LE PSYCHANALYSTE
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE PSYCHANALYSTE
Au printemps 2018, un homme m’accoste dans la rue, en me disant Bonjour M. ….. Comment allez-vous ? Depuis le temps ?
Devant mon air surpris, il continue : Je suis le Docteur Bruno, il y a quinze ans, vous m’avez sorti d’une situation compliquée, lors de l’achat de mon cabinet, et grâce à vous, tout est rentré dans l’ordre, et l’acquisition a pu se faire dans les temps.
Moi : (retrouvant la mémoire) oui bien sûr, je me souviens maintenant, oh je n’avais pas fait grand-chose, juste passé un coup de téléphone.
Il m’invite à boire un café. Et de fil en aiguille, la conversation s’engage, sur nos vies privées.
Lui divorcé, moi 25 ans de vie commune, la routine, le couple qui se fissure…..
Bruno : vous savez que je suis Psychanalyste, spécialisé justement dans les problèmes de couples.
Si vous le souhaitez, je vous offre à vous et votre épouse 10 séances, c’est le temps qu’il faut pour ressouder les couples.
Moi : c’est très gentil, mais vous ne me devez rien, et je ne sais pas si ma femme sera d’accord.
Bruno : tenez ma carte, parlez-en, et tenez-moi au courant.
En rentrant chez moi, le soir je parle de ma rencontre à ma femme, n’oubliant pas de lui faire part de la proposition.
Cathy : parce que tu penses que nous avons besoin d’un Psychiatre pour régler nos problèmes de couple.
Moi : oui je pense Cathy : eh ben vas-y tout seulLa conversation était terminée.
Quelques semaines plus tard, après de nouvelles disputes et une mésentente sexuelle, ou personne ne trouvait son plaisir, ma femme me dit : Cathy : es-tu heureux ?
Moi : ça pourrait être mieux, je t’ai proposé une solution le mois dernier, mais tu m’as envoyé balader.
Cathy : ta proposition doit coûter une fortune, les psys c’est au minimum 100€ par séance.
Moi : je t’ai expliqué qu’il nous offrait les 10 séances pour me remercier du service que je lui ai rendu il y a 15 ans. Mais je pense que ça ne pourrait pas nous faire de mal.
Le sujet n’est plus abordé, pendant un mois, c’est ma femme qui relance la conversationCathy : il s’appelle comment ton psyMoi : pourquoi ?
Cathy : parce que j’ai 2 collègues, qui avaient des difficultés, comme nous, disputes, mésentente au lit, qui sont allés voir un psy, ça leur a coûté environ 1500€, mais elles sont contentes, car leurs situations bien améliorées.
Moi : c’est super, et le nom de ce sorcierCathy : Bruno je croisMoi : si c’est le cas, c’est mon client, tu vois ce n’est pas un charlatan, quand tu veux, je prends RDV.
Nous avons eu, encore une conversation, pour être certain d’avoir envie de sauver notre couple.
Et nous avons pris la décision de nous lancer.
RDV fut pris, les séances auraient lieu pendant 10 semaines, de début mai à fin juillet.
Les 3 premières séances, c’est une prise de connaissance, dialogue à bâton rompu.
La 4eme séance, fut un peu plus osée.
Bruno : Cathy vous masturbez vous ? si oui combien de fois par semaine ? L’avez-vous déjà fait en exhibe devant Alain ?
Cathy : oui , je me masturbe, plusieurs fois par semaines, non je ne m’exhibe pas.
Bruno : Cathy que pensez-vous de l’homosexualité ? êtes-vous choquée, de voir 2 hommes ou 2 femmes se tenir par la main, ou s’embrasser sur la bouche dans la rue.
Cathy : non je ne suis pas choquée, je n’ai rien contre, je connais des homosexuels. Pour moi ce sont des personnes comme les autres.
Bruno : avez-vous déjà songé avoir une relation avec une femme.
Elle hésite Bruno : quand vous vous masturbez peut être ?
Cathy : oui (et en rougissant) quand mon mari me fait une caresse avec sa langue, pour accélérer mon plaisir j’imagine que c’est une femme qui est à sa place.
Bruno : et vous Alain, l’homosexualité qu’en pensez-vous ?
Moi : comme Cathy je n’ai rien contre, chacun a le droit d’avoir la sexualité qu’il veut. J’avoue avoir déjà pensé avoir une relation avec un homme. Je me suis déjà masturbé en imaginant sucer un sexe d’homme, bien raide.
Quand Cathy me le fait j’ai l’impression qu’elle éprouve un grand plaisir, et je me dis que j’essaierai bien.
