas de choses avant de nous marier. Elle était drôlement plus délurée que moi à
l’époque, même encore aujourd’hui.
Je me mis rapidement à soupirer en me mordillant les lèvres en sentant le plaisir
m’envahir à nouveau. Le faire, comme ça, nue assise sur une chaise cuisses grandes
ouvertes m’excitait tout autant que tout à l'heure, même plus. Effleurer mon clito
bander ou le toucher tout doucement en me pénétrant avec un doigt me faisait serrer
les fesses et grimacer de bonheur. Je sentais même ma cyprine s’écouler de mon vagin
jusque sur mon anus poisseux qui pulsait. Je me surpris à imaginer deux pêcheurs en
train de m’observer cacher dans les buissons de l’autre côté de la rivière et se
masturbant violemment trop exciter par le spectacle que j’offrais si gratuitement.
Moi, Julie Demers. Je voyais parfaitement leurs yeux cochons fixant mes cuisses
ouvertes, mon sexe mouiller, mes seins, leur membre gonfler et palpitant et leurs
mains qui s’y agitaient furieusement.
Je gémis de plus belle en me tortillant dans la chaise de camping qui grinçait. Un
orgasme puissant, je le sentais bien, passa tout près d’exploser mais il m’échappa. Je
replonger aussitôt dans mon fantasme les yeux ouverts en imaginant cette fois les
hommes traverser la rivière bite en main pour venir me prendre.
« L’un deux, fous de désir me soulevait facilement pour me serrer contre lui comme si
j’étais une petite fille et restant debout, fourrer ça bite en moi jusqu’aux couilles
m’arrachant des cris de plaisir. Je me voyais accrocher a son cou de taureau, ma joue
contre la sienne piquante d’une barbe de quelques jours, sentant ses mains puissantes
enfoncer dans mes fesses pour me faire m’empaler sur sa grosse verge tandis que
l’autre passait derrière moi pour m’agacer l’anus du bout de la langue avant d’y
enfiler un doigt mouiller de salive, puis sa queue... »
Je criai de plaisir en réalisant que je venais de me fourrer un doigt dans l’anus, en
plus de l’autre toujours dans mon vagin détremper et les deux s’agitait, se touchait
en moi par la mince paroi anale. Je ressentais le même plaisir qu’hier quand Luce
m’avait fourré un doigt entre les fesses. Je soulever ma jambe gauche pour poser le
pied sur le rebord de la chaise, comme ça j’avais un meilleur accès a mon anus. Je
pouvais me pénétrer beaucoup plus facilement, j’en avais presque le souffle couper. En
même temps je me masturbais comme une folle avec la droite et mon clitoris avait
regagné sa cachette signe que j’allais jouir. J’accentuai encore plus mes pressions
sur mon pubis en geignant de plus en plus, comme si on me torturait et cette fois,
l’orgasme qui m’échappait éclata comme une bombe dans mon bas ventre jusqu’à mes seins
et me fit cambré le dos. Tout mon corps fut secoué, mes muscles se tendirent, mes
orteils se redressèrent.
Il était si puissant qu’il me fit serrer les cuisses et me mordiller les lèvres en
gémissant très fort pencher par en avant. Mes yeux se remplirent d’eau tandis que mon
vagin avait des spasmes tout comme mon anus contre mon doigt. Ce nouvel orgasme qui me
coupait le souffle me rappelait à quel point je manquais cruellement de sexe. Quand le
plaisir s’estompa me laissant pantoise et étourdie, même a bout de force et en sueur,
je rester longtemps immobile a profiter du moment me sentant en paix avec moi-même
pour la première fois depuis des mois. Je finis par desserrer les cuisses sentant mon
coeur cogner, mon doigt fut expulsé tout naturellement de mon anus et je sortis
l’autre de mon vagin débordant de liquide vaginal. J’avais mouillé la chaise, j’en
avais même sous les fesses. Je me lever, pantelante, les genoux mous comme de la
guenille et je tremblais tandis que mon coeur se calmait peut a peut. Je rester un
moment plier en deux, seins étirer, les mains au dessus des genoux a voir des points
noirs, la tête me tournait et soudain sans que je puisse y faire quoi que se soit je
me mis a uriner fortement sur le sable. Comme je venais de jouir cela me procura de
nouvelles sensations et me fit trembler en écartant plus les pieds car je
m’éclaboussais les chevilles. J’en pleurais en me vidant la vessie réalisant à quel
point j’étais à cran. Ma petite envie terminer, décourager et à bout de force j’amenai
la chaise dans le bassin pour la nettoyer et me laver par la même occasion, puis la
ramener sur la plage pour la laisser sécher. Comme je ne voulais pas attraper de coups
de soleil où me faire surprendre comme ça entièrement nue je décider d’aller enfiler
mon maillot et de m’enduire d’huile solaire. Je ne me sentais pas encore prêt à me
balader nu devant lui malgré la nuit passée. J’ai toujours eu des problèmes à me
montrer en tenue d’Ève aux autres, même avec Marie quand nous allions en couple avec
nos maris à la plage dans le sud. Même si c’était très tentant de rester a poil pour
m’étendre sur le sable fesses a l’air m’a timidité l’emportait et il fallait que je
m’enduise de lotion si je ne voulais pas brûler.
