Aurélie en mode pute - Part 3 - histoire érotique

Il lui a déjà tout fait. Devant moi ou derrière la porte. Alors je ne suis pas étonné quand Tarik me tend 300 euros.

"La totale mon gars."
Il rentre dans la pièce et ferme la porte. Je tends l'oreille...

"Lève ton cul salope. À quatre pattes. J'ai payé pour ton cul."
Je ressors immédiatement mon téléphone. Elle a obéi à son client. Ses mains écartent ses fesses. Elle commence se mettre un doigt dans le cul. Je le vois enfiler une capote. Il s'approche, semble lui cracher sur le petit trou. Il va directement l'enculer ! Je bande comme un fou. Il lui parle mais je ne comprends pas à travers la porte. La réponse d'Aurélie est bien plus audible...

"Oh oui défonce moi le cul avec ta grosse bite !"
Je le vois poser sa queue à l'entrée du cul de ma femme et s'enfoncer. Elle crie de plus en plus fort.

"Oh... oh oui... Oh c'est bon. Baise-moi le cul !"
Le tout reste quand même respectueux. Tarik y va doucement, pour qu'Aurélie s'habitue à son sexe. Il accélère petit à petit. Il lui met une belle claque sur la fesse. Elle crie de plus belle.

Tarik est désormais bien en rythme et lime le cul de ma belle.

Après avoir bien écarté son anus. Il se retire d'un coup. Il s'enfonce ensuite doucement dans sa chatte, et accélère de plus belle. Il se fait plaisir et l'utilise à fond. Il alterne entre sa chatte et son cul. Il a enlevé toutes ses fringues et fait parler sa puissance.

Il tient fermement les hanches de ma femme qui semble être sur le point de s'écrouler à chaque coup de boutoir. On entend les hanches de Tarik claquer sur les fesses d'Aurélie à travers la porte, sans parler de leurs cris.

Il se retire à nouveau mais cette fois la pousse à plat ventre, puis la retourne. Il lui lève les jambes. Avec l'angle de la caméra, je ne vois pas s'il rentre dans son cul ou sa chatte, mais elle ne tarde pas à me donner un indice.

"Oh oui, baise-moi bien le cul, c'est trop bon."
Ce mélange entre le son derrière la porte et l'image sur le téléphone est troublant. Tandis que pendant ce temps, les autres vivent leur vie dans le salon.

Je bande et je suis jaloux. J'adore prendre le cul d'Aurélie dans cette position, et la regardant. Lui n'a pas l'air de se priver. Il la tient par les chevilles et continue d'alterner entre sa chatte et son cul. Je ne sais pas comment il fait pour tenir. Aurélie est magnifique. Ses petits seins, ses bas... Sa jupe n'est plus là depuis longtemps.

Justement, la délivrance semble proche. Il se retire de nouveau.

"À genou, à genou."
Comme assommée, elle glisse au bord du lit.
Je n'entends pas ce qu'elle dit, mais je vois qu'elle parle. Elle doit l'inciter à lui jouir au visage. Elle saisit sa bite à une main et l'avale tout en le masturbant. Il a arraché sa capote. Elle s'en fout.

"Oh oui, oui, putain avale tout salope, oui ! Oui !"
Elle ne lâche pas sa bite et semble avaler tout son foutre. Elle le libère, mais pour continuer à le lécher. Elle semble le regarder dans les yeux... Quelle coquine.

Encore une fois, je range mon téléphone. Je rejoins les autres au salon pour ne pas trop éveiller les soupçons. La porte s'ouvre quelques instants plus tard, Tarik nous rejoint, visiblement aussi satisfait qu'exténué.

Il me tape sur l'épaule et me fait un petit sourire.

"- On dirait que ça s'est bien passé, à ce qu'on a entendu ?
- Toujours. Je sais comment la baiser."
Il file se poser dans le canapé. Ben se lève dans la foulée. Apparemment, l'ordre de passage a été discuté en mon absence.

Je lui demande de patienter un peu. Je vais voir comment se sent Aurélie avant d'enchaîner. Je rentre dans la chambre et la trouve allongée.

"- Tout va bien ? Tu veux un peu de temps ?
- Les deux premiers étaient en forme, mais ça va. Laisse-moi cinq minutes.
- Remet ta jupe. Je veux que tous tes clients aient droit au même accueil."
Je repars chercher Ben. Comme son pote Julien, il a un physique plutôt passe-partout au premier abord. Mais il est plutôt sportif et endurant. Et ça, forcément, madame aime bien. De ce qu'elle m'a dit, son sexe est un peu au-dessus de la moyenne.

"Je suis un peu court en ce moment, alors ce sera juste une pipe pour moi."
Va pour 50 euros. Il en faut pour toutes les bourses... Si on peut dire ça...

Lorsque j'ouvre la porte de la chambre, Aurélie a retrouvé la forme, et sa jupe. Surtout, elle retrouve son rôle. À genou sur le lit, elle accueille son nouveau client.

"- Salut chéri, ce sera quoi pour toi ?"
Je vois que Ben est même un peu surpris.

"- Euh... Une pipe.
- Viens, met toi à l'aise."
Je ferme la porte. Et le rituel se répète. Le téléphone, un œil sur le salon. Une oreille vers la porte.

Aurélie guide son client vers le lit. Il retire son pantalon et s'allonge. Elle monte à quatre pattes sur le lit et avance vers lui, en remontant les mains le long des jambes de Ben. Pas grand-chose à entendre, ça parle à voix basse. Elle descend son caleçon. Je vois surtout le cul d'Aurélie bien relevé. J'ai envie de rentrer et de la baiser comme un fou. Mais je suis là à regarder. Je vois sa tête bouger d'avant en arrière, puis de haut en bas. Lui se laisse aller, sa tête tombe en arrière. J'ai l'impression que le gars ne va pas tenir longtemps.

Elle s'active de plus, marque des petites pauses. On sent qu'elle essaye de lui faire plaisir et de l'avaler le plus loin possible.

À un moment, elle se tourne et remonte ses fesses vers la tête de son client. Je vois désormais sa queue, et ma femme qui crache dessus et le masturbe avant de le sucer langoureusement, toujours plus loin.

Ben commence à mettre sa main sur les fesses d'Aurélie, mais la pute d'un soir semble connaitre son boulot. Elle lui retire délicatement mais fermement la main ! Elle relève la tête et lui parle, je suppose qu'elle lui dit qu'il n'a payé que pour une pipe.

Elle retourne à son œuvre et lui, respectueux, ne bouge plus. Elle accélère de plus en plus et lui a la tête qui part de plus en plus en arrière.

"Oh ça vient, ça vient."
Elle retire doucement sa bouche tout en le branlant à fond.

"Ouiiiii, c'est bon !"
Il gicle sur son propre ventre alors qu'elle le masturbe encore. Il se tord dans tous les sens. Car ma belle a ce petit vice : elle aime continuer jusqu'au bout, et un peu plus, jusqu'à ce que son amant soit tellement sensible qu'il la repousse de lui-même. Ça ne manque pas !

Ben repousse la main d'Aurélie, satisfaite de son forfait. Je coupe mon écran. Trois clients satisfaits. Encore deux.