Aurélie prend son envol

- Par l'auteur HDS Follesnuits -
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Récit libertin : Aurélie prend son envol Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Aurélie prend son envol
Après notre première expérience avec Jules, nous avons eu besoin de quelques semaines pour reprendre nos esprits. Nous l’avons revu trois fois dans les mois suivants, toujours chez nous. Lors d’une de ces soirées, j’ai même été invité à participer, et Aurelie m’a sucé alors qu’elle se faisait prendre en levrette. Inutile de dire que je n’ai pas tenu longtemps…
Désormais confiants, nous avons décidé de passer à ce qui était pour nous l’étape suivante : laisser Aurélie se rendre seule à un rendez-vous loin de la maison. Lors de nos premières discussions sur le candaulisme, elle m’avait d’ailleurs expliqué qu’elle se sentirait sûrement plus à l’aise sans moi. Mais pour nos premières, nous avions finalement été plus rassurés par le confort de la maison.

Cette fois, nous sommes prêts. Ce sera chez Jules, un vendredi soir. Difficile de se concentrer pendant la journée. Encore plus au moment de la voir se préparer. Je me faufile dans la chambre et tente de lui conseiller des tenues, mais elle ne veut rien entendre.

« Laisse moi choisir, tu me donnera ton avis. »
Je sors. Quelques minutes plus tard, la voilà dans une jolie robe. Mais c’est lorsqu’elle la soulève que j’ai la boule au ventre. Des bas, mais aussi des porte-jarretelles et un soutien gorge en dentelle légère. L’ensemble sublime ses petits seins et son ventre plat. J’ai immédiatement une érection et envie de la déshabiller.

« Tu pense que ça va l’exciter ? » me demande-t-elle.

Je répond en l’embrassant à pleine bouche et en mettant ma main sur sa cuisse. Elle l’enlève.

« Hop, hop. Désolé mais ce n’est pas pour toi ce soir. »
Un peu de maquillage et de parfum, et la voilà prête à partir. Je sens encore la jalousie monter. Elle est superbe. J’aimerais la prendre là, dans la salle de bain, contre le miroir.

1m68, 55 kilos, les cheveux qui tombent sur les épaules. Un peu de rouge à lèvres. Une tenue simple mais sexy, le tout posée sur des talons. Je rêve de pouvoir faire l’amour… à ma femme.

Sauf qu’elle met son manteau et se prépare à partir. Elle a pris son sac, puis un autre si elle doit passer la nuit. Mieux vaut être prévoyants. Il est 18h30 quand elle s’envole. Jules n’habite pas très loin. Quelques minutes plus tard, un SMS m’informe qu’elle est bien arrivée.

C’est le début du calvaire. Ou du bonheur. Je ne sais pas trop. Même aujourd’hui, plus de 2 ans et demi plus tard, je me le demande encore.

Je tourne en rond, je me masturbe une première fois. Puis je tente de regarder un film. Vers 20h30, un message avec une photo. Rien d’explicite. Juste tous ses vêtements au sol.

« Je t’aime. Bisous. » dit le message.

Je me branle encore sur la photo du soutien gorge et de la culotte de ma femme sur le sol d’un appartement inconnu. Vers 22h30, nouveau message.

« J’ai peur de rentrer toute seule dans le noir. Je peux rester ? »
Ai-je vraiment le choix ? Je répond par l’affirmative et tente d’aller me coucher. Le sommeil ne vient pas vraiment. Je tourne dans tous les sens. Je m’imagine 1000 choses. Je dors par épisodes.

Vers 9h du matin, c’est la délivrance. J’entends les clés d’Aurélie dans la serrure. La voilà.

Elle porte la même tenue. Elle avait pourtant prévu un change.

« - Ca va toi ? », se préoccupe-t-elle.
- Oui, oui. Raconte moi tout, je n’en peux plus.
- Viens, on va se mettre à l’aise. »
Elle m’emmène dans la chambre, pose son manteau et s’allonge. Je me place à côté d’elle.

