Titre de l'histoire érotique : La candeur de Stéphanie
Récit érotique écrit par Julien4 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La candeur de Stéphanie
Nous étions jeune et elle avait l'air d'une petite fille innocente et candide. Jamais un mot sur le sexe ou sur les plaisirs. Elle
paraissait fragile dans son corps et dans son âme. Sa voix tremblait légèrement et ses gestes hésitants la faisaient confondre
avec une enfant de Marie. Naturellement, je lui adressais la parole avec des mots choisis, et ma voix, et mes gestes, se faisaient
plus doux, pour elle Stéphanie. Un jour, sa mère téléphone chez moi et me demande de lui apporter des devoirs, étant dans la
même classe que Stéphanie. Je me rends donc chez elle, je sonne et c'est Stéphanie qui m'ouvre. Elle est en chemise de nuit, et
m'invite aussitôt à entrer. Sa chemise de nuit blanche et sa chevelure dorée et bouclée me firent penser à un ange. Elle était seule
dans la maison et me dit que sa mère était partie au travail pour toute la journée. Elle m'invita à la suivre jusque dans sa chambre,
où elle gagna aussitôt son lit. Assise, le dos appuyé sur la tête de lit, elle feuilleta les documents que je lui avais apportés, puis les
reposa sur le bureau non loin de là. Dans ses gestes précis je pus apercevoir un sein petit mais joliment fait, au mamelon bien
dessiné. Elle glissa dans son lit pour s'étendre complètement. Elle me regardait, de ses yeux bleus immenses et souriait
légèrement. Elle se poussa sur le bord du lit et m'invita à m'asseoir près d'elle. Nous discutâmes un long moment et avec lenteur
et détermination, elle caressait ma main du bout de ses doigts fragiles. Surpris par cet élan de douceur, je me penchais et posais
mes lèvres sur sa joue non loin de la commissure de sa bouche. Elle me fixa, comme pour voir à travers mon corps avec un air
grave et sa main passa derrière ma nuque et m'attira contre elle pour me donner un baiser sur la bouche. Je ne la reconnaissais
plus, elle osait ce geste dont je m'imaginais être loin de ce qu'elle pouvait représenter pour moi. Nous échangèrent plusieurs petits
baisers et nos bouches entrouvertes laissèrent passer nos langues que nous mêlâmes avec délice et frénésie. Très excité, je
glissais ma main sous sa chemise de nuit et découvrais un corps doux et bouillant. Elle se redressa et d'un geste rapide enleva
totalement sa chemise de nuit, se retrouvant entièrement nue devant moi. Les draps complètement écartés me laissaient découvrir
un corps magnifique, svelte et lisse. Son pubis légèrement doré lassait apercevoir des lèvres fines légèrement entrouvertes et
luisantes de cyprine. Tout en la regardant avec admiration, j'enlevais tous mes effets. En me déshabillant je m'aperçus qu'elle fixait
mon sexe raide avec délice et irrémédiablement sa main s'approcha et le saisit pour le caresser avec douceur avant que je puisse
la rejoindre sur sa couche. Je restais donc là, debout et Stéphanie gentiment finit de le décalotter. Je m'approchais encore plus
près du lit et elle attira ma tige dévoilée vers sa bouche. Quelques petits coups de langue avant que ses lèvres viennent sucer mon
gland tendu et chaud. Puis elle aspira, et goba mon sexe en l'attirant dans sa bouche au maximum. Elle se mit à le pomper
lentement tout en caressant mes boules. Ses lèvres enveloppaient magnifiquement ma queue raide et glissaient avec douceur. Je
n'en étais pas à ma première fellation et pourtant j'appréciais cette succion avec bonheur. Sans trop pincer les lèvres et une langue
titillant elle me procurait un plaisir inouï. Tout en restant agrippé par la bouche de Stéphanie, je me posais sur le lit et entrepris de