Me sentant soulager de mes pulsions, pour le moment, et un peut honteuse en regardant
la tache humide dans le sable ou j’avais uriné, je me rendis a mon camion pour enfiler
mon bikini mais une mauvaise surprise m’y attendais.
J’ouvris les yeux sans y croire, je m’étais encore endormi. Je me les frotter tout en
réalisant que le camion était de nouveau arrêté a l’ombre d’un grand sapin, mais cette
fois, je compris que l’on était à destination car juste a côté il y avait une grande
maison mobile verte et blanche adosser a la forêt. Sur le toit il y avait deux
panneaux solaires qui étincelaient au soleil et une petite éolienne blanche dont les
pales tournaient lentement, sans bruit. Je regretter aussitôt d’avoir laissé mon
séchoir a cheveux sur mon lit. Sous un auvent, devant la roulotte il y avait une
grande table de jardin verte, un peu plus loin un foyer en pierres rondes bricoler
maison et même un hamac installer entre deux sapins. Des lumières colorer s’étiraient
du toit de la maison mobile jusqu’aux arbres, le soir cela devait être plutôt mignon.
Le terrain n’était pas aménagé, c’était un mélange de terre battue et de sable qui
s’étendait jusqu’à une petite rivière tranquille ou il y avait une plage, pas très
grande, mais une plage. Je m’y voyais déjà étendu en bikini à me laisser doré au
soleil, le paradis.
Luce était là, assise près de l’eau sur une chaise de camping et prenait une bière
jambes croiser en battant du pied. Elle s’était changée; short en jean effilocher
ultra sexy et haut de bikini noir. Je n’arrivais toujours pas à croire que cette fille
était le même gars que j’avais rencontré hier. J’admirai ses longues jambes galber
encore plus blanches que les miennes en lui enviant. Je remis a salivé, mais de soif
cette fois. Et soudain, je rougis en me rappelant la pipe que je lui avais faite
tandis qu’elle conduisait, mais je n’avais aucun goût saler dans la bouche. Je ne
savais même plus si je l’avais rêvé ou si je l’avais vraiment fait. Je soupirer
longuement car c’était plutôt embarrassant et je me sentais toujours épuiser et
vaseuse tandis que le feu me montait aux joues. Je l’avais fait ou pas ? Je décider de
ne rien dire et d’attendre quelle m’en parle, si ce n’était pas un rêve.
Je me regarder dans le miroir du pare-soleil en clignant des yeux, me rajuster un peut
puis étirer ma camisole pour regarder mes seins ruisselants de sueur et les petites
blessures sans gravité causer par les griffes d’un écureuil juste au dessus de mon
soutien-gorge. Je retirer les napperons de papier qui m’avait servis de pansement en
grimaçant pour les jeter derrière mon siège. Que de petites éraflures qui allaient
guérir vite, mais mon soutien-gorge préférer était un peut tacher de sang. Merde !
J’ouvris la portière en me frottant la poitrine car les griffures me brûlaient un peu.
Mais en descendant je me rendis compte, paniquer, que ma jambe gauche était encore
engourdie, même carrément morte. Je sautiller sur la droite, les yeux ronds en perdant
l’équilibre pour tomber en hurlant sur les mains, restant comme ça, plier en deux,
pour finalement rire comme une folle, les cheveux dans le visage. Et je l’entendis
crier :
— Un autre écureuil Julie ?
Je ris encore plus en me relevant pour me masser vigoureusement la cuisse en équilibre
sur un pied en ayant l’impression que des milliers de petites aiguilles se baladaient
dans mon réseau sanguin jusqu’au bout de mes orteils.
— Très drôle Luce. Lui criai-je. T’aurais du faire humoriste, tu sais, comme ceux qui
travaillent juste dans les foyers pour personne âgée et qu’on applaudit par
compassion.
Je l’entendis rire, tandis que je massais toujours ma maudite jambe qui revenait peut
a peut a la vie.
— OK ! Belle mais cruel. Une bière froide la bombe qui va bientôt m’applaudir par
compassion avec ses amis grisonnants.
Je souris en plissant les yeux tout en me disant que décidément j’aimais bien ce gars.
Car avant tout c’en était un. Je l’aimais bien tout simplement parce qu’il ne faisait
pas le lèche-cul pour me baiser. Ce n’était pas encore fait mais... après tout,
c’était pour ça qu’il m’avait invité et pour ça que j’avais accepté et aussi pour me
reposer, en principe. Je n’allais quand même pas le sucer sans arrêt. Je n’étais pas
sotte au point d’imaginer qu’on allait juste se faire bronzer le temps que je serais
là et parler du beau temps. Mais il restait naturel même transformer en jolie femme.
La plupart des hommes qui me tournaient autour même quand j’étais marié ou après mon
divorce essayaient toujours de se montrer sous leur meilleur jour en me disant a quel
point je semblais rester jeune et belle et la plupart semblaient en admiration devant
moi parce que j’étais une vedette du petit écran et je détestais ça. Mais pas lui et
ça me remettaient les deux pieds sur terre.
