Au bout du monde- 5

- Par l'auteur HDS Ingyt -
Récit érotique écrit par Ingyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Au bout du monde- 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Au bout du monde- 5
Le village fantôme

Hier soir, un peut saoule toutes les deux, après la baignade et quelques bières ingurgiter auprès du feu sous un ciel rempli d’étoiles, je l’avais laissé me baiser, me placer comme elle le voulait dans le lit après quelle m’ai caressé longtemps, presque a me rendre folle. Cette fois, elle avait pris son temps pour me pénétrer et j’avais réussi à jouir deux fois ; la dernière quand elle m’avait prise en levrette avec un pouce entre les fesses, la première quand elle m’avait léché le sexe avec tout autant de savoir-faire que l’autre nuit en plus de m’avoir agacé l’anus du bout de la langue. Ça, ça m’avait fait frémir.

Décidément, me dis-je en me regardant dans la glace de la salle de bain en train de me faire les yeux, j’y prenais goût à avoir un doigt dans le derrière ou le bout d’une langue. Je me demandais quant elle oserait me demander pour m’enculer et si moi j’accepterais. Après quelques verres peut-être mais j’avais toujours peur que ce soit douloureux. D’un autre côté, j’étais curieuse en me rendant compte que ma vie sexuelle avait été un peu plate finalement, même carrément ennuyante. Marie m’avait déjà raconté qu’elle laissait Marcel passer par là par fois, je lui avais dit de changer de sujet. Je le regrettais maintenant, j’aurais aimé savoir ce qu’elle ressentait dans ces moments là. Si c’était pénible ou agréable. Comme Luce était bi et avait donc des relations avec des hommes, la pénétration anale devait être un sujet qu’elle connaissait.

Je me mis du rouge pour terminer et du parfum, celui de Luce, j’avais oublié le mien, en fait j’avais a peut près tout oublier. Je me regarder satisfaite d’avoir quasiment réussi à effacer mes cernes. J’avais enfiler les mêmes vêtements qu’hier en me levant, short et camisole noire, même mon soutien-gorge tacher, je n’en avais pas d’autre, pas même de slip de rechange. C’était la première fois de ma vie que j’oubliais des choses aussi banales et essentielles. Il fallait vraiment que je sois à cran. En riant, j’avais accepté que Luce me prête des dessous noirs pas mal sexy et une blouse noire assortie d’une jupe grise mis-longue. Le pire c’est que ça m’allait à merveille. Même taille pour tout ou presque. Moi qui lui avais assuré que j’avais tout ce qu’il me fallait et que je n’étais pas prêteuse en plus. Ce n’était pas gênant, mais pas du tout.

J’allais devoir faire pas mal d'emplettes tout à l'heure au village, me dis-je en regardant ma poitrine décourager. Car hier, j’avais réussi à amener mes mamelons à ma bouche tandis qu’elle me baisait. Jamais je n’avais pu faire ça avant. Ce n’était pas désagréable, au contraire, mais vachement découragent.

Elle m’attendait à la cuisine; coiffée, maquillée, blouse blanche semi-transparente, mini jupe noire qui lui faisait de sacrée belles jambes, petit running vert et blanc plus de grands anneaux d’argent aux oreilles et des bracelets assortit.
— Plus fille que ça tu meurs Luce !
— Merci, mes vêtements te vont merveilleusement bien Julie. Tu ne portes pas de bijoux, ni bague ni boucles d’oreille, j’en ai plein.
— Quand je suis obligé si non, je déteste.
— T’as remis tes sandales, j’ai de magnifiques souliers noirs.

Je lui fis une grimace en mettant mes verres fumés.

— Tu sais ce que j’aime le plus chez toi Julie ?
— Bof, t’as le choix; mes boules molles, mes cuisses molles ou mon gros cul. Mes mollets sont toujours pas si mal par contre.
— Non, tes belles dents de lapin ?
— WAIS, ça... ça n’engraisse pas des dents.
— Prête pour un peu de magasinage ?
— WAIS ! Ce n’est pas gênant d’avoir une érection en mini jupe ? Lui demandais-je amuser en sortant.
— Un peu mais d’un autre côté, quand on n’a pas le goût de se faire achaler par les hommes, c’est pratique.

Je riais encore en embarquant dans son Hummer version militaire. Wow ! Moi qui flippe sur les 4x4, celui-là c’était le tout terrain ultime. En roulant sur la route de gravier qui menait a la 138, suivit par un épais nuage de poussière, je la regardais conduire cheveux au vent avec ses verres fumés ronds sur le nez. Elle conduisait comme une femme, menton en l’air.

