Aux ordres du Lieutenant (chapitre 2)
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aux ordres du Lieutenant (chapitre 2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
CHAPITRE 2
Extrait du compte-rendu du Tribunal Militaire de Marseille.
(procès tenu à huis clos suite aux propos licencieux de l'accusé.)
- … Le lieutenant Delgado a de nouveau attrapé mes cheveux et m'a tiré contre lui. Je pouvais sentir son sexe presser contre mes fesses. Puis,...
Moment d'hésitation avant que l'accusé ne se mure dans un silence obstiné.
- Je comprends votre embarras, mais vous devez raconter ce qui s'est réellement passé, sans omettre le moindre détail.
Brandissant un dossier particulièrement volumineux.
- Je vous rappelle que tout est consigné dans votre déposition. Vous avez juste à répéter devant les jurés ici présents ce que vous avez dit aux enquêteurs.
- C'est-à-dire que lors de ma déposition, j'étais très en colère et j'ai pu employer des termes crus que je regrette aujourd'hui.
Après une courte pause.
- je crains que les mots n'aient dépassé ma pensée.
Saisissant un feuillet posé sur son bureau d'instruction.
- Et bien, je vais parler à votre place. Je vous cite :
« ...Mon trou était si humide que son gland glissait sans problème. J'avais son torse contre mon dos. Ma chemise était trempée tant il faisait chaud. À un moment, il m'a saisi par la gorge et m'a mordu l'oreille. Comme le ferait un chien avec sa chienne en chaleur. Son souffle chaud me chatouillait le cou ce qui me faisait transpirer encore plus. Il serrait tellement fort que j'ai commencé à manquer d'air. Quand il a senti que j'allais m'évanouir, il m'a lâché et m'a dit... »
Interrompant sa lecture pour fixer l'accusé droit dans les yeux.
- Sont-ce bien là les termes de votre déposition?
- Oui, Votre Honneur.
- Que vous a-t-il dit ensuite?
- Je... Enfin,... il m'a dit: « Supplie-moi de te baiser, sale pute »... ou quelque chose dans ce genre.
- Je vois. Poursuivez.
- Il m'a plaqué la tête contre le bureau et m'a écarté les cuisses. Ensuite, il... il a pressé son gland contre mon œillet. Je savais que j'allais souffrir mais c'est ce que je voulais.
- Que vouliez-vous au juste?
- Je voulais cette queue en moi. Comprenez, il m'avait complètement soumis. Je l'avais sucé, il m'avait fait mendier sa queue pendant qu'il me mangeait le trou. Il m'a même demandé d'écarter les fesses avec mes mains pendant qu'il pointait son dard vers ma pastille.
- À ce moment là, vous ne vous êtes pas rebellé?
- Non, votre honneur.
- Vous ne vous êtes pas dit: ''ça suffit, je reprends les choses en main.''
- … Non.
- Continuez.
- Je... je ne peux pas.
- Et bien je vais le faire pour vous, encore une fois, et pour les jurés assis dans cette salle. Vous avez dit, textuellement:
«... Le lieutenant Delgado a hésité juste une seconde avant de me pénétrer d'un coup sec. Heureusement, sa salive a facilité le passage de son énorme gland. J'ai grogné et gémi pendant l'intrusion. Ça m'a brûlé une dizaine de secondes avant que mon trou ne se distende et n'accepte une grande partie de son manche. Il me tenait fermement par les hanches et il a commencé à pousser lentement le reste de sa queue, me faisant ressentir à quel point cette bite allait bien prendre possession de mon cul. J'ai laissé échapper un long grognement animal à mesure que son membre progressait vers ma prostate. Quand j'ai senti ses poils pubiens contre mes fesses, j'ai su que je lui appartenais.
… J'inspirais fortement, les yeux écarquillés de surprise. Lui, m'humiliait avec des mots insultants, satisfait de soumettre un nouveau mâle par la seule force de sa queue. Je n'étais qu'un soumis de plus, ajouté à son impressionnant tableau de chasse.
