CÉLLULE DE DÉGRISEMENT

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : CÉLLULE DE DÉGRISEMENT Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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CÉLLULE DE DÉGRISEMENT
Hello les potos, moi c'est Farid, un franco-marocain de 18 ans, dealer des cités dans le Mirail. Je me suis fait pincer par les keufs à deux heures du mat en train de revendre mon shit à un bourge qui sortait de boîte.

Les types de la BAC m'ont coincé alors que j'encaissais le fric. Du flagrant délit dans toute sa splendeur. Je me suis fait cueillir comme un bleu. Ils m'ont embarqué, menottes aux poignets, en direction du commissariat. Bon, ce serait pas ma première nuit derrière les barreaux.

En parlant de barreau, j'en devine un prometteur entre les cuisses de l'un des deux flics qui m'encadre. Je me retrouve coincé sur la banquette arrière entre un gros d'une cinquantaine d'années qui pue la transpiration et un jeune mec à peine plus âgé que moi qui me colle sans vergogne.

Au gré des virages, son genou vient cogner contre le mien et ses mains s'attardent sous sa ceinture utilitaire. Il joue avec la crosse de son flingue avant de descendre en direction de sa matraque.

Sa main droite palpe l'intérieur de ses cuisses avec de plus en plus d'insistance. Il part des boules et remonte vers sa braguette qu'il a bien gonflée. Putain, ce mec est en train de m'exciter en présence de son collègue!

Je suis pédé comme un foc même si dans la cité personne ne le sait et la vision de ce jeune condé en train de se palucher en toute discrétion, me chauffe grave. Malgré l'obscurité dans la voiture, j'aperçois ses doigts qui jouent avec la fermeture éclair de son pantalon. Il dézippe lentement sa braguette vers le bas avant de la remonter en faisant bien ressortir sa bosse sur le côté. Elle est longue, grosse, prend du volume à chaque frottement. À force de la malaxer, elle finit par déformer le fin tissu de nylon et cogne contre le cuir du ceinturon. Bon, c'est peut-être moi qui délire mais j'ai la nette impression que ce flic me cherche.

Même si je suis menotté, les mains derrière le dos, ce jeune blanc-bec ne va pas s'en tirer à si bon compte. Quand on allume Farid, faut en assumer les conséquences...

C'est lui qui me descend au sous-sol et me pousse dans une cellule individuelle.

- Je reviendrai te voir, me lance-t-il avant de fermer la porte à double tour.

- J'y compte bien, je réponds en forme de défi.

Effectivement, mon beau condé se pointe une heure après. Il est canon dans son uniforme bleu-marine. Ses pects sont bien mis en valeur par son polo sombre et son pantalon moule-bite fait bien ressortir des cuisses en béton avec une bosse prometteuse au niveau de l'entrejambe.

Pas de doutes, ce jeune coq est un athlète accompli, ça tombe bien parce qu'avec moi, va y avoir du sport.

Il entre dans la cellule et commence à se désaper.

- Je suis de garde, y a plus personne.

Je lui montre la caméra disposée en hauteur, dans un coin de la pièce.

- T'inquiète, je l'ai désactivée.

Je suis aux anges, je vais pouvoir me défouler sur un keuf super mignon qui n'attend qu'une chose: se faire démonter le boule par un caïd des cités.

Je me pose direct sur ma couchette et décide de me la jouer façon calliera.

- Vas-y, continue ton strip, tu m'excites, là.

Le mec poursuit en tortillant du cul. Putain, il a pas froid aux yeux. Il risque gros si jamais il se fait pincer mais son boule pense à la place du cerveau.

- Ouais, c'est ça, chauffe-moi bien. Après, tu vas dérouiller. C'est ce que tu cherches, non?

Il fait «oui» de la tête. Il enlève son t-shirt pour me donner à voir son beau torse imberbe, musclé et sec. Humm, c'est de la dynamite, ce gars.

Il retire ses grosses bottes d'intervention et commence à faire glisser son pantalon d'uniforme le long de ses jambes de sportif.

En moins de deux, mon keuf se retrouve en slip avec une belle bosse qui s'agite sous mon regard de racaille.

- Bouge ton cul, ma lopsa. Montre que t'en veux!

Il se retourne et commence à se caresser les fesses tout en ondulant du bassin comme une call-girl. Il fait remonter son slip entre ses belles miches rebondies et tire sur le tissus pour bien se le faire rentrer dans la raie. Ses mains câlinent son cul ce qui provoque une trique d'enfer dans mon calebute.

Je sors mon zeb bien raide et le fait reluire doucement.

Mon beau policier a fermé les yeux. Il est à fond dans son trip. Ce doit être la tension liée au job qui fait que certains ont besoin de décompresser. Se faire loper par des petites frappes sur leur propre territoire ça les excite, ces connards.

Et bien, celui là, il va en prendre pour son grade. Je vais le défoncer jusqu'à ce qu'il gueule sa mère.