— Tu vas me le laisser conduire en revenant ?

Elle me regarda du coin de l’oeil avec un sourire espiègle en posant une main sur ma cuisse et ça me plut.

— Pas de problème ma grande, après-midi si tu veux on ira faire de la boue.
— Faire de la boue ? Dis-je intriguer en posant ma main sur la sienne.
— On va se rendre au vieux moulin à scie. T'as déjà fait dû hors route ?
— Non !
— Pourquoi t’as un 4x4 alors ?
— La neige. Seigneur fi-je, on doit être en pleine canicule tes beaux sous-vêtements sont déjà tout trempe. T’as l’air climatiser ?
— Briser.
— Toi aussi, merde !

Le chemin de gravier nous mena jusqu’à la route 138 qui longeait la mer, la vue y était magnifique. Au loin, d’immenses porte-conteneurs s’éloignaient vers une mystérieuse destination en ondulant dans une brume de chaleur et le long de la côte, de grandes plages de sable blond, complètement désertes, semblaient s’étirer à l’infinie. Quelques minutes plus tard on entra dans le village. Un petit hameau de 3,5000 âmes, charmant, coincer entre la forêt et la mer. De vieilles maisons canadiennes un peu croche longeaient la rue principale jusqu’à une ancienne église en bois peinte en blanc. Il y avait peut de commerce et seulement quelques promeneurs qui marchaient si lentement comparer aux piétons hyper presser de Montréal qu’ils semblaient évoluer comme au ralenti sous la chaleur écrasante. Luce se stationna devant une boutique de sexe « Chez Caro ». C’était écrit au néon violet dans la vitrine des plus sobre. Je ne vis rien d’autre qui ressemblait de près ou de loin à une boutique de vêtement pour femme. Elle stoppa le moteur et je la regarder en croisant les bras les yeux à demi fermer.

— T’as des petites idées cochonnes ?
— Moi, fit-elle en remontant ses verres fumés sur sa tête, tout le temps.
— Bon, je t’attends !
— C’est moitié sex-shop et moitié boutique de vêtements conventionnels. Il n’y a rien d’autre ici, sinon il faut se rendre a Sept-Îles, 2 h de route. L’an dernier Caro avait de beaux maillots et une très belle ligne de vêtement d’été. Pour les dessous c’est, disons... affriolant.

Je me mordiller les lèvres en la fixant décourager par son petit sourire moqueur.

— Bon, fis-je en prenant mon sac pour sortir du 4x4, pas le choix. Mais on fait ça vite, je déteste magasiner.

En fait, pas tant que ça mais dans un sex-shop... oui. La chaleur humide était étouffante, je ne pensais plus qu’à aller me baigner. Au loin, la route semblait onduler à cause de la chaleur qui s’élevait du sol et j’avais l’impression que mes sandales s’enfonçaient un peu dans l’asphalte.

— C’est normal, dit-elle une fois sur le trottoir en s’étirant, bras en l’air, dos courber ce qui souleva pas mal ça minijupe et au soleil comme ça, sa blouse blanche devenait quasi transparente. Son beau soutien-gorge en dentelle blanc était nettement visible. Deux jeunes garçons qui passaient en bicyclette faillirent se casser le cou et se heurter.
— Et c’est quoi qui est normal ? Lui demandai-je en grimpant sur le trottoir.
— C’est toi l’homme cette semaine.
— Très drôle. Dis-je cacher derrière mes verres fumés en apercevant des voitures qui ralentissait. On commençait à me reconnaître et on m’envoyait la main. Seigneur !
— Ce qui n’est pas normal par contre c’est qu’un homme ne soit pas excité à l’idée de magasiner là-dedans.
— OK, la comique, on entre. Fis-je en regardant avec envie l’air climatiser qui ronronnait sur le côté du bâtiment.

Une forte odeur d’encens me monta à la tête une fois à l’intérieur et l’air glacial fit son petit effet. J’en claquais presque des dents, quel bonheur ! D’un côté il y avait les instruments de torture habituelle de l’autre les vêtements. Une jeune punk pour qui je n’étais absolument rien apparemment sauf une petite vielle de plus et tant mieux, m’aida dans le choix d’un bikini et de sous vêtement a faire bander un évêque me passant tout ça dans une cabine d’essayage frigorifique. Mes mamelons devinrent durs comme de la roche. Heureusement il y avait un grand miroir à l’intérieur de la cabine. Je choisis un bikini noir, trop minuscule à mon goût mais tant pis. Je me pris également un tailleur, d’autres shorts, quelques blouses et camisoles et une paire de jeans.

