LE BOULE DU MÉTRO

Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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LE BOULE DU MÉTRO
LE BOULE DU MÉTRO
NOAILLES.
J'suis un caïd des banlieues nord de Marseille, plutôt calliente. Jour comme nuit, été comme hiver, faut toujours que je fourre ma teub quelque part. J'ai 25 ans, 180cm pour 90kg, belle gueule de racaille, crâne rasé, brun aux yeux clairs, musclé sec en mode sportif et un monstre de 23/6 entre les jambes.
Je suis vachement fier de ma grosse queue. J'aime me branler à travers le survêt puis la prendre à pleine main pour me rendre compte comme elle est épaisse et bien droite. C'est d'ailleurs ce que je fais ce matin sur le quai.
Je passe ma vie à baiser des meufs mais aussi des mecs. Du bon père de famille au jeune cadre dynamique qui me supplient du regard de leur déboîter le cul pendant qu'ils s'éclatent la mâchoire sur mon énorme dard.
Partout où je traîne, les gens se retournent. Certains me matent sans vergogne, espérant un peu de mes faveurs. Mais je suis un Dom, un chasseur d'étalons qui ne s'arrête jamais sur des proies faciles.
J'exige le meilleur et je vise toujours l'excellence.
Justement, ce matin dans le métro j'en ai repéré un. Et pas n'importe qui.Un flic en tenue avec gilet pare-balles, radio accrochée à l'épaule, matraque et flingue à la ceinture. L'artillerie lourde, quoi!
Il est en binôme avec une fliquette qui n'arrête pas de lui parler. La rame est pleine, ça déborde de tout côté, pourtant, il y a comme un cordon sécuritaire entre les voyageurs et les deux condés. J'en profite pour occuper l'espace libre et viens me placer derrière le beau gosse.
Car oui, il est canon le mec, bien mis dans son uniforme. Grand, blond, sportif, des biscotos à faire rougir Scharzy et une belle gueule de suceuse sous ses airs de macho viril. Une bouche à biberonner mon barreau pendant des heures. Et son boule!!! Bien rond, bien ferme, bien tendu,... prêt à faire péter la couture du pantalon. Putain, ce jeune mastar trentenaire va pas faire exception. Métro ou pas, va devoir goûter à mon sucre d'orge.
Bon, faut oublier la défonce de son trou, il est en plein taf, là. Et puis sa gonzesse en bleu-marine, j'en veux pas. Trop moche!
Mais on devrait pouvoir s'amuser un peu, surtout au vue de son cul qui tressaute sous mes yeux à chaque secousse du train.
Bordel, j'en salive d'avance.
À la station Noailles, ça se remplit encore plus. On est serrés comme des anchois et c'est tout naturellement que ma queue entre en contact avec ce boule prometteur.
Oh, d'abord, tout en douceur, par à-coups. Sans en avoir l'air. Puis mon zboub se fait plus pressant. Il insiste, monte et descend tout le long de cette raie hospitalière, cherche à se loger dans ce sillon de mec hétéro, même si la fine toile du pantalon agit comme une barrière naturelle qui m'empêche d'aller plus loin.
Et le résultat ne se fait pas attendre. Je commence à bander grave dans mon bas de survêt. Une belle bosse bien grosse. En plus, quand je pars en chasse, j'mets jamais de slip. J'aime trop la sentir se balancer sous le regard envieux des mecs.
Là, je me colle à lui et mon zgeg ventouse sa raie. Il est bien dur et mon gland écrase la couture qui sépare les fesses. À chaque secousse, j'accentue la pression. Vu la taille de l'engin, c'est pas possible qu'il sente rien.
Effectivement, tout en papotant avec sa collègue, il cherche à se soustraire de mon emprise. Il a bien compris que quelque chose se tramait dans son dos. Mais il y a trop de monde, il peut même pas tourner la tête pour voir qui le serre. Il lance une main derrière lui pour chercher à me repousser. Ses doigts entrent accidentellement en contact avec mes vingt-trois centimètres dressés au garde-à-vous. Il marque un temps d'arrêt mais quand il tâte à nouveau le matos 3D, il change vite d'avis. Il retire sa main et vient coller ses fesses contre mon manche tout chaud.
Et bingo!!! Un de plus.
La nana a fini de lui parler. Elle s'est retournée et engage la conversation avec une petite vieille. Je peux alors attaquer franco.
Ma queue devient la préoccupation première de mon keuf. Il la sent martyriser son cul. Elle le malmène chaque fois que le train fait une embardée, elle recule, pousse, s'éloigne, revient à la charge. Mon pauvre flicaillon ne sait plus à quel Saint se vouer. C'est devenu sa came, son shit, il ne peut plus s'en passer. Son cerveau devient accros. Il accepte l'idée de se faire soumettre, pourvu que je le dose avec ma grosse queue. Je la sors du jogging et la fais coulisser de bas en haut contre sa raie. Putain, je mouille tellement que la couture du froc est toute humide.