Bruno : et qu’est-ce qui vous retient ?
Moi : je suis marié, on ne trompe pas son conjoint comme ça. Et puis je ne sais pas où trouver un homo Bruno : je comprends Il repart sur ses questions en rapport au sexe et nos pratiques Bruno : Alain avez-vous déjà imaginé votre femme avec un autre homme ?
Cathy (avant que je ne réponde) : ah oui !! il n’arrête pas de m’en parler quand on baise.
Bruno : et ça vous fait quoi Cathy : je dois dire que c’est un peu excitant Bruno : mais vous n’avez pas dit ok on y va, on invite un autre homme ?
Cathy : non, on ne sait pas sur qui on peut tomber, un taré, quelqu’un à l’hygiène douteuse.
Et puis il faudrait un bel homme, pas trop jeune, ni vieux, enfin quelqu’un qui me plaise.
Moi : (sur un ton de plaisanterie) comme le docteur par exempleBruno : si je comprends bien Alain vous aimeriez faire un trio ?
Moi : je ne participerai pas forcement, mais je regarderaisBruno : et vous Cathy si toutes les conditions étaient remplies ?
Cathy : si toutes les conditions étaient remplies, je ne sais pas. En plus savoir que mon mari me regarde, là comme ça je ne sais vraiment pas. Un côté de mon esprit me dit que ce ne serait pas bien, et l’autre côté me dit que ce serait formidable et que je prendrais certainement un pied terrible.
5eme séance Comme chaque début de séance, Bruno (demande) : alors que s’est-il passé depuis la dernière séance ?
Moi : beaucoup de choses Bruno : AH ! racontez moi ça.
Moi : en sortant de votre cabinet l’autre jour, je devais passer à ma voiture qui est au parking de la gare.
Et Cathy m’a dit qu’elle m’accompagnait. Je fus surpris mais content.
Arrivé à la voiture, j’ouvre le coffre pour prendre, le colis, et Cathy monte à la place passagère. Surpris je lui dis que l’on ne part pas, elle me rétorque qu’elle souhaite que je l’emmène au niveau moins 12 dernier niveau.
Quand je lui demande pourquoi faire, elle me dit que je verrai bien.
Arrivé au moins 12, il y a, 2 voitures garées, largement espacées et je remarque en passant devant pour aller me placer dans un coin reculé, que les deux voitures sont occupés par des couples.
A la demande de Cathy je me gare en marche avant sans coller le mur. Elle descend, va se placer devant et commence un strip-tease très sensuel. Je suis persuadé qu’elle va s’arrêter, au déboutonnage du chemisier, mais non, elle se retrouve très vite entièrement nue, elle n’a gardé que ses talons. Elle me fait signe de venir la rejoindre. En sortant du véhicule, je m’inquiète de voir si l’on peut nous apercevoir, mais rien ne se passe du côté des autres voitures.
J’arrive près de Cathy, elle a un sourire enjôleur, elle est superbe nue avec juste ses talons, les jambes légèrement écartées elle se caresse.
Tout en m’approchant, je sors mon sexe déjà très raide.
Toujours en me regardant droit dans les yeux. Elle, recule jusqu’à la voiture, s’allonge sur le capot, écarte les cuisses, la queue dans la main, je me présente, à l’entrée de sa grotte, que je vois ruisselante. Je glisse à l’intérieur, elle est trempée, elle me dit de la baiser vite et fort. En 1 minute maxi, nous jouissons ensembles en essayant de ne pas faire trop de bruit. Puis nous repartons. En remontant, je lui demande si ce sont vos questions qui l’on excités comme ça ? Elle ne me répond pas mais je pense que oui.
Mon récit est terminé, Bruno reprend ses questionsBruno : Cathy, comment expliquez-vous, cette envie de sexe soudaine en sortant de mon cabinet ?
Cathy (paraissant hésiter) : je ne sais pas trop, la conversation que nous venions d’avoir.
Et surtout un souvenir. (toute rouge) elle me regarde, baisse la tête et raconte.
Quand Alain, m’a parlé du parking de la gare, ça m’a rappelé un souvenir, qui m’a mis le feu au ventre.
Il y a 3 ans, un après-midi avec mon chef de l’époque, Serge, en rentrant de chez un client fin juin, il me dit en rentrant dans le parking :Serge : on va trouver un peu de fraîcheur au moins 12Cathy : comment ça au moins 12 ? il y a 12 étages dans ce parking ?
Serge : oui, vous n’êtes, jamais allé au moins 12 avec votre mari ?
Cathy : non, pour y faire quoi ?