— Il lui faut aussi de bonnes bottes de randonnée Sylvie et également des souliers pour aller avec une jolie robe quelle vas se choisir. C’est pour rajouter a mon compte, fit Luce en me regardant. Jusque-là elle était restée en retrait pour me laisser seul avec la vendeuse qui jouait sans arrêt avec son piercing de langue.
— Mais non, protestais-je.
— J’insiste, fit Luce tout doucement.

J’en trouver une, noire légère a bretelle spaghetti, pas trop décolleter, pas trop courte pour cacher le gras sous mes cuisses et des bottes de randonnée légère mais robuste et de beaux souliers a talon plat, je déteste les talons hauts. La jeune avait l’air de me prendre pour une... lesbienne. Mais je devais l’imaginer. Je me contenter de sourire décourager et presser de retrouver le soleil finalement. C’était si froid que mes mamelons me faisaient mal. Mais le plus drôle c’est que ceux de Luce pointaient aussi et même ceux de la vendeuse.

Une fois à la caisse du côté des gadgets sexuelle j’avais chaud malgré l’air climatiser en payant avec ma carte de crédit et Luce la sienne pour les cadeaux. Et là, la caissière sortit un sac de sous le comptoir et le donna à Luce qui la remercia. Je deviner qu’elle avait du faire des emplettes, des gadgets sexuels et probablement par internet. Le sac était solidement brocher et anonyme. Une fois dans le camion qui cuisait lentement au soleil tout comme moi, on jeta nos achats sur le siège arrière et je lui demander en m’attachant :

— C’est indiscret de te demander ce...
— Oui ! Fit-elle en souriant.
— OK, et j’espère juste que ses pas des trucs pour faire mal à une grande fille de 50 ans et merci pour la robe, les bottes et les souliers.
— Ça me fait plaisir, on aime ça les cadeaux nous les filles non ? Comme ça, quand tu vas la mettre, tu repenseras un peu à moi. Bon, j’ai quelqu’un a rencontré, j’en aie pour 10 minutes ensuite on se tape un bon hot-dog et on rentre pour aller jouer dans la boue.
— Oh, un fantasme, avec la robe et les bottes j’imagine ?
— Si tu veux.
— Mais on se baigne avant de partir. Seigneur on doit battre un record de chaleur aujourd’hui, je me sens tout étourdie.

Cette fois elle se stationna dans une rue transversale devant une petite galerie d’art. En vitrine il y avait les peintures habituelles de maison canadienne colorer pour les touristes et des paysages de lac et de rivière et de la mer.

— Tu m’attends ou tu veux voir ce que je fais ?
— Oh oui, fis-je curieuse et toute énerver en me détachant. J’avais déjà un pied à l’extérieur dans la fournaise, quand elle rajouta :
— Dimanche soir c’est mon vernissage, c’est à dire demain. Tu crois que.... Ça ne dure que 2 h et il n’y aura pas grand monde. Ce n’est pas Montréal ici.

La robe évidemment et elle me l’avait offerte, comment dire non et a voir son petit air espiègle, je vis quelle savait que je venais d’allumer.

— Tu penses que tu vas m’avoir comme ça avec des cadeaux ?
— Absolument.
— Ça dépend de ce qu’il y a dans ton sac à malice. Ça risque de me faire peur.
— C’est ma robe de soirée.

La, je la regarder septique, elle se foutait de moi encore.
— WAIS ! Je vais venir, menteuse.
— Ma tante Julie va être contente.
— Ben oui, dis-je en sortant amuser, ma tante Julie va être contente. Merci, je ne me sens pas vieille du tout.

C’est en refermant la portière que je vis le nom de la galerie. Chez Ma tante Julie, galerie d’art.

Encore l’air climatiser, quel bonheur, mais encore les mamelons au garde a vous ! Pas embarrassant du tout, mais au moins je n’étais toujours pas la seule. Je me frottais les bras découvrant que ce n’était pas si petit que je l’imaginais. Une grande salle a l’entrée avec les toiles pour touriste mais un long couloir peint en blanc menait à différentes salles.

Une femme plutôt distinguer, dans la quarantaine et pas mal ronde assise derrière un bureau se leva aussitôt quelle m’aperçut le sourire aux lèvres.

