Aujourd'hui je suis à toi... (suite)
Récit érotique écrit par Katagena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Aujourd'hui je suis à toi... (suite)
Les pensées se mêlent dans mon esprit. Les yeux fermés, je sens ton souffle dans ma nuque, et la chaleur de ton corps tout près du mien. Cela me fait frissonner. Tu murmures alors à mon oreille « je n’en ai pas fini avec toi ». A bout de force, je me demande comment je pourrai encore me donner à toi. Tu ne me laisses pas y réfléchir et me fait tourner, je suis maintenant allongée sur le dos. Ta main me caresse en douceur, le bout de tes doigts frôle ma peau. Je savoure cette douce caresse, enivrante. A peine ai-je fermé les yeux que ta main s’abat sur mon entrejambe. Une douleur vive m’envahit, les larmes me montent aux yeux. Mon clitoris était déjà tellement sensible que maintenant je ressens comme une brûlure qui s’étend. Tu plantes ton regard dans le mien, plein de défi. Tu sais que j’aime ça, cette seconde pendant laquelle je te maudis d’avoir mal, suivie de cette jouissance que cette douleur provoque. Tant de sentiments contradictoires qui s’entrechoquent dans ma tête.
Tu ne lèves pas ta main et la laisse appuyée, sans bouger, pour entretenir cette sensation de chaleur. Ma respiration, qui s’était brusquement accélérée, ralentit peu à peu. Tes lèvres se posent sur les miennes et nous échangeons un baiser fort, intense, comme peut l’être cette journée. Puis soudain tu m’attrapes et me retourne, je suis sur le ventre, le nez dans les oreillers, je peux à peine respirer. Ta main s’abat avec force sur ma fesse, mon cri est étouffé. Tu n’en reste pas là et recommence quatre fois encore, chaque coup semble plus intense, ma peau échauffée par les coups précédents. Je voudrais t’hurler d’arrêter mais sens au fond de moi que j’en veux toujours plus, mettre mon corps à l’épreuve de la douleur pour toujours plus de plaisir. Alors que tu t’arrêtes j’ai l’impression d’avoir la peau à vif. Ma fesse me brûle. J’ai serré les dents si fort que j’ai mal à la mâchoire. Ma respiration était bloquée, elle reprend doucement tandis que je soulève la tête et rouvre les yeux.
- Tu es prête pour le final ?
Il ne me faut pas plus que ces mots pour sentir une grande appréhension m’envahir, comment supporterais-je d’aller au-delà de ce que nous avons vécu.
- Euh… Oui je suppose.
Je ne peux dire mieux. Je me tourne et te regarde, tu peux voir la confusion dans mes yeux, me demandant si j’ai raison de persévérer dans cette expérience. Mais, d’un autre côté, je ne peux me résoudre à vivre autre chose que cette intensité. Tu perçois la soumission dans mon regard, je m’en remets à toi, à tes envies, mon corps n’est plus qu’un objet entre tes mains, à toi d’en faire ce que tu voudras. Tu te places au-dessus de moi et plaque mes épaules contre le matelas. Tu m’enfourches et place une de tes mains sur mon cou. Tu serres, me regardant dans les yeux, toujours plus fort. Ce qui était tout d’abord une simple gêne pour respirer se transforme en une impossibilité à inspirer le moindre filet d’air. Je sens la tête me tourner tandis que mon clitoris me picote, l’excitation due à cette situation est palpable. Je me demande quand tu me lâcheras, prenant conscience que nous n’avons établi aucun code pour que je te fasse comprendre que tu vas trop loin, car « trop loin » n’existe pas entre nous, il n’y a que « toujours plus loin ». Il n’y a pas de limite et j’aime ça.
Tu relâches ta pression et j’inspire une grande bouffée d’air qui me fait tousser. J’ai la bouche tellement sèche. Ma respiration encore sifflante, tu griffes mon ventre, je sens tes ongles s’enfoncer dans ma chair, mon corps se cambre pour rechercher tes ongles autant que pour fuir cette douleur, je ne contrôle plus mes gestes, ni les cris de plaisir et de douleur qui s’échappent de mes lèvres. Tu me pénètres brusquement avec trois doigts, peut-être quatre. Je ne sais pas, je ne sais plus ce qu’il se passe, il me semble que tu continues à me griffer, parfois tu serres mon cou tandis que tes doigts continuent leurs va-et-vient avec force.
