Tout a commencé par ce mail...
Récit érotique écrit par Katagena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Tout a commencé par ce mail...
Tout a commencé par ce mail, reçu un matin. Je ne l’ai pas ouvert tout de suite,
intriguée de ne pas connaître l’expéditrice. Une fois rentrée chez moi, je m’installe
sur le canapé. Dès les premiers mots je me sens comme envoûtée. Il s’agit d’une
invitation à jouer, par un jeu d’écritures interposées. Le titre en lui-même est un
défi : « une écrivaine de talent ?? ». S’en suit une explication de ce jeu, je n’ai
pas le droit de poser de question, la seule réponse acceptée sera une réécriture. Les
mots sont bien choisis, le style agréable, tout cela me rend rêveuse. Il s’agit d’un
texte racontant l’étreinte de deux femmes, d’une manière quasi poétique. Et je suis
une de ces deux femmes. A moi d’écrire maintenant, de me mettre en situation, de lui
donner ma version de l’histoire. Tout ce texte tourne autour des sensations, de
l’éveil des sens, j’adore cet éclairage sur la sensualité. Deux corps inconnus qui se
frôlent, se respirent…
Je me plonge dans la découverte de ce récit. Mon internaute mystère, qui porte le
pseudo de Roxanne, est face à Ana, qui a choisi de s’offrir à elle, allongée, les yeux
fermés, à la merci des désirs de la jeune femme. Roxanne prend plaisir à l’observer,
jouer avec ses sens. Les bruissements indiquent ses déplacements, son regard flatte
les courbes qu’elles désirent tant. Je me projette alors, les yeux fermés, cette femme
tournant autour de moi, m’observant, je sens le déplacement d’air caresser mon corps
nu, je frissonne, ma respiration s’accélère. Elle s’approche de moi et je sentirai
presque son souffle dans mon cou. Son corps frôle le mien, sa main se pose sur mon
visage. Je n’ai qu’une envie, ouvrir les yeux et plonger mon regard dans le sien, mais
je sais qu’elle ne le désire pas. J’entretiens donc le mystère et me concentre sur la
douceur de son grain de peau, le désir et la tendresse émanant de ce geste… Les doigts
de ma douce amante se promènent, descendent le long de mon bras. Je sens mes seins se
dresser, mon corps n’obéit plus qu’à ce qu’il ressent.
Et soudain la sensation de ses lèvres sur les miennes, que je goûte avec délice. Je
voudrais que ce baiser ne s’arrête plus. Avec regret, je laisse sa bouche s’éloigner,
et je sens bientôt ses baisers se déposer sur différentes parties de mon corps,
partant de mon cou et descendant lentement sur ma poitrine, mon ventre qui tremble
d’excitation, pour atteindre mes cuisses qui s’écartent légèrement, n’en pouvant plus
d’attendre dans cet état… La langue de ma compagne atteint avec délice mon sexe
qu’elle explore en douceur, parcourant chaque recoin de mon antre humide qui n’en
pouvait plus de l’attendre. Mes muscles se contractent, je sens ma mâchoire se serrer
tandis que je sens le bien qu’elle me fait. Sa langue s’enroule autour de mon
clitoris, elle semble connaître mon corps par cœur. Et ma réaction ne se fait pas
attendre. Soudain, mon corps se tend et un râle s’échappe de ma voix.
Je rouvre les yeux, met quelques secondes à refaire surface, étonnée de m’être si vite
laissée emportée…
Je ne la connais pas, malgré tout je n’ai qu’une envie, lui répondre. Les mots
glissent avec une facilité déconcertante, je ne crée pas, je vis la situation. Mes
mains tremblent, fébriles sur mon clavier. Je sens dans chacune de ces lignes les
lèvres douces et suaves de mon amante se poser sur les miennes, je frissonne à
imaginer la pulpe de ses doigts qui se promènent sur mon corps. Je n’ai qu’à fermer
les yeux et elle est là, à mes côtés, je sens son souffle sur mon oreille tandis
qu’elle me susurre dans un souffle des mots tendres. Je me sens presque frustrée
d’être arrivée à la fin du texte, et me presse de le lui envoyer pour recevoir un
nouveau message de sa part. Je passe alors le reste de la journée à guetter sa
réponse, fébrile. J’aime le jeu, la curiosité de cette rencontre ne me laisse pas de
marbre. Qui est cette femme ? Comment a-t-elle eu mon adresse ? Ces questions ne sont
finalement pas si importantes, le principal étant d’avoir de ses nouvelles au plus
vite.
