Avec un couple c’est bien aussi
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2018 dans la catégorie Plus on est
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Avec un couple c’est bien aussi
Cathy, jolie femme d’environ 50 ans. 160 cm, 60kg, une jolie poitrine de 95B, des fesses un peu rebondies, et des jambes galbées, souvent misent en valeur par des talons.
Elle a des cheveux bruns frisés, des très beaux yeux verts (très expressifs), une bouche aux lèvres bien dessinées.
Elle s’habille classe, souvent avec des jupes ou robes courtes, qui mettent sa silhouette en valeur.
Les hommes la regardent, avec des envies de sexe dans les yeux. Et elle a dû avoir des propositions dans son travail ou en dehors mais ça elle n’en parle jamais.
Elle est mariée, à un homme qui l’aime, qui parfois est un peu pénible, toujours amoureux et pressant. Il aime caresser son corps, doux, et l’embrasser partout. Il lui fait part de certain de ses fantasmes, elle trouve ça absurde, lui dit, mais ne lui parle pas pour autant des siens de ses envies.
Ils ont deux grands enfants.
Elle habite dans la proche banlieue d’une grande ville, et tous les matins elle prend le train pour se rendre à son travail. Tous les matins, sur le quai de la gare elle croise les mêmes personnes, qui se rendent elles aussi à leur travail.
Un matin de l’automne dernier suite à un incident elle a entamé la conversation avec Carole, qui comme elle va travailler dans le centre tous les jours.
Très vite les 2 femmes ont sympathisé. Elles ont commencé par parler de la pluie et du beau temps, puis des enfants. Carole est mariée, elle a 10 ans de moins que Cathy, un mari sou-vent en déplacement, elle a une fille et un garçon de 13 et 10 ans. Elle habite dans un grand appartement avec terrasse. Plus le temps passe plus elles deviennent amies. Elles mangent ensembles le midi, font des sorties entre copines (exposition, cinéma). Elles ont un point commun, qui les fait bien rire leur mari ont le même prénom.
Après une balade, par un beau samedi du mois de juin, Carole propose d’aller se refroi-dir dans le jacuzzi qui trône sur sa terrasse.
Cathy (hésitante) : je veux bien, mais je n’ai pas de maillot de bain
Carole : tu n’en as pas besoin, un jacuzzi se prend nu, tu as peur de me montrer tes fesses
Cathy : pas du tout, nous avons déjà fait du naturisme. Mais à chaque fois que j’ai fait du jacuzzi j’avais un maillot
Carole : mais il était plus grand que le mien, et vous étiez plus que 2 ?
Cathy : oui tu as raison.
Une fois dans l’appartement, après avoir bu un grand verre d’eau gazeuse, elles se diri-gent vers la terrasse.
Carole (montrant la baignoire à bulles) : voilà la chose, aller aides moi à le découvrir.
Après avoir enlevé la housse protectrice, elles se mettent nues et se glissent dans l’eau fraîche. Carole appuie sur un bouton et le bouillonnement commence. Les yeux fermés, la tête reposant sur le bord, les deux femmes savourent ce moment de bien-être.
Elles ne parlent pas, seul le crépitement des bulles berce leurs oreilles. A plusieurs re-prises leurs jambes se frôlent. Quelques instants avant la fin du massage, le bout du pied de Carole, s’appuie sur le côté gauche de la fesse gauche de Cathy, et par un mouvement de haut en bas la caresse doucement. Cathy ne dit rien, surtout que le bouillonnement s’arrête.
Carole (ouvrant les yeux et se redressant) : c’était bien agréable, tu veux recommencer ou on boit un bon thé sur la terrasse.
Cathy (sans bouger) : je prendrais bien une douche avant
Carole (sortant du bain) : ok tu as raison je me dépêche, je prends une douche et, après pendant que je préparerai le thé, tu prendras la tienne.
Cathy : (la regardant partir). Ok à tout de suite.
Elle sort à son tour, va s’allonger sur un transat, au soleil, et se met à penser à Carole. Elle se dit, qu’elle est bien foutu. Ses seins sont de taille moyenne, mais encore bien perchés. Elle a le ventre plat. Elle a aperçu sa foufoune, épilée (elle n’aime pas trop ça, car ça pique quand ça repousse, ou alors il faut toujours entretenir) elle se dit : il faudra que j’essaie au moins une fois, (elle pose un doigt sur son clito) et ça fera plaisir à mon mari. Elle revient à Carole, ses fesses sont fermes et rondes et ses jambes sont bien galbées. Elle retire son doigt, rougit en se disant ça ne va pas tu es folle.
Quelques instants plus tard, Carole arrive, enveloppée dans une serviette, qui ne cache pas grand-chose de son corps. Elle passe sous les bras, et s’arrête juste sous les fesses.
Carole : ok ma belle la douche est libre, vas-y je prépare le thé et je t’apporte une ser-viette.
Cathy sans attendre va dans la salle de douche, qui fait partie de la grande suite paren-tale, qui donne sur la terrasse. En sortant de la douche, elle tombe presque dans les bras de son amie, qui lui amène une serviette. Surprises toutes deux, elles éclatent de rire.
Carole (en enroulant la serviette sur les épaule de Cathy et en la frottant doucement sur les épaules) excuses moi je t’ai fait peur, pour me faire pardonner je vais te faire un petit massage sur le lit.
