AU CHATEAU - histoire érotique

Pendant cet été, j'avais été invité par un camarade de promotion, Hubert. Ses parents occupaient une somptueuse demeure, dans
une propriété immense. Personnel qualifié : cuisinière, femmes de ménage, ouvriers d'entretien... Hubert me conduisit dès mon
arrivée dans ma chambre au deuxième étage. Une grande pièce boisée, meuble d'époque et lit à baldaquin. Deux jeunes filles
nous servaient pendant le repas, où nous nous retrouvions à une dizaine de personnes. A chaque demande, un membre du
personnel était interpellé pour nous servir. Parmi le personnel, j'avais remarqué que les filles avaient du être triées sur le volet car
elles étaient toutes mignonnes. Après le repas, je dus monter dans ma chambre pour récupérer des effets et je croisais la fille qui
s'occupait de mon étage. Je la saluais et elle me répondit par un grand sourire. Elle me demanda ce que je désirais et je lui
répondis que pour le moment j'avais ce qu'il me fallait mais que plus tard si elle était toujours là, je pourrais avoir besoin de ses
services. Elle acquiesça et me désigna la porte de sa chambre et me signifia que si j'avais besoin, d'aller frapper. Je redescendis
au salon où tout le monde était réuni et les uns jouaient au bridge, les autres au tarot. Je rejoignis l'équipe du tarot et nous
jouâmes jusqu'à minuit. Hubert nous quitta pour aller dormir, en s'excusant, et peu de temps après je le suivis... Quand j'arrivais
sur le palier de ma chambre, j'aperçus un rai de lumière passer par la porte entrouverte de la jeune fille que j'avais croisée tout à
l'heure. Discrètement, sur la pointe des pieds, pour ne pas faire craquer le plancher, je m'approchais de cette ouverture. Je vis
dans le lit, ma gamine endormie, un sein sorti des draps. Elle était vraiment belle, sa peau lumineuse que bordait une chevelure
bouclée et dorée. Le spectacle était magique et je ne pus m'empêcher de m'approcher de cette fée. En arrivant à son chevet, je me
penchais et posais mes lèvres sur ce sein rond et ferme. Elle soupira légèrement mais continua à dormir. Je m'avançais un peu et
tout en respirant pour humer son odeur je déposais un baiser sur sa tempe, puis n'y tenant plus sur ses lèvres joliment dessinées.
Sa bouche s'entrouvrit aussitôt et, avec délicatesse elle plongea sa langue dans ma bouche. Elle m'attira vers elle et ce baisé
merveilleux dura une bonne dizaine de minutes. Une main caressait ma chevelure et l'autre entreprit de défaire les boutons de ma
chemise. Ma petite avait de l'expérience et elle s'y prenait bien. Elle me dégagea de haut de vêtement puis toujours d'une main
habile elle défit ma ceinture et déboutonna mon pantalon. En deux temps et trois mouvements, je finis son effeuillement et me
retrouva nu au pied de son lit. Elle écarta les draps et m'invita à m'y glisser. Mon corps nu rencontra le sien nu et aussi brûlant...
Nous échangeâmes de multiples caresses et de multiples baisers, elle était divine. Mes lèvres l'embrassèrent partout et en
arrivant entre ses cuisses ma bouche rencontra sa corolle entrouverte complètement trempée. J'aspirais chacune de ses lèvres
comme pour boire ce nectar avec délice, puis ma langue tourna autour de son petit bouton bien dressé. Son bassin ondulait et sa
respiration se faisait de plus en plus forte, laissant échapper quelques petits gémissements de plaisir. Ces gémissements firent
place à des râles de plus en plus sonores quand mes lèvres saisirent son petit clitoris érigé. Tout mon visage était inondé et je
tétais ce petit bouton magique qui faisait maintenant hurler mon hôte. J'avais beaucoup de mal à maintenir ma caresse buccale car
elle bougeait beaucoup. Mais elle finit par raidir ses jambes, tendre son bassin et laisser couler un flot de cyprine dans ma bouche,
en hurlant. Ma langue reprit sa lèche lentement, doucement. Son corps cambré se détendit et lentement reprit sa douceur. En
relevant la tête, je vis qu'elle avait les yeux fermés, un léger sourire sur ses lèvres. Je remontais à côté d'elle, et elle posa sa tête
sur mon épaule en me caressant le ventre. Nous échangeâmes des étreintes et quelques petits baisers, sans prononcer un mot.
Puis nos petits baisers devinrent plus appuyés et nos langues s'entremêlèrent ravivant nos désirs. Sa main sur mon ventre
continua son périple et atteignit mon sexe hyper tendu. Elle le saisit, le décalotta complètement, puis le branla lentement. De temps
en temps elle arrêta sa branle pour caresser mes boules puis revint au va et vient de sa main. Avec délicatesse et lenteur elle
glissa le long de mon corps en me léchant partout puis face à mon sexe tendu, elle donna quelques coups de langue sur le méat
et finit par gober mon gland. Elle le suça avec gourmandise en donnât de temps en temps quelques coups de langue sur le frein.
Malgré sa petite bouche elle avala tout mon sexe puis se retirant lentement en l'aspirant. J'ai cru que j'allais jouir aussitôt, Mais le
sentant, elle arrêta sa pompe, et vint s'accroupir sur moi. Ma tige raide plongea tout de suite dans son vagin inondé et son bassin
souple décrivait des cercles. Elle se tenait sur ses poignets, de chaque côté de mon visage, et je sentais la pointe de ses seins
effleurer ma poitrine. Elle accéléra le mouvement et avec frénésie se redressa comme pour que mon sexe aille le plus loin dans
son ventre, elle hurla dans son orgasme et je finis par éjaculer à ce moment là. C'était grandiose, magique, sublime... C'était notre
première nuit et la meilleure, même si tous les soirs elle me rejoignait dans ma chambre.