Il bouge un peu pour mieux la sentir et tourne la tête sur le côté. Alors, j'en profite pour lui murmurer à l'oreille tout ce que je vais lui faire subir.
« ...Tu la sens ma teub d'arabe, ma merguez algérienne? »
Il opine du chef.
«Je vais bien te la carrer entre tes fesses de poulet».
Je l'entends respirer fort. Il est en train de se faire mater par une racaille de banlieue, même si son regard bleu acier ne laisse rien paraître. Son souffle s'accélère encore quand mes doigts remplacent ma queue et pelotent ses deux demi-lunes. Elles poussent en arrière, impatientes de se faire mettre. Putain de condé qui me chauffe comme une meuf, si je pouvais, je te baiserais au beau milieu de la foule, là, dans cette rame pleine à craquer.
Et pour corser le tout, un nouvel arrivage se présente à Castellane . Je sens des corps qui pressent le mien, une main tente de s'immiscer entre mon flic et moi pour participer à la fête. Je la repousse violemment. Ce mâle dominant est MA propriété!
Je lui recolle ma tige bien raide entre les fesses et continue à lui débiter mes délires dans le creux de l'oreille, même si avec le bruit, pas sûr qu'il capte tout.
« ...Le jour où je te coince dans ma cité, ton cul va morfler. Il prendra cher. Je te foutrai à poil et je saliverai bien ta pastille avant de te baiser comme une chienne. J'inviterai tous les dealers du coin pour mater ton boule de pute. Et chacun d'eux se fera traire jusqu'à la dernière goutte. Tu nous serviras de vide-couilles, compris??!..»
Il pousse une plainte d'acceptation et d'envie.
«... Quand tu viendras patrouiller chez nous, fais bien gaffe où tu mets les pieds, parce que si on te chope, on te fait tourner.»
Et j'écrase mon gland baveux contre la couture du pantalon À force de s'exciter, ma fente a bien trempé la fine toile du pantalon militaire. Je lui saisi le bras et le tords vers l'arrière pour qu'il m'astique le jonc. Ses doigts entrent en contact avec mon gourdin et le branlent en cadence, au rythme du wagon de métro.
«... T'aimes être utilisé, toi, ça se voit.»
Les mots blessants qui sortent de ma bouche le font gémir faiblement. Je n'ose porter la main à sa braguette de peur que sa collègue ne se retourne mais je suis sûr que ce salaud bande comme un turc.
« ...Tu kiffes ce que t'es en train de faire? »
Il fait ''oui'' de la tête et resserre sa prise. Ses doigts ont du mal à faire le tour de mon manche, je suis sûr que c'est la première fois qu'il touche un tel monstre. Ça doit lui rappeler sa matraque quand il s'en saisit pour nous taper dessus!
Je continue à l'humilier de plus belle.
« Ouais, tâte le matos. T'as pas ça entre les jambes, hein??! »
Je l'entends grogner.
« Tu veux me faire cracher? »
Nouveau jappement.
« Et après, tu goûtera mon jus? »
Il prend soudain conscience de l'endroit où nous nous trouvons et de certaines personnes qui ont remarqué notre manège. Il retire sa main déjà poisseuse et tente de s'extirper de ma trique qui lui chauffe le trou de balle mais je lâche pas l'affaire.
Ce bâtard a dû en serrer plus d'un dans la cité du Frais-Vallon mais aujourd'hui, c'est ma teub en feu qui lui serre le cul.
Il a repris le contrôle de la situation, s'est retourné complètement et papote à nouveau avec sa binôme. Je me branle furieusement et arrose à distance son froc de trois giclées bien grasses. Une atterrit sur le cuir de sa ceinture utilitaire et les deux autres baptisent ce boule de flic viril. Elles viennent s'écraser contre sa raie déjà bien moite. J'avise un long filet blanchâtre qui part du haut de son cul, s'écoule le long de sa cuisse gauche pour finir sur ses Rangers. Putain, je l'ai bien dosé le flicaillon. Son uniforme va être visqueux durant toute sa journée de boulot.
Faut dire qu'il m'a bien chauffé avec son boule de ouf. Fallait pas se frotter à un voyou de banlieue!
Je remballe le matos puis m'éclipse à la prochaine station. Ni vu, ni connu.
J'suis fier de moi, je ris tout seul en remontant la Canebière. Bordel, je l'ai dosé comme une pute, celui-là. En moins de vingt minutes, mon zboub à transformé ce cul hétéro en bouffe-bite avide de jus.
En parlant de jus, va avoir du mal à expliquer toutes ces traces suspectes à ses collègues, une fois rentré au commissariat.