— WAIS ! La sans-coeur, merci de me rappeler mon âge. Mais un vrai gars serait venu
sauver la belle fille au casse-croûte. Même si le vrai gars a l’air d’une femme plutôt
bien conserver pour une personne plus âgée que moi.
— Je tiens trop à mes beaux grands yeux noirs ma belle. C’est dangereux un écureuil tu
sais, pire qu’un dragon, enfin, un petit et merci aussi de me rappeler mon âge. Ce
n’est pas très délicat ça.
— Ben oui. Regarde qui parle ! Criai-je en pliant et dépliant ma maudite jambe qui
revenait enfin à la vie.
Je boiter jusqu’a sa chaise avec un sourire gêner a cause son regard moqueur sur ma
jambe encore raide et de son sourire en coin tandis qu’elle se levait pour aller a sa
roulotte. J’en profitai pour me laisser tomber lourdement dans sa chaise de camping.
J’enlevai mes sandales pour enfouir mes pieds dans le sable brûlant, un pur bonheur.
Je regarder avec envie le petit bassin naturel que formait la rivière en me massant
encore la cuisse. L’eau était limpide et si invitante que je ne pensais plus qu’à
aller enfiler mon bikini moi aussi pour y plonger. Mais la bière avant.
Elle revint avec une autre chaise de camping et une bière tiède qu’elle me donna et
que je caler de moitié d’une seule gorgée en regardant sa poitrine qui débordait de
son haut de bikini ainsi que sa gorge en sueur et ses longues jambes blanches croiser
et son rouge sur ses orteils. Plus fille que ça tu meurs, pas une once de gras en
plus. La peau lisse et blanche de ses longues jambes luisait au soleil, je ne pouvais
pas m’empêcher de les admirer.
— Ça va prendre un moment avant que le frigo ne refroidisse. Tu les aimes mes longues
jambes galber et sensuelles ? Dit-elle en n’en pointant une pour m’agacer.
— Bof, c’est des jambes, mais les miennes, ça c’est quelques choses. Fi-je tout
sourire en n’en pointant une moi aussi tout en amenant le goulot de la bière a ma
bouche. J’avalai le liquide pétillant mais un peu amer en grimaçant. Je n’avais pas
pris de bière depuis des années. Malheureusement j’avais le dessous des cuisses un
peut mou, mais pas elle.
— Ces belles jambes la, dit-elle, m’on fait gagner un concours de beauté : Miss St-
David de Falardo 1976.
Je rit et dit :
— Miss St-David de Falardo, c’est ou ça ?
— Pas loin de Chicoutimi.
— Ben oui ! Fi-je septique en retenant encore un fou rire, tandis qu’on reposait nos
pieds dans le sable.
— Je te jure.
— Hum hum ! Avec le petit bikini, la banderole et les talons hauts, les sourires
forcer et les déhanchements exagérer.
— Absolument.
— Et tu veux me faire croire qu’en bikini personne n’as remarquer t’on petit paquet.
— Ma mère m’avait cousu un rembourrage spécial. Je te monterai la photo avec ma
médaille, j’étais drôlement mignonne à l’époque. Je le suis encore d'ailleurs.
Et c’était reparti pour le fou rire, j’en pleurais cette fois.
— Seigneur, fis-je en m’essuyant les yeux. On ne s’ennuie pas avec toi. Non, je n’y
crois pas a t’ont histoire.
— Et toi, l’ex-mannequin. T’as sûrement gagné des concours de beauté toi aussi ?
— Non, je trouvais ça niaiseux ces concours-là. Il y a longtemps qu’on est arrivé ?
Seigneur, je n’arrive pas a croire que j’ai dormi tout le voyage, 10 h de route.
— Ça fait une heure environ qu’on est là, j’ai préféré te laisser ronfler. Les seins
ça va ?
Ses beaux yeux noirs luisaient à demi-fermer. Seigneur je lui enviais même ces cils
encore une fois. Je lui fis une grimace.
— J’ai un baume qui guérit tout dans la sale de bain, le petit pot bleu.
— Et t’aimerais m’en appliquer évidemment.
— Pas du tout, t’es assez grande pour le faire toit même.
— Ben oui ! Je suis certaine que t’en meurs d’envie.
— C’est une zone atteignable avec tes grandes mains, t’as pas besoin de moi.
Je la regarder vraiment intriguer en rajoutant :
— T’es un drôle de moineau toi. Tous les gars de la province se battraient pour me
toucher les seins et pas toi ? Mon oeil !
— Oh, prétentieuse un peut la dame.
— Pas du tout, j’ai encore une belle poitrine.
— Ça, c’est certain. Mais moi aussi, si je veux jouer avec des seins, je te rappelle
que j’en aie et aussi beau que les tient et...
— Et ?
— Rien.
— T’allait dire plus haut, ou moins tombant. Baveuse avec ça. C’est mal parti ton
affaire.
Là, elle secoua les épaules comme une danseuse de baladi. Ses seins lourds jaillirent
quasiment du maillot.
— Pitié, dis-je en riant.
— Jalouse ?
— Bof ! Fi-je en faisant remuer les miens un peut gêner. Pas le moins du monde ma
belle. Mais hier, ils t’ont drôlement excité mes seins. Tu voulais plus me les lâcher.