Serge : vous allez voir.
Et il m’emmena au moins 12. Il y avait, 3 voitures garées. Il les dépassa lentement, nous avions les vitres ouvertes, pour laisser entrer la fraîcheur, et nous avons pu entendre, les râles et gémissements de plaisirs de ceux qui baisaient dans les voitures.
Il se gara, au fond, arrêta le moteur, se tourna vers moi, me regarda.
Cathy : que faites-vous ? C’est bon j’ai vu, j’ai compris à quoi sert le moins 12, on peut repartir.
Serge : vous êtes ravissantes, quand vous avez peur. Pas peur effrayée, mais peur de ne pas pouvoir résister, à vos pulsions.
Cathy : vous êtes fou de quoi parlez-vous ?
Il se pencha vers moi, sa main gauche, passa sur ma nuque et il m’attira vers lui.
J’essayais de résister, au dernier moment, je réussis à tourner la tête, et son baiser tomba, dans mon cou, sous mon oreille.
Cathy : (gémissant) : Serge ne faites pas ça.
Serge : (se reculant mais gardant la main sur sa nuque) laissez-vous faire, j’ai envie de vous, depuis tout à l’heure, j’admire vos cuisses, j’imagine votre sexe humide.
Et, lâchant la tête, la main gauche, vient se poser sur la cuisse, et remonte lentement sous la jupe.
Je serre les genoux au maximum.
l réussit à bloquer ma tête, et ses lèvres se posent sur les miennes que je garde serrées aussi.
Sa main sous, ma jupe a atteint, mon entre jambe, qu’il frotte doucement.
Nos lèvres sont toujours collées, son majeur, appuie sur mon clitoris, je sens que je commence à mouiller. Ma tête me dit NON, mais mon corps me dit OUI.
Alors j’ouvre tout en même temps, ma bouche et mes cuisses. Sa langue vient à la rencontre de la mienne. Son majeur passe sous l’élastique de ma culotte et s’enfonce dans ma grotte en feu.
Serge : (au bout d’une minute environ) viens passons derrière.
Sans rien dire, nous sous séparons. Je décide d’enlever ma culotte, ça lui laisse le temps de contourner la voiture, de venir à ma rencontre,de me prendre par le bras, de me pousser, à plat ventre sur le capot de la Peugeot, remonter ma jupe sur mes hanche, et de sortir son sexe, de le présenter à l’entrée de mon vagin, et d’un grand coup de reins de s’enfoncer au plus profond de mon intimité. Il a un sexe énorme.
A ce moment-là, je vois, un homme debout près d’une voiture qui nous regarde, il est en train de se faire sucer par une autre homme a genou devant lui.
Serge, se met à me limer lentement, je sens mon plaisir monter, monter. Je ne peux pas m’empêcher de regarder ce type qui lui aussi me regarde.
Il doit entendre mes gémissements, qui deviennent des râles, comme j’entends les siens.
Serge : (se penchant sur mon oreille) tu aimes ça te faire baiser salope ?
Cathy : (en criant) oh ouiiiiiiiiiiii, continue comme ça, accélèreIl me prend les hanches, et ses va et vient deviennent de plus en plus rapides, violent.
Je sens ses couilles tapées contre mes fesses. Je ne peux pas dire au bout de combien de temps, mais un orgasme fulgurant me terrasse. Au moment où je sens des jets chauds inonder mon vagin.
Il vient d’éjaculer en s’affaissant sur moi. Je n’ai plus de réaction.
Je regarde en direction des deux homos, eux aussi on jouit, ils sont en train de s’embrasser langoureusement.
Ce fut tellement violent, j’ai du mal à me relever quand il se retire. Je me redresse, son sperme et ma mouille coulent le long de mes jambes. Sans un mot, nous remettons de l’ordre dans nos tenues, nous remontons en voiture.
En passant, nous nous fixons avec l’homme qui m’a regardé me faire prendre, il me fait un sourire et un clein d’œil.
Arrivé au bureau, Serge me fit un mail pour me remercier, et pour me dire qu’il avait beaucoup de choses à me faire découvrir au moins 12. Mais nous n’avons plus rien fait, car il a été muté dans une autre ville 2 semaines plus tard.
Voilà vous savez pourquoi l’autre jour, j’étais si excitée.
Bruno : belle aventure, qu’en pensez-vous Alain ?
Moi : sentiments mitigés. Jaloux, et vexé d’avoir été trompé. Et en même temps, hyper excité, je bande comme un taureau.
Bruno : et vous Cathy ?
Cathy : pas très fier d’avoir fait ça. Mais tu sais Alain c’est la seule fois où je t’ai trompé.
