Le CHANTAGE (partie 2)
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le CHANTAGE (partie 2)
Les jours passent, j’apprécie les jours ou mon bourreau est absent. Son poste de directeur commercial, l’oblige à sillonner la France, pour accompagner nos commerciaux. Ayant accès à son agenda je sais quand je vais être détendue ou pas.
La deuxième semaine de décembre, son agenda est rempli. Je suis soulagée, en plus il fait beau, et les températures sont clémentes. Le mercredi d’humeur légère je m’habille d’une jupe plissée courte (légèrement au-dessus mi-cuisses) d’un pullover col roulé, manches courtes hyper moulant, collants couleur chaire, escarpin a talon haut. Juste avant de partir je me regarde dans la glace et me trouve bien attirante. Dans le même temps je me dis, que l’autre gros porc serait malade si il me voyait dans cette tenue je l’avoue très sexy.
En arrivant mon sourire , ma joie fondent comme neige au soleil, le gros est là, dans le bureau du patron. En essayant de cacher mon mal être,je vais leur dire bonjour, en essayant d’éviter le regard lubrique de Robert.
Le patron: Comme David le nouveau commercial qu’il devait accompagner aujourd’hui, à le COVID et bien Robert sera parmi nous aujourd’hui . Et moi je vais voir un gros client, je pars dans un quart d’heure, si vous avez des choses à me faire signer c’est le moment.
J’ai les jambes qui flageolent, je dois m’asseoir.
Je sors du bureau, lentement en disant non non, bonne journée
le Patron : bon eh bien je vous laisse
Robert : eh bien bonne journée chef. Et il rajoute , Cathy tu viendras me voir j’ai quelque chose à te montrer sur mon ordinateur.
J’avais envie de pleurer. Qu’allait ‘il me demander ? Il était certain que j’allais passer à la casserole.
Et si je partais prétextant un mal de tête.
Mais ne serait t’il pas furieux ? Que ferait il des photos ?
Alors, je pris mon courage à 2 mains et j’allais dans son bureau. Il me fit signe de venir vers lui pour que je puisse voir son écran. J’étais nue les cuisses ouvertes . Je sursautais quand sa main remonta le long de ma jambe passa sous la jupe pour s’arrêter sur mon sexe.
Lui regardait l’écran ,et moi je regardais si des collègues pouvaient se rendre compte de ce qui se passait .
Robert : tu es vraiment très jolie aujourd’hui, mais tu es trop habillée à mon goût. Tu vas immédiatement aux toilettes retirer collant, culotte et soutien gorge et tu me les ramène.
Moi (un sanglot dans la voix) ; hooo non tu ne peux pas me demander ça.
Robert (montrant son écran) : avec ces photos je peux tout te demander. Aller file tu as 5 minutes.
Je m’exécutais.
J’étais mal à l’aise, quand je marchais ma jupe rebondissait sur mes fesses. J’avais l’impression que tout le monde savait que j’étais nue. Pour le soutien gorge, c’était certain.
Plusieurs fois dan la matinée, Robert s’arrangea pour que l’on se croise, dans des endroit relativement discrets, à chaque fois il passait sa main sous ma jupe, me mettait un doigt , me pelotait les seins.
Je me disais que peut être il ne se passerait rien d’autre aujourd’hui. Je me trompais.
A 11h30 je reçu un appel : dans 5 minutes au moins 4
Comme une automate je raccrochais, me levais, allais prendre les escaliers.
Il était déjà là, toujours le même sourie satisfait aux lèvres. Js m’approchais doucement.
Robert : enlève ton pullover
Je l’enlevais
Robert : approche
J’approchais.
Il me caressa les seins, les malaxa (je fermais les yeux pensais à autre chose). Il me tordit si fort les tétons que je hurlais de douleur.
Robert : regardes moi quand je te caresse. Mets toi à genou et suce moi, sans fermer les yeux.
Je m’accroupis, défis sa ceinture, fis glisser le pantalon et le slip . Je fus surprise de trouver un sexe parfaitement épilé, qui sentait bon. Il bandait déjà comme un taureau.
Son sexe était large, au moins 6 centimètres, mais pas plus de 15 cm de long. Je l’ai décalotté, je suçais le gland et passant ma langue, je montais , je descendais. Je lui gobais les bourses. Je le branlais.
Il gémissait, respirait fort. IL me prenait par les cheveux, appuyait sur ma nuque, enfonçait son sexe au fond de ma gorge. Je m’étouffais, je pleurais, je bavais.