« Tu sais pourquoi je n’ai pas changé de tenue ? Parce qu’il m’a sauté dessus dès que j’ai passé la porte. Ensuite nous sommes restés au lit toute la nuit. Ce matin j’ai juste repris mes affaires par terre et je suis repartie. Je n’ai même pas pris de douche. »
Elle m’embrasse à pleine bouche. Je sens sa langue. Je bande tellement fort. Je me demande si elle l’a sucé, ce qu’elle a fait avec cette bouche.

« - Tu veux tout savoir ? Tu es sûr ?
- Tout »
Je continue à l’embrasser dans le cou, à toucher ses jambes, ses fesses, ses seins. Elle me calme.

« Alors je vais tout te dire. D’abord, quand il m’a ouvert, je l’ai embrassé. Nous nous sommes préssés à l’intérieur, puis contre un mur. J’ai senti ses mains partout sur moi. Il m’a fait une remarque sur les bas et le porte-jarretelles. Il m’a dit que je m’étais fait belle pour lui et qu’il allait bien me faire jouir. J’ai mis la main dans son pantalon, et sa bite était raide. J’ai commencé à le branler en l’embrassant, mais je voulais le sentir en moi. Je lui ai dit de mettre une capote, et je me suis retournée, face au mur. Là il s’est enfoncée en moi avec sa grosse bite.

Alors qu’elle me raconte ça, j’ai enlevé mon caleçon. Elle touche mon sexe dressé avec juste le bout d’un doigt, car elle sait que je suis sur le point d’exploser.

« J’étais trempée, alors il a vite accéléré. Il a jouit plutôt vite et je n’ai pas eu le temps de prendre mon pied. »
Moi oui, mon sperme gicle sur mon ventre.

« Et bien. En attendant que tu reprennes des forces, je continue ? »
Je me fiche d’avoir le ventre qui colle. Je l’implore de continuer.

« Nous avons fait une petite pause pour boire un coup. Il était très attentionné, il avait même pris quelques mezze chez un traiteur. Mais au bout de quelques minutes et de mains baladeuses, la température est vite remontée.

Il m’a alors emmenée dans sa chambre et il s’est déshabillé totalement. J’ai retiré ma robe, ma culotte et mon soutien gorge, pour ne garder que les bas et le porte-jarettelles. Je me suis retrouvée à genou devant lui, en train d’essayer de faire rentrer son énorme queue dans ma bouche. J’ai bien sorti ma langue comme tu me l’a appris, de la base des couilles jusqu’en haut du gland. Puis je le prenais dans ma bouche. Il m’a relevée pour me mettre sur le lit et il est venu sur moi. Après avoir enfilé une capote, il m’a prise en missionnaire. Il s’est plaqué contre moi. Je l’embrassais à pleine bouche. Puis je serrais mes mains sur ses fesses pour lui donner la cadence. Il m’a alors relevé les jambes pour les mettre sur ses épaules. »
Elle me caresse du bout d’un ongle. Mon sexe reprend doucement de la vigueur.

« C’était incroyable. Je n’avais jamais été aussi remplie. J’avais l’impression que sa bite m’écartelait la chatte. Je lui ai demandé d’aller doucement, mais j’étais tellement serrée que j’ai joui hyper vite. J’ai hurlé et serré les draps.

Une fois que j’ai joui, il a continué ses aller-retour en moi, de nouveau en missionnaire, et en m’embrassant. Le temps que je retrouve mes esprits, il m’a fait basculer sur le ventre, pour me prendre en levrette. Doucement, puis de plus en plus vite. Je sentais ses mains écraser mon bassin. J’ai fini la tête dans l’oreiller. Et encore une fois, sa bite m’a fait jouir. Cette fois, il a joui avec moi, en remplissant une nouvelle capote.