— Comme toi cette nuit avec les miens, tu m’as même bavé dessus je te rappelle.
— Ronfler dessus tu veut dire.
— OK, on est cute, on est des bombes, point barre.
— Oui madame.
Ses mamelons commençaient a pointé, les miens aussi d'ailleurs et je rougissais en me
demandant toujours si je lui avais fait une pipe au volant. Tout ça était si étrange,
mais je m’amusais et d’être en pleine nature comme ça, ça me plaisait vraiment.
Maintenant, c’était Montréal qui était au bout du monde et tant mieux.
— Bon, fis-je en rabaissant mes lunettes et claquant ma bouteille de bière contre la
sienne, aux vacances ma belle.
— Aux vacances ma belle.
On bue et on se jeta un coup d’oeil narquois avait d’éclater de rire.
— Seigneur, fis-je en soufflant, je suis vraiment fatigué et tu me donnes des sueurs.
— Pas trop décourager par... moi?
— Non, pas du tout ! Enfin, ces déroutants mais... Je m’habitue.
— Y as longtemps que ta contracter la maladie du sommeil ?
Je le regarder les yeux petits en disant :
— Mais t’es ben tannante toi ? T’es toujours comme ça ? Je vais trouver le temps long,
même que j’ai déjà le goût de m’en retourner en Montréal.
— C’est dangereux de conduire en dormant.
— Va donc taquiner un ours ! Fi-je en riant comme une folle avec elle. Je suis ici
pour me reposer en principe.
— Tu fais que ça depuis qu’on est partie de Montréal. Si tu as une petite envie la
pelle est là-bas, pour le tapis rouge la vedette... on verra.
Je secouer la tête en riant tout en regardant la forêt et les montagnes au loin en
reprenant mon souffle. Apparemment, je venais de trouver mon maître pour ce qui est
des répliques rapide et ces petites joutes verbales me plaisaient. J’aurais quand même
bien aimé qu’elle soigne mes petites blessures histoire de l’exciter. Un gars
ordinaire l’aurait déjà fait. Je pourrais l’inciter a le faire mais d’un autre coté je
me sentais si bien la, assise au soleil a ne rien faire avec elle. C’était tellement
calme et si paisible, on entendait que des oiseaux cacher sous les branches, des
grillons et la rivière. Il devait y avoir de petits rapides plus loin en amont cacher
par les broussailles et les grands arbres qui ceinturait tout le terrain. Surtout des
sapins et des épinettes noires mais aussi des trembles, des bouleaux et même un
cerisier. Et étrangement, je me sentais tellement bien que je lui pris la main
timidement en disant.
— C’est magnifique ici, si tranquille. Merci de m’avoir invité.
— Hum ! C’est mon petit coin de paradis et je suis heureuse que tu sois là. Tu
t’habitues à m’appeler Luce on dirait ?
Ces doigts fins jouaient avec les miens et j’adorais ça.
— WAIS, tranquillement et...
La, elle approcha sa bouche de la mienne en penchant la tête, ce que je fis aussi
naturellement sans y penser les yeux déjà mis-clos mais le coeur battant a la vue de
son rouge et elle me donna un baiser. Quand sa langue se faufila dans ma bouche pour
jouer avec la mienne, la pointe de mes seins durcit et mon bas ventre me chatouilla.
C’était si différent d’hier mais encore plus troublant à cause du goût de ses lèvres.
J’avais vraiment l’impression de frencher une fille et... j’aimais ça. Quand nos
bouches se séparèrent elle me regarda les yeux brumeux. Moi, j’en étais étourdi en
ravalant ma salive.
— Ouf, fi-je, la bière coincer entre mes cuisses en pinçant ma camisole entre mes
seins et la secouant, fait vraiment chaud tout à coup.
— Hum, très chaud. Dit-elle.
— Pas de voisins ?
— Non, personne, c’est pour ça que je me suis installé ici. Autrefois il y avait un
moulin a scie 100 miles plus hauts dans les montagnes au bord d’un petit lac, mais
c’est abandonner depuis 30 ans, depuis qu’il y a eu un incendie. Il y a seulement des
pêcheurs qui vont par là-bas à présent. Ils ne s’arrêtent jamais par ici, la truite
est trop petite dans cette rivière. Il n’y a pas d’autres chalets non plus, il y a
trop de lac et de grands espaces ici pour que les gens s’agglutinent les uns sur les
autres.
Je bailler et m’excuser décourager de moi en buvant une autre gorgée avant de coincer
encore la bière entre mes cuisses qu’elle ne put s’empêcher de regarder rapidement. Et
ça ne me dérangeait pas du tout, au contraire. Ce gars-là me plaisait vraiment, même
en fille. Je soulever mes cheveux et me fit un gros noeud sur la tête pour dégager ma
nuque en sueur et les garder relever. Là, ses ma poitrine qui se balançait qu’elle
regarda les yeux petits comme tout à l'heure dans le camion pendant quelle se
branlait, à moins que ce ne fût qu’un rêve. Mais un homme reste un homme malgré tout.
Je me demandais s’il bandait sur moi quand il devait me voir parfois à la télé,
probablement. Qui ne regarde pas le petit écran ?