Cathy : non merci tout va bien
Et elle commence à se frotter, les bras, le ventre, les seins. Carole est toujours là à lui frotter le dos. Sa main est descendue sur les reins. Et quand Cathy se penche légèrement en avant pour s’essuyer les jambes, la main de Carole s’égare sur ses fesses. Elle sursaute, se redresse,
Cathy : (apeurée et déstabilisée) mais ça ne va pas tu fais quoi ?
Carole (continuant sa caresse et approchant son visage de celui de son amie), rien, une simple caresse amicale, ta peau est si douce. Aller vient sur le lit je vais te masser.
Avant que Cathy ne puisse régir, elle la tire par la main avec fermeté, et la pousse à plat ventre sur le lit.
Cathy toute surprise, se retrouve allongée sur le ventre, avec son amie, assise sur ses fesses. Elle se débat, mais Carole, la prend par les poignets et lui tire les bras en arrière.
Carole : (se penchant en avant pour lui parler à l’oreille, en lui maintenant les bras) arrête de gesticuler, je veux juste te faire un massage, pour ton bien être
Cathy : (ne bougeant plus mais en colère) lâches moi, je ne veux pas de ton massage, je veux être libre de mes mouvements.
Carole (toujours penchée sur elle) : ok je te lâche, mais tu me laisses te faire un petit massage
Cathy (les bras libérés et en soupirant) : vas-y mais pas 3heures.
Elle met ses bras au-dessus de sa tête, ferme les yeux et attend. Très vite elle sent les mains de son amie se poser sur ses épaules et lentement descendre le long du dos, en appuyant délicatement à cer-tains endroits. Puis remonter, en utilisant ses ongles toujours très délicatement. Elle redescend les mains bien à plat très bas sur le dos. Remonte toujours avec les ongles, mais sur les côtés, en effleurant la peau douce des seins, sous les aisselles, pour arriver aux mains. Carole est maintenant complétement couchée sur Cathy. Sa bouche lui embrasse délicatement la joue. Cathy qui avait fermé les yeux sur-saute
Cathy : tu fais quoi ?
Carole : (en recommençant, mais plus sensuel, juste à côté de l’oreille) un bisou tu n’aimes pas
Cathy : non, déjà que ton massage c’est plus des caresses qu’un vrai massage alors
Elle essaie de se dégager. Carole la retient
Carole : non attend encore 5 minutes, j’adore ta peau et douce. Et dis-moi franchement tu n’aimes pas ?
Cathy (un peu radoucie) : si mais, il y a un truc bizarre que je n’aime pas
Carole (la bouche collée à son oreille), laisses toi aller, tu apprécieras encore plus
Elle se redresse, fait pendant 5 bonnes minutes aller et venir ses mains qui descendent maintenant, jusque sur les fesses. Elle surveille la réaction de Cathy qui semble assoupie. Délicatement Carole enlève sa serviette, qu’elle avait gardé autour de son corps, se recule. De sa nouvelle position, elle voit très bien les fesses et le sillon qui mène, au sexe de son amie.
En appuie sur ses mains elle se penche en avant et des fesses aux épaules elle remonte et caressant avec ses seins. Cathy, somnolente soupir doucement sous la caresse. Elle ouvre les yeux après plusieurs va et vient. Instinctivement, voyant Carole nue, et profitant qu’elle soit un peu reculée, elle se retourne sur le dos. Carole par réflexe lui attrape les poignets et lui coince les bras au-dessus de la tête. Ce qui amène leurs visages à 10 centimètres l’un de l’autre.
Carole (souriante) alors ma belle on essaie de partir, on n’aime pas les caresses de sa copine ?
Cathy (désorientée) : si bien sûr, mais toutes les bonnes choses ont une fin. Laisse-moi partir STP
Carole : ok mais avant je te fais un bisou sur la bouche
Et elle se rapproche pour le baiser, mais Cathy tourne la tête
Cathy : tu ne vas pas bien, aller lâche moi, ou je crie
Carole : (lui faisant des bisous dans le cou et sur la joue vers l’oreille) tu peux crier, je m’en moque, je veux juste t’embrasser. Laisse-toi aller un ou 2 bisous et après je te laisse
Cathy (voyant qu’elle ne pourrait pas s’en sortir, regardant sa tortionnaire droit dans les yeux) bon 1 baiser et tu me lâches ?
Carole : oh non au moins 5
Cathy : non tu passes de 1 à 5, 2 maxi
Carole : 3 dont 1 avec la langue
Cathy : alors là jamais
Carole : bon j’ai tout mon temps, et mon mari rentre dans une heure, il aura une bonne surprise
Cathy : (après quelques instants de réflexion, et surtout son amie commence à peser lourd) bon ok, mais quand je dis stop on arrête
Carole (souriante) ok
Carole lui libère les poignets, s’allonge, en passant un bras sous la tête de sa copine, et colle son corps contre le sien
Carole : humm ton corps est doux
Cathy (essayant de se reculer, et un peu gênée) bon on y va
Et elle présente ses lèvres en faisant la moue, elle garde les yeux ouverts. Elle voit le visage se rappro-cher, elle sent les lèvres de Carole effleurer les siennes. Puis appuyer de plus en plus fort. Par de petits bisous en pinçant la lèvre inférieure Carole essaie de lui faire ouvrir la bouche.
Cathy (tournant la tête) bon ça fait un.