… De nouveau, il est venu me mordiller l'oreille. C'est fou comme ça décuple le plaisir de se faire prendre et j'avoue qu'à ce moment-là, je me sentais vraiment sa femelle soumise.
… À mesure que les minutes passaient mon cul prenait confortablement ce sexe inquisiteur. La douleur avait laissé place au plaisir et à la plénitude. Il maintenait un rythme élevé sans jamais se relâcher ni se retirer. Nous étions tous les deux en sueur et à bout de souffle quand il s'est effondré sur moi.
… Son torse nu et ses abdominaux puissants, pressés contre mon dos, ont fait fléchir sa grosse bite en moi. Une de ses mains m'a saisi la gorge et m'a forcé à tourner le visage vers lui. J'avais mal aux cervicales tant la position était douloureuse. Il a trouvé ma bouche et a enfoncé sa langue à l'intérieur. J'étais surpris car je ne pensais pas qu'un type comme lui pouvait embrasser d'autres gars. »
Reposant les feuilles avant de s'adresser à l'accusé.
- Vous avez donc accepté ce baiser?!
- Je... C'est à dire, Votre Honneur... dans le feu de l'action, je ne savais pas trop ce que faisais. Et puis, ce n'était pas vraiment un baiser.
- Précisez.
- Disons qu'il m'a plutôt violé la bouche. Il a envahi brutalement mon palais avec sa langue. Une langue incroyablement dure et longue, aussi agressive qu'un sexe en érection.
- Et à aucun moment vous ne vous êtes insurgé?
- Il me tenais sous son emprise et puis, j'étais troublé par la violence de sa réaction.
- Hum... un grand gaillard comme vous! Admettons.
Lui faisant signe de poursuivre.
- Il m'a embrassé, comme je vous disais, puis sa main est venue serrer à nouveau ma gorge. C'est alors que ses coups de reins sont devenus plus saccadés. Il a rompu notre baiser et s'est mis à grogner.
S'interrompant à nouveau avant de baisser les yeux, rouge de confusion.
- Vous souhaitez sans doute que je prenne le relais?
Acquiescement de la tête.
« … J'ai aussi poussé une plainte alors que je sentais son dard pulser violemment en moi. J'ai senti quatre jets de sperme inonder mes boyaux. Tout était si fort: le lieu, la chaleur, sa bite dans mon cul, et maintenant son éjaculation. Tout n'était que sentiment d'euphorie, d'abandon...
… Alors qu'il finissait de se vider, son corps restait rigide. Il m'a léché l'oreille et après une minute, m'a caressé les fesses. Il redevenait doux et attentionné.
Pour finir, il a placé ses mains sous mon ventre et s'est enfoncé encore un peu plus en moi. Son sexe n'avait pas débandé.
… Je suis resté haletant et gémissant sous lui, couvert de sa transpiration. Je n'avais toujours pas joui mais à aucun moment cette pensée ne m'avait traversé l'esprit. Je venais d'être utilisé et baisé comme la dernière des catins, comme une vulgaire poupée gonflable. J'étais devenu le jouet sexuel de ce type, un lieutenant espagnol que je ne connaissais pas il y a cinq jours.
Il m'a mordu le cou, me tirant de ma rêverie. J'avais des étoiles plein la tête, ne cessant de geindre contre le sous-main.
… Il a fini par se retirer et m'a retourné. Il m'a souri, aussi. C'était la première véritable émotion qu'il montrait depuis nos ébats. Il m'a demandé si je voulais jouir. »
Interrompant la lecture pour s'adresser à l'accusé.
- Vous étiez consentant?
- Oui, Votre Honneur.
« … Je l'ai juste regardé. Je n'avais pas l'énergie de faire quoi que ce soit. Il a commencé à dégrafer ma ceinture puis a retiré mon pantalon. Il m'a ensuite branlé à travers mon boxer. Je n'ai pu retenir un soupir de satisfaction. Il m'a souri à nouveau et a baissé mon sous-vêtement, me laissant nu et déshonoré sur mon bureau en bois massif.