Cet instant a duré une minute, une heure, je n’en sais rien. Je ne me souviens que de cet orgasme puissant, de cette intensité. Tandis que je jouis comme jamais, je ne peux retenir ces larmes, mélange de souffrance et de plaisir, découverte d’horizons inconnus. Je me blottis tremblante dans tes bras, mes larmes coulent le long de mes joues, je m’enfouis dans ton cou. Je sais que je suis prête à tout vivre avec toi.
Tu ne lèves pas ta main et la laisse appuyée, sans bouger, pour entretenir cette sensation de chaleur. Ma respiration, qui s’était brusquement accélérée, ralentit peu à peu. Tes lèvres se posent sur les miennes et nous échangeons un baiser fort, intense, comme peut l’être cette journée. Puis soudain tu m’attrapes et me retourne, je suis sur le ventre, le nez dans les oreillers, je peux à peine respirer. Ta main s’abat avec force sur ma fesse, mon cri est étouffé. Tu n’en reste pas là et recommence quatre fois encore, chaque coup semble plus intense, ma peau échauffée par les coups précédents. Je voudrais t’hurler d’arrêter mais sens au fond de moi que j’en veux toujours plus, mettre mon corps à l’épreuve de la douleur pour toujours plus de plaisir. Alors que tu t’arrêtes j’ai l’impression d’avoir la peau à vif. Ma fesse me brûle. J’ai serré les dents si fort que j’ai mal à la mâchoire. Ma respiration était bloquée, elle reprend doucement tandis que je soulève la tête et rouvre les yeux.
- Tu es prête pour le final ?
Il ne me faut pas plus que ces mots pour sentir une grande appréhension m’envahir, comment supporterais-je d’aller au-delà de ce que nous avons vécu.
- Euh… Oui je suppose.
Je ne peux dire mieux. Je me tourne et te regarde, tu peux voir la confusion dans mes yeux, me demandant si j’ai raison de persévérer dans cette expérience. Mais, d’un autre côté, je ne peux me résoudre à vivre autre chose que cette intensité. Tu perçois la soumission dans mon regard, je m’en remets à toi, à tes envies, mon corps n’est plus qu’un objet entre tes mains, à toi d’en faire ce que tu voudras. Tu te places au-dessus de moi et plaque mes épaules contre le matelas. Tu m’enfourches et place une de tes mains sur mon cou. Tu serres, me regardant dans les yeux, toujours plus fort. Ce qui était tout d’abord une simple gêne pour respirer se transforme en une impossibilité à inspirer le moindre filet d’air. Je sens la tête me tourner tandis que mon clitoris me picote, l’excitation due à cette situation est palpable. Je me demande quand tu me lâcheras, prenant conscience que nous n’avons établi aucun code pour que je te fasse comprendre que tu vas trop loin, car « trop loin » n’existe pas entre nous, il n’y a que « toujours plus loin ». Il n’y a pas de limite et j’aime ça.
Tu relâches ta pression et j’inspire une grande bouffée d’air qui me fait tousser. J’ai la bouche tellement sèche. Ma respiration encore sifflante, tu griffes mon ventre, je sens tes ongles s’enfoncer dans ma chair, mon corps se cambre pour rechercher tes ongles autant que pour fuir cette douleur, je ne contrôle plus mes gestes, ni les cris de plaisir et de douleur qui s’échappent de mes lèvres. Tu me pénètres brusquement avec trois doigts, peut-être quatre. Je ne sais pas, je ne sais plus ce qu’il se passe, il me semble que tu continues à me griffer, parfois tu serres mon cou tandis que tes doigts continuent leurs va-et-vient avec force.
Cet instant a duré une minute, une heure, je n’en sais rien. Je ne me souviens que de cet orgasme puissant, de cette intensité. Tandis que je jouis comme jamais, je ne peux retenir ces larmes, mélange de souffrance et de plaisir, découverte d’horizons inconnus. Je me blottis tremblante dans tes bras, mes larmes coulent le long de mes joues, je m’enfouis dans ton cou. Je sais que je suis prête à tout vivre avec toi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très belle histoire (les 2 chapitres) J'en suis encore toute émue, ça sent le sexe
autour de moi, et mes doigts humides se portent à ma bouche.
Merci.
autour de moi, et mes doigts humides se portent à ma bouche.
Merci.