Sans attendre, Carole l’embrasse de nouveau, Cathy n’a pas le temps de fermer la bouche, que déjà la langue de sa copine, touche la sienne. Cathy surprise ouvre de grands yeux et tente de s’échapper. Mais elle est maintenue. Elle se dit : moins tu je résisterai plus vite ce sera fini. Alors elle laisse cette langue chercher la sienne. Elle ferme les yeux. Après une longue minute, au moment où Carole cherche à se retirer, la langue de Cathy, vient chercher celle de son amie, qui sourit
Carole : eh bien on dirait que tu aimes ça
Cathy : (rougissante) non non, c’est un réflexe que j’ai eu.
Carole (reprenant le baiser) ok pour le dernier alors
Et elles soudent leurs lèvres, instantanément elles enroulent leurs langues. Sentant les défenses de Ca-thy faiblirent, Carole, pose sa main droite sur le ventre de sa maitresse, et remonte jusqu’au sein gauche qu’elle pétrit lentement. Sans brusquerie Cathy lui repousse la main
Cathy (arrêtant le baiser en tournant la tête) ce n’était pas prévu au programme
Carole (se penchant pour reprendre le baiser) tu n’as pas l’air d’être contre une modification du pro-gramme. Tu en a envie tu as le bout de seins tout dures.
Cathy ; j’ai peur de ce qui va se passer, je ne l’ai jamais fait avec une femme.
Carole : laisses toi aller ça va être très bon.
Et leurs bouches se recollent, tout de suite la main de Carole, caresse le corps de Catherine. Monte sur les seins, le cou, redescendent sur le côté, jusqu’aux fesses. Catherine respire plus fort, elle aime ses caresses, elle aime cette langue dans sa bouche, elle aime les salives qui se mélangent. Elle prend l’initiative de caresser le dos de Carole des épaules aux fesses.
Elles sont maintenant complétement enlacées. Les mains de Carole, se promènent partout du haut du dos à l’intimité de Cathy a passé sa jambe sur sa maîtresse et se frotte contre sa hanche. Lentement Carole s’écarte, sans quitter la peau douce, elle laisse glisser ses doigts le long du flanc, sur la hanche, commence la descente de la jambe. Au niveau du genou, elle passe à l’intérieur, et remonte le long de la cuisse. Instinctivement Catherine, resserre les jambes
Carole : ne fais pas l’enfant, laisses toi faire
Dans un soupir, Cathy se détend, et laisse passer la main baladeuse à l’intérieur de ses cuisses, jusqu’à sa vulve déjà très humide. Elle sursaute légèrement, quand un doigt se pose sur son petit bouton rose. Le titille un instant, puis longe les grandes lèvres qui s’ouvrent comme les pétales d’une rose. Le majeur la pénètre lentement. Il n’y aucune résistance. Le deuxième doigt la fait gémir d’aise, la paume de la main posée sur le clitoris, qu’elle frotte et le va et vient léger des deux doigts, lui apportent rapidement un plaisir intense. Carole compris qu’elle avait jouit, quand elle sentit les cuisses lui écraser la main et que les mains de sa maîtresse, lui prendre la tête pour reprendre de plus belle leur baiser.
Cathy (sur le dos les bras en croix) : je ne pensais pas que ce serait aussi bien
Carole : tu ne regrettes pas ?
Cathy : non c’était super, tu as des doigts de fée.
Carole (se mettant à plat ventre et commençant à lui bécoter les seins) et tu n’as encore rien vu.
Tout en la bécotant, elle descend rapidement sur le ventre, tourne autour du nombril, et vient finir, à la lisière de la toison.
Cathy (repoussant la tête avec ses mains) ne fais pas ça, je n’aime pas, et je viens de jouir, je n’ai plus envie.
Ne lui laissant pas de répit, et sans que sa bouche ne quitte le pubis, carole s’installe entre ses jambes, en les tenant ouvertes avec ses bras. Elle pose sa bouche sur les grandes lèvres, et sa langue après avoir léché, du clitoris à l’anus, pénètre d’un cou, le vagin humide. Elle fait plusieurs ronds, ressort et re-monte d’occuper du petit bouton rose. Soit elle le titille avec sa langue, soit elle l’aspire en le serrant entre ses lèvres.
Cathy ne dit plus rien mais gémi de plus en plus, sa main s’est posée sur la tête de Carole, et accom-pagne ses mouvements en lui caressant les cheveux.
Cathy (au bord de l’orgasme) : arrête, arrête STP arrête je n’en peux plus, je vais jouir
Carole au lieu de s’arrêter, lui plante deux doigts dans le vagin, et la lime avec force
Carole : tien prends ça salope et régale toi, tu aimes te faire défoncer
Cathy : oui ouiiiiiiiiiiii , j’aime le sexe, j’aime que tu me baises mais hooooooooooooooooooo
Carole : mais quoi ma chérie ?
Cathy (en jouissant très fort) mais je préfèrerais me faire baiser par une grosse bite bien chaude et bien raide ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je JOUIIIIIIIIIIIIII, JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh
Elle tourne la tête dans tous les sens, et après un dernier cri de plaisir, elle ne bouge plus, comme éva-nouie. Carole se relève lentement, elle a cru étouffer quand Catherine en jouissant à appuyé sur sa tête et serrée les cuisses.