— Ça c’est une belle surprise, dit-elle en venant me serrer la main avec énergie, la belle Julie Demers. Bien venu dans notre beau coin de pays. Moi c’est Julie également, mais tout le monde m’appelle ma tante Julie.
— Merci. Dis-je la trouvant déjà sympathique.
— En vacances ?
— Oui pour quelques jours.
— Luce ne m’avait pas dit qu’elle vous connaissait.
— On vient de se rencontrer.
— Vous êtes encore plus jolie qu’à la télé.
— Ah, fi-je embarrasser comme toujours. Merci.
— J’existe toujours ? Glissa Luce timidement en souriant.
— WAIS, mais à peine ma belle, fait la femme en riant et lui baisant les joues avant de revenir à moi. Vous venez demain au vernissage Mme Demers ?
— Oui ! Mais je n’ai pas encore vu ce qu’elle fait, elle est un peu secrète.
— Elle, seigneur oui, une vraie tombe, elle ne voulait même ne pas venir a son vernissage vous vous rendez compte. Salle 4 tout au fond, allez y on doit discuter toutes les deux un moment.

En faisant le tour de la salle 4 j’y découvris des photographies de nu surtout en noir et blanc mais quelques une en couleurs vraiment superbe et toutes de femmes matures et bien rondes posant en général sur un fond noir mais aussi en pleine nature. Je comprenais mieux maintenant l’intérêt de Luce pour Marie et ses formes généreuses.

Rien de vulgaire, bien au contraire, une ode a la rondeur. Presque toutes des femmes qui posaient anonymement, pas de visage. Je me demandais si Marie oserait faire ça, sûrement. Et la je me rappeler de sa carte professionnelle qui indiquait qu’il était illustrateur.

J’approchai mon visage d’une grande photo pour me rendre compte que ce n’était pas une photo mais un dessin aux points et aux traits réaliser au crayon noir a pointe fine. Sacré boulot ! Une femme posait étendu sur le côté toujours sur un fond noir ce qui faisait ressortir la blancheur de sa peau lisse et sans aucune vergeture. Beau ventre rond, cuisses bien rondes qui lui faisait des pieds menus et pubis raser. Ça donnait l’impression quelle avait un sexe d’enfant, mais c’était ses seins ballon reposant l’un sur l’autre qui attirait le plus mon attention car je n’avais jamais vu de mamelons dont la pointe était rentrer par en dedans comme ceux-là, lui laissant deux petits trous en plein centre des auréoles. De près on voyait parfaitement le grain de la peau... Je m’étais souvent demandé ce qu’on pouvait bien ressentir à traîner des seins pareil, surtout en regardant Marie. Mais la pointe des seins rentrer par en dedans ça, je me demandais bien ce quelle pouvait ressentir...

— Vous aimez ?

Je sursauter tout électrique en me reculant, embarrasser d’avoir été surprise le nez a deux pouces de l’illustration a admirer des seins et par ma tante Julie en plus et qui était seule.

— Oui, vraiment, c’est superbe. Sacré travail de précision. Ça doit lui prendre une éternité pour chaque oeuvre.
— Hum ! Luce est une vraie !
— Une vraie ?
— Oui, une artiste, une vraie et c’est rare par ici. Vous allez poser pour elle ?
— Seigneur non ! De toute façon je ne suis qu’un paquet d’os comparer à toutes ses belles femmes.
— Dommage, se serait superbe. Moi j’ai longtemps hésité à poser même si c’est anonyme, je ne me trouvais pas assez joli, vous savez ce que c’est.
— Oh oui, je comprends ! Fi-je surprise mais ne pouvant m’empêcher de jeter un coup d’oeil a sa grosse poitrine. Vous avez ce qu’il faut pour lui servir de modèle en tout cas, pas moi.
— WAIS, j’ai du monde au balcon. Dit-elle en riant. C’est moi, celle que vous regardiez.

Le feu me monta aux joues.

— Oh ! Superbe, fis-je mal à l’aise encore une fois en revoyant son sexe et le reste.
— Je vous raccompagne, dit-elle, elle vous attend dehors.
— Ah oui ! Fis-je surprise en lui emboîtant le pas jusqu’à l’entrée.
— WAIS, Luce est très timide pour ses oeuvres. J’ai même peur qu’elle change d’idée et ne vienne pas demain. Elle ne voulait même pas de vernissage.

Et la je compris que Luce devait être soulagé que je l’accompagne car j’allais sûrement dévier l’attention de tout le monde et puis j’avais l’habitude de se genre d’événement.

