Au concours hippique
Récit érotique écrit par Julien4 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au concours hippique
Je possède un cheval magnifique et je fais quelques concours régionaux. Je ne fais parti d'aucun club et m'inscrit individuellement. Mon cheval s'appelle Alizée, c'est un bel alezan, très souple, moitié pur sang anglais, moitié pur sang arabe, on appelle un cheval comme ça un anglo-arabe 50. Il saute des montagnes et si l'on sait se tenir il est imbattable.
Béatrice de ... me matait, matait mon cheval et était toujours là à chacune de mes prestations, des éliminations. Elle, elle montait en club et le cheval que l'on lui avait attribué ne lui convenait pas mais elle n'avait pas le choix. Attiré par moi, ou par le cheval, j'eus sa visite le soir des premières éliminations, alors que je brossais Alizée.
Un tressaillement de mon cheval m'avertit de la venue d'une visite. Quand je me suis redressé, je vis Béatrice vêtue d'un t.shirt blanc qui moulait une poitrine bien fournie, d'une jupe plissée écossaise, des tresses retenaient des cheveux blonds. Elle me regardait en souriant et faussement me dit : "Ha ! C’est à toi Alizée". Elle savait qui j'étais et que ce cheval était le mien. Je pris sa démarche pour une approche et ne lui en tint pas rigueur. Lentement elle s'approcha tout en caressant Alizée et se rapprocha de moi. Elle arrêta ma main et se saisit de la brosse que je tenais et continua à brosser ma monture. Elle me tourna le dos et se baissant, je vis le haut de ses cuisses dépassant de son petit kilt. Aussitôt excité, j'osais et posais mes deux mains sur la belle croupe qui s'offrait à moi. Elle resta figée et ne bougea plus d'un centimètre. Je remontais mes mains et par la même occasion ce qui lui servait de jupe et découvrit de jolies fesses rondes à peine cachées par un petit string. Je me mis à genoux et commença à embrasser les parties charnues avant de glisser ma langue dans la raie dont j'avais écarté le bout de tissu. Elle coulait déjà et ma langue n'eut aucun mal à fouiller sa chatte délicieuse. Ma langue remonta vers son oeillet qui sous la caresse s'était entrouvert. La pointe de ma langue y pénétra et je l'entendis gémir de plaisir... je me relevais, baissais mon pantalon rapidement et posais mon gland turgescent sur sa rondelles humides. Mon sexe tendu rentra sans résistance de tout son long et l'agrippant par ses hanches je limais en la pénétrant jusqu'à la garde. Mes boules frappaient sa chatte à chaque mouvement et elle échappait de petits cris à chaque fois. Alizée, ne bougeait pas et avait l'air de se moquer de la situation... Je ressorti ma queue pour la plonger dans son vagin largement dilaté et pleine de cyprine onctueuse, je limais aussi fort puis revenais vers son petit trou plus serré pour mon sexe. Je finis par lâcher tout mon sperme dans son ventre alors qu'elle commençait à hurler. Je mis le maximum au fond et restais comme ça immobile la tenant toujours par les hanches. Puis, ramollissant, mon sexe sortit naturellement. Nous nous redressâmes, et nous nous rhabillâmes. Je te remercie maître d'Alizée pour ta saillie et je reviendrais car j'ai beaucoup appréciée.
Je ne lui avais adressé aucune parole et elle ressortit du box comme elle était entrée.
Je la revis le lendemain...
Béatrice de ... me matait, matait mon cheval et était toujours là à chacune de mes prestations, des éliminations. Elle, elle montait en club et le cheval que l'on lui avait attribué ne lui convenait pas mais elle n'avait pas le choix. Attiré par moi, ou par le cheval, j'eus sa visite le soir des premières éliminations, alors que je brossais Alizée.
Un tressaillement de mon cheval m'avertit de la venue d'une visite. Quand je me suis redressé, je vis Béatrice vêtue d'un t.shirt blanc qui moulait une poitrine bien fournie, d'une jupe plissée écossaise, des tresses retenaient des cheveux blonds. Elle me regardait en souriant et faussement me dit : "Ha ! C’est à toi Alizée". Elle savait qui j'étais et que ce cheval était le mien. Je pris sa démarche pour une approche et ne lui en tint pas rigueur. Lentement elle s'approcha tout en caressant Alizée et se rapprocha de moi. Elle arrêta ma main et se saisit de la brosse que je tenais et continua à brosser ma monture. Elle me tourna le dos et se baissant, je vis le haut de ses cuisses dépassant de son petit kilt. Aussitôt excité, j'osais et posais mes deux mains sur la belle croupe qui s'offrait à moi. Elle resta figée et ne bougea plus d'un centimètre. Je remontais mes mains et par la même occasion ce qui lui servait de jupe et découvrit de jolies fesses rondes à peine cachées par un petit string. Je me mis à genoux et commença à embrasser les parties charnues avant de glisser ma langue dans la raie dont j'avais écarté le bout de tissu. Elle coulait déjà et ma langue n'eut aucun mal à fouiller sa chatte délicieuse. Ma langue remonta vers son oeillet qui sous la caresse s'était entrouvert. La pointe de ma langue y pénétra et je l'entendis gémir de plaisir... je me relevais, baissais mon pantalon rapidement et posais mon gland turgescent sur sa rondelles humides. Mon sexe tendu rentra sans résistance de tout son long et l'agrippant par ses hanches je limais en la pénétrant jusqu'à la garde. Mes boules frappaient sa chatte à chaque mouvement et elle échappait de petits cris à chaque fois. Alizée, ne bougeait pas et avait l'air de se moquer de la situation... Je ressorti ma queue pour la plonger dans son vagin largement dilaté et pleine de cyprine onctueuse, je limais aussi fort puis revenais vers son petit trou plus serré pour mon sexe. Je finis par lâcher tout mon sperme dans son ventre alors qu'elle commençait à hurler. Je mis le maximum au fond et restais comme ça immobile la tenant toujours par les hanches. Puis, ramollissant, mon sexe sortit naturellement. Nous nous redressâmes, et nous nous rhabillâmes. Je te remercie maître d'Alizée pour ta saillie et je reviendrais car j'ai beaucoup appréciée.
Je ne lui avais adressé aucune parole et elle ressortit du box comme elle était entrée.
Je la revis le lendemain...
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