Allongée l’une à côté de l’autre, elles ne parlent pas. C’est Cathy qui réagit la première, elle embrasse sa copine sur la joue en lui disant merci. Carole se lève en disant qu’elle va préparer le thé. Catherine s’étend et s’allonge sur le ventre une jambe droite et une jambe repliée, qui laisse apparaitre sa vulve encore dégoulinante de mouille.
Elle somnole, encore sous la tension du plaisir intense, et de sa première expérience de bi sexualité. Elle n’aurait jamais cru faire ça un jour.
Tout à coup elle sent une caresse sur ses fesses, qui descend rapidement sur son sexe.
Cathy (se retournant) non Carole, je n’en peux pl………….
Elle se fige, les yeux écarquillés, la parole bloquée. La main qui caresse son intimité, est la main d’un homme. Il lui sourit, il est entièrement nu, il bande comme un taureau.
Cathy est assise sur le lit, elle ne sait pas quelle posture adoptée.
L’homme (tout en lui caressant les cuisses qu’elle garde serrée) bonjour je suis Hervé, le mari de Carole, je suis rentré plus tôt que prévu et j’ai assisté à vos ébats avec ma charmante épouse.
Carole (rentrant dans la pièce avec le thé) ah ! vous avez fait connaissance, et bien sur il a tout entendu.
Cathy (retrouvant la parole et se jetant à plat ventre sur le lit comme si elle voulait disparaitre) oh non j’ai honte, je veux partir
Hervé (se rapprochant d’elle, la prenant par la taille et la tirant vers lui, pour qu’elle se mette à 4 pattes) je vais vous faire décoller
Et avant qu’elle ait pu réagir, il présente sa bite à l’entrée du sexe, et sans forcer la pénètre avec force
Cathy (surprise) non je ne veux pas
Carole : (se penchant pour l’embrasser) tu ne voulais pas toute à l’heure tu ne regrettes pas. Tu voulais une grosse bite dans la chatte tu l’as, alors laisse toi faire.
Et elle l’embrasse à pleine bouche.
La langue de son amie, dans sa bouche, le va te vient de ce sexe dans son intimité, lui redonne rapide-ment envie de jouir. Elle se pose sur ses avants bras, et en se cambrant un maximum s’offre, à Hervé qui la besogne avec une régularité de métronome. Il respire fort mais gère son effort, pour ne pas jouir trop vite.
Penchée en avant les yeux fermés elle savoure, ce sexe s’enfonce dans sa chatte et ressort à un rythme régulier est soutenu. Elle sent les mains de l’homme, qui lui tiennent fermement, les hanches.
Elle sent qu’on lui caresse les cheveux, elle relève la tête. C’est Carole, qui est allongée les cuisses ou-vertes, juste à la hauteur de son visage. Sa position, ne laisse place à aucun doute, elle attend que Ca-thy lui donne du plaisir avec sa bouche.
Elle ne peut pas refuser, mais elle hésite. C’est la première fois qu’elle voit un sexe de femme aussi près.
Elle hésite, carole se relevant lui appuie sur la tête, et approche son bassin. Délicatement sa bouche se pose, sur le pubis, tout lisse.
La main exerce toujours une pression, qui l’oblige à descendre. Elle passe sur les grandes lèvres, l’entrée du vagin, va jusqu’à l’anus, tout en faisant de légers bisous. Le pilonnage d’Hervé, qui respire un peu plus fort, qui a augmenté la cadence. L’odeur de ce sexe, aux effluves de femme en chaleur, l’excite. Elle sent son plaisir monter, sa chatte mouillée, les couilles de son amant taper sur ses fesses.
Elle relève la tête croise le regard suppliant de Carole. Alors sans plus attendre, elle écarte avec ses doigts, la vulve, voit le clitoris tout gonflé de plaisir. Le pince entre ses dents, pendant que sa langue le titille. Sentant que le plaisir de Carole, monte vite, et souhaitant, que tout le monde jouisse ensemble, Cathy descend lentement, pénètre le vagin, récolte sur sa langue de la cyprine, descend encore, humidi-fie avec de la salive, l’anus de son amie (qui est aux anges). Sans hésiter, Catherine enfonce son pouce dans le petit trou et deux doigts dans la chatte trempée. Puis elle remonte s’occuper du clitoris avec sa bouche.
Hervé à de plus en plus de mal à se retenir. Carole sous la langue et deux doigts dans son anus, gémi de plus en plus fort. Cathy s’enfile de plus en plus sur le sexe de son amant, qui la pilonne de plus en plus fort. Les 2 femmes explosent en même temps.
Carole : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, j’adore tes doigts, vas y vas y fourre moi fort, ouiiiiiiiiiiiiiiii
Cathy : (relevant la tête) hooooooooooooooooooo c’est trop bon une vraie queue dans la chatte,
Wahouuuuuuuuuuuuuuu que j’aime me faire défoncer, vas y fort fort
Hervé ne tenant plus jouit à son tour, dans le sexe de Catherine, qui jouit encore plus, sous les giclées qui viennent s’écraser sur les parois de son vagin.
Hervé tombe entre les deux femmes. Carole se colle contre lui et l’embrasse à pleine bouche, et ma femme descend légèrement et lui nettoie méthodiquement la verge à petits coups de langues.
Hervé : tu sais ma chérie, ta copine elle peut revenir quand elle veut, car elle est drôlement bonne et elle aime la bite.
Elle a des cheveux bruns frisés, des très beaux yeux verts (très expressifs), une bouche aux lèvres bien dessinées.