— C’est à quelle heure ?
— 19 h.
— Au pire je l’assomme avec une pelle et je vous l’amène. On lui fera un petit bandage si elle pisse le sang.

On se serra la main en riant comme des folles et je rejoignis Luce assise dans le camion. J’eus l’impression de frapper un mur de chaleur humide en sortant de la galerie d’art. Même de rentrer carrément dans un four en sentant la sueur perler entre mes seins et le long de ma colonne.

— Bon, un hot-dog ma grande ? Demanda-t-elle en démarrant
— Oui ! Superbe tes oeuvres, vraiment. Je n’aurais jamais la patience de faire ça et surtout pas le talent. Ça va me faire plaisir de venir demain ma belle. C’est du nu mais pas vulgaire, bien au contraire. C’est magnifique.
— C’est une bonne thérapie et Merci.
— Ton premier vernissage ?
— Hum !
— Et ça te stresse, parce que c’est du nu ?
— Oui ! Je m’en serais bien passé du vernissage.
— T’inquiète pas, tout va bien aller. Je comprends mieux pourquoi c’était mon amie que tu regardais l’autre soir et pas moi.
— Je te l’ai dit, tu es l’exception et évidemment là tu rêves de poser pour moi. Fit-elle malicieuse.

Elle me regardait avec un petit air coquin le sourire aux lèvres.

— Dans tes rêves ma vieille. Et je n’ai pas envie de montrer mes vieux os à planète.
— Y me semblait que tu te trouvais gonflé. Tu n’arrêtes pas de te plaindre que tes fesses on grossit, tes cuisses, tes seins...
— Oui, enfin non, bon, un peut... ah, je sais put, fait trop chaud.

Elle éclata de rire. Cette chaleur humide ne semblait avoir aucune emprise sur elle.

Je me fis photographier avec la propriétaire de la roulotte à patates frite, son employé et deux gars de la compagnie de téléphone du coin. Puis on réussit a manger tranquille assise à une table de pique-nique face à la mer. Le vent du large nous rafraîchissait un peu mais à peine. Je regardais la glace dans mon verre de cola avec envie.

— Est-ce que les gens ici savent pour toi ?
— Tous mes modèles ou presque.

Je la regarder étonner réalisant ce quelle venait de me dire.

— Tu... tu les baises toutes ? Elles sont toute du coin ?
— Hum !

Je la regarder septique.

— Tu te fou de ma gueule encore ma tabarouette.
— Ben, tu sais, je travaille d’après photo et pendant les séances voir ces belles rondes se dénuder pour poser et bien... Je bande et ses dures à cacher alors elles réagissent un peu toutes comme toi; oh ! Ben voyons ! J’adore c’est excitant ! Ah oui ! Ah oui ! Ah oui !

Je lui jeter une patate frite par la tête en riant, elle l’évita de justesse en éclatant de rire mais pas la grosse mouette qui nous tournait autour. Elle l’attrapa même au vole.

— C’est ça, fout toi de moi, lui dis-je dents serrer. Bouffe qu’on aille se baigner au plus vite l’artiste.
— Oui madame !


Une heure plus tard, de retour a la roulotte je me précipiter pour enfiler mon bikini, un peut petit a mon goût, il me laissait la moitié des fesses et des seins a l’air et sans attendre, au bord de l’évanouissement je me jeter dans la rivière. Le paradis même si l’eau était très chaude aujourd’hui. Je rester au fond du bassin un moment et quand j’en émerger en me mettant debout je la vis en short et haut de bikini qui me regardait rieuse avec les bottes que je venais d’acheter dans les mains. Je me lisser les cheveux derrière la tête en disant :

— Je ne vais pas mettre ça pour me baigner ma grande, oublie ça, fantasme ou pas.
— Mais pour conduire mon camion, oui, il y des chaussettes a l’intérieur. Je te donne 15 minutes la bombe pendant que je nous prépare un casse-croûte. Et tu restes en bikini. Et, avant que tu protestes, il faut que tu saches que l’eau du lac là-haut devant l’ancienne scierie est pure, claire et... glaciale. Elle provient directement de la nappe phréatique.

Je la regarder lâcher les bottes sur le sable et se déhancher joliment jusqu’a la roulotte, pieds nus, avant de me laisser tomber dans l’eau sur le dos bras en croix.