Je me disais que si je le faisais jouir par ma bouche il ne violerait pas mon intimité.
Eh bien je me trompais.
Robert (se retirant de ma bouche) : arrête tu vas me faire jouir. Mais retourne toi je veux jouir dans ta chatte. Il me pris par le bras, m’allongea sur le capot de la voiture. M’écarta les jambes. Je senti son sexe à l’entrée de mon minou. Il me pénétra lentement ; je sentais mes chaires s’ouvrir. Une fois au fond de mon ventre il resta sans bouger au moins 30 secondes. I faisait frémir sa bite dans mon ventre.. il me passa les poignets dans le dos. Ma poitrine ne touchait plus le froid du capot. J’étais mal, je souffrais
Cathy : Robert tu me fais mal arrêtes, lâches moi, tu n’as pas besoin de ça pour me baiser
Robert : ta gueule salope
Et il se déchaîna à grands coups de reins, il me pilonna la chatte. Il sortait presque entièrement, et revenait. Ses couilles claquaient sur mes fesses. J’étais secouée comme une poupée. Et d’un seul coup il me lâcha les bras, me prit par la taille, se colla à moi, et dans un soupir, grognement jouit en lâchant sa semence qui, je le sens me rempli le vagin .
Dans un dernier sursaut il se couche sur moi.
Il respire fort, il a du mal à reprendre son souffle. Lentement il se décolle de moi , je sens son sperme qui coule le long de mes jambes, quand je me redresse.
Je suis perdue.
Je me sens sale, mon visage doit ressembler à celui d ‘un clown mal maquillé. Mon maquillage à coulé, laissant de longues traces. Je ramasse mon pullover, qui traîne dans la poussière du garage .
Mais je n’ai rien pour essuyer mes jambes couvertes de sperme, et comment empêcher mon sexe de couler.
Je regarde Robert, assis sur le bord du capot, le pantalon aux cheville, il reprend son souffle. Son sexe est encore un peu raide. Il fouille dans la poche de sa veste, qu’il n’a même pas pris le temps d’enlever, et en sort un paquet de kleenex.
Robert : tu veux un mouchoir pour t’essuyer le minou ? Avec la dose que je t’ai mis il va couler pendant des heures.
Cathy: oui je veux bien.
Je tends la main
Robert : ok tu auras ton kleenex, mais avant nettoie moi la bite avec ta bouche .
Sans réfléchir, je me penchais, prenais le sexe pendant entre mes lèvres et dans ma main, et avec application je passais ma langue partout.
Après quelques instants je me redressais, tendais la main pour qu’il me donne les mouchoirs
Putain, tu es bonne tu as presque réussi à me refaire bandé .
Nous sommes remontés chacun de notre côté.
C’était l’heure du déjeuner,, j’ai eu la chance de rencontrer personne.
Ce jour là je suis parti tôt,je voulais prendre une douche avant que tu ne rentres.
Et surtout j’étais sans sous-vêtement.
La deuxième semaine de décembre, son agenda est rempli. Je suis soulagée, en plus il fait beau, et les températures sont clémentes. Le mercredi d’humeur légère je m’habille d’une jupe plissée courte (légèrement au-dessus mi-cuisses) d’un pullover col roulé, manches courtes hyper moulant, collants couleur chaire, escarpin a talon haut. Juste avant de partir je me regarde dans la glace et me trouve bien attirante. Dans le même temps je me dis, que l’autre gros porc serait malade si il me voyait dans cette tenue je l’avoue très sexy.
En arrivant mon sourire , ma joie fondent comme neige au soleil, le gros est là, dans le bureau du patron. En essayant de cacher mon mal être,je vais leur dire bonjour, en essayant d’éviter le regard lubrique de Robert.
Le patron: Comme David le nouveau commercial qu’il devait accompagner aujourd’hui, à le COVID et bien Robert sera parmi nous aujourd’hui . Et moi je vais voir un gros client, je pars dans un quart d’heure, si vous avez des choses à me faire signer c’est le moment.
J’ai les jambes qui flageolent, je dois m’asseoir.
Je sors du bureau, lentement en disant non non, bonne journée
le Patron : bon eh bien je vous laisse
Robert : eh bien bonne journée chef. Et il rajoute , Cathy tu viendras me voir j’ai quelque chose à te montrer sur mon ordinateur.
J’avais envie de pleurer. Qu’allait ‘il me demander ? Il était certain que j’allais passer à la casserole.