lui lécher le ventre, le pubis, puis, comme elle venait d'écarter les cuisses, ma langue fouilla l'intérieur de ses lèvres trempées. A ce
moment là, je l'entendis émettre des petits gémissements de plaisir. Sa cyprine onctueuse avait un goût délicieux et je me
régalais. Ses cuisses étaient largement écartées et je pouvais boire au calice de l'amour. Ma langue fouillait sa chatte au plus
profond et ses gémissements firent place à des petits cris étouffés, car elle continuait à suce mon membre. Son bassin ondulait
majestueusement et mon visage était recouvert de mouille. J'étais aux anges ! La cadence de sa suce restait la même et je sentais
peu à peu le plaisir monter inexorablement. De même que ces cris m'annonçaient la venue de son orgasme. C'est dans un
hurlement qu'elle échappa un flot de jus dans a bouche, tout en tendant sa chatte vers ma bouche dévorante. Encore plus excité
par cette situation je lâchais à mon tour tout mon sperme dans le fond de sa gorge, en plusieurs saccades, qu'elle but au fur et à
mesure. Nous restâmes un long moment comme ça, immobiles. De temps en temps elle repinçait les lèvres pour bien rincer je
jus qui restait, et moi un coup de langue dans cet mare de jus merveilleux, jusqu'à ce que nos corps aient repris leur sérénité. Au
bout d'un quart d'heure, je revenais à sa hauteur et nous mélangèrent avec nos langues dans nos bouches, les sucs absorbés.
Stéphanie avait repris ses allures de petites filles modèles tout en pelotonnant dans mes bras. Toute la journée, nous avons fait
l'amour, exploitant tout notre corps, ne laissant aucun millimètres épargnés. Nous nous sommes adonnés à la sodomie aussi et
Stéphanie, qui ne connaissait pas, en a découvert tous les plaisirs et su prendre les bonnes initiatives qui s'imposaient.
Aujourd'hui encore, dix ans après, je me remémore cette scène extraordinaire avec la candide Stéphanie. Notre idylle a duré deux
ans, et depuis les évènements ont fait que nous ne nous voyons plus. Elle est mariée et mère de deux enfants.
paraissait fragile dans son corps et dans son âme. Sa voix tremblait légèrement et ses gestes hésitants la faisaient confondre
avec une enfant de Marie. Naturellement, je lui adressais la parole avec des mots choisis, et ma voix, et mes gestes, se faisaient
plus doux, pour elle Stéphanie. Un jour, sa mère téléphone chez moi et me demande de lui apporter des devoirs, étant dans la
même classe que Stéphanie. Je me rends donc chez elle, je sonne et c'est Stéphanie qui m'ouvre. Elle est en chemise de nuit, et
m'invite aussitôt à entrer. Sa chemise de nuit blanche et sa chevelure dorée et bouclée me firent penser à un ange. Elle était seule
dans la maison et me dit que sa mère était partie au travail pour toute la journée. Elle m'invita à la suivre jusque dans sa chambre,
où elle gagna aussitôt son lit. Assise, le dos appuyé sur la tête de lit, elle feuilleta les documents que je lui avais apportés, puis les
reposa sur le bureau non loin de là. Dans ses gestes précis je pus apercevoir un sein petit mais joliment fait, au mamelon bien
dessiné. Elle glissa dans son lit pour s'étendre complètement. Elle me regardait, de ses yeux bleus immenses et souriait
légèrement. Elle se poussa sur le bord du lit et m'invita à m'asseoir près d'elle. Nous discutâmes un long moment et avec lenteur
et détermination, elle caressait ma main du bout de ses doigts fragiles. Surpris par cet élan de douceur, je me penchais et posais
mes lèvres sur sa joue non loin de la commissure de sa bouche. Elle me fixa, comme pour voir à travers mon corps avec un air
grave et sa main passa derrière ma nuque et m'attira contre elle pour me donner un baiser sur la bouche. Je ne la reconnaissais