La forge

Je m’éclatais totalement au volant du Hummer, le roi des 4x4, que je sentais beaucoup plus puissant que le mien. Je ressentais un plaisir quasi enfantin à conduire cet engin fantastique. Fenêtres baisser, toit ouvrant ouvert en grand, cheveux au vent on roulait depuis presque une heure entre les montagnes et même si on gravissait de grandes côtes pour redescendre aussitôt je sentais bien que l’on montait sans arrêt car l’air devenait beaucoup plus frais et plus supportable. Avec le gravier et comme la route n’était pas entretenue nos poitrines sursautaient violemment à chaque nid de poule menaçant de sortir de nos maillots mais c’était vraiment agréable de conduire à demi nue par cette chaleur. Une fois passer un long pont métallique rouiller peint en vert et pas très rassurant qui enjambait une grosse rivière tumultueuse, le chemin devint rapidement plus cahoteux et plus étroit. Soudain je vis un vieux panneau à moitié rouiller qui indiquait « bienvenue a Me-ka-an, population 547 »

— Il y a un village ici ?
— Hum !
— Drôle de nom. C’est amérindien ?
— Probablement. On va y stopper quelques minutes.

Je regarder mon mini bikini et mes grosses bottes de randonnée en disant.

— OK, mais je reste dans la voiture.
— Non.
— Oh oui !
— Oh non !
— C’est ce gros bouton rouge pour barrer les portes ?
— Non, ça c’est le siège éjectable.

Je lui tirer la langue nerveuse, je n’avais vraiment pas envie de me balader a moitié nue et en botte dans un village devant des gens qui ne manquerais sûrement pas de vouloir se faire photographier avec moi. Et la je vis les premières maisons, décolorer par les années, d’un gris uniforme et a moitié écrouler entourer de végétation et je compris en entrant dans le village abandonné.

— Un village fantôme ?
— Hum ! Les gens sont partis quand la scierie est passée aux feux et qu’elle n’a jamais été rouverte. Arrête toi la, on va faire de jolies photos.
— Pas question, dis-je en stoppant et arrêtant le moteur.

Elle sortit un appareil numérique du coffre à gant et me posa le visage, je lui fis une grimace. Le bikini de sexe-chope que je portais ne cachait pas grande chose, je n’avais pas envie que des photos de moi à demi nu se retrouve sur le net.

— Allez viens ! Dit-elle en ouvrant sa portière.
— Non, fi-je tout sourire en croisant les bras soulevant et gonflant ma poitrine en sueur, je t’attends.
— Tu te prends pour le nombril du monde ma belle.
— Moi ! Absolument pas. Fi-je un peut piquer au vif.
— C’est pour me poser moi.

Elle me tendit l’appareil que je pris un peu surprise.

— Oh ! Fi-je en retrouvant mon sourire. Là, ça me plaît. Des photos de nu ?
— Il est en mode automatique.
— OK, mais tu n’as pas répondue.

Elle pinça les lèvres embarrasser et dit :

— WAIS, je voulais le faire depuis longtemps mais je ne connaissais personne... Si elles sont bonnes, j’en ferais une expo, enfin, si je n’ai pas l’air trop idiote. Ça ne te dérange pas ?
— Moi ! Pas du tout ! Affirmai-je avec énergie.
— OK ! Ça me stresse un peu.
— C’est gênant hum ?
— WAIS !
— Bon, tu me comprends maintenant.
— Tu ramènes tout a toi, dit-elle rieuse en claquant la portière.

— On fait ça où, lui demandai-je en la rejoignant sur le chemin de terre battue devant le camion me sentant ridicule avec mes grosses bottes et ce mini bikini. Quand je marchais, mes fesses rebondissaient et j’avais l’impression d’avoir le cul à l’air sans parler de mes seins qui n’avait pratiquement aucun soutien.
— Suis-moi ! Tu sais te servir d’un appareil numérique ?
— Je n’ai quand même pas 102 ans et il est semblable aux miens. Combien de photos max ?
— 1000 en haute définition. Tu peux en rater quelque une.
— OK, mais après... pas de supplication genre ; « Je l’ai fait — À ton tour ma belle — Allez, » sinon je t’assomme.
— T’es violente c'est pas croyable.
— Moi, t’as pas idée, dis-je en ouvrant l’appareille pour la regarder dans l’écran plat. Miss beau derrière haut et ferme qui fait sueur. Je fis un zoom et...

Clic !