Il vient de lui même se pencher sur ma couchette, la tête en avant, les fesses bien remontées, prêtes à l'emploi.

En attendant l'estocade, sa main droite ne reste pas inactive. Elle glisse entre ses œufs et il se rentre deux doigts dans le trou. Putain, il est chaud, le mec!

Ses phalanges s'activent devant moi et mon nouveau joujou se branle le cul avec frénésie. Je sais pas s'il fait ça à chaque arrestation mais si c'est le cas, il va bientôt se tailler une bonne réputation de pute à jus dans la cité.

Faudra pas qu'il vienne trop traîner en solitaire...

Je me lève, le redresse puis le pousse jusqu'à ce qu'il se retrouve dos à moi, plaqué contre le mur. J'aurais bien aimé lui faire une fouille au corps mais je suis trop excité, là. Il me faut son boule tout de suite.

Je passe mes bras autour de lui et commence à frotter ma teub sur ses fesses en surchauffe.

Il ondule du bassin, chaud comme la braise. Son cul demande mon zboub, il le veux. Je me branle un peu, histoire de me mettre en condition puis je guide mon bazooka à l'entrée de son trou. Je l'entends couiner de bonheur.

- C'est ça que tu veux?

Il incline la tête favorablement. Pas bavard le gonze. Pas grave, son cul parle pour lui.

Mon gland bute sur sa rosette. Il respire un grand coup et d'un mouvement décidé, s'empale de lui même. Son acte héroïque lui arrache une plainte.

Je ressors pour bien lui signifier que c'est moi qui décide des opérations. J'attends trente secondes, immobile. Il se demande ce qui se passe. Il se cambre bien en arrière à la recherche de mon zob.

Sans prévenir, je lui rentre dedans jusqu'à la garde. Cette fois, il gueule sa life. J'espère que nous sommes seuls car sinon les autres prisonniers vont se demander ce qui arrive.

Il se mord les lèvres tout en acceptant cette défonce virile. Je suis rentré comme dans du beurre. Bordel, ce flic n'en est pas à sa première queue. C'est un vrai garage à bites, là dedans. S'ils sont tous comme ça dans la police, je vais me faire serrer plus souvent.

J'entame mes va-et-vient. À chaque poussée, son trou s'écarte et j'ai même pas à forcer le passage. Ça glisse tout seul. Je lui lime le cul à grands coups de reins, trop excité par le show qu'il vient de me faire. J'ai un agent de la BAC, soumis, au bout de ma queue, une petite pute à arabes. Je lui éclate la rondelle avec de la bonne bite marocaine.

Devant moi, mon représentant des forces de l'ordre est toujours face au mur. Sa respiration haletante est saccadée au rythme de mes coups de bélier. Il a sorti la langue et lèche le mur en bonne chienne soumise.

Je le tire par les cheveux et lui dit:

- Sens bien ce que mes potes du quartier vont faire à ton p'tit cul de PD en uniforme.

Il grogne en guise de réponse. Il est tout à moi. Soumis à mes moindres désirs. Je le lime comme un ouf, mon souffle chaud sur sa nuque, tout en lui murmurant des insultes à l'oreille.

Le flicard tend son cul autant qu'il peut pour bien se carrer ma merguez à fond tout en se branlant en même temps. Il secoue sa nouille comme un dératé. Soudain, il se met à gueuler et je le vois qui ravage le mur de la cellule de son foutre chaud et gluant. Plusieurs coulées épaisses qui recouvrent les insultes du style: « PD de flics, enculés de keufs, nike la police,... »
Bon sang, y a pas intérêt qu'on prélève des échantillons d'ADN sinon il est cuit, mon poulet!!!

Il m'en faut pas plus pour sentir monter mon jus. J'accélère le rythme. Mes hanches sont une vraie machine à baise et je lui pilonne le cul comme si c'était une chatte de meuf. Soudain, je bloque net et me retire. Je le maintiens d'une main contre la paroi pendant que je vise son pantalon. Je décharge toute ma crème sur son froc enroulé à ses chevilles, inondant son uniforme qui doit encore servir toute la nuit.

Il me maudit en se rhabillant mais j'en ai rien à faire. Elle a eu ce qu'elle cherchait, cette pédale.

Je l'entends marmonner dans les escaliers. Je souris intérieurement. Il va se sentir crade et poisseux pendant tout son service. Je contemple une dernière fois le mur maculé du sperme de ma lopsa avant de m'endormir comme une enclume.

FIN

Les avis des lecteurs

Et oui, c'est la véritable expression. Cette voile pouvant prendre le vent à l'avant comme à... l'arrière. :-)

Histoire Erotique
Histoire jamais crédible...
Tu fais de la voile ? (pédé comme un foc...).



Texte coquin : CÉLLULE DE DÉGRISEMENT
Histoire sexe : Une rose rouge
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