Il a attrapé mes chevilles et d'un seul mouvement, a soulevé mes pieds au dessus de ma tête. Mon trou était moite et je sentais son sperme s'échapper de ma raie. Il se tenait au dessus de moi, mon cul bien en évidence. Il a craché dans ma fente, ajoutant encore au reste de son foutre triomphant. Avec son autre main, il a trouvé mon sexe qu'il a commencé à branler. Delgado m'a fait grossir la queue tout en reprenant ses mots grossiers.
- Quels genre de mots?
- Oh, du style: '' bonne petite pute à fourrer ou le vide-couilles de la caserne...'' J'étais devenu sa chose et j'avais intérêt à lui obéir.
- Est-ce à dire qu'il vous menaçait?
- Je ne saurais l'affirmer. Sur le coup, je ne voyais pas trop s'il était sérieux ou pas. Mais la suite m'a prouvé le contraire.
- Développez, je vous prie.
- À mesure qu'il crachait, mon... trou palpitait. Je devenais fou, je le suppliais du regard, la bouche grande ouverte et la bave au bord des lèvres. Je n'étais plus moi même, vous comprenez! J'étais sur le dos, les fesses exposées bien haut et je devinais ce qu'il attendait de moi. Il voulait que je tire mon sperme sur mon propre visage pendant que sa semence bouillonnait dans mes entrailles.
Il a cessé de m'insulter pour plonger sa langue dans ma fente. C'était divin, je n'avais jamais ressenti quelque chose d'aussi fort. Il farfouillait à l'intérieur de mes fesses, titillant ma pastille, aspirant son jus et sa salive. Bon sang, que c'était bon.
Il ne m'a pas fallu longtemps pour que mes genoux perdent le peu d'énergie qu'ils avaient. J'étais plié en deux, j'avais ma queue à quelques centimètres du visage. La position était inconfortable mais ses coups de langue m'envoyaient des ondes de plaisir qui me faisaient oublier la douleur. Ma bite a commencé à pulser dans sa main, un jet chaud et blanchâtre a jailli de mon gland, crémant ma bouche, mes joues, mon front... Le reste s'est répandu dans mes cheveux.
Après cet ouragan de sperme, le lieutenant Delgado a lâché mes chevilles. Je suis resté là, allongé sur mon bureau, essayant de remettre un peu d'ordre dans mes idées. Le diable s'était infiltré dans ma tête et avait réveillé le soumis qui dormait en moi.
- Vous compareriez donc le lieutenant Delgado au diable?
- Après ce qu'il s'apprêtait à faire,… oui!
- Qu'allait-il faire, exactement?
- Il allait me détruire. Son regard avait changé. Il était redevenu hermétique, méchant, sans aucune expression. Il m'a obligé à fermer les yeux. Ça m'allait bien car je ne voulais pas garder de lui cette image de vainqueur.
Lorsque je les ai rouverts, il se tenait debout devant moi, son téléphone portable à la main et il me filmait. Il filmait ma soumission, ma déchéance,... mon déshonneur!
- Vous avez pris peur?
- Oui. Surtout qu'il a menacé de balancer la vidéo à tous les militaires de la base, ainsi qu'à ma femme.
- Comment avez-vous réagi?
- J'ai vu rouge. J'étais anéanti. L'instant d'une seconde, j'ai cru tout perdre. Tout mon univers risquait de partir en fumée.
- C'est à cet instant précis que vous avez décidé de réagir?
- Affirmatif.
- De quelle manière?
- Pendant qu'il se rhabillait, j'ai fait le tour du bureau, j'ai ouvert le tiroir du haut, celui où je rangeais mon PAMAS G1. Je l'ai sorti de son étui, j'ai levé le cran d'arrêt, j'ai visé.
Et...
FIN
CHAPITRE 2
Extrait du compte-rendu du Tribunal Militaire de Marseille.