Et c’est vrai qu’en vous racontant cette aventure j’ai mouillé un peu ma culotte.
Bruno : (se levant pour venir vers moi) : Cathy là vous seriez prête, à aller au moins 12 ?
Cathy : ouiBruno : avec qui ?
Cathy : l’homme qui se faisait sucer Bruno : Cathy, si vous étiez seuls, là maintenant vous vous caresseriez?
Cathy : (nous regardant tour à tour) oui sans douteBruno : et vous le feriez en pensant aux deux hommes au moins 12, dont le souvenir vous donneencore des chaleurs Cathy : oui (à peine audible)Bruno : alors caressez-vous, et regardezEt au même moment, il se penche et m’embrasse à pleine bouche. Sa main droite me bloque la tête, sa langue passe entre mes lèvres et vient chercher ma langue.
Ma première réaction est de le repousser, mais très vite j’apprécie ces lèvres, et cette langue.
Je me laisse guider par Bruno qui ne reste pas inactif. Il déboutonne ma chemise, me fait mettre debout.
Bruno : mets-toi nu Le temps que je me déshabille, il se tourne vers ma femme, qui ne bouge pas dans son fauteuil, comme pétrifiée. il se penche, l’embrasse délicatement sous l’oreille, elle semble se réveiller Bruno : caressez vous SVP.
Je suis nu, je vois Cathy porter sa main à son sexe, par-dessus sa jupe, tirer, sur le tissu pour la faire remonter, effleurer doucement son sexe, passer un doigt, puis deux sous l’élastique de sa culotte, et commencer à se masturber.
Bruno est revenu vers moi, il est nu, il me fait mettre à genou. Son sexe est à la hauteur de mon visage. Il est raide.
Je n’ai jamais vu la bite d’un autre homme d’aussi près.
Bruno : (m’appuyant sur la tête) suce-moi.
Après un dernier regard vers Cathy, qui se caresse tout en nous regardant fixement, je m’approche je commence par embrasser les parties, elles sont lisses. Je les lèche, les gobe. Je remonte le long de la tige en faisant des bisous. Arrivé au niveau du gland, tout gonflé, je le lèche, puis je le prends en bouche. Ma langue tourne autour du gland, pendant que ma tête fait desmouvements de bas en haut.
J’entends Bruno soupirer, sa main rythme les mouvements de ma tête. En jetant un coup d’œil sur le côté, je vois ma femme, toujours en train de s’astiquer, mais elle a ouvert son chemisier et libérer ses , dont elle titille les bouts, en nous regardant.
Bruno : je vais jouir, tu es une bonne suceuse Je m’applique, ma main droite le branle, en même temps que ma bouche.
Tout à coup il se retire, se met a genou devant ma femme.
Lui tire sur les jambes pour les écarter, mais aussi pour lui mettre les fesses au bord du fauteuil.
Elle sursaute surprise, mais se laisse faireBruno : (à moi) branle-toi sur ton fauteuil.
A Cathy : écarte les cuisses Je vais m’asseoir, et regarder, elle écarte les jambes, tire sur l’élastique de sa culotte.
Bruno le sexe dans la main, se rapproche. Je le vois doucement pénétrer l’intimité de ma femme.
Sous la pression les grandes lèvres, s’ouvrent, et sans résistance il s’enfonce jusqu’à la garde Ils ne bougent plus, lui se penche, l’embrasse doucement, elle prend sa tète, entre ses mains, et leur baiser devient profond et langoureux.. Lentement il commence à la besogner.
Il s’est relevé, les mains posées sur les accoudoirs. Je vois son sexe entrée et sortir de la chatte trempée. Ma femme a fermé les yeux, elle gémit, se caresse les seins.
Tout va très vite, Bruno accélère ses allées et venues, Cathy gémit et soupir, elle se mord les lèvres, elle bouge la tête dans tous les sens.
Moi je me branle de plus en plus vite.
Bruno : (sans ralentir) Cathy je veux que tu suces AlainJe ne me fais pas prier, je me lève et vais me placer vers le visage de ma femme. Elle ouvre les yeux, et m’embouche sans hésiter. Je sens sa langue presser mon gland. Je me branle dans le même temps. Bruno grimace, il va jouir .
Cathy ne gémit plus elle crie et moi je jouis à grands jets dans sa bouche, qu’elle ouvre très grande, pour reprendre son souffle au moment de jouir. Bruno vient de gicler dans son sexe.
Bruno se penche pour embrasser sa maîtresse, elle le laisse venir, et lui redonne une partie de mon sperme.
