Aux ordres du Lieutenant (chapitre 1)

- Par l'auteur HDS DeeWar -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Aux ordres du Lieutenant  (chapitre 1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aux ordres du Lieutenant (chapitre 1)
AUX ORDRES DU LIEUTENANT.


CHAPITRE 1

Le commandant John Eddy Cabral avait du travail ce matin. Son bureau débordait de dossiers et autres paperasse administrative. Diriger l'une des plus grandes bases aériennes française n'était pas de tout repos.

Surtout que l'on venait de réceptionner les nouvelles recrues...

Parmi celles-ci figurait le lieutenant Juan Delgado, un espagnol fraîchement débarqué sur la base dans le cadre de la coopération militaire avec l'OTAN . Il avait eu l'occasion de s'entretenir avec lui dans son bureau et même s'il n'était pas homme à se laisser impressionner, un certain malaise avait finit par s'instaurer sans qu'il puisse franchement l'expliquer.

Il avait admiré ce jeune homme ténébreux, la trentaine passée, le visage fier, la stature parfaite dans son uniforme bleu-marine. Le nouvel arrivant avait toisé Cabral du regard tout en lui donnant du « Mon Commandant ». Certes, Cabral avait quinze ans de plus que lui et son rang dans l'armée imposait respect et discipline, mais son attitude ne trompait pas. Ce jeune prétentieux le testait. Son salut réglementaire laissait à désirer et sa lèvre supérieure retroussée laissait poindre un mépris à peine voilé pour tout ce qui touchait à la hiérarchie. Encore plus quand elle concernait un commandant français. Cabral décida de passer outre pour cette première prise de contact...


Quelques jours plus tard, il pria le lieutenant Delgado de passer à son bureau. La jeune recrue se présenta peu après, salua militairement et se tint debout près du bureau, attendant les ordres. Il le laissa poiroter au garde-à-vous, s'attachant à signer quelques ordres de mission.


Lorsqu'il redressa enfin la tête, Cabral tomba nez à nez avec le devant de l'uniforme du bel espagnol. Étant assis, il ne pouvait ignorer ce qui se jouait sous ses yeux. Une braguette bien remplie au vu du renflement proéminent qui déformait tout l'avant du pantalon bleu foncé. Cabral était marié mais il aimait aussi les hommes. Bien sûr, il s'était toujours interdit d'avoir la moindre liaison avec l'un des militaires de la base. Sa réputation et l'équilibre familial passaient avant toute chose. Pourtant, face à cet ibère si arrogant, il se sentait défaillir. Sa raison ne le guidait plus. Il rêvait chaque nuit à ce bel hidalgo qu'il espérait secrètement dominer et quand il faisait l'amour à sa femme, il s'imaginait plonger sa queue dans ce cul juvénile ferme et bombé. Un beau cul d'hétéro...

Hétéro,.. Enfin, ça restait à prouver. D'après son état-civil, il était célibataire et on ne lui connaissait aucune liaison féminine. Cette dernière perspectives enchantait Cabral.

- Mon Commandant, je suis à votre... entière disposition.

- Heu,... Oui, (putain, si tu étais à ma disposition, je te baiserais illico sur mon bureau!)
- Mon Commandant, ça va?!

Le commandant Cabral ne pouvait détacher le regard de cette braguette prête à exploser. Son cerveau tournait à vide et sa bouche commençait à saliver. Au même instant, le lieutenant Delgado rompit le salut sans y être autorisé et enfouit une main dans sa poche. Tout doucement, il commença à palper sa tige à travers l'étoffe du pantalon. Une bosse obscène ne tarda pas à déformer la fine toile brune.

Cabral leva les yeux pour rencontrer ceux de son subordonné. Un sourire chargé de mépris et de supériorité scellèrent sa défaite.

- C'est pour ça que vous m'avez fait venir, mon Commandant?

Il s'avança d'un pas, appuyant ses fortes cuisses contre le rebord du bureau. Cabral se retrouvait à présent à quelques centimètres de son pieu qui pointait loin en direction des hanches.

- C'est pour ça que je suis là?!

Élevant la voix.

- DIS-LE !!!

Fini le vouvoiement de rigueur, l'obéissance aux gradés, l'autorité venait de changer de camp. Il lui prit la nuque et plaqua sa bouche contre son membre imposant.

- Vas-y, suce-moi à travers le tissus, et mets pas les dents où tu prends une beigne.