(procès tenu à huis clos suite aux propos licencieux de l'accusé.)
- … Le lieutenant Delgado a de nouveau attrapé mes cheveux et m'a tiré contre lui. Je pouvais sentir son sexe presser contre mes fesses. Puis,...
Moment d'hésitation avant que l'accusé ne se mure dans un silence obstiné.
- Je comprends votre embarras, mais vous devez raconter ce qui s'est réellement passé, sans omettre le moindre détail.
Brandissant un dossier particulièrement volumineux.
- Je vous rappelle que tout est consigné dans votre déposition. Vous avez juste à répéter devant les jurés ici présents ce que vous avez dit aux enquêteurs.
- C'est-à-dire que lors de ma déposition, j'étais très en colère et j'ai pu employer des termes crus que je regrette aujourd'hui.
Après une courte pause.
- je crains que les mots n'aient dépassé ma pensée.
Saisissant un feuillet posé sur son bureau d'instruction.
- Et bien, je vais parler à votre place. Je vous cite :
« ...Mon trou était si humide que son gland glissait sans problème. J'avais son torse contre mon dos. Ma chemise était trempée tant il faisait chaud. À un moment, il m'a saisi par la gorge et m'a mordu l'oreille. Comme le ferait un chien avec sa chienne en chaleur. Son souffle chaud me chatouillait le cou ce qui me faisait transpirer encore plus. Il serrait tellement fort que j'ai commencé à manquer d'air. Quand il a senti que j'allais m'évanouir, il m'a lâché et m'a dit... »
Interrompant sa lecture pour fixer l'accusé droit dans les yeux.
- Sont-ce bien là les termes de votre déposition?
- Oui, Votre Honneur.
- Que vous a-t-il dit ensuite?
- Je... Enfin,... il m'a dit: « Supplie-moi de te baiser, sale pute »... ou quelque chose dans ce genre.
- Je vois. Poursuivez.
- Il m'a plaqué la tête contre le bureau et m'a écarté les cuisses. Ensuite, il... il a pressé son gland contre mon œillet. Je savais que j'allais souffrir mais c'est ce que je voulais.
- Que vouliez-vous au juste?
- Je voulais cette queue en moi. Comprenez, il m'avait complètement soumis. Je l'avais sucé, il m'avait fait mendier sa queue pendant qu'il me mangeait le trou. Il m'a même demandé d'écarter les fesses avec mes mains pendant qu'il pointait son dard vers ma pastille.
- À ce moment là, vous ne vous êtes pas rebellé?
- Non, votre honneur.
- Vous ne vous êtes pas dit: ''ça suffit, je reprends les choses en main.''
- … Non.
- Continuez.
- Je... je ne peux pas.
- Et bien je vais le faire pour vous, encore une fois, et pour les jurés assis dans cette salle. Vous avez dit, textuellement:
«... Le lieutenant Delgado a hésité juste une seconde avant de me pénétrer d'un coup sec. Heureusement, sa salive a facilité le passage de son énorme gland. J'ai grogné et gémi pendant l'intrusion. Ça m'a brûlé une dizaine de secondes avant que mon trou ne se distende et n'accepte une grande partie de son manche. Il me tenait fermement par les hanches et il a commencé à pousser lentement le reste de sa queue, me faisant ressentir à quel point cette bite allait bien prendre possession de mon cul. J'ai laissé échapper un long grognement animal à mesure que son membre progressait vers ma prostate. Quand j'ai senti ses poils pubiens contre mes fesses, j'ai su que je lui appartenais.
… J'inspirais fortement, les yeux écarquillés de surprise. Lui, m'humiliait avec des mots insultants, satisfait de soumettre un nouveau mâle par la seule force de sa queue. Je n'étais qu'un soumis de plus, ajouté à son impressionnant tableau de chasse.
… De nouveau, il est venu me mordiller l'oreille. C'est fou comme ça décuple le plaisir de se faire prendre et j'avoue qu'à ce moment-là, je me sentais vraiment sa femelle soumise.