Tout le monde reprend ses esprits sans rien direInutile de vous dire que les séances suivantes furent très agréables.
Devant mon air surpris, il continue : Je suis le Docteur Bruno, il y a quinze ans, vous m’avez sorti d’une situation compliquée, lors de l’achat de mon cabinet, et grâce à vous, tout est rentré dans l’ordre, et l’acquisition a pu se faire dans les temps.
Moi : (retrouvant la mémoire) oui bien sûr, je me souviens maintenant, oh je n’avais pas fait grand-chose, juste passé un coup de téléphone.
Il m’invite à boire un café. Et de fil en aiguille, la conversation s’engage, sur nos vies privées.
Lui divorcé, moi 25 ans de vie commune, la routine, le couple qui se fissure…..
Bruno : vous savez que je suis Psychanalyste, spécialisé justement dans les problèmes de couples.
Si vous le souhaitez, je vous offre à vous et votre épouse 10 séances, c’est le temps qu’il faut pour ressouder les couples.
Moi : c’est très gentil, mais vous ne me devez rien, et je ne sais pas si ma femme sera d’accord.
Bruno : tenez ma carte, parlez-en, et tenez-moi au courant.
En rentrant chez moi, le soir je parle de ma rencontre à ma femme, n’oubliant pas de lui faire part de la proposition.
Cathy : parce que tu penses que nous avons besoin d’un Psychiatre pour régler nos problèmes de couple.
Moi : oui je pense Cathy : eh ben vas-y tout seulLa conversation était terminée.
Quelques semaines plus tard, après de nouvelles disputes et une mésentente sexuelle, ou personne ne trouvait son plaisir, ma femme me dit : Cathy : es-tu heureux ?
Moi : ça pourrait être mieux, je t’ai proposé une solution le mois dernier, mais tu m’as envoyé balader.
Cathy : ta proposition doit coûter une fortune, les psys c’est au minimum 100€ par séance.
Moi : je t’ai expliqué qu’il nous offrait les 10 séances pour me remercier du service que je lui ai rendu il y a 15 ans. Mais je pense que ça ne pourrait pas nous faire de mal.
Le sujet n’est plus abordé, pendant un mois, c’est ma femme qui relance la conversationCathy : il s’appelle comment ton psyMoi : pourquoi ?
Cathy : parce que j’ai 2 collègues, qui avaient des difficultés, comme nous, disputes, mésentente au lit, qui sont allés voir un psy, ça leur a coûté environ 1500€, mais elles sont contentes, car leurs situations bien améliorées.
Moi : c’est super, et le nom de ce sorcierCathy : Bruno je croisMoi : si c’est le cas, c’est mon client, tu vois ce n’est pas un charlatan, quand tu veux, je prends RDV.
Nous avons eu, encore une conversation, pour être certain d’avoir envie de sauver notre couple.
Et nous avons pris la décision de nous lancer.
RDV fut pris, les séances auraient lieu pendant 10 semaines, de début mai à fin juillet.
Les 3 premières séances, c’est une prise de connaissance, dialogue à bâton rompu.
La 4eme séance, fut un peu plus osée.
Bruno : Cathy vous masturbez vous ? si oui combien de fois par semaine ? L’avez-vous déjà fait en exhibe devant Alain ?
Cathy : oui , je me masturbe, plusieurs fois par semaines, non je ne m’exhibe pas.
Bruno : Cathy que pensez-vous de l’homosexualité ? êtes-vous choquée, de voir 2 hommes ou 2 femmes se tenir par la main, ou s’embrasser sur la bouche dans la rue.
Cathy : non je ne suis pas choquée, je n’ai rien contre, je connais des homosexuels. Pour moi ce sont des personnes comme les autres.
Bruno : avez-vous déjà songé avoir une relation avec une femme.
Elle hésite Bruno : quand vous vous masturbez peut être ?
Cathy : oui (et en rougissant) quand mon mari me fait une caresse avec sa langue, pour accélérer mon plaisir j’imagine que c’est une femme qui est à sa place.
Bruno : et vous Alain, l’homosexualité qu’en pensez-vous ?
Moi : comme Cathy je n’ai rien contre, chacun a le droit d’avoir la sexualité qu’il veut. J’avoue avoir déjà pensé avoir une relation avec un homme. Je me suis déjà masturbé en imaginant sucer un sexe d’homme, bien raide.
Quand Cathy me le fait j’ai l’impression qu’elle éprouve un grand plaisir, et je me dis que j’essaierai bien.
Bruno : et qu’est-ce qui vous retient ?