Elle s’habille classe, souvent avec des jupes ou robes courtes, qui mettent sa silhouette en valeur.
Les hommes la regardent, avec des envies de sexe dans les yeux. Et elle a dû avoir des propositions dans son travail ou en dehors mais ça elle n’en parle jamais.
Elle est mariée, à un homme qui l’aime, qui parfois est un peu pénible, toujours amoureux et pressant. Il aime caresser son corps, doux, et l’embrasser partout. Il lui fait part de certain de ses fantasmes, elle trouve ça absurde, lui dit, mais ne lui parle pas pour autant des siens de ses envies.
Ils ont deux grands enfants.
Elle habite dans la proche banlieue d’une grande ville, et tous les matins elle prend le train pour se rendre à son travail. Tous les matins, sur le quai de la gare elle croise les mêmes personnes, qui se rendent elles aussi à leur travail.
Un matin de l’automne dernier suite à un incident elle a entamé la conversation avec Carole, qui comme elle va travailler dans le centre tous les jours.
Très vite les 2 femmes ont sympathisé. Elles ont commencé par parler de la pluie et du beau temps, puis des enfants. Carole est mariée, elle a 10 ans de moins que Cathy, un mari sou-vent en déplacement, elle a une fille et un garçon de 13 et 10 ans. Elle habite dans un grand appartement avec terrasse. Plus le temps passe plus elles deviennent amies. Elles mangent ensembles le midi, font des sorties entre copines (exposition, cinéma). Elles ont un point commun, qui les fait bien rire leur mari ont le même prénom.
Après une balade, par un beau samedi du mois de juin, Carole propose d’aller se refroi-dir dans le jacuzzi qui trône sur sa terrasse.
Cathy (hésitante) : je veux bien, mais je n’ai pas de maillot de bain
Carole : tu n’en as pas besoin, un jacuzzi se prend nu, tu as peur de me montrer tes fesses
Cathy : pas du tout, nous avons déjà fait du naturisme. Mais à chaque fois que j’ai fait du jacuzzi j’avais un maillot
Carole : mais il était plus grand que le mien, et vous étiez plus que 2 ?
Cathy : oui tu as raison.
Une fois dans l’appartement, après avoir bu un grand verre d’eau gazeuse, elles se diri-gent vers la terrasse.
Carole (montrant la baignoire à bulles) : voilà la chose, aller aides moi à le découvrir.
Après avoir enlevé la housse protectrice, elles se mettent nues et se glissent dans l’eau fraîche. Carole appuie sur un bouton et le bouillonnement commence. Les yeux fermés, la tête reposant sur le bord, les deux femmes savourent ce moment de bien-être.
Elles ne parlent pas, seul le crépitement des bulles berce leurs oreilles. A plusieurs re-prises leurs jambes se frôlent. Quelques instants avant la fin du massage, le bout du pied de Carole, s’appuie sur le côté gauche de la fesse gauche de Cathy, et par un mouvement de haut en bas la caresse doucement. Cathy ne dit rien, surtout que le bouillonnement s’arrête.
Carole (ouvrant les yeux et se redressant) : c’était bien agréable, tu veux recommencer ou on boit un bon thé sur la terrasse.
Cathy (sans bouger) : je prendrais bien une douche avant
Carole (sortant du bain) : ok tu as raison je me dépêche, je prends une douche et, après pendant que je préparerai le thé, tu prendras la tienne.
Cathy : (la regardant partir). Ok à tout de suite.
Elle sort à son tour, va s’allonger sur un transat, au soleil, et se met à penser à Carole. Elle se dit, qu’elle est bien foutu. Ses seins sont de taille moyenne, mais encore bien perchés. Elle a le ventre plat. Elle a aperçu sa foufoune, épilée (elle n’aime pas trop ça, car ça pique quand ça repousse, ou alors il faut toujours entretenir) elle se dit : il faudra que j’essaie au moins une fois, (elle pose un doigt sur son clito) et ça fera plaisir à mon mari. Elle revient à Carole, ses fesses sont fermes et rondes et ses jambes sont bien galbées. Elle retire son doigt, rougit en se disant ça ne va pas tu es folle.
Quelques instants plus tard, Carole arrive, enveloppée dans une serviette, qui ne cache pas grand-chose de son corps. Elle passe sous les bras, et s’arrête juste sous les fesses.
Carole : ok ma belle la douche est libre, vas-y je prépare le thé et je t’apporte une ser-viette.
Cathy sans attendre va dans la salle de douche, qui fait partie de la grande suite paren-tale, qui donne sur la terrasse. En sortant de la douche, elle tombe presque dans les bras de son amie, qui lui amène une serviette. Surprises toutes deux, elles éclatent de rire.
Carole (en enroulant la serviette sur les épaule de Cathy et en la frottant doucement sur les épaules) excuses moi je t’ai fait peur, pour me faire pardonner je vais te faire un petit massage sur le lit.
Cathy : non merci tout va bien
Et elle commence à se frotter, les bras, le ventre, les seins. Carole est toujours là à lui frotter le dos. Sa main est descendue sur les reins. Et quand Cathy se penche légèrement en avant pour s’essuyer les jambes, la main de Carole s’égare sur ses fesses. Elle sursaute, se redresse,
Cathy : (apeurée et déstabilisée) mais ça ne va pas tu fais quoi ?
