Bonjour, voulez-vous baiser ma femme ? - histoire érotique

De l'imprévu et un inconnu...

Au fil de nos expériences de libertinage, Aurélie et moi avons défini un petit signal pour qu'elle m'alerte lorsqu'elle voit un homme à son goût. Elle s'approche de moi et pince discrètement ma cuisse.

La chose a plutôt débuté comme une blague, lorsque nous naviguions sur les sites de rencontre. Puis elle s'est mise à le faire lors de soirées ou de sorties.

Un jour, j'ai décidé de la prendre au mot. Alors que nous étions à un feu rouge, en train d'attendre de pouvoir traverser, je sens ses doigts pincer l'arrière de ma jambe.

Je lève les yeux, et j'aperçois un grand mec brun, barbe de trois jours et tatouages qui débordent du t-shirt. Un peu cliché, mais je peux comprendre. La circulation est dense, j'ai quelques secondes pour réfléchir. Et je décide de me lancer. Je me tourne vers notre voisin de trottoir.

"Bonjour. Excusez-moi, est ce que vous auriez envie de baiser ma femme ?"

Le type marque un temps d'arrêt. Elle aussi. Elle ne s'y attendait clairement pas. Lui non plus.

"- Euh, vous rigolez ?
- Non, non. Elle vous trouve très beau et elle aimerait bien jouer avec vous. Par contre c'est maintenant, et on ne veut pas connaître votre nom ou quoi que ce soit."

Nouveau temps d'arrêt. Il la dévisage, regarde ses jambes, sa poitrine. Sa gêne à elle a laissé place à un joli sourire. Elle est habillée comme pour n'importe quelle journée, avec un jean qui met en valeur ses jolies fesses, une petite chemise et une paire de Converse. Quelques boutons ouverts montrent un peu de peau. J'ai envie de l'embrasser à pleine bouche.

"- C'est un peu bizarre votre truc, ce n'est pas un piège, hein ? J'avais un truc à faire, mais OK, elle est vraiment jolie, si vous ne rigolez pas, je suis chaud.
- Notre voiture n'est pas loin, allons y."

Sur le moment, je suis un peu dans l'improvisation. Je ne vais pas emmener un inconnu chez nous. Donc je me dis que je vais trouver un endroit tranquille. Nous commençons à marcher. J'ai moins de 5 minutes jusqu'à la voiture pour réfléchir.

Aurélie rentre rapidement dans le jeu et prend la main de son prochain amant. Etrangement, il s'en défait et continue de marcher.

"- Vous faites ça souvent ?", demande-t-il.
"- Désolé, on a dit pas d'infos", réplique ma belle avec un sourire.

Une fois arrivés à la voiture, je leur propose de monter tous les deux à l'arrière. Ils ne se font pas prier.

Nous quittons rapidement le centre-ville pour des routes plus calmes. Je me dis qu'il sera plus simple de trouver un coin isolé. De toute façon, Aurélie n'attend pas.

A l'arrière, madame a déjà commencé à embrasser son inconnu à pleine bouche. Je bouge le rétroviseur pour ne pas en rater une miette. J'aperçois sa langue caresser la sienne. Sa main descend vite vers son pantalon.

Au bout de quelques instants, elle en sort son sexe, déjà dressé. La main gauche de ma femme glisse de haut en bas. Comment je sais qu'il s'agit de la gauche ? Je vois son alliance, et cela me donne une énorme érection.

J'essaye de garder les yeux sur la route autant que je le peux. Je me demande si les voitures que nous croisons peuvent voir quelque chose. J'aimerais dire que les vitres arrière sont très teintées... mais pas vraiment.

Alors que je cherche désespérément un endroit où m'arrêter, j'entends un bruit très clair de crachat. Je lève les yeux. Je vois la langue de ma femme étaler sa salive sur la queue de cet inconnu. Elle lèche le bout de son gland en appuyant bien puis aspire sa bite au maximum. Lui a la tête en arrière. Les seuls mots qu'il peut prononcer : "Oh putain, vas-y, suce."