plus, elle osait ce geste dont je m'imaginais être loin de ce qu'elle pouvait représenter pour moi. Nous échangèrent plusieurs petits
baisers et nos bouches entrouvertes laissèrent passer nos langues que nous mêlâmes avec délice et frénésie. Très excité, je
glissais ma main sous sa chemise de nuit et découvrais un corps doux et bouillant. Elle se redressa et d'un geste rapide enleva
totalement sa chemise de nuit, se retrouvant entièrement nue devant moi. Les draps complètement écartés me laissaient découvrir
un corps magnifique, svelte et lisse. Son pubis légèrement doré lassait apercevoir des lèvres fines légèrement entrouvertes et
luisantes de cyprine. Tout en la regardant avec admiration, j'enlevais tous mes effets. En me déshabillant je m'aperçus qu'elle fixait
mon sexe raide avec délice et irrémédiablement sa main s'approcha et le saisit pour le caresser avec douceur avant que je puisse
la rejoindre sur sa couche. Je restais donc là, debout et Stéphanie gentiment finit de le décalotter. Je m'approchais encore plus
près du lit et elle attira ma tige dévoilée vers sa bouche. Quelques petits coups de langue avant que ses lèvres viennent sucer mon
gland tendu et chaud. Puis elle aspira, et goba mon sexe en l'attirant dans sa bouche au maximum. Elle se mit à le pomper
lentement tout en caressant mes boules. Ses lèvres enveloppaient magnifiquement ma queue raide et glissaient avec douceur. Je
n'en étais pas à ma première fellation et pourtant j'appréciais cette succion avec bonheur. Sans trop pincer les lèvres et une langue
titillant elle me procurait un plaisir inouï. Tout en restant agrippé par la bouche de Stéphanie, je me posais sur le lit et entrepris de
lui lécher le ventre, le pubis, puis, comme elle venait d'écarter les cuisses, ma langue fouilla l'intérieur de ses lèvres trempées. A ce
moment là, je l'entendis émettre des petits gémissements de plaisir. Sa cyprine onctueuse avait un goût délicieux et je me
régalais. Ses cuisses étaient largement écartées et je pouvais boire au calice de l'amour. Ma langue fouillait sa chatte au plus
profond et ses gémissements firent place à des petits cris étouffés, car elle continuait à suce mon membre. Son bassin ondulait
majestueusement et mon visage était recouvert de mouille. J'étais aux anges ! La cadence de sa suce restait la même et je sentais
peu à peu le plaisir monter inexorablement. De même que ces cris m'annonçaient la venue de son orgasme. C'est dans un
hurlement qu'elle échappa un flot de jus dans a bouche, tout en tendant sa chatte vers ma bouche dévorante. Encore plus excité
par cette situation je lâchais à mon tour tout mon sperme dans le fond de sa gorge, en plusieurs saccades, qu'elle but au fur et à
mesure. Nous restâmes un long moment comme ça, immobiles. De temps en temps elle repinçait les lèvres pour bien rincer je
jus qui restait, et moi un coup de langue dans cet mare de jus merveilleux, jusqu'à ce que nos corps aient repris leur sérénité. Au
bout d'un quart d'heure, je revenais à sa hauteur et nous mélangèrent avec nos langues dans nos bouches, les sucs absorbés.
Stéphanie avait repris ses allures de petites filles modèles tout en pelotonnant dans mes bras. Toute la journée, nous avons fait
l'amour, exploitant tout notre corps, ne laissant aucun millimètres épargnés. Nous nous sommes adonnés à la sodomie aussi et
Stéphanie, qui ne connaissait pas, en a découvert tous les plaisirs et su prendre les bonnes initiatives qui s'imposaient.
Aujourd'hui encore, dix ans après, je me remémore cette scène extraordinaire avec la candide Stéphanie. Notre idylle a duré deux
ans, et depuis les évènements ont fait que nous ne nous voyons plus. Elle est mariée et mère de deux enfants.
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