FIN
NOAILLES.
J'suis un caïd des banlieues nord de Marseille, plutôt calliente. Jour comme nuit, été comme hiver, faut toujours que je fourre ma teub quelque part. J'ai 25 ans, 180cm pour 90kg, belle gueule de racaille, crâne rasé, brun aux yeux clairs, musclé sec en mode sportif et un monstre de 23/6 entre les jambes.
Je suis vachement fier de ma grosse queue. J'aime me branler à travers le survêt puis la prendre à pleine main pour me rendre compte comme elle est épaisse et bien droite. C'est d'ailleurs ce que je fais ce matin sur le quai.
Je passe ma vie à baiser des meufs mais aussi des mecs. Du bon père de famille au jeune cadre dynamique qui me supplient du regard de leur déboîter le cul pendant qu'ils s'éclatent la mâchoire sur mon énorme dard.
Partout où je traîne, les gens se retournent. Certains me matent sans vergogne, espérant un peu de mes faveurs. Mais je suis un Dom, un chasseur d'étalons qui ne s'arrête jamais sur des proies faciles.
J'exige le meilleur et je vise toujours l'excellence.
Justement, ce matin dans le métro j'en ai repéré un. Et pas n'importe qui.Un flic en tenue avec gilet pare-balles, radio accrochée à l'épaule, matraque et flingue à la ceinture. L'artillerie lourde, quoi!
Il est en binôme avec une fliquette qui n'arrête pas de lui parler. La rame est pleine, ça déborde de tout côté, pourtant, il y a comme un cordon sécuritaire entre les voyageurs et les deux condés. J'en profite pour occuper l'espace libre et viens me placer derrière le beau gosse.
Car oui, il est canon le mec, bien mis dans son uniforme. Grand, blond, sportif, des biscotos à faire rougir Scharzy et une belle gueule de suceuse sous ses airs de macho viril. Une bouche à biberonner mon barreau pendant des heures. Et son boule!!! Bien rond, bien ferme, bien tendu,... prêt à faire péter la couture du pantalon. Putain, ce jeune mastar trentenaire va pas faire exception. Métro ou pas, va devoir goûter à mon sucre d'orge.
Bon, faut oublier la défonce de son trou, il est en plein taf, là. Et puis sa gonzesse en bleu-marine, j'en veux pas. Trop moche!
Mais on devrait pouvoir s'amuser un peu, surtout au vue de son cul qui tressaute sous mes yeux à chaque secousse du train.
Bordel, j'en salive d'avance.
À la station Noailles, ça se remplit encore plus. On est serrés comme des anchois et c'est tout naturellement que ma queue entre en contact avec ce boule prometteur.
Oh, d'abord, tout en douceur, par à-coups. Sans en avoir l'air. Puis mon zboub se fait plus pressant. Il insiste, monte et descend tout le long de cette raie hospitalière, cherche à se loger dans ce sillon de mec hétéro, même si la fine toile du pantalon agit comme une barrière naturelle qui m'empêche d'aller plus loin.
Et le résultat ne se fait pas attendre. Je commence à bander grave dans mon bas de survêt. Une belle bosse bien grosse. En plus, quand je pars en chasse, j'mets jamais de slip. J'aime trop la sentir se balancer sous le regard envieux des mecs.
Là, je me colle à lui et mon zgeg ventouse sa raie. Il est bien dur et mon gland écrase la couture qui sépare les fesses. À chaque secousse, j'accentue la pression. Vu la taille de l'engin, c'est pas possible qu'il sente rien.
Effectivement, tout en papotant avec sa collègue, il cherche à se soustraire de mon emprise. Il a bien compris que quelque chose se tramait dans son dos. Mais il y a trop de monde, il peut même pas tourner la tête pour voir qui le serre. Il lance une main derrière lui pour chercher à me repousser. Ses doigts entrent accidentellement en contact avec mes vingt-trois centimètres dressés au garde-à-vous. Il marque un temps d'arrêt mais quand il tâte à nouveau le matos 3D, il change vite d'avis. Il retire sa main et vient coller ses fesses contre mon manche tout chaud.
Et bingo!!! Un de plus.
La nana a fini de lui parler. Elle s'est retournée et engage la conversation avec une petite vieille. Je peux alors attaquer franco.
Ma queue devient la préoccupation première de mon keuf. Il la sent martyriser son cul. Elle le malmène chaque fois que le train fait une embardée, elle recule, pousse, s'éloigne, revient à la charge. Mon pauvre flicaillon ne sait plus à quel Saint se vouer. C'est devenu sa came, son shit, il ne peut plus s'en passer. Son cerveau devient accros. Il accepte l'idée de se faire soumettre, pourvu que je le dose avec ma grosse queue. Je la sors du jogging et la fais coulisser de bas en haut contre sa raie. Putain, je mouille tellement que la couture du froc est toute humide.