Dès le lendemain, j’ai le plaisir de constater qu’elle m’a répondu. Et j’ai fait
mouche ! Mon texte l’a séduite. Nous fantasmons alors notre rencontre…
Nous nous donnons rendez-vous à la terrasse d’un café, nous ne nous sommes encore
jamais vues, mais avons échangées des discussions d’une telle intimité par mail que je
ne peux m’empêcher de rougir en marchant de plus en plus vite. Mes talons frappent le
pavé, je crains de n’être en retard. Comment la reconnaitrais-je ? Je n’en sais rien.
Une chose est sûre, je veux la voir, la sentir, la serrer contre moi. Elle est assise
là, en un coup d’œil j’ai su que c’était elle. Elle a tressailli en m’apercevant, je
sais qu’elle aussi a compris.
C’est étrange comme tout d’un coup, me trouver face à elle, je ne sens plus cette
assurance que je ressentais par mail. Je ne sais quoi dire, nous sommes à al fois si
proches et pourtant totalement étrangères. Soudain elle prend le dessus, se lève,
s’approche si près que je sens son souffle dans mon cou, elle me murmure quelques mots
et pose ses lèvres sur les miennes. Je tremble de plaisir et d’excitation, c’est comme
si le temps s’était figé autour de nous… S’en suit une course effrénée main dans la
main, une escapade dans un musée donc chaque recoin est l’occasion de partager un
nouveau baiser, de promener nos doigts à la découverte de ce corps que nous avons tant
fantasmé. Tandis que mes mains enlacent sa taille, ses doigts se glissent subtilement
le long de mon corps, soulevant le fin tissu de mon chemisier. Nous sommes alors
interrompus par le gardien qui nous demande de sortir mais qu’importe, nous trouverons
un autre endroit où nous aimer, il n’y a plus que cela qui compte à présent.
Je fixe le regard un peu perdu les touches de mon clavier. Cette rencontre m‘a semblé
si réelle. Je la désire, je veux partager plus avec elle c’est certain. Je lui envoie
ce texte et reste dans ses bras, chaque instant où je ferme les yeux je suis avec
elle, et je sens mon corps réagir à ces pensées. Je me sens humide, mes seins durs,
mes sens à l’affût. Cette femme me trouble à un point que je n’aurai jamais imaginé…
Ces images ont peuplé mes journées, nos échangent se multipliaient, et nous avions
l’une comme l’autre envie d’amener un peu plus de concret dans cette relation.
A suivre…
intriguée de ne pas connaître l’expéditrice. Une fois rentrée chez moi, je m’installe
sur le canapé. Dès les premiers mots je me sens comme envoûtée. Il s’agit d’une
invitation à jouer, par un jeu d’écritures interposées. Le titre en lui-même est un
défi : « une écrivaine de talent ?? ». S’en suit une explication de ce jeu, je n’ai
pas le droit de poser de question, la seule réponse acceptée sera une réécriture. Les
mots sont bien choisis, le style agréable, tout cela me rend rêveuse. Il s’agit d’un
texte racontant l’étreinte de deux femmes, d’une manière quasi poétique. Et je suis
une de ces deux femmes. A moi d’écrire maintenant, de me mettre en situation, de lui
donner ma version de l’histoire. Tout ce texte tourne autour des sensations, de
l’éveil des sens, j’adore cet éclairage sur la sensualité. Deux corps inconnus qui se
frôlent, se respirent…
Je me plonge dans la découverte de ce récit. Mon internaute mystère, qui porte le
pseudo de Roxanne, est face à Ana, qui a choisi de s’offrir à elle, allongée, les yeux
fermés, à la merci des désirs de la jeune femme. Roxanne prend plaisir à l’observer,
jouer avec ses sens. Les bruissements indiquent ses déplacements, son regard flatte
les courbes qu’elles désirent tant. Je me projette alors, les yeux fermés, cette femme
tournant autour de moi, m’observant, je sens le déplacement d’air caresser mon corps
nu, je frissonne, ma respiration s’accélère. Elle s’approche de moi et je sentirai
presque son souffle dans mon cou. Son corps frôle le mien, sa main se pose sur mon
visage. Je n’ai qu’une envie, ouvrir les yeux et plonger mon regard dans le sien, mais
je sais qu’elle ne le désire pas. J’entretiens donc le mystère et me concentre sur la
douceur de son grain de peau, le désir et la tendresse émanant de ce geste… Les doigts
de ma douce amante se promènent, descendent le long de mon bras. Je sens mes seins se
dresser, mon corps n’obéit plus qu’à ce qu’il ressent.