— Je n’ai jamais autant dormi le jour qu’aujourd’hui. Désoler de ne pas avoir conduit.
— Pas de problème, repose toi, t’es la pour ça.
— Ça ne me gêne pas tu sais.
Elle me regarda intriguer.
— Quoi ? De dormir tout le temps !
— Mais non, que tu me regardes. Tu ne le fais pas la langue a terre comme la plupart
des hommes et t’as tout vue ce qu’il y avait a voir cette nuit de toute façon.
— Hum ! Et c’était magnifique.
— Ça l’est encore, sauf pour mes seins couverts d’égratignures. J’ai hâte de me
baigner, je vais aller enfiler mon bikini.
— Moi, je vais descendre au village chercher de la bouffe, c’est presque l’heure du
souper. J’ai un vieux 4x4 cacher derrière la roulotte.
Surprise je regarder ma petite montre tout en plastique verte fluo, 4 h, déjà. Je
n’avais pas vu passer cette journée.
— Je vais te donner de l’argent.
— Tu paieras la prochaine fois. Dit-elle en partant. Si tu restes, miss j’ai la langue
bien pendue. Besoins de quelque chose ?
— Du vin la polissonne ! Tu veux que je vienne avec toi ?
— Non, je t’ai assez vue dormir pour aujourd’hui, même si c’était un beau spectacle.
J’aurais du filmer ça; la bouche ouverte, la bave au menton, les mamelons qui
pointaient, qui se cachaient et qui resurgissaient. T’as fait un rêve cochon ?
Je rester bouche ouverte tandis quelle riait.
— J’en ai pour une heure environ. Rouge ou blanc miss télé ?
— Pas d’importance. Si jamais tu m’as pris en photo ou filmé, je t’assomme avec la
vieille pelle qui traîne là-bas.
— Végétarienne la psychopathe ?
— Non ? Dis-je avant d’éclater de rire en admirant son joli petit cul qui se balançait
avant qu’elle ne disparaisse dans la roulotte en réalisant que si elle n’avait pas eu
une bite, jamais je n’aurais fait ça. « Ouf, t’es pas devenue lesbienne ma vielle mais
peut-être un peut bi et t’as rêvé cette pipe. » J’étais vraiment dû pour me faire
baiser, Marie avait raison. Et je l’ai peut-être toujours été finalement, bi. Je
soupirer longuement, un peut, même pas mal mélanger. À part ma meilleure amie, Marie,
personne ne me répliquait comme ça et aussi rapidement et ça me plaisait.
Elle ressortit portant un t-shirt gris orné du visage du « Ché » en monochromie et des
lunettes de soleil rondes sur le nez. Je me surpris encore à admirer son déhanchement
nullement exagérer et le balancement de son derrière bien moulés dans les shorts bleu
pâle avant qu’elle ne disparaisse derrière la roulotte en y cherchant une faille qui
indiquerait qu’elle était un gars. Mais rien à faire, surtout de dos et même par
devant avec ses vrais seins. Et là, j’entendis le ronflement d’un moteur puissant. Je
m’attendais à voir surgir une vieille camionnette toute rouiller mais, surprise, je
vis apparaître un Hummer, un vrai, pas la version civile. Il était noir avec une
cabine à l’arrière et un support sur le toit pour les bagages. Elle prit le chemin de
terre en m’envoyant la main comme une vraie fille et disparue rapidement derrière les
arbres. Wow ! Moi qui avais toujours rêvé de conduire un engin comme ça. « Et bien, me
dis-je, mon artiste mystérieuse doit avoir pas mal de sous dans son compte en banque
pour se payer un 4x4 à 100,000. » Plus que moi en tout cas depuis mon divorce qui
m’avait coûté la peau des fesses.
Je soupirer longuement éberluer d’être la. Tout s’était passé si vite depuis hier et
tout était si étrange mais en même temps si agréable.
Les fesses à l’air, quel bonheur
Quelques minutes plus tard le son de son moteur se perdit au loin pour finir par
disparaître complètement. Un silence reposant s’installa, le genre de silence
impossible à connaître dans une grande ville et même en banlieue où j’habitais. Je
n’avais pas ressenti un tel apaisement depuis si longtemps. En faite je n’avais jamais
été seul quelque part en pleine nature depuis ma jeunesse et ce n’est que maintenant
que je le réalisais. Je remplis mes poumons d’air pur et soupirer longuement,
heureuse, profitant pleinement de cette solitude inespérée et j’éclatai de rire en
repensant à ce maudit écureuil.
Au bout de dix minutes la chaleur devint trop écrasante et je me mis à cligner des
yeux, j’allais m’assoupir encore. Merde ! Je me lever en m’étirant, bras en l’air,
arquant mon dos douloureux, offrant mon visage au soleil brûlant ainsi que mon nombril
et me mit a l’affut du moindre bruit qui soulignerait une présence humaine; autre
véhicule, scie a chaîne, bateau a moteur, tout terrain, mais rien. Juste les oiseaux
et le murmure de la rivière d’on l’eau paraissait très sombre à cause de la terre
noire qui formait une bonne partie du sol de la région. Mais elle était pure et non
polluer, c’était bien visible. J’étais en sueur et la chaleur m’écrasait. Je fis un
pas vers mon 4x4 pour aller chercher mon maillot mais je stopper net en me mordillant
une lèvre songeuse. Être une vedette a ses bons et ces mauvais côtés et l’un de ceux-
là c’est que jamais je n’ai pu me baigner nue au Québec par peur d’être filmé ou prise
en photo ce qui aurais fait la une des journaux, sans parler d’internet. Mais, ici,
présentement, je me sentais vraiment seul, en sécurité et si loin de tout que je me
mis a détaché mes shorts pour les baisser en même temps que mes slips qui collèrent un
peut a ma fourche humide et je m’en débarrasser les laissant par terre.
