Pas besoin de porte-jarretelles pour bien se faire baiser - histoire érotique

Les bas. Les porte-jarretelles. Les culottes. Les soutien-gorge. Je dois l'avouer, comme beaucoup d'hommes, je suis fou quand je vois de la lingerie. Peut-être un peu trop. Je demande constamment à Aurélie d'en porter. Y compris pour ses rendez-vous.

Aurais je oublié à quel point ma femme est belle au naturel ?

Si les confinements ont largement ralenti le rythme de nos aventures, Aurélie a continué à cumuler quelques conquêtes. Sauf que je suis de moins en moins convié. Ma femme me l'a avoué, elle préfère quand je ne suis pas là. Alors le plus souvent, j'attend à la maison. Elle rentre et me raconte. Lorsqu'elle est d'humeur cruelle, elle se couche sans rien dire et me fait mariner le plus longtemps possible, parfois plusieurs jours.

Il y a quelques semaines, un de ses amants est venu la chercher. Comme d'habitude, je lui demande ce qu'elle porte, en allusion à sa lingerie.

"Rien de spécial"

Une réponse appuyée par un petit geste pour relever son top et me laisser apercevoir sa petite poitrine. En bas, je ne peux que la croire sur parole, puisqu'elle porte un jean moulant qui met en valeur ses jolies fesses.

Je suis surpris, mais pourquoi pas. Quelques minutes plus tard, on sonne à la porte. Mais Aurélie ne saisit pas son manteau. Elle ouvre et me présente Julien, un amant qu'elle a déjà testé deux fois, mais toujours sans moi.

"J'ai une surprise pour toi mon petit cocu. Ce soir, Julien va me baiser devant toi. Et il va te montrer qu'il n'y a pas besoin de lingerie pour être excité."

Ni une ni deux, elle saisit la main de ce petit brun pour le mener à notre chambre. A peine a-t-il le temps de me saluer. Il a l'air sûr de lui mais sans trop en faire. On sent que c'est elle qui mène la danse.

Arrivé dans la chambre, je me pose sur la chaise située dans le coin de la pièce, alors qu'Aurélie est déjà en train d'embrasser son invité à pleine bouche. Lui ne perd pas de temps, et sa main descend déjà dans le pantalon de ma femme. Je vois son bassin onduler. Visiblement, ses doigts ont déjà trouvé son clito. Ils marquent un pas de recul pour retirer leurs vêtements. Elle se met donc à nue, complètement.

Lui laisse apparaître un corps plutôt musclé, avec quelques tatouages sur le bras droit. Brun, barbu. Tout à fait son genre. Il reste en boxer pour le moment.

Au moment ou il commence à se pencher sur elle, Aurélie me fixe du regard. Mais c'est à lui qu'elle parle.

"Alors Julien, tu as envie de me baiser quand tu me vois toute nue ?"

Lui ne dit rien, mais se rapproche pour l'embrasser à nouveau. Il commence ensuite à descendre. Il lèche ses seins, embrasse son ventre, puis commence à la lécher. Doucement. Elle gémit. Il continue de descendre, alterne entre baisers et coups de langue. A l'intérieur de ses cuisses, le long de ses jambes, il descend même jusqu'aux pieds, avant de remonter pour lécher sa chatte de nouveau. Il ne dit rien pour l'instant, mais l'intention est claire : me montrer à quel point ma femme est désirable. D'ailleurs je vois bien que son boxer a bien gonflé.

Aurélie se relève pour aller à sa rencontre et l'embrasser, avant de le faire basculer sur le dos. A son tour de descendre. Elle fait glisser son boxer pour découvrir une bite plutôt dans la moyenne en terme de longueur, mais assez large. Elle l'embrasse sur le gland, puis tout le sexe, avant de poser sa langue en bas de sa bite et de remonter doucement.

"Ahhhh"

Voilà enfin Julien qui émet un son. Il faut dire qu'elle le suce avec application. Sur toute la longueur, puis elle aspire son gland. Au pied du lit, j'ai une vue imprenable sur le cul relevé de ma femme. J'ai tellement envie d'aller la lécher à mon tour, mais je n'ose pas bouger. Je bande, je voudrais enfoncer ma queue en elle. Elle a raison, pas besoin de lingerie. Je prends une bonne leçon. Par moment, elle tente d'enfoncer sa bite le plus profond possible dans sa gorge. Elle la ressort et crache, puis essaye à nouveau. Lui a la tête à l'envers, mais fini par reprendre ses esprits.

"J'ai trop envie de te baiser", lâche-t-il. "On va montrer à ton cocu comme t'es bonne. Reste à genou comme ça."

