Aurelie et le joggeur, un petit coup dans les bois - histoire érotique

Désormais lancés sur les rails du candaulisme par nos différentes expériences avec Jules, nous avons décidé de commencer à voir d'autres hommes.

À notre annonce internet, un candidat a répondu de manière originale : en nous proposant une sortie running. Et pourquoi pas ! Car, coup de chance pour lui, sa petite barbe et ses cheveux bruns ont bien plu à Aurélie. Sa carrure de sportif aussi.

Rendez-vous est donc pris en milieu d'après-midi, un jour de semaine, dans un bois à quelques kilomètres de chez nous.

On se découvre sur le parking... et les tenues ne sont pas franchement sexy. Short. T-shirt. Il va falloir être convaincant pour faire monter la température. Heureusement qu'il fait beau.

Il s'appelle Julien, 28 ans, plutôt bien foutu, donc. On sent qu'il vient s'entraîner souvent. Il commence directement avec un petit numéro de charme. Aurélie minaude. Je sens qu'il lui plaît.

On décide de suivre le programme et de courir. Petite allure, histoire de pouvoir discuter. Après quelques échanges de banalités, la discussion dévie sur nos expériences. On lui explique notre découverte avec Jules, que ma femme s'est lâchée comme elle n'aurait pas imaginé le faire avec un autre. Qu'on s'est parfois surpris nous-mêmes.

"Et dans les bois, vous avez déjà essayé", lance alors Julien ?

Malin. Pas difficile d'imaginer qu'il a une idée derrière la tête.

"Non, mais il y a un début à tout", rétorque Aurélie.

Je commence à être habitué, mais je suis scotché. Malgré tous mes efforts, ma compagne n'a jamais voulu me laisser la toucher au grand air. Et la voilà qui propose.

Avant de partir, comme d'habitude, nous avions convenu que c'est elle qui mènerait la danse. Il était possible que cette petite sortie ne soit qu'une première approche. Visiblement, elle a décidé d'aller plus loin.

"Ca vous dit qu'on coupe un peu dans des chemins moins exposés ?", se risque alors notre nouvel ami.
"Allons-y", lui répond ma femme.

Je ne fais que suivre. Petit silence dans ce drôle de footing. Au bout de quelques minutes, nous voilà dans un sous-bois. Il n'y avait déjà pas grand monde sur les sentiers, nous semblons plutôt à l'abri ici.

Julien s'arrête, et nous deux avec lui.

"Est ce que je peux t'embrasser ?", demande-t-il.

Aurélie s'approche de lui. Il est plutôt grand et doit se baisser. Leurs langues se mêlent très vite. Me voilà en pleine forêt, en train de regarder ma femme, en tenue de sport, embrasser un joggeur à plein bouche.

L'étreinte est de plus en plus intense. Je n'ai aucune idée de ce qu'elle compte faire. Jusqu'où compte-t-elle aller ? Sa main à lui est en tout cas déjà sur les fesses de ma femme. Il serre fort. Elle aussi commence à avoir les mains baladeuses.

Alors que j'alterne entre les coups d'oeil sur eux et la surveillance des alentours, je vois que la main de Julien est en train de profiter des largesses du short de ma femme. Il a passé la main au niveau de la fesse, et commence à rentrer ses doigts dans sa culotte par l'arrière. Je vois son doigt descendre, il va clairement entrer dans la chatte d'Aurelie. C'est fait. Il commence des va et viens.

Si elle ondule de plaisir, ma petite femme ne ralentit pas non plus. Elle l'embrasse dans le cou et a mis sa main dans son short. Elle le branle. Finalement, elle baisse même l’élastique de short avec son autre main pour libérer sa bite. Il est plutôt bien fait. Pas aussi épais que Jules, mais son sexe fait tout de même bonne figure entre les longs doigts fin de ma moitié.

Tous les deux accélèrent. Les doigts de Julien baisent quasiment Aurélie. Elle a craché sur sa queue pour le branler plus fort.

"Prends-moi vite avant que quelqu'un ne passe", lance alors ma femme.

Prévoyant, j'avais emmené deux préservatifs dans une poche de mon short. Une première pour moi sur une sortie running !

J'en donne un à notre camarde de course, qui s'équipe rapidement. Aurélie a pris appui contre un arbre et baissé son short. Julien se place derrière elle, écarte sa culotte et enfonce doucement son sexe.

Revoilà un peu de jalousie. J'avais tellement envie de la baiser dans les bois !

Doux dans les premières secondes, Julien accélère vite. Il faut dire qu'il est encouragé.

"Baise-moi ! Fais toi jouir ", lui ordonne ma belle.

Si je suis principalement là pour surveiller les lieux, je me permets tout de même une petite intrusion. Je m'approche de ma femme pour l'embrasser. Comme elle a les yeux mi-clos de plaisir, je ne sais même pas si elle me sent arriver. J'embrasse d'abord ses lèvres à demi-closes. Lorsqu'elle réalise que je suis là, elle m'embrasse à pleine bouche. Je bande comme un fou, mais je m'écarte à nouveau pour reprendre mon rôle de gardien.

"Oh oui ! Oui !"
Julien vient de remplir sa capote. La scène est animale. Aurélie penchée contre l'arbre, son prétendant collé derrière elle, qui se contracte une deuxième, puis une troisième fois. Il marque un petit temps d'arrêt, comme pour apprécier sa petite chatte serrée, avant de se retirer.

Un peu étourdie, Aurélie remonte son short et revient doucement vers moi. Un petit bisou rassurant et un regard aussi coquin qu'amoureux. Je bande toujours, mais son amour m'apaise.

Julien a retiré sa capote et remis sa bite dans son short.

"Et bah, c'était vraiment sympa !" se réjouit-il.

Pour retourner au point de départ, il faut courir une vingtaine de minutes. Julien en profite pour me poser des questions sur ce que je ressens dans ce genre de situation. Il semble toujours un peu étonné. Je lui explique que tant que ma femme s'amuse et prend son pied, je suis heureux.

"J'espère qu'on se reverra", nous demande-t-il sur le parking.

Oui, Aurélie l'a revu plusieurs fois, avec des bons moments à la clé. Le sport, c'est vraiment bon pour la santé.