Déjà heureuse d’avoir les fesses a l’air j’enlevai ma camisole et regarder mon vieux
soutien-gorge blanc si confortable tacher de sang. Des que je le dégrafer mes seins
tombèrent près de mon nombril. C’est ça vieillir, on n’y échappe pas. Mais quel
plaisir tout de même que de se retrouver nue en plein soleil. Wow ! Décourager par les
égratignures rouges sur ma peau si blanche et par me seins tombant, j’entrai à l’eau
jusqu’aux genoux, la trouvant un peu froide pour y rincer ma brassière, plier en deux,
seins ballottant et se frappant mollement. Mon corps fut parcouru de doux frissons à
sentir mes fesses et mon anus à l’air. Les taches rouges se transformèrent en tache
brune, tant pis. Je la tordis et l’accrocher a une branche de sapin pour la laisser
sécher au soleil et m’avancer tranquillement jusqu’au centre du bassin ou l’eau, qui
me paraissait déjà plus chaude, m’arrivait seulement a mis cuisse. Ma toison noire en
ovale luisait au soleil tandis que je m’aspergeais le visage, les épaules et la
poitrine en me sentant si libre nue comme ça en plein air. Mes petites égratignures me
brûlèrent un peu tandis que l’eau s’écoulait sur mes seins. Mes mamelons se tendirent
et se couvrir de grosse chair de poule tout comme mes fesses et c’était vraiment
agréable, rafraîchissant, j’en frissonner de plaisir. Il faisait chaud mais l’air ici
était sec contrairement à Montréal ou le taux d’humidité était épouvantable. J’avais
déjà fait du nudisme, mais sur des plages désertes au Mexique avec mon ex et j’avais
adoré cette sensation de liberté totale; de sentir la moindre brise vous caresser la
peau. Je retrouvais se plaisir présentement et ne regrettait vraiment pas d’être venu.
Non, vraiment pas.
Le bassin était entièrement sablonneux avec juste un soupçon de courant et pas la
moindre brise de vent. Je me retourner pour regarder son petit coin de paradis tandis
que mes seins me piquaient en me disant que j’aimerais bien avoir un coin comme ça, a
moi. Loin des regards omniprésents des autres.
— Pourquoi tu n’as jamais eu de chalet idiote ? Me dis-je tout haut, main sur les
hanches. Parce que tu travaillais tout le temps et t’ont ex également et qu’il
détestait le plein air, la vie en forêt. Tu t’achètes un chalet ma vielle, c’est
décider.
Le sourire aux lèvres, je me pincer le nez en pliant les genoux et me laisser couler
sous l’eau fraîche avec un sourire de gamine en écarquillant soudainement les yeux à
cause d’une petite truite qui me fila sous le nez a la vitesse de l’éclair. Je me
relever d’un bond en me passant les mains dans le visage tout en crachant de l’eau et
clignant des yeux en regardant aux alentours. Personne pour se foutre de ma gueule,
WAIS, ça c’est le paradis. L’eau m’avait bien rafraîchi et débarrasser de la couche de
sueur qui adhérait a ma peau et curieuse de nature et ne tenant jamais en place je
décidai d’aller voir les rapides qui me semblait tout proches mais aussi pour le
simple plaisir de marcher nue, les pieds dans l’eau fraîche. Une fois sorti du bassin,
je franchis un étroit banc de sable pour remonter la petite rivière qui était en fait
juste un gros ruisseau. C’était du sable doux partout et le courant, un peu plus fort,
me chatouillait à peine les chevilles. Je me sentais libre et légère comme un oiseau à
me balader nue entre les arbres dont les branches me chatouillaient parfois les
cuisses ou les fesses. Et pas de moustiques, ou presque. Vingt pas plus loin je vit un
autre bassin visiblement plus profond et y entrer d’un bon pas. Mon tibia droit heurta
un tronc émerger me faisant perdre l’équilibre et je m’affaler à plat ventre dans le
trou d’eau en criant comme une imbécile.. M’aidant de mes mains dans le fond, je me
tirer jusque de l’autre coté du basin entre deux eaux pour en sortir comme un commando
en me traînant sur un autre banc de sable chaud qui me chatouilla les seins
agréablement tout en crachant de l’eau et riant comme une idiote. Je me retourner sur
le dos pour apercevoir une autre blessure sur mon tibia légèrement écorcher en me le
prenant.
— Outch ! Merde ! Ce n’est pas ta journée ma vielle.