Alors qu'Aurélie reste à quatre pattes sur le lit, le cul bien relevé, lui se relève et va chercher une capote dans son pantalon. Il est quasiment à côté de moi, à poil.

"Tu peux lui parler, il adore ça", lance ma belle à son partenaire.

"Ah ouai, t'aimes bien que les mecs qui baisent ta femme te parlent en plus ? Putain elle a de la chance. Bah regarde, je vais la prendre direct en leverette. Regarde moi ce cul, y'a pas besoin de porte-jarretelles pour que je le baise, crois moi."

En me parlant, il enfile son préservatif. J'avoue que sa queue est plus large que la mienne.

Il amène Aurélie vers le bord du lit et place son sexe devant sa chatte. Il effectue un mouvement de bas en haut pour étaler un peu de mouille sur sa capote et s'enfonce doucement. Sans forcer, il se retrouve entièrement en elle, et commence à limer.

"Ohhhh oui, oh ce qu'elle est large ta queue", savoure Aurélie.

Il accélère rapidement le rythme, et me voilà avec une vue de 3/4 sur le cul de cet inconnu qui pilonne ma femme. Le claquement des hanches de Julien sur le cul d'Aurélie m'excite comme un fou. Elle crie de plus en plus. Il met un pied sur le lit, et j'aperçois parfois sa queue qui fait des aller retour en elle. La capote est luisante de mouille.

"Putain, qu'est ce que t'es bonne. Retourne toi, je veux te regarder quand je te baise", lance Julien en se retirant.

Aurélie s'allonge sur le dos, mais en prenant soin de se mettre dans la largeur du lit. Je suis sûr qu'elle veut que je la vois mieux ! Et quelle vue. Son vente plat, ses petits seins, son visage, sa bouche qui m'excite tellement.

Julien replace sa bite à l'entrée de sa chatte et s'enfonce en elle sans ménagement. Il reprend un rythme très rapide. Je la vois donc étalée de tout son long, nue, superbe, avec ce mec au-dessus d'elle en train de la limer comme un fou.

"Regarde moi dans les yeux pendant que je te baise", ordonne Julien. Elle s'exécute, le regard intense, haletante. "Oh oui, putain ce que tu es bandante."

J'ai envie de me branler, mais c'est impossible, si je me touche, je jouis instantanément.

Au bout de quelques minutes, il saisit les jambes d'Aurélie et les prends sur ses épaules. J'adore cette position, surtout lorsqu'elle porte des bas, le toucher du nylon me rend dingue. Mais Julien n'a pas besoin de ça. Et là, je sais qu'Aurélie va décoller, cette position la fait jouir comme peu d'autres, et avec cette queue bien large en elle... Au bout de quelques aller-retour, cela ne manque pas.

"Oh oui ! Oh oui ! Oui !!! Oui !!!"

Ses belles mains fines s'accrochent au draps, son corps est traversé pas les spasmes d'une décharge de plaisir incroyable. Et comme lui continue, l'orgasme de ma belle ne semble plus finir. Après quelques secondes, elle se relâche et reprend ses esprits, ses jambes retombent.

"Montre moi comme je t'excite. Jouis sur mes seins", lance-t-elle, la voix prise entre l'épuisement et l'excitation.

Julien arrache alors sa capote, la jette à côté de lui et avance. Le voilà à genou au-dessus de ma femme allongé. Je le vois se branler vigoureusement.

"Oh oui, oh ca vi...ens !!!"

Sur la deuxième syllabe, il gicle une belle quantité de sperme qui s'écrase sur les seins et jusque dans le cou d'Aurélie. La deuxième, puis la troisième s'écrasent sur sa poitrine. Même si elle est toujours dans les nuages de son orgasme, je distingue sa satisfaction, et sa main glisse sur le sexe de son amant. Elle le branle tout doucement, juste un ou deux aller-retour, pour le plaisir de le voir se contracter, et lâcher quelques soupirs de satisfaction.

Je ne dis rien. Lui non plus. Après quelques instants de repos, Julien se rhabille, pendant qu'Aurélie s'essuie et se rhabille et également. Elle le raccompagne à la porte. Il ne me dit pas un mot. Quelques secondes plus tard, elle réapparaît dans la chambre.

"Alors, tu vois qu'il n'y a pas besoin de lingerie ? Moi je vais prendre une douche. Tu te branles si tu veux, mais ce soir tu ne me touches pas. Ca te servira de leçon."

Leçon retenue. Depuis, je n'ai plus demandé à Aurélie de porter quoi que ce soit. La lingerie, c'est seulement quand elle en a envie.