… À mesure que les minutes passaient mon cul prenait confortablement ce sexe inquisiteur. La douleur avait laissé place au plaisir et à la plénitude. Il maintenait un rythme élevé sans jamais se relâcher ni se retirer. Nous étions tous les deux en sueur et à bout de souffle quand il s'est effondré sur moi.
… Son torse nu et ses abdominaux puissants, pressés contre mon dos, ont fait fléchir sa grosse bite en moi. Une de ses mains m'a saisi la gorge et m'a forcé à tourner le visage vers lui. J'avais mal aux cervicales tant la position était douloureuse. Il a trouvé ma bouche et a enfoncé sa langue à l'intérieur. J'étais surpris car je ne pensais pas qu'un type comme lui pouvait embrasser d'autres gars. »
Reposant les feuilles avant de s'adresser à l'accusé.
- Vous avez donc accepté ce baiser?!
- Je... C'est à dire, Votre Honneur... dans le feu de l'action, je ne savais pas trop ce que faisais. Et puis, ce n'était pas vraiment un baiser.
- Précisez.
- Disons qu'il m'a plutôt violé la bouche. Il a envahi brutalement mon palais avec sa langue. Une langue incroyablement dure et longue, aussi agressive qu'un sexe en érection.
- Et à aucun moment vous ne vous êtes insurgé?
- Il me tenais sous son emprise et puis, j'étais troublé par la violence de sa réaction.
- Hum... un grand gaillard comme vous! Admettons.
Lui faisant signe de poursuivre.
- Il m'a embrassé, comme je vous disais, puis sa main est venue serrer à nouveau ma gorge. C'est alors que ses coups de reins sont devenus plus saccadés. Il a rompu notre baiser et s'est mis à grogner.
S'interrompant à nouveau avant de baisser les yeux, rouge de confusion.
- Vous souhaitez sans doute que je prenne le relais?
Acquiescement de la tête.
« … J'ai aussi poussé une plainte alors que je sentais son dard pulser violemment en moi. J'ai senti quatre jets de sperme inonder mes boyaux. Tout était si fort: le lieu, la chaleur, sa bite dans mon cul, et maintenant son éjaculation. Tout n'était que sentiment d'euphorie, d'abandon...
… Alors qu'il finissait de se vider, son corps restait rigide. Il m'a léché l'oreille et après une minute, m'a caressé les fesses. Il redevenait doux et attentionné.
Pour finir, il a placé ses mains sous mon ventre et s'est enfoncé encore un peu plus en moi. Son sexe n'avait pas débandé.
… Je suis resté haletant et gémissant sous lui, couvert de sa transpiration. Je n'avais toujours pas joui mais à aucun moment cette pensée ne m'avait traversé l'esprit. Je venais d'être utilisé et baisé comme la dernière des catins, comme une vulgaire poupée gonflable. J'étais devenu le jouet sexuel de ce type, un lieutenant espagnol que je ne connaissais pas il y a cinq jours.
Il m'a mordu le cou, me tirant de ma rêverie. J'avais des étoiles plein la tête, ne cessant de geindre contre le sous-main.
… Il a fini par se retirer et m'a retourné. Il m'a souri, aussi. C'était la première véritable émotion qu'il montrait depuis nos ébats. Il m'a demandé si je voulais jouir. »
Interrompant la lecture pour s'adresser à l'accusé.
- Vous étiez consentant?
- Oui, Votre Honneur.
« … Je l'ai juste regardé. Je n'avais pas l'énergie de faire quoi que ce soit. Il a commencé à dégrafer ma ceinture puis a retiré mon pantalon. Il m'a ensuite branlé à travers mon boxer. Je n'ai pu retenir un soupir de satisfaction. Il m'a souri à nouveau et a baissé mon sous-vêtement, me laissant nu et déshonoré sur mon bureau en bois massif.