Moi : je suis marié, on ne trompe pas son conjoint comme ça. Et puis je ne sais pas où trouver un homo Bruno : je comprends Il repart sur ses questions en rapport au sexe et nos pratiques Bruno : Alain avez-vous déjà imaginé votre femme avec un autre homme ?
Cathy (avant que je ne réponde) : ah oui !! il n’arrête pas de m’en parler quand on baise.
Bruno : et ça vous fait quoi Cathy : je dois dire que c’est un peu excitant Bruno : mais vous n’avez pas dit ok on y va, on invite un autre homme ?
Cathy : non, on ne sait pas sur qui on peut tomber, un taré, quelqu’un à l’hygiène douteuse.
Et puis il faudrait un bel homme, pas trop jeune, ni vieux, enfin quelqu’un qui me plaise.
Moi : (sur un ton de plaisanterie) comme le docteur par exempleBruno : si je comprends bien Alain vous aimeriez faire un trio ?
Moi : je ne participerai pas forcement, mais je regarderaisBruno : et vous Cathy si toutes les conditions étaient remplies ?
Cathy : si toutes les conditions étaient remplies, je ne sais pas. En plus savoir que mon mari me regarde, là comme ça je ne sais vraiment pas. Un côté de mon esprit me dit que ce ne serait pas bien, et l’autre côté me dit que ce serait formidable et que je prendrais certainement un pied terrible.
5eme séance Comme chaque début de séance, Bruno (demande) : alors que s’est-il passé depuis la dernière séance ?
Moi : beaucoup de choses Bruno : AH ! racontez moi ça.
Moi : en sortant de votre cabinet l’autre jour, je devais passer à ma voiture qui est au parking de la gare.
Et Cathy m’a dit qu’elle m’accompagnait. Je fus surpris mais content.
Arrivé à la voiture, j’ouvre le coffre pour prendre, le colis, et Cathy monte à la place passagère. Surpris je lui dis que l’on ne part pas, elle me rétorque qu’elle souhaite que je l’emmène au niveau moins 12 dernier niveau.
Quand je lui demande pourquoi faire, elle me dit que je verrai bien.
Arrivé au moins 12, il y a, 2 voitures garées, largement espacées et je remarque en passant devant pour aller me placer dans un coin reculé, que les deux voitures sont occupés par des couples.
A la demande de Cathy je me gare en marche avant sans coller le mur. Elle descend, va se placer devant et commence un strip-tease très sensuel. Je suis persuadé qu’elle va s’arrêter, au déboutonnage du chemisier, mais non, elle se retrouve très vite entièrement nue, elle n’a gardé que ses talons. Elle me fait signe de venir la rejoindre. En sortant du véhicule, je m’inquiète de voir si l’on peut nous apercevoir, mais rien ne se passe du côté des autres voitures.
J’arrive près de Cathy, elle a un sourire enjôleur, elle est superbe nue avec juste ses talons, les jambes légèrement écartées elle se caresse.
Tout en m’approchant, je sors mon sexe déjà très raide.
Toujours en me regardant droit dans les yeux. Elle, recule jusqu’à la voiture, s’allonge sur le capot, écarte les cuisses, la queue dans la main, je me présente, à l’entrée de sa grotte, que je vois ruisselante. Je glisse à l’intérieur, elle est trempée, elle me dit de la baiser vite et fort. En 1 minute maxi, nous jouissons ensembles en essayant de ne pas faire trop de bruit. Puis nous repartons. En remontant, je lui demande si ce sont vos questions qui l’on excités comme ça ? Elle ne me répond pas mais je pense que oui.
Mon récit est terminé, Bruno reprend ses questionsBruno : Cathy, comment expliquez-vous, cette envie de sexe soudaine en sortant de mon cabinet ?
Cathy (paraissant hésiter) : je ne sais pas trop, la conversation que nous venions d’avoir.
Et surtout un souvenir. (toute rouge) elle me regarde, baisse la tête et raconte.
Quand Alain, m’a parlé du parking de la gare, ça m’a rappelé un souvenir, qui m’a mis le feu au ventre.
Il y a 3 ans, un après-midi avec mon chef de l’époque, Serge, en rentrant de chez un client fin juin, il me dit en rentrant dans le parking :Serge : on va trouver un peu de fraîcheur au moins 12Cathy : comment ça au moins 12 ? il y a 12 étages dans ce parking ?
Serge : oui, vous n’êtes, jamais allé au moins 12 avec votre mari ?
Cathy : non, pour y faire quoi ?
Serge : vous allez voir.