Carole (continuant sa caresse et approchant son visage de celui de son amie), rien, une simple caresse amicale, ta peau est si douce. Aller vient sur le lit je vais te masser.
Avant que Cathy ne puisse régir, elle la tire par la main avec fermeté, et la pousse à plat ventre sur le lit.
Cathy toute surprise, se retrouve allongée sur le ventre, avec son amie, assise sur ses fesses. Elle se débat, mais Carole, la prend par les poignets et lui tire les bras en arrière.
Carole : (se penchant en avant pour lui parler à l’oreille, en lui maintenant les bras) arrête de gesticuler, je veux juste te faire un massage, pour ton bien être
Cathy : (ne bougeant plus mais en colère) lâches moi, je ne veux pas de ton massage, je veux être libre de mes mouvements.
Carole (toujours penchée sur elle) : ok je te lâche, mais tu me laisses te faire un petit massage
Cathy (les bras libérés et en soupirant) : vas-y mais pas 3heures.
Elle met ses bras au-dessus de sa tête, ferme les yeux et attend. Très vite elle sent les mains de son amie se poser sur ses épaules et lentement descendre le long du dos, en appuyant délicatement à cer-tains endroits. Puis remonter, en utilisant ses ongles toujours très délicatement. Elle redescend les mains bien à plat très bas sur le dos. Remonte toujours avec les ongles, mais sur les côtés, en effleurant la peau douce des seins, sous les aisselles, pour arriver aux mains. Carole est maintenant complétement couchée sur Cathy. Sa bouche lui embrasse délicatement la joue. Cathy qui avait fermé les yeux sur-saute
Cathy : tu fais quoi ?
Carole : (en recommençant, mais plus sensuel, juste à côté de l’oreille) un bisou tu n’aimes pas
Cathy : non, déjà que ton massage c’est plus des caresses qu’un vrai massage alors
Elle essaie de se dégager. Carole la retient
Carole : non attend encore 5 minutes, j’adore ta peau et douce. Et dis-moi franchement tu n’aimes pas ?
Cathy (un peu radoucie) : si mais, il y a un truc bizarre que je n’aime pas
Carole (la bouche collée à son oreille), laisses toi aller, tu apprécieras encore plus
Elle se redresse, fait pendant 5 bonnes minutes aller et venir ses mains qui descendent maintenant, jusque sur les fesses. Elle surveille la réaction de Cathy qui semble assoupie. Délicatement Carole enlève sa serviette, qu’elle avait gardé autour de son corps, se recule. De sa nouvelle position, elle voit très bien les fesses et le sillon qui mène, au sexe de son amie.
En appuie sur ses mains elle se penche en avant et des fesses aux épaules elle remonte et caressant avec ses seins. Cathy, somnolente soupir doucement sous la caresse. Elle ouvre les yeux après plusieurs va et vient. Instinctivement, voyant Carole nue, et profitant qu’elle soit un peu reculée, elle se retourne sur le dos. Carole par réflexe lui attrape les poignets et lui coince les bras au-dessus de la tête. Ce qui amène leurs visages à 10 centimètres l’un de l’autre.
Carole (souriante) alors ma belle on essaie de partir, on n’aime pas les caresses de sa copine ?
Cathy (désorientée) : si bien sûr, mais toutes les bonnes choses ont une fin. Laisse-moi partir STP
Carole : ok mais avant je te fais un bisou sur la bouche
Et elle se rapproche pour le baiser, mais Cathy tourne la tête
Cathy : tu ne vas pas bien, aller lâche moi, ou je crie
Carole : (lui faisant des bisous dans le cou et sur la joue vers l’oreille) tu peux crier, je m’en moque, je veux juste t’embrasser. Laisse-toi aller un ou 2 bisous et après je te laisse
Cathy (voyant qu’elle ne pourrait pas s’en sortir, regardant sa tortionnaire droit dans les yeux) bon 1 baiser et tu me lâches ?
Carole : oh non au moins 5
Cathy : non tu passes de 1 à 5, 2 maxi
Carole : 3 dont 1 avec la langue
Cathy : alors là jamais
Carole : bon j’ai tout mon temps, et mon mari rentre dans une heure, il aura une bonne surprise
Cathy : (après quelques instants de réflexion, et surtout son amie commence à peser lourd) bon ok, mais quand je dis stop on arrête
Carole (souriante) ok
Carole lui libère les poignets, s’allonge, en passant un bras sous la tête de sa copine, et colle son corps contre le sien
Carole : humm ton corps est doux
Cathy (essayant de se reculer, et un peu gênée) bon on y va
Et elle présente ses lèvres en faisant la moue, elle garde les yeux ouverts. Elle voit le visage se rappro-cher, elle sent les lèvres de Carole effleurer les siennes. Puis appuyer de plus en plus fort. Par de petits bisous en pinçant la lèvre inférieure Carole essaie de lui faire ouvrir la bouche.
Cathy (tournant la tête) bon ça fait un.
Sans attendre, Carole l’embrasse de nouveau, Cathy n’a pas le temps de fermer la bouche, que déjà la langue de sa copine, touche la sienne. Cathy surprise ouvre de grands yeux et tente de s’échapper. Mais elle est maintenue. Elle se dit : moins tu je résisterai plus vite ce sera fini. Alors elle laisse cette langue chercher la sienne. Elle ferme les yeux. Après une longue minute, au moment où Carole cherche à se retirer, la langue de Cathy, vient chercher celle de son amie, qui sourit
Carole : eh bien on dirait que tu aimes ça
Cathy : (rougissante) non non, c’est un réflexe que j’ai eu.