Et c'est ce qu'elle fait. Un coup d'œil dans le rétro après l'autre, je la vois accélérer, cracher, pomper, branler.

"Oh oui, vas-y salope ! Encore ! Je vais jouir ! Oh oui !!!"

Un "oui" qui s'allonge au fil des giclées dans la bouche de ma femme, qui ne relâche sa proie qu'une fois qu'elle a avalé tout son sperme. Ou presque. Elle en recrache un peu sur sa bite et continue à sucer alors que le mec n'en peut plus. Elle sait que j'adore ça. Le spectacle est magnifique et je dois faire des efforts colossaux pour penser à regarder la route de temps en temps.

Pendant que notre inconnu ferme sa braguette, Aurélie s'impatiente.

"Alors le chauffeur, il arrive ce coin tranquille ? J'ai envie qu'on me baise moi."

Le brun tatoué, lui, reprend son souffle. Il n'a sûrement rien contre les quelques minutes supplémentaires pour reprendre ses forces, avant que je ne trouve enfin un petit chemin qui sort de la route pour s'enfoncer dans la forêt. Quelques arbres pour cacher, la voiture en travers, ça devrait faire l'affaire.

Alors que je me gare et que je me retourne, je vois une main de notre inconnu dans le dos d'Aurélie, l'autre est rentrée dans son jean et se trouve sur ses fesses. Il l'embrasse à nouveau. Les deux ont retiré leur ceinture de sécurité et l'étreinte est plus intense. Sa deuxième main entre à l'avant de sa culotte, et elle commence à gémir.

Lui commence à prendre confiance.

"- T'es trempée petite chienne. Je vais bien te baiser."

Il retire alors le jean de ma femme, qui pose son dos sur la portière et offre sa chatte à notre inconnu. Il y plonge immédiatement sa langue et ses doigts.

Alors qu'elle gémit de plus en plus, il tire ses jambes pour les relever et s'offrir encore un peu plus sa chatte trempée. Il la doigte de nouveau mais retire rapidement son index luisant. Il glisse doucement vers son petit trou et fait glisser sa première phalange.

"- Et dans le cul, ça te plaît ?"

Elle hoche la tête avec son sourire à la fois merveilleux et pervers.

Le doigt de notre inconnu est entièrement dans le cul de ma femme. Il va et vient de plus en plus vite. Il se remet à la lécher en même temps. Son excitation monte.

Quelques instants suffisent pour qu'Aurélie sois prise d'un orgasme monumental. Elle crie, les spasmes sont violents. Et le mec lui rend la monnaie de sa pièce pour la pipe prolongée en continuant de la lécher et de lui baiser le cul avec ses doigts le plus longtemps possible.

Alors qu'elle a réussi à le repousser un peu, il ouvre la portière pour sortir et avoir de la place pour retirer son pantalon. Il revient dans la voiture le sexe en érection. La vision est irréelle. Cette queue d'un mec dont nous ne connaissons même pas le prénom est prête à s'enfoncer dans ma femme trempée, tout juste secouée par un violent orgasme.

Le type est plutôt bien foutu. Il a aussi retiré son t-shirt. On distingue quelques tatouages, un peu de biceps et sa bite est plutôt épaisse. Ses couilles sont rasées, mais il a quelques poils au niveau du pubis. Nous n'avons pas discuté, mais on sent qu'il s'entretient. Je réalise d'ailleurs qu'on ne connaît même pas son âge.

Je fouille dans la boite à gants pour trouver les capotes que nous gardons là en secours et je lui en tends une. Et me voilà serré dans mon pantalon, toujours sur mon siège conducteur, en train de regarder cet homme enfiler une capote, à quelques centimètres des trous offerts et trempés d'Aurélie.

Elle est à peine remise de ses émotions lorsqu'il colle son gland sur ses petites lèvres. Il frotte un peu, puis s'enfonce presqu'un d'un coup, ce qui semble la réveiller.

"- Oh putain ce que t'es trempée petite salope ! Je vais te défoncer !
- Va-y fais toi jouir. Je veux que tu m'utilises pour te faire gicler !", lui lance-t-elle.