En temps que commandant de la base, il aurait dû réagir, le repousser et le faire mettre aux arrêts. Au lieu de ça, il se surprit à ouvrir la bouche pour faire coulisser la colonne de chair emprisonnée dans le pantalon militaire.

- C'est ça, mon cochon, applique-toi. Fais la grossir. Je m'étais pas trompé, j'avais repéré au premier coup d'œil la chienne que tu étais.

Cabral était sans réaction. Il s'appliquait à donner satisfaction à son bel hidalgo. Il se surprenait à aimer les mots crus que lui débitait son subalterne. Même avec les fenêtres ouvertes et les ventilateurs réglés pour faire circuler l'air, la température venait de grimper de plusieurs degrés dans la pièce.

Delgado fit le tour du bureau.

- À genoux!

Cabral allait glisser de son fauteuil quand il fut retenu par le col de sa chemise.

- J'ai rien entendu. Je te donne un ordre, là!!!

- À vox ordres... Mon Lieutenant.

Ces deux derniers mots, prononcés dans un souffle, signèrent le sort du commandant. Son grade lui conférait pourtant un haut niveau de dignité et de respect mais aujourd'hui il était impuissant à se révolter. Il devenait le jouet sexuel d'un de ses hommes, ici,... dans son propre bureau.

Et à sa grande honte, il aimait ça!

Il tomba à genoux, écarta la veste d'uniforme puis dégrafa la ceinture kaki. Il leva les yeux vers lui pendant qu'il faisait sauter un à un les boutons de sa braguette. Delgado semblait attendre, sûr de son fait. Il finit par abaisser le pantalon. Pas de sous-vêtements! Bordel, ce mec avait tout prévu. Il savait ce qui allait arriver.

Cabral ne put s'empêcher de faire courir ses mains le long des cuisses poilues. Il remonta jusqu'aux abdominaux, admirant au passage la ligne en V que formait son abdomen puis porta le regard sur ses magnifiques pectoraux. Son lieutenant était incroyablement musclé, tout à fait le genre d'homme sur lequel il fantasmait.

- Ouvre la bouche et suce-moi!

Le ton était sec, direct, sans équivoque. Cabral sentit monter en lui une poussée d'adrénaline. Il déglutit avant de répondre docilement:
- À vos ordres, mon lieutenant.

Il ouvrit la bouche et enfourna autant de viande qu'il put. C'était vraiment gros avec un gland en forme de prune qui dégageait un goût salé, musqué et viril. Il sentit bientôt des main sur sa tête qui lui imprimèrent le rythme à suivre. Il arrondit ses lèvres et coulissa sur la bite du jeune lieutenant, acceptant de se faire violenter la bouche avec docilité. Il pouvait l'entendre gémir un peu. C'était la meilleure récompense qu'un soumis comme lui était en droit d'attendre.

La salive s'accumulait dans sa bouche pendant qu'il s'efforçait de respirer par le nez. Delgado lui bloqua la nuque quelques secondes avant de ressortir sa queue. Le commandant put reprendre son souffle avec soulagement. Déjà, un filet de bave s'échappait des lèvres et tâchait le col de sa chemise. Après avoir prit une grande inspiration, il replongea sur la bite tendue, plus loin cette fois. Il agrippa ses hanches pour imprimer un rythme plus soutenu. Il avait ainsi un point d'encrage pendant qu'il se faisait pilonner la gorge. De temps à autre, il recrachait l'énorme bite pour reprendre son souffle et un peu plus de salive coulait sur sa chemise. Il savait qu'il aurait du mal à faire partir toutes ces tâches et qu'il devrait faire avec pendant le reste de la journée.

Tout en le maintenant de force par les cheveux, le lieutenant Delgado prit la parole d'une voix autoritaire.

- Ouai, tu suces bien. C'est pas ta première pipe, hein, mon commandant?!

- Affirmatif, mon lieutenant.

Et il se remit à l'ouvrage avec plus d'entrain, flatté du compliment.

Le jeune militaire accentua ses va-et-vient. Le commandant faillit s'étouffer mais il n'en tint pas compte. Seuls ses mouvements puissants imprimaient la cadence. SA cadence!
Il savourait la douceur de cette bouche soumise sur toute la longueur de son membre.