La forêt avait repris ses droits, les hautes maisons à deux étages avec toi en pignon étaient d’un gris terne et à peine visible sous la végétation tout comme les commerces dévaster par les intempéries. Des arbres poussaient même aux traves des bâtiments crevant les toits. Je vis une vieille borne-fontaine rouiller datant d’une autre époque entourer d’herbe folle, des bicyclettes manger par la rouille, même quelques véhicules des années 50 et 60 dans des garages écrouler. Toutes les fenêtres avaient disparu ainsi que le mobilier. Elle prit un étroit sentier entre deux maisons et j’entendis aussitôt le bruit d’une petite rivière. L’air était beaucoup plus frais et agréable, surtout à l’ombre. On émergea dans une cour arrière encore pas mal dégager et tout au fond il y avait une ancienne forge. Les grandes doubles portes pendaient ouverte et a l’intérieur il y avait encore une immense enclume toute rouillée, un vieux four en brique et un grand bac en métal rempli d’eau croupie. Mais plus d’outils, tout avait disparu. Il manquait des planches au toit, de grands rayons de soleil obliques éclairaient l’endroit.

— Ça te plaît comme décors pour les photos ?
— Wow ! Fis-je. Fantastique, avec les rayons de soleil ça va être super.

J’allai tout au fond, par les interstices des planches je vis une jolie rivière qui s’écoulait sans doute derrière tout l’ancien village.

— Bon, on commence ? Demanda-t-elle rester près de l’enclume.
— Eh, oui. Tu veux des photos sexy j’imagine, plein pieds et gros plans.
— Tu sembles t’y connaître.
— Ça fait 30 ans que je me fais poser par des pros ma belle. Laisse toi aller, détends toi et fais moi une jolie face de tannante, t’es bonne là-dedans.

Je commencer a la mitrailler en la faisait poser devant l’enclume, puis lui faisant enlever son haut de bikini dos a moi et ainsi de suite et j’adorais ça. En marchant on soulevait de la poussière et cela ajoutait à l’originalité des photos. La voir poser seins nus m’émoustilla un peut, j’en avais des petits papillons dans le bas ventre surtout quand en prenant des petits airs de gamine elle dégrafa son short et l’ouvrit. Elle se retourna pour le baisser découvrant peut a peux ses jolies fesses blanches. Je la fis se placer de façon a ce qu’un rayon de lumière les éclaire directement. Une fois les shorts enlever je la fis se pencher jambe écarter toujours dos a moi et fit un gros plan sur ses couilles lisses et son anus bien visible. Cette fois je mouillais carrément et quand elle se retourna, son sexe était en érection quasi complète et sursautait à chaque battement de coeur. Et, comme moi elle portait des bottes de randonnée, cela me fit sourire.

— Désolez Julie mais... C’est vraiment excitant.
— Je vois ça ma belle, mais j’ai chaud. OK ! Prends ton pénis d’une main, prends aussi un air de méchante et penche-toi par en arrière en me faisant un doigt d’honneur. Oui, wow ! Bouge plus.

30 minutes plus tard son érection avait diminué, j’avais pris une bonne centaine de clichés un peu partout dans la forge et cela m’avait plus énormément. On stoppa et elle dit :

— Je peux te baiser la bombe, je suis comme qui dirait un peut, même pas mal exciter ? Me demanda-t-elle en se branlant doucement les yeux rieurs réduits à deux petites fentes se ramenant en pleine érection. J’en salivais les yeux tout petits également à voir sa main délicate aller et venir en heurtant ses couilles glabres et son gland. C’était plus que tentant, j’en mourais d’envie. Mes mamelons étaient si tendus qu’ils me faisaient presque mal.
— Oui, mais pas de photo. T’as un condom ?
— Oui ! Dit-elle en n’en sortant un de ses shorts. Enlève ton bikini et appuie-toi sur l’enclume. Je le fis comme en transe tellement je mourais d’envie de me faire mettre, tandis quelle enfilait la capote mais je garder les bottes tout comme elle. Je me pencher pour croiser les bras sur le métal chaud, seins pendant aux pointes tendues, le moindre petit courant d’air me les agaçait et j’écartai les jambes en arquant le dos et bombant le cul. Mon sexe ouvert, gonfler et mouiller palpitait, ainsi offert à sa vue. C’était si excitant d’être la, en plein air, nue, dans un village fantôme mais étrangement, c’était mon anus a sa porter que je sentais le plus. Bien malgré moi je le faisais pulser le sentant humide. Une fois derrière moi, elle passa un doigt sur ma fente pour vérifier si j’étais prête effleurant l’anus au passage, je sursauter un peut de plaisir et j’en frémis en plissant les yeux, ouvrant les lèvres et dodelinant du cul pour l’exciter encore plus en sentant mes seins se balancer pour ce frapper mollement. J’étais comme en transe, je planais déjà mouiller et prête me sentant si bien. Elle me caressa les fesses avec ses mains de fille très doucement, pas comme un homme, en me les pressant tendrement et j’aimais ça, c’était si agaçant, si érotique.