L'inconnu tient les jambes d'Aurélie et la culbute au plus profond. Ses hanches claquent sur les fesses de ma femme. Il la défonce de plus en plus fort. Elle hurle son plaisir et place ses mains sur ses fesses. On ne sait plus trop si elle accompagne le mouvement ou l'entraîne. Le niveau sonore augmente, j'espère qu'il n'y a pas trop de monde dans cette forêt ! Heureusement que nous sommes en semaine au milieu de la journée.

Il finit par se retirer pour la retourner. La manœuvre n'est pas aisée dans la voiture. Alors il ouvre la portière et sort.

Mets-toi à quatre pattes sur la banquette arrière", lui ordonne-t-il. "Viens bien au bord."

Le cul d'Aurélie est quasiment à l'extérieur. Lui reste debout, dehors, et remet sa bite entre ses lèvres trempées. Le rythme est soutenu, presque violent.

Les bras de ma femme s'écroulent et la voilà le cul en l'air, en train de se faire démonter sur la banquette arrière. Elle est à lui.

"- Tu veux me faire jouir ?
- Oh oui, vide toi en moi, je veux te sentir jouir.
- Alors il va falloir faire mieux petite pute ! Tu m'a dis que t'aimais ça la prendre dans le cul, hein ?"

Joignant le geste à la parole, je vois sa queue sortir de la chatte d'Aurélie, la capote luisante de mouille. Il colle son gland sur le cul de ma femme, le fait glisser entre ses fesses pour aller se poser sur son petit trou.

Il saisit ma femme fermement par les hanches et commence à doucement s'enfoncer en elle.

"Oh ! Oh va-y jouis dans mon cul ! Oh qu'elle est grosse ta queue."

Les cris de ma femme sont étouffés parce que sa tête est écrasée sur la banque, mais je sens qu'elle veut le faire jouir.

Lui grimace de plaisir jusqu'à s'enfoncer jusqu'aux couilles. Il recule doucement, puis revient. Un, deux, trois allers-retours, et un rythme qui augmente. De nouveau le bruit si excitant des hanches qui claque. Puis une vraie claque, envoyée sur le cul d'Aurélie alors qu'il commence à la pilonner.

"Oh je vais jouir dans ton cul de petite pute ! Je vais te défoncer salope ! Oh oui ! Oui !"

L'inconnu semble lui broyer les hanches en se collant à elle alors qu'il remplit sa capote. Il tape deux fois de plus, pour se vider en elle jusqu'à la dernière goutte, puis relâche son étreinte. Elle s'avance doucement pour faire sortir sa queue et s'écrouler.

Il la pousse gentiment pour se faire une place à l'intérieur. Il est exténué. J'ai rarement vu d'aussi prêt ma belle et un de ses amants après leur orgasme. Je ne sais pas comment j'ai fait pour ne pas jouir.

Il retire doucement la capote en prenant soin de ne rien faire tomber. Alors qu'elle est encore sonnée, plus écroulée qu'assise, il vide le contenu sur sa poitrine, sans dire un mot. Elle sourit, alors que le sperme de ce beau brun coule sur elle.

"Garde ça sur toi en souvenir de la journée, t'étais trop bonne."

Elle sourit et ne dis rien. Ils récupèrent leurs vêtements et se rhabillent. Elle s'exécute en remettant son haut sans même essuyer le foutre de son amant.

Il est temps de rentrer. Pas fou, notre inconnu tente sa chance.

"- Vous êtes sûr que vous ne voulez pas mon numéro ? Ça me ferait toujours plaisir de dépanner.
- Désolé, on ne veut ni prénom ni nom ni numéro. Je te dépose où ? Je te ramène en ville, là où on t'a trouvé ?"

Je le sens hésitant...

"Euh... Tu peux me déposer à un arrêt de bus un peu plus loin ? En fait vous m'avez capté pas très loin de mon taf, et à cette heure... Il y a ma copine qui pourrait y être aussi."

Inconnu et cachotier ! En même temps, c'était le deal.