Et il m’emmena au moins 12. Il y avait, 3 voitures garées. Il les dépassa lentement, nous avions les vitres ouvertes, pour laisser entrer la fraîcheur, et nous avons pu entendre, les râles et gémissements de plaisirs de ceux qui baisaient dans les voitures.
Il se gara, au fond, arrêta le moteur, se tourna vers moi, me regarda.
Cathy : que faites-vous ? C’est bon j’ai vu, j’ai compris à quoi sert le moins 12, on peut repartir.
Serge : vous êtes ravissantes, quand vous avez peur. Pas peur effrayée, mais peur de ne pas pouvoir résister, à vos pulsions.
Cathy : vous êtes fou de quoi parlez-vous ?
Il se pencha vers moi, sa main gauche, passa sur ma nuque et il m’attira vers lui.
J’essayais de résister, au dernier moment, je réussis à tourner la tête, et son baiser tomba, dans mon cou, sous mon oreille.
Cathy : (gémissant) : Serge ne faites pas ça.
Serge : (se reculant mais gardant la main sur sa nuque) laissez-vous faire, j’ai envie de vous, depuis tout à l’heure, j’admire vos cuisses, j’imagine votre sexe humide.
Et, lâchant la tête, la main gauche, vient se poser sur la cuisse, et remonte lentement sous la jupe.
Je serre les genoux au maximum.
l réussit à bloquer ma tête, et ses lèvres se posent sur les miennes que je garde serrées aussi.
Sa main sous, ma jupe a atteint, mon entre jambe, qu’il frotte doucement.
Nos lèvres sont toujours collées, son majeur, appuie sur mon clitoris, je sens que je commence à mouiller. Ma tête me dit NON, mais mon corps me dit OUI.
Alors j’ouvre tout en même temps, ma bouche et mes cuisses. Sa langue vient à la rencontre de la mienne. Son majeur passe sous l’élastique de ma culotte et s’enfonce dans ma grotte en feu.
Serge : (au bout d’une minute environ) viens passons derrière.
Sans rien dire, nous sous séparons. Je décide d’enlever ma culotte, ça lui laisse le temps de contourner la voiture, de venir à ma rencontre,de me prendre par le bras, de me pousser, à plat ventre sur le capot de la Peugeot, remonter ma jupe sur mes hanche, et de sortir son sexe, de le présenter à l’entrée de mon vagin, et d’un grand coup de reins de s’enfoncer au plus profond de mon intimité. Il a un sexe énorme.
A ce moment-là, je vois, un homme debout près d’une voiture qui nous regarde, il est en train de se faire sucer par une autre homme a genou devant lui.
Serge, se met à me limer lentement, je sens mon plaisir monter, monter. Je ne peux pas m’empêcher de regarder ce type qui lui aussi me regarde.
Il doit entendre mes gémissements, qui deviennent des râles, comme j’entends les siens.
Serge : (se penchant sur mon oreille) tu aimes ça te faire baiser salope ?
Cathy : (en criant) oh ouiiiiiiiiiiii, continue comme ça, accélèreIl me prend les hanches, et ses va et vient deviennent de plus en plus rapides, violent.
Je sens ses couilles tapées contre mes fesses. Je ne peux pas dire au bout de combien de temps, mais un orgasme fulgurant me terrasse. Au moment où je sens des jets chauds inonder mon vagin.
Il vient d’éjaculer en s’affaissant sur moi. Je n’ai plus de réaction.
Je regarde en direction des deux homos, eux aussi on jouit, ils sont en train de s’embrasser langoureusement.
Ce fut tellement violent, j’ai du mal à me relever quand il se retire. Je me redresse, son sperme et ma mouille coulent le long de mes jambes. Sans un mot, nous remettons de l’ordre dans nos tenues, nous remontons en voiture.
En passant, nous nous fixons avec l’homme qui m’a regardé me faire prendre, il me fait un sourire et un clein d’œil.
Arrivé au bureau, Serge me fit un mail pour me remercier, et pour me dire qu’il avait beaucoup de choses à me faire découvrir au moins 12. Mais nous n’avons plus rien fait, car il a été muté dans une autre ville 2 semaines plus tard.
Voilà vous savez pourquoi l’autre jour, j’étais si excitée.
Bruno : belle aventure, qu’en pensez-vous Alain ?
Moi : sentiments mitigés. Jaloux, et vexé d’avoir été trompé. Et en même temps, hyper excité, je bande comme un taureau.
Bruno : et vous Cathy ?
Cathy : pas très fier d’avoir fait ça. Mais tu sais Alain c’est la seule fois où je t’ai trompé.
Et c’est vrai qu’en vous racontant cette aventure j’ai mouillé un peu ma culotte.