Elle me les écarta et les sous pesa prenant son temps tandis que je résistais à l’envie de me masturber violemment. Ces caresses me mettaient dans tous mes états, mes genoux en pliaient et je commençais à gémir doucement. Je savourais chaque seconde de cet instant magique le corps parcouru de frissons, surtout quand ses pouces glissaient dans ma craque de fesses et, enfin, je sentis son gland glisser entre mes grandes lèvres vaginales ouvertes et s’y enfoncer par a coup, lentement. J’en eus des crampes vaginales presque douloureuses tellement c’était bon et quand elle fut entrée jusqu’aux couilles, elle ne bougea pas d’un poil, une vraie torture. Je remuer les fesses pour l’encourager, désespérer et elle commença enfin a bougé mains sur mes hanches. Son bas ventre faisait rebondir mes fesses et mes seins qui se balançait mollement jusqu’a heurter le bas de l’enclume, rajoutant ainsi a toutes ces sensations fantastiques. Les premiers moments de la pénétration ont toujours été pour moi les meilleurs. Je me lamentais déjà avec ma voix de petite fille en posant la tête sur mes bras décidant de la laisser prendre son plaisir. Elle accéléra peut a peut et le flic, flac de son ventre heurtant mes fesses replie la forge. Je lui jeter un oeil, elle fixait ça bite qui allait et venait en moi de plus en plus vite, ses seins se balançaient et se frappaient, son beau visage de fille était légèrement déformé par le plaisir et elle se mordillait les lèvres. C’était étrange et beau à voir, même excitant.

Quelque minutes plus tard elle me pistonnait presque aussi durement que mon ex une main sur mon épaule l’autre toujours sur mes hanches. J’en étais rudement secoué et j’aimais ça en l’encouragent a allé plus vite car j’étais tout prêt de jouir mais elle stoppa soudainement pour se pencher sur moi en poussant ça bite le plus profondément possible dans mon vagin. Ses seins en sueur s’écrasèrent sur mon dos tandis que je la sentais jouir par a coup. Cette fois je me masturber violemment pour ne pas échapper cet orgasme qui explosa avec force. Je crier mon plaisir en me tortillant sous elle les larmes aux yeux. Un feu d’artifice se propagea dans mon bas ventre jusqu’a mes seins et il diminuait déjà, peut a peut, me laissant essouffler et transit tandis que Luce se retirait de mon sexe débordant de déjection.

Je me relever étourdie autant par le plaisir que par la chaleur pour me retourner et appuyer mes fesses contre l’enclume, l’odeur de mon sexe me monta au nez en la regardant se débarrasser du condom rempli de sperme puis elle vint se blottir dans mes bras comme une enfant. On se serra a ce faire quasiment éclater les seins avec ça bite toujours dure écraser contre mon ventre et elle dit a mon oreille :

— Désoler.
— Ben voyons, fis-je surprise le nez sans ses cheveux noirs, pourquoi. C’était fantastique, j’ai joui moi aussi ma belle.
— Parce que... je suis tombé amoureuse de toi.

Ce que je redoutais, même si de l’entendre fit qu’un petit courant électrique me traversa la colonne.

— Hum, fi-je simplement en caressant son dos en sueur et ses jolies fesses de femme. Je l’enlacer encore plus fort en ressentant des émotions étranges, le plaisir de sentir son corps ces certains mais... J’avais en plus des papillons dans l’estomac et cette fois ce n’était pas parce qu’un orgasme approchait mais parce que j’avais vraiment envie de la revoir une fois de retour a Montréal et je lui dis sans hésiter.

Elle se recula un peu pour me regarder dans les yeux visiblement surpris.

— C’est vrai ?
— Oh oui, mais il faudra que ce soit discret, tu comprends pourquoi.
— Bien sûr, t’inquiète pas. Tu m’appelleras quand tu en auras envie, ça me suffira.

Je souris avant de l’embrasser longuement me sentant si bien et on se rhabilla en silence.

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Texte coquin : Au bout du monde- 5
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