Et si je partais prétextant un mal de tête.
Mais ne serait t’il pas furieux ? Que ferait il des photos ?
Alors, je pris mon courage à 2 mains et j’allais dans son bureau. Il me fit signe de venir vers lui pour que je puisse voir son écran. J’étais nue les cuisses ouvertes . Je sursautais quand sa main remonta le long de ma jambe passa sous la jupe pour s’arrêter sur mon sexe.
Lui regardait l’écran ,et moi je regardais si des collègues pouvaient se rendre compte de ce qui se passait .
Robert : tu es vraiment très jolie aujourd’hui, mais tu es trop habillée à mon goût. Tu vas immédiatement aux toilettes retirer collant, culotte et soutien gorge et tu me les ramène.
Moi (un sanglot dans la voix) ; hooo non tu ne peux pas me demander ça.
Robert (montrant son écran) : avec ces photos je peux tout te demander. Aller file tu as 5 minutes.
Je m’exécutais.
J’étais mal à l’aise, quand je marchais ma jupe rebondissait sur mes fesses. J’avais l’impression que tout le monde savait que j’étais nue. Pour le soutien gorge, c’était certain.
Plusieurs fois dan la matinée, Robert s’arrangea pour que l’on se croise, dans des endroit relativement discrets, à chaque fois il passait sa main sous ma jupe, me mettait un doigt , me pelotait les seins.
Je me disais que peut être il ne se passerait rien d’autre aujourd’hui. Je me trompais.
A 11h30 je reçu un appel : dans 5 minutes au moins 4
Comme une automate je raccrochais, me levais, allais prendre les escaliers.
Il était déjà là, toujours le même sourie satisfait aux lèvres. Js m’approchais doucement.
Robert : enlève ton pullover
Je l’enlevais
Robert : approche
J’approchais.
Il me caressa les seins, les malaxa (je fermais les yeux pensais à autre chose). Il me tordit si fort les tétons que je hurlais de douleur.
Robert : regardes moi quand je te caresse. Mets toi à genou et suce moi, sans fermer les yeux.
Je m’accroupis, défis sa ceinture, fis glisser le pantalon et le slip . Je fus surprise de trouver un sexe parfaitement épilé, qui sentait bon. Il bandait déjà comme un taureau.
Son sexe était large, au moins 6 centimètres, mais pas plus de 15 cm de long. Je l’ai décalotté, je suçais le gland et passant ma langue, je montais , je descendais. Je lui gobais les bourses. Je le branlais.
Il gémissait, respirait fort. IL me prenait par les cheveux, appuyait sur ma nuque, enfonçait son sexe au fond de ma gorge. Je m’étouffais, je pleurais, je bavais.
Je me disais que si je le faisais jouir par ma bouche il ne violerait pas mon intimité.
Eh bien je me trompais.
Robert (se retirant de ma bouche) : arrête tu vas me faire jouir. Mais retourne toi je veux jouir dans ta chatte. Il me pris par le bras, m’allongea sur le capot de la voiture. M’écarta les jambes. Je senti son sexe à l’entrée de mon minou. Il me pénétra lentement ; je sentais mes chaires s’ouvrir. Une fois au fond de mon ventre il resta sans bouger au moins 30 secondes. I faisait frémir sa bite dans mon ventre.. il me passa les poignets dans le dos. Ma poitrine ne touchait plus le froid du capot. J’étais mal, je souffrais
Cathy : Robert tu me fais mal arrêtes, lâches moi, tu n’as pas besoin de ça pour me baiser
Robert : ta gueule salope
Et il se déchaîna à grands coups de reins, il me pilonna la chatte. Il sortait presque entièrement, et revenait. Ses couilles claquaient sur mes fesses. J’étais secouée comme une poupée. Et d’un seul coup il me lâcha les bras, me prit par la taille, se colla à moi, et dans un soupir, grognement jouit en lâchant sa semence qui, je le sens me rempli le vagin .
Dans un dernier sursaut il se couche sur moi.
Il respire fort, il a du mal à reprendre son souffle. Lentement il se décolle de moi , je sens son sperme qui coule le long de mes jambes, quand je me redresse.
Je suis perdue.
Je me sens sale, mon visage doit ressembler à celui d ‘un clown mal maquillé. Mon maquillage à coulé, laissant de longues traces. Je ramasse mon pullover, qui traîne dans la poussière du garage .
Mais je n’ai rien