Et soudain la sensation de ses lèvres sur les miennes, que je goûte avec délice. Je
voudrais que ce baiser ne s’arrête plus. Avec regret, je laisse sa bouche s’éloigner,
et je sens bientôt ses baisers se déposer sur différentes parties de mon corps,
partant de mon cou et descendant lentement sur ma poitrine, mon ventre qui tremble
d’excitation, pour atteindre mes cuisses qui s’écartent légèrement, n’en pouvant plus
d’attendre dans cet état… La langue de ma compagne atteint avec délice mon sexe
qu’elle explore en douceur, parcourant chaque recoin de mon antre humide qui n’en
pouvait plus de l’attendre. Mes muscles se contractent, je sens ma mâchoire se serrer
tandis que je sens le bien qu’elle me fait. Sa langue s’enroule autour de mon
clitoris, elle semble connaître mon corps par cœur. Et ma réaction ne se fait pas
attendre. Soudain, mon corps se tend et un râle s’échappe de ma voix.
Je rouvre les yeux, met quelques secondes à refaire surface, étonnée de m’être si vite
laissée emportée…
Je ne la connais pas, malgré tout je n’ai qu’une envie, lui répondre. Les mots
glissent avec une facilité déconcertante, je ne crée pas, je vis la situation. Mes
mains tremblent, fébriles sur mon clavier. Je sens dans chacune de ces lignes les
lèvres douces et suaves de mon amante se poser sur les miennes, je frissonne à
imaginer la pulpe de ses doigts qui se promènent sur mon corps. Je n’ai qu’à fermer
les yeux et elle est là, à mes côtés, je sens son souffle sur mon oreille tandis
qu’elle me susurre dans un souffle des mots tendres. Je me sens presque frustrée
d’être arrivée à la fin du texte, et me presse de le lui envoyer pour recevoir un
nouveau message de sa part. Je passe alors le reste de la journée à guetter sa
réponse, fébrile. J’aime le jeu, la curiosité de cette rencontre ne me laisse pas de
marbre. Qui est cette femme ? Comment a-t-elle eu mon adresse ? Ces questions ne sont
finalement pas si importantes, le principal étant d’avoir de ses nouvelles au plus
vite.
Dès le lendemain, j’ai le plaisir de constater qu’elle m’a répondu. Et j’ai fait
mouche ! Mon texte l’a séduite. Nous fantasmons alors notre rencontre…
Nous nous donnons rendez-vous à la terrasse d’un café, nous ne nous sommes encore
jamais vues, mais avons échangées des discussions d’une telle intimité par mail que je
ne peux m’empêcher de rougir en marchant de plus en plus vite. Mes talons frappent le
pavé, je crains de n’être en retard. Comment la reconnaitrais-je ? Je n’en sais rien.
Une chose est sûre, je veux la voir, la sentir, la serrer contre moi. Elle est assise
là, en un coup d’œil j’ai su que c’était elle. Elle a tressailli en m’apercevant, je
sais qu’elle aussi a compris.
C’est étrange comme tout d’un coup, me trouver face à elle, je ne sens plus cette
assurance que je ressentais par mail. Je ne sais quoi dire, nous sommes à al fois si
proches et pourtant totalement étrangères. Soudain elle prend le dessus, se lève,
s’approche si près que je sens son souffle dans mon cou, elle me murmure quelques mots
et pose ses lèvres sur les miennes. Je tremble de plaisir et d’excitation, c’est comme
si le temps s’était figé autour de nous… S’en suit une course effrénée main dans la
main, une escapade dans un musée donc chaque recoin est l’occasion de partager un
nouveau baiser, de promener nos doigts à la découverte de ce corps que nous avons tant
fantasmé. Tandis que mes mains enlacent sa taille, ses doigts se glissent subtilement
le long de mon corps, soulevant le fin tissu de mon chemisier. Nous sommes alors
interrompus par le gardien qui nous demande de sortir mais qu’importe, nous trouverons
un autre endroit où nous aimer, il n’y a plus que cela qui compte à présent.
Je fixe le regard un peu perdu les touches de mon clavier. Cette rencontre m‘a semblé
si réelle. Je la désire, je veux partager plus avec elle c’est certain. Je lui envoie
ce texte et reste dans ses bras, chaque instant où je ferme les yeux je suis avec
elle, et je sens mon corps réagir à ces pensées. Je me sens humide, mes seins durs,
mes sens à l’affût. Cette femme me trouble à un point que je n’aurai jamais imaginé…
Ces images ont peuplé mes journées, nos échangent se multipliaient, et nous avions
l’une comme l’autre envie d’amener un peu plus de concret dans cette relation.
A suivre…
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