La blessure m’élançait mais pas trop, ça chauffait surtout. Et là, je vis un spectacle
magnifique. Un aigle ou une buse qui passa tout doucement en planant au-dessus de moi
pour disparaître derrière les arbres. Wow ! Je n’aurais jamais cru que c’était si gros
ces oiseaux-là. Je me remis sur le ventre les pieds dans l’eau, le sable me
chatouillant toujours les seins et réaliser que, malgré mes petites pertes de
conscience de la journée, j’étais toujours aussi épuiser. La rivière faisait une
courbe et un arbre s’était abattu par-dessus et depuis longtemps à le voir. Il n’avait
plus d’écorce, pratiquement plus de branche et son tronc était devenu parfaitement
lisse et gris.
Je m’en approcher avec de l’eau au mollet et comme je ne pouvais passer en dessous je
lever une de mes longues jambes pour l’enjamber a me tenant a un bout de branche
cassée. Je me donner un élan pour me retrouver assise à cheval dessus ressentant
aussitôt une agréable sensation dans le bas ventre des que mon sexe s’y écrasa. La
même agréable sensation que j’avais ressentie la première fois que j’avais eu un
orgasme sans savoir ce qui m’arrivait. Un après midi coucher sur le ventre sur mon lit
a lire une bd avec une jambe pendante, mon sexe écraser sur le rebord de mon matelas
c’était mis, pour la première fois a me procurer d’étranges sensations. C’était si
agréable que je m’étais mise à faire des pressions avec ma jambe en la raidissant.
Plus j’appuyais plus c’était agréable et même la pointe de mes petits seins était
devenu plus sensible. Le front sur ma bd, bouche entrouverte j’avais eu très vite un
orgasme. J’en tremblais le rouge aux joues sans comprendre ce qui m’arrivait en
sentant mes petites culottes collantes. J’avais recommencé ça presque chaque jour
jusqu’à ce que Marie m’apprenne la bonne manière de se masturber.
Et la, je faisais la même chose sans y penser, de légères pressions avec mon basin
écrasant mon sexe en serrant les fesses, dos courber, une main sur la branche l’autre
sur mes seins me pinçant les mamelons délicatement avec le pouce et l’index. Je
gémissais déjà, tellement c’était excitant de le faire la, nue en plein air, sur un
tronc lisse et chauffer par le soleil avec les pieds qui traînait dans l’eau. Je me
balançais légèrement d’avant en arrière en repensant à mon rêve de toute à l’heure en
me mordillant les lèvres ressentant déjà un intense plaisir qui me faisait haleter.
Mon clitoris durcit et sortit de sa cachette et, à chaque fois que je me penchais vers
l’avant, l’écrasant, je gémissais faiblement tellement c’était bon. Comme autrefois je
jouis sans avoir à me toucher juste par pression, je ne l’avais pas fait depuis
quelques années. L’orgasme me fit gémir, grimacer, dents serrées et raidir les jambes,
les orteils replier sous l’eau. Mon corps était parcouru de spasmes délicieux. Je me
mis à gémir plus fort le corps parcouru de tremblement... L’orgasme qui me traversa le
bas ventre fut court mais très intense.
Je repris mon souffle doucement en voyant que mon sexe avait laissé une trace humide
sur le tronc. Je ne me sentais soulager, alangui, heureuse mais je n’avais plus la
force de continuer, comme si cet orgasme m’avait vidé de toute énergie. Je remis mon
exploration à plus tard en retournant sagement et prudemment cette fois au basin
devant la maison mobile.
J’y barboter un bon quart d’heure avant d’aller me rasseoir dans la chaise en
défaisant le noeud dans mes cheveux teints en blond roux pour les laisser sécher. Je
me sentais vraiment bien, rafraîchi par ma baignade et soulager par cet orgasme
fantastique en plein air en sentant le sable doux sous mes pieds et le soleil sur ma
peau encore mouiller. Être la, cuisses écarter, offrant mon sexe au soleil me
procurait un bien-être incroyable. J’aurais dû m’enduire de lotion mais je ne voulais
pas rester la longtemps. Ma peau blanche bronzait à peine l’été. En fermant les yeux
je me remis à planer, à repenser à Luce et son corps de fille et encore a cette nuit;
son pénis, ses seins, mon orgasme et son doigt entre mes fesses et ma main droite
glissa toute seule sur mon pubis tandis que je mouillais. Une vraie obsédée.
Mes longs doigts chatouiller par mes poils pubiens se mirent à faire des cercles près
de mon clitoris tandis que ceux de ma main gauche glissaient sur mon sexe gonfler aux
grandes lèvres brunes et ouvertes jusqu’à dévoiler les petites lèvres rose bonbon
luisante d’humidité. Tandis que mes cuisses s’ouvraient beaucoup plus et tout
naturellement tout comme mes lèvres vaginales, je glisser un doigt dans mon sexe bien
mouiller et le fit aller et venir doucement en réalisant que je ne m‘étais pas
masturbé en plein air depuis mon adolescence avec Marie. Elle et moi avions partagé
des tas de choses avant de nous marier. Elle était drôlement plus délurée que moi à
l’époque, même encore aujourd’hui.