Il bouge un peu pour mieux la sentir et tourne la tête sur le côté. Alors, j'en profite pour lui murmurer à l'oreille tout ce que je vais lui faire subir.
« ...Tu la sens ma teub d'arabe, ma merguez algérienne? »
Il opine du chef.
«Je vais bien te la carrer entre tes fesses de poulet».
Je l'entends respirer fort. Il est en train de se faire mater par une racaille de banlieue, même si son regard bleu acier ne laisse rien paraître. Son souffle s'accélère encore quand mes doigts remplacent ma queue et pelotent ses deux demi-lunes. Elles poussent en arrière, impatientes de se faire mettre. Putain de condé qui me chauffe comme une meuf, si je pouvais, je te baiserais au beau milieu de la foule, là, dans cette rame pleine à craquer.
Et pour corser le tout, un nouvel arrivage se présente à Castellane . Je sens des corps qui pressent le mien, une main tente de s'immiscer entre mon flic et moi pour participer à la fête. Je la repousse violemment. Ce mâle dominant est MA propriété!
Je lui recolle ma tige bien raide entre les fesses et continue à lui débiter mes délires dans le creux de l'oreille, même si avec le bruit, pas sûr qu'il capte tout.
« ...Le jour où je te coince dans ma cité, ton cul va morfler. Il prendra cher. Je te foutrai à poil et je saliverai bien ta pastille avant de te baiser comme une chienne. J'inviterai tous les dealers du coin pour mater ton boule de pute. Et chacun d'eux se fera traire jusqu'à la dernière goutte. Tu nous serviras de vide-couilles, compris??!..»
Il pousse une plainte d'acceptation et d'envie.
«... Quand tu viendras patrouiller chez nous, fais bien gaffe où tu mets les pieds, parce que si on te chope, on te fait tourner.»
Et j'écrase mon gland baveux contre la couture du pantalon À force de s'exciter, ma fente a bien trempé la fine toile du pantalon militaire. Je lui saisi le bras et le tords vers l'arrière pour qu'il m'astique le jonc. Ses doigts entrent en contact avec mon gourdin et le branlent en cadence, au rythme du wagon de métro.
«... T'aimes être utilisé, toi, ça se voit.»
Les mots blessants qui sortent de ma bouche le font gémir faiblement. Je n'ose porter la main à sa braguette de peur que sa collègue ne se retourne mais je suis sûr que ce salaud bande comme un turc.
« ...Tu kiffes ce que t'es en train de faire? »
Il fait ''oui'' de la tête et resserre sa prise. Ses doigts ont du mal à faire le tour de mon manche, je suis sûr que c'est la première fois qu'il touche un tel monstre. Ça doit lui rappeler sa matraque quand il s'en saisit pour nous taper dessus!
Je continue à l'humilier de plus belle.
« Ouais, tâte le matos. T'as pas ça entre les jambes, hein??! »
Je l'entends grogner.
« Tu veux me faire cracher? »
Nouveau jappement.
« Et après, tu goûtera mon jus? »
Il prend soudain conscience de l'endroit où nous nous trouvons et de certaines personnes qui ont remarqué notre manège. Il retire sa main déjà poisseuse et tente de s'extirper de ma trique qui lui chauffe le trou de balle mais je lâche pas l'affaire.
Ce bâtard a dû en serrer plus d'un dans la cité du Frais-Vallon mais aujourd'hui, c'est ma teub en feu qui lui serre le cul.
Il a repris le contrôle de la situation, s'est retourné complètement et papote à nouveau avec sa binôme. Je me branle furieusement et arrose à distance son froc de trois giclées bien grasses. Une atterrit sur le cuir de sa ceinture utilitaire et les deux autres baptisent ce boule de flic viril. Elles viennent s'écraser contre sa raie déjà bien moite. J'avise un long filet blanchâtre qui part du haut de son cul, s'écoule le long de sa cuisse gauche pour finir sur ses Rangers. Putain, je l'ai bien dosé le flicaillon. Son uniforme va être visqueux durant toute sa journée de boulot.
Faut dire qu'il m'a bien chauffé avec son boule de ouf. Fallait pas se frotter à un voyou de banlieue!
Je remballe le matos puis m'éclipse à la prochaine station. Ni vu, ni connu.
J'suis fier de moi, je ris tout seul en remontant la Canebière. Bordel, je l'ai dosé comme une pute, celui-là. En moins de vingt minutes, mon zboub à transformé ce cul hétéro en bouffe-bite avide de jus.
En parlant de jus, va avoir du mal à expliquer toutes ces traces suspectes à ses collègues, une fois rentré au commissariat.
FIN
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