Bruno : (se levant pour venir vers moi) : Cathy là vous seriez prête, à aller au moins 12 ?
Cathy : ouiBruno : avec qui ?
Cathy : l’homme qui se faisait sucer Bruno : Cathy, si vous étiez seuls, là maintenant vous vous caresseriez?
Cathy : (nous regardant tour à tour) oui sans douteBruno : et vous le feriez en pensant aux deux hommes au moins 12, dont le souvenir vous donneencore des chaleurs Cathy : oui (à peine audible)Bruno : alors caressez-vous, et regardezEt au même moment, il se penche et m’embrasse à pleine bouche. Sa main droite me bloque la tête, sa langue passe entre mes lèvres et vient chercher ma langue.
Ma première réaction est de le repousser, mais très vite j’apprécie ces lèvres, et cette langue.
Je me laisse guider par Bruno qui ne reste pas inactif. Il déboutonne ma chemise, me fait mettre debout.
Bruno : mets-toi nu Le temps que je me déshabille, il se tourne vers ma femme, qui ne bouge pas dans son fauteuil, comme pétrifiée. il se penche, l’embrasse délicatement sous l’oreille, elle semble se réveiller Bruno : caressez vous SVP.
Je suis nu, je vois Cathy porter sa main à son sexe, par-dessus sa jupe, tirer, sur le tissu pour la faire remonter, effleurer doucement son sexe, passer un doigt, puis deux sous l’élastique de sa culotte, et commencer à se masturber.
Bruno est revenu vers moi, il est nu, il me fait mettre à genou. Son sexe est à la hauteur de mon visage. Il est raide.
Je n’ai jamais vu la bite d’un autre homme d’aussi près.
Bruno : (m’appuyant sur la tête) suce-moi.
Après un dernier regard vers Cathy, qui se caresse tout en nous regardant fixement, je m’approche je commence par embrasser les parties, elles sont lisses. Je les lèche, les gobe. Je remonte le long de la tige en faisant des bisous. Arrivé au niveau du gland, tout gonflé, je le lèche, puis je le prends en bouche. Ma langue tourne autour du gland, pendant que ma tête fait desmouvements de bas en haut.
J’entends Bruno soupirer, sa main rythme les mouvements de ma tête. En jetant un coup d’œil sur le côté, je vois ma femme, toujours en train de s’astiquer, mais elle a ouvert son chemisier et libérer ses , dont elle titille les bouts, en nous regardant.
Bruno : je vais jouir, tu es une bonne suceuse Je m’applique, ma main droite le branle, en même temps que ma bouche.
Tout à coup il se retire, se met a genou devant ma femme.
Lui tire sur les jambes pour les écarter, mais aussi pour lui mettre les fesses au bord du fauteuil.
Elle sursaute surprise, mais se laisse faireBruno : (à moi) branle-toi sur ton fauteuil.
A Cathy : écarte les cuisses Je vais m’asseoir, et regarder, elle écarte les jambes, tire sur l’élastique de sa culotte.
Bruno le sexe dans la main, se rapproche. Je le vois doucement pénétrer l’intimité de ma femme.
Sous la pression les grandes lèvres, s’ouvrent, et sans résistance il s’enfonce jusqu’à la garde Ils ne bougent plus, lui se penche, l’embrasse doucement, elle prend sa tète, entre ses mains, et leur baiser devient profond et langoureux.. Lentement il commence à la besogner.
Il s’est relevé, les mains posées sur les accoudoirs. Je vois son sexe entrée et sortir de la chatte trempée. Ma femme a fermé les yeux, elle gémit, se caresse les seins.
Tout va très vite, Bruno accélère ses allées et venues, Cathy gémit et soupir, elle se mord les lèvres, elle bouge la tête dans tous les sens.
Moi je me branle de plus en plus vite.
Bruno : (sans ralentir) Cathy je veux que tu suces AlainJe ne me fais pas prier, je me lève et vais me placer vers le visage de ma femme. Elle ouvre les yeux, et m’embouche sans hésiter. Je sens sa langue presser mon gland. Je me branle dans le même temps. Bruno grimace, il va jouir .
Cathy ne gémit plus elle crie et moi je jouis à grands jets dans sa bouche, qu’elle ouvre très grande, pour reprendre son souffle au moment de jouir. Bruno vient de gicler dans son sexe.
Bruno se penche pour embrasser sa maîtresse, elle le laisse venir, et lui redonne une partie de mon sperme.
Tout le monde reprend ses esprits sans rien direInutile de vous dire que les séances suivantes furent très agréables.
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