Nous sommes restés nus dans le lit. Un peu étourdis. C’est là que je t’ai envoyé la photo de mes vêtements. Et puis il a proposé de me faire un massage. Nous sommes restés un moment comme ça. J’étais nue, et il baladait ses mains sur moi. À à un moment, il a glissé sa main sur mon clito. Il y est revenu. De plus en plus. Il a fini par me caresser et me faire jouir. C’est après ce moment là que je t’ai demandé de passer la nuit là bas.

Après qu’il m’ait fait jouir, je lui ai dit que c’était à mon tour. Donc je l’ai massé aussi. »
Je suis de nouveau en érection. Mais j’ai tellement joui ces dernières heures que je suis moins sensible. Aurélie me caresse plus fermement alors qu’elle continue.

« Lorsque je l’ai fait se retourner sur le dos, j’ai longtemps caressé son torse. Et puis je suis descendue vers son sexe, qui était à nouveau dressé. J’ai mis les deux mains dessus pour bien le branler. J’ai craché plusieurs fois dessus. Et là je me suis dit que j’allais l’exciter un peu en lui parlant, voir s’il aime autant ça que toi. Je lui ai demandé si ça l’excitait de baiser une femme mariée ? Il a hoché la tête avec un petit sourire. Je lui ai demandé s’il voulait me baiser toute la nuit. Là il a commencé à répondre, en me disant qu’il voulait me défoncer. Alors je l’ai branlé encore plus fort jusqu’à ce qu’il jouisse. J’avais son sperme plein les mains.»
Je n’en reviens pas. Elle lui a parlé. Elle devait vraiment être excitée car j’ai parfois du mal à la faire parler au lit. Et après ?

« Je me suis posée à côté de lui, et nous nous sommes endormis, nus. Nous étions crevés. J’ai ouvert un oeil vers 7h. Je me suis approchée de lui et j’ai caressé sa bite. Lorsqu’il a émergé, je lui ai rappelé qu’il m’avait promis quelque chose.

Alors que je le branlais, il a commencé à m’embrasser, et à faire descendre sa main le long de mes cuisses, puis à me mettre un doigt. Puis deux. J’ai vu son bras aller chercher une capote dans la table de nuit. Dès qu’il a fini de l’enfiler, je suis montée sur lui. Je me suis empalée doucement sur sa queue et je me suis relevée pour me toucher le clito en même temps. J’ai attrapé sa main pour sucer ses doigts.En quelques minutes, j’ai eu un super orgasme sur sa bite.

Je me suis écoulée à côté de lui. Il m’a bien fallu deux minutes pour reprendre mon souffle. Et je lui ai lancé un défi : « Tu as dit que tu voulais me défoncer ? Va-y, utilise moi pour te faire jouir. » »
Je suis scotché. Elle était clairement plus à l’aise sans moi. Je suis jaloux et incroyablement excité.

« - Qu’est-ce qu’il a fait ?
- Apparemment, il aime bien la levrette, parce qu’il s’est mis à genou et m’a prise par la taille pour me mettre à quatre pattes. Là j’ai senti son gland à l’entrée de ma chatte, et il a poussé jusqu’au bout. J’ai senti son ventre contre mes fesses. Il m’a dit : « Tu veux que je te baise ? Tu vas voir comment je vais te baiser. »
Là, il a commencé à me limer comme un fou. Mes fesses claquaient. Je hurlais de plaisir. Au bout d’une minute, Il a joui et crié. Il m’a mis plusieurs grands coups de boutoir, puis s’est écroulé sur moi. »
En terminant son histoire, elle accélère aussi son mouvement sur mon sexe, comme pour me faire participer. Je jouis quasiment en même temps que son amant dans son récit.

« Après ça, nous sommes restés allongés un peu, et j’ai filé », conclut-elle.

Je suis jaloux, mais surtout heureux. Je l’embrasse encore et encore. A-t-elle édulcoré le récit ? Ajouté des choses pour m’exciter ? Je crois que c’est ce qui m’excite le plus.

« Allons prendre une douche, nous en avons tous les deux besoin. »

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Toujours aussi bien conté ! Merci "Folles nuits" Didier



Texte coquin : Aurélie prend son envol
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