Je me mis rapidement à soupirer en me mordillant les lèvres en sentant le plaisir
m’envahir à nouveau. Le faire, comme ça, nue assise sur une chaise cuisses grandes
ouvertes m’excitait tout autant que tout à l'heure, même plus. Effleurer mon clito
bander ou le toucher tout doucement en me pénétrant avec un doigt me faisait serrer
les fesses et grimacer de bonheur. Je sentais même ma cyprine s’écouler de mon vagin
jusque sur mon anus poisseux qui pulsait. Je me surpris à imaginer deux pêcheurs en
train de m’observer cacher dans les buissons de l’autre côté de la rivière et se
masturbant violemment trop exciter par le spectacle que j’offrais si gratuitement.
Moi, Julie Demers. Je voyais parfaitement leurs yeux cochons fixant mes cuisses
ouvertes, mon sexe mouiller, mes seins, leur membre gonfler et palpitant et leurs
mains qui s’y agitaient furieusement.
Je gémis de plus belle en me tortillant dans la chaise de camping qui grinçait. Un
orgasme puissant, je le sentais bien, passa tout près d’exploser mais il m’échappa. Je
replonger aussitôt dans mon fantasme les yeux ouverts en imaginant cette fois les
hommes traverser la rivière bite en main pour venir me prendre.
« L’un deux, fous de désir me soulevait facilement pour me serrer contre lui comme si
j’étais une petite fille et restant debout, fourrer ça bite en moi jusqu’aux couilles
m’arrachant des cris de plaisir. Je me voyais accrocher a son cou de taureau, ma joue
contre la sienne piquante d’une barbe de quelques jours, sentant ses mains puissantes
enfoncer dans mes fesses pour me faire m’empaler sur sa grosse verge tandis que
l’autre passait derrière moi pour m’agacer l’anus du bout de la langue avant d’y
enfiler un doigt mouiller de salive, puis sa queue... »
Je criai de plaisir en réalisant que je venais de me fourrer un doigt dans l’anus, en
plus de l’autre toujours dans mon vagin détremper et les deux s’agitait, se touchait
en moi par la mince paroi anale. Je ressentais le même plaisir qu’hier quand Luce
m’avait fourré un doigt entre les fesses. Je soulever ma jambe gauche pour poser le
pied sur le rebord de la chaise, comme ça j’avais un meilleur accès a mon anus. Je
pouvais me pénétrer beaucoup plus facilement, j’en avais presque le souffle couper. En
même temps je me masturbais comme une folle avec la droite et mon clitoris avait
regagné sa cachette signe que j’allais jouir. J’accentuai encore plus mes pressions
sur mon pubis en geignant de plus en plus, comme si on me torturait et cette fois,
l’orgasme qui m’échappait éclata comme une bombe dans mon bas ventre jusqu’à mes seins
et me fit cambré le dos. Tout mon corps fut secoué, mes muscles se tendirent, mes
orteils se redressèrent.
Il était si puissant qu’il me fit serrer les cuisses et me mordiller les lèvres en
gémissant très fort pencher par en avant. Mes yeux se remplirent d’eau tandis que mon
vagin avait des spasmes tout comme mon anus contre mon doigt. Ce nouvel orgasme qui me
coupait le souffle me rappelait à quel point je manquais cruellement de sexe. Quand le
plaisir s’estompa me laissant pantoise et étourdie, même a bout de force et en sueur,
je rester longtemps immobile a profiter du moment me sentant en paix avec moi-même
pour la première fois depuis des mois. Je finis par desserrer les cuisses sentant mon
coeur cogner, mon doigt fut expulsé tout naturellement de mon anus et je sortis
l’autre de mon vagin débordant de liquide vaginal. J’avais mouillé la chaise, j’en
avais même sous les fesses. Je me lever, pantelante, les genoux mous comme de la
guenille et je tremblais tandis que mon coeur se calmait peut a peut. Je rester un
moment plier en deux, seins étirer, les mains au dessus des genoux a voir des points
noirs, la tête me tournait et soudain sans que je puisse y faire quoi que se soit je
me mis a uriner fortement sur le sable. Comme je venais de jouir cela me procura de
nouvelles sensations et me fit trembler en écartant plus les pieds car je
m’éclaboussais les chevilles. J’en pleurais en me vidant la vessie réalisant à quel
point j’étais à cran. Ma petite envie terminer, décourager et à bout de force j’amenai
la chaise dans le bassin pour la nettoyer et me laver par la même occasion, puis la
ramener sur la plage pour la laisser sécher. Comme je ne voulais pas attraper de coups
de soleil où me faire surprendre comme ça entièrement nue je décider d’aller enfiler
mon maillot et de m’enduire d’huile solaire. Je ne me sentais pas encore prêt à me
balader nu devant lui malgré la nuit passée. J’ai toujours eu des problèmes à me
montrer en tenue d’Ève aux autres, même avec Marie quand nous allions en couple avec
nos maris à la plage dans le sud. Même si c’était très tentant de rester a poil pour
m’étendre sur le sable fesses a l’air m’a timidité l’emportait et il fallait que je
m’enduise de lotion si je ne voulais pas brûler.
Me sentant soulager de mes pulsions, pour le moment, et un peut honteuse en regardant
la tache humide dans le sable ou j’avais uriné, je me rendis a mon camion pour enfiler
mon bikini mais une mauvaise surprise m’y attendais.
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