De son côté, Cabral appréciait la raideur du sexe qui lui martelait la bouche. Sa salive servait de lubrifiant. Il toussotait à chaque gorge profonde ce qui excitait encore plus Delgado. Il montait d'un cran dans la violence, lui bloquant la nuque, le nez enfoui dans ses poils pubiens ce qui l'empêchait de respirer.
Le commandant suffoquait et se raclait la gorge à chaque prise d'air. Son assaillant ne lui laissait aucun répit. Son visage, déformé par la douleur, virait au rouge. Mais le lieutenant jubilait intérieurement en devinant son supérieur au bord de l'évanouissement et il accélérait de plus belle, martyrisant son fond de gorge.

Le commandant de la base, maintenu de force par deux mains puissantes, finit par avoir un râle qui le fit vibrer et secouer toute sa tête. C'est ce moment que choisit le lieutenant Delgado pour décharger les premiers jets de foutre. Une telle soudaineté empêcha Cabral d'anticiper et il reçut un flot incessant de sperme qui lui inonda le palais avant de s'écouler en longs filets visqueux à l'intérieur de sa gorge. Devant l'abondance de la charge, les derniers spasmes ressortirent même par les narines.

Il croyait en avoir fini avec son bel hidalgo, mais ce dernier avait d'autres projets. Balayant d'un revers de main tout ce qui encombrait le bureau, (dossiers et autres cartes d'état-major), il l'inclina de force, puis le coucha en deux tout en lui caressant les fesses ainsi exposées.

- Désape-toi. Je veux goûter à ton cul.

- Mais...

- C'EST UN ORDRE !

« Bien reçu, mon Lieutenant » et il s'allongea de tout son long, exposant ainsi deux demi-lunes blanches et rondes à son nouveau maître. Ce dernier écarta les globes. L'air frais s'engouffra, bientôt remplacé par une langue chaude. Cabral gémit bruyamment, la tête posée contre le sous-main en cuir. Il mordit son alliance pour ne pas crier d'extase.

Il se rappela soudain que la porte de son bureau n'était pas fermée à clé...

Delgado lécha avidement son trou puis cracha un filet de bave à l'intérieur. Son cul et ses poils devinrent tout moites.

Il lui saisit les cheveux et tira sa tête en arrière.

- Supplie-moi de te baiser le cul, salope!

Le commandant Cabral ne pouvait réagir, flottant dans un état second. Plus aucun signal logique ne fonctionnait dans son cerveau. Seul son œillet encore vierge réagissait aux diaboliques coups de langue de son persécuteur.

- Humm, oui... Baisez-moi, Lieutenant.

-Tu veux que je te défonce ta petite chatte de pute, c'est ça?

- Ooh, oui. S'il vous plaît, ouiii, prenez-moi... Mon cul vous appartient.

- Tss, tss, tu es ma femelle à présent, c'est plus un cul que t'as à m'offrir.

Ohhh ! Je... Oui, pardon... Défoncez-moi la ch... Cha...tte.

Il lui écarta les jambes, exposant à nouveau son trou humide de désir. Le commandant s'agitait dans tous les sens, comme un pantin désarticulé, bien cramponné à son bureau.
Il était prêt à se laisser dominer par un pervers de quinze ans son cadet, un détraqué sexuel qui n'en avait strictement rien à faire de sa réputation.

Lui, John Eddy Cabral, quarante-cinq ans, marié et père de famille, haut-gradé, commandant d'une main de fer à plus de trois cents militaires, dont la carrière exemplaire lui avait valu la légion d'Honneur et qui suppliait à présent d'être baisé comme la dernière des catins... De servir de vide-couilles à un jeune étalon encore inconnu cinq jours plus tôt.

« ...Comme la pire des traînées, voilà ce que tu es... La pire des traînées! » ces mots tournaient en boucle dans sa tête.

Son nouveau Conquistador se coucha sur lui, l'écrasant de tout son poids. Il le força à tourner la tête dans sa direction. Cabral sentit alors une vive douleur au niveau de l'oreille. Ce taré lui mordait le lobe comme le ferait tout félin mâle dominant avant l'accouplement avec sa femelle soumise.

- Je vais te marquer comme ma chienne. Tu seras mon nouvel esclave pendant mon séjour.

Il resserra sa prise.

- Et t'as intérêt d'obéir.

Cabral ferma les yeux et grogna en guise de réponse. Il savait au fond de lui qu'il ne pourrait échapper à son emprise. Que son nouveau ''Maître'' allait pouvoir l'utiliser à sa guise. À commencer par aujourd'hui, dans son propre bureau.

Il étouffa un cri lorsque deux doigts forcèrent son œillet. Ce fut pour lui, le début de la fin...

( à suivre...)

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