Carole (reprenant le baiser) ok pour le dernier alors
Et elles soudent leurs lèvres, instantanément elles enroulent leurs langues. Sentant les défenses de Ca-thy faiblirent, Carole, pose sa main droite sur le ventre de sa maitresse, et remonte jusqu’au sein gauche qu’elle pétrit lentement. Sans brusquerie Cathy lui repousse la main
Cathy (arrêtant le baiser en tournant la tête) ce n’était pas prévu au programme
Carole (se penchant pour reprendre le baiser) tu n’as pas l’air d’être contre une modification du pro-gramme. Tu en a envie tu as le bout de seins tout dures.
Cathy ; j’ai peur de ce qui va se passer, je ne l’ai jamais fait avec une femme.
Carole : laisses toi aller ça va être très bon.
Et leurs bouches se recollent, tout de suite la main de Carole, caresse le corps de Catherine. Monte sur les seins, le cou, redescendent sur le côté, jusqu’aux fesses. Catherine respire plus fort, elle aime ses caresses, elle aime cette langue dans sa bouche, elle aime les salives qui se mélangent. Elle prend l’initiative de caresser le dos de Carole des épaules aux fesses.
Elles sont maintenant complétement enlacées. Les mains de Carole, se promènent partout du haut du dos à l’intimité de Cathy a passé sa jambe sur sa maîtresse et se frotte contre sa hanche. Lentement Carole s’écarte, sans quitter la peau douce, elle laisse glisser ses doigts le long du flanc, sur la hanche, commence la descente de la jambe. Au niveau du genou, elle passe à l’intérieur, et remonte le long de la cuisse. Instinctivement Catherine, resserre les jambes
Carole : ne fais pas l’enfant, laisses toi faire
Dans un soupir, Cathy se détend, et laisse passer la main baladeuse à l’intérieur de ses cuisses, jusqu’à sa vulve déjà très humide. Elle sursaute légèrement, quand un doigt se pose sur son petit bouton rose. Le titille un instant, puis longe les grandes lèvres qui s’ouvrent comme les pétales d’une rose. Le majeur la pénètre lentement. Il n’y aucune résistance. Le deuxième doigt la fait gémir d’aise, la paume de la main posée sur le clitoris, qu’elle frotte et le va et vient léger des deux doigts, lui apportent rapidement un plaisir intense. Carole compris qu’elle avait jouit, quand elle sentit les cuisses lui écraser la main et que les mains de sa maîtresse, lui prendre la tête pour reprendre de plus belle leur baiser.
Cathy (sur le dos les bras en croix) : je ne pensais pas que ce serait aussi bien
Carole : tu ne regrettes pas ?
Cathy : non c’était super, tu as des doigts de fée.
Carole (se mettant à plat ventre et commençant à lui bécoter les seins) et tu n’as encore rien vu.
Tout en la bécotant, elle descend rapidement sur le ventre, tourne autour du nombril, et vient finir, à la lisière de la toison.
Cathy (repoussant la tête avec ses mains) ne fais pas ça, je n’aime pas, et je viens de jouir, je n’ai plus envie.
Ne lui laissant pas de répit, et sans que sa bouche ne quitte le pubis, carole s’installe entre ses jambes, en les tenant ouvertes avec ses bras. Elle pose sa bouche sur les grandes lèvres, et sa langue après avoir léché, du clitoris à l’anus, pénètre d’un cou, le vagin humide. Elle fait plusieurs ronds, ressort et re-monte d’occuper du petit bouton rose. Soit elle le titille avec sa langue, soit elle l’aspire en le serrant entre ses lèvres.
Cathy ne dit plus rien mais gémi de plus en plus, sa main s’est posée sur la tête de Carole, et accom-pagne ses mouvements en lui caressant les cheveux.
Cathy (au bord de l’orgasme) : arrête, arrête STP arrête je n’en peux plus, je vais jouir
Carole au lieu de s’arrêter, lui plante deux doigts dans le vagin, et la lime avec force
Carole : tien prends ça salope et régale toi, tu aimes te faire défoncer
Cathy : oui ouiiiiiiiiiiii , j’aime le sexe, j’aime que tu me baises mais hooooooooooooooooooo
Carole : mais quoi ma chérie ?
Cathy (en jouissant très fort) mais je préfèrerais me faire baiser par une grosse bite bien chaude et bien raide ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je JOUIIIIIIIIIIIIII, JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh
Elle tourne la tête dans tous les sens, et après un dernier cri de plaisir, elle ne bouge plus, comme éva-nouie. Carole se relève lentement, elle a cru étouffer quand Catherine en jouissant à appuyé sur sa tête et serrée les cuisses.
Allongée l’une à côté de l’autre, elles ne parlent pas. C’est Cathy qui réagit la première, elle embrasse sa copine sur la joue en lui disant merci. Carole se lève en disant qu’elle va préparer le thé. Catherine s’étend et s’allonge sur le ventre une jambe droite et une jambe repliée, qui laisse apparaitre sa vulve encore dégoulinante de mouille.
Elle somnole, encore sous la tension du plaisir intense, et de sa première expérience de bi sexualité. Elle n’aurait jamais cru faire ça un jour.