Il a attrapé mes chevilles et d'un seul mouvement, a soulevé mes pieds au dessus de ma tête. Mon trou était moite et je sentais son sperme s'échapper de ma raie. Il se tenait au dessus de moi, mon cul bien en évidence. Il a craché dans ma fente, ajoutant encore au reste de son foutre triomphant. Avec son autre main, il a trouvé mon sexe qu'il a commencé à branler. Delgado m'a fait grossir la queue tout en reprenant ses mots grossiers.
- Quels genre de mots?
- Oh, du style: '' bonne petite pute à fourrer ou le vide-couilles de la caserne...'' J'étais devenu sa chose et j'avais intérêt à lui obéir.
- Est-ce à dire qu'il vous menaçait?
- Je ne saurais l'affirmer. Sur le coup, je ne voyais pas trop s'il était sérieux ou pas. Mais la suite m'a prouvé le contraire.
- Développez, je vous prie.
- À mesure qu'il crachait, mon... trou palpitait. Je devenais fou, je le suppliais du regard, la bouche grande ouverte et la bave au bord des lèvres. Je n'étais plus moi même, vous comprenez! J'étais sur le dos, les fesses exposées bien haut et je devinais ce qu'il attendait de moi. Il voulait que je tire mon sperme sur mon propre visage pendant que sa semence bouillonnait dans mes entrailles.
Il a cessé de m'insulter pour plonger sa langue dans ma fente. C'était divin, je n'avais jamais ressenti quelque chose d'aussi fort. Il farfouillait à l'intérieur de mes fesses, titillant ma pastille, aspirant son jus et sa salive. Bon sang, que c'était bon.
Il ne m'a pas fallu longtemps pour que mes genoux perdent le peu d'énergie qu'ils avaient. J'étais plié en deux, j'avais ma queue à quelques centimètres du visage. La position était inconfortable mais ses coups de langue m'envoyaient des ondes de plaisir qui me faisaient oublier la douleur. Ma bite a commencé à pulser dans sa main, un jet chaud et blanchâtre a jailli de mon gland, crémant ma bouche, mes joues, mon front... Le reste s'est répandu dans mes cheveux.
Après cet ouragan de sperme, le lieutenant Delgado a lâché mes chevilles. Je suis resté là, allongé sur mon bureau, essayant de remettre un peu d'ordre dans mes idées. Le diable s'était infiltré dans ma tête et avait réveillé le soumis qui dormait en moi.
- Vous compareriez donc le lieutenant Delgado au diable?
- Après ce qu'il s'apprêtait à faire,… oui!
- Qu'allait-il faire, exactement?
- Il allait me détruire. Son regard avait changé. Il était redevenu hermétique, méchant, sans aucune expression. Il m'a obligé à fermer les yeux. Ça m'allait bien car je ne voulais pas garder de lui cette image de vainqueur.
Lorsque je les ai rouverts, il se tenait debout devant moi, son téléphone portable à la main et il me filmait. Il filmait ma soumission, ma déchéance,... mon déshonneur!
- Vous avez pris peur?
- Oui. Surtout qu'il a menacé de balancer la vidéo à tous les militaires de la base, ainsi qu'à ma femme.
- Comment avez-vous réagi?
- J'ai vu rouge. J'étais anéanti. L'instant d'une seconde, j'ai cru tout perdre. Tout mon univers risquait de partir en fumée.
- C'est à cet instant précis que vous avez décidé de réagir?
- Affirmatif.
- De quelle manière?
- Pendant qu'il se rhabillait, j'ai fait le tour du bureau, j'ai ouvert le tiroir du haut, celui où je rangeais mon PAMAS G1. Je l'ai sorti de son étui, j'ai levé le cran d'arrêt, j'ai visé.
Et...
FIN
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime énormément la tournure de l'histoire bien que j'aurai aimé qu'elle se prolonge un peu plus étant des très fan des militaire et du fait que l'homme qui représente l'autorité soit soumis à un homme qui est "inférieur" en tant que grader .