Tout à coup elle sent une caresse sur ses fesses, qui descend rapidement sur son sexe.
Cathy (se retournant) non Carole, je n’en peux pl………….
Elle se fige, les yeux écarquillés, la parole bloquée. La main qui caresse son intimité, est la main d’un homme. Il lui sourit, il est entièrement nu, il bande comme un taureau.
Cathy est assise sur le lit, elle ne sait pas quelle posture adoptée.
L’homme (tout en lui caressant les cuisses qu’elle garde serrée) bonjour je suis Hervé, le mari de Carole, je suis rentré plus tôt que prévu et j’ai assisté à vos ébats avec ma charmante épouse.
Carole (rentrant dans la pièce avec le thé) ah ! vous avez fait connaissance, et bien sur il a tout entendu.
Cathy (retrouvant la parole et se jetant à plat ventre sur le lit comme si elle voulait disparaitre) oh non j’ai honte, je veux partir
Hervé (se rapprochant d’elle, la prenant par la taille et la tirant vers lui, pour qu’elle se mette à 4 pattes) je vais vous faire décoller
Et avant qu’elle ait pu réagir, il présente sa bite à l’entrée du sexe, et sans forcer la pénètre avec force
Cathy (surprise) non je ne veux pas
Carole : (se penchant pour l’embrasser) tu ne voulais pas toute à l’heure tu ne regrettes pas. Tu voulais une grosse bite dans la chatte tu l’as, alors laisse toi faire.
Et elle l’embrasse à pleine bouche.
La langue de son amie, dans sa bouche, le va te vient de ce sexe dans son intimité, lui redonne rapide-ment envie de jouir. Elle se pose sur ses avants bras, et en se cambrant un maximum s’offre, à Hervé qui la besogne avec une régularité de métronome. Il respire fort mais gère son effort, pour ne pas jouir trop vite.
Penchée en avant les yeux fermés elle savoure, ce sexe s’enfonce dans sa chatte et ressort à un rythme régulier est soutenu. Elle sent les mains de l’homme, qui lui tiennent fermement, les hanches.
Elle sent qu’on lui caresse les cheveux, elle relève la tête. C’est Carole, qui est allongée les cuisses ou-vertes, juste à la hauteur de son visage. Sa position, ne laisse place à aucun doute, elle attend que Ca-thy lui donne du plaisir avec sa bouche.
Elle ne peut pas refuser, mais elle hésite. C’est la première fois qu’elle voit un sexe de femme aussi près.
Elle hésite, carole se relevant lui appuie sur la tête, et approche son bassin. Délicatement sa bouche se pose, sur le pubis, tout lisse.
La main exerce toujours une pression, qui l’oblige à descendre. Elle passe sur les grandes lèvres, l’entrée du vagin, va jusqu’à l’anus, tout en faisant de légers bisous. Le pilonnage d’Hervé, qui respire un peu plus fort, qui a augmenté la cadence. L’odeur de ce sexe, aux effluves de femme en chaleur, l’excite. Elle sent son plaisir monter, sa chatte mouillée, les couilles de son amant taper sur ses fesses.
Elle relève la tête croise le regard suppliant de Carole. Alors sans plus attendre, elle écarte avec ses doigts, la vulve, voit le clitoris tout gonflé de plaisir. Le pince entre ses dents, pendant que sa langue le titille. Sentant que le plaisir de Carole, monte vite, et souhaitant, que tout le monde jouisse ensemble, Cathy descend lentement, pénètre le vagin, récolte sur sa langue de la cyprine, descend encore, humidi-fie avec de la salive, l’anus de son amie (qui est aux anges). Sans hésiter, Catherine enfonce son pouce dans le petit trou et deux doigts dans la chatte trempée. Puis elle remonte s’occuper du clitoris avec sa bouche.
Hervé à de plus en plus de mal à se retenir. Carole sous la langue et deux doigts dans son anus, gémi de plus en plus fort. Cathy s’enfile de plus en plus sur le sexe de son amant, qui la pilonne de plus en plus fort. Les 2 femmes explosent en même temps.
Carole : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, j’adore tes doigts, vas y vas y fourre moi fort, ouiiiiiiiiiiiiiiii
Cathy : (relevant la tête) hooooooooooooooooooo c’est trop bon une vraie queue dans la chatte,
Wahouuuuuuuuuuuuuuu que j’aime me faire défoncer, vas y fort fort
Hervé ne tenant plus jouit à son tour, dans le sexe de Catherine, qui jouit encore plus, sous les giclées qui viennent s’écraser sur les parois de son vagin.
Hervé tombe entre les deux femmes. Carole se colle contre lui et l’embrasse à pleine bouche, et ma femme descend légèrement et lui nettoie méthodiquement la verge à petits coups de langues.
Hervé : tu sais ma chérie, ta copine elle peut revenir quand elle veut, car elle est drôlement bonne et elle aime la bite.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour Carole, bonjour Hervé,
Belle histoire bien ecrite, très excitante par la complicité du mari voyeur qui a rendu l'histoire plus chaude ...on l'a lue tout en faisant l'amour comme des fous...humm
Échanges de mails peut être...
Alain et Sabrina
Belle histoire bien ecrite, très excitante par la complicité du mari voyeur qui a rendu l'histoire plus chaude ...on l'a lue tout en faisant l'amour comme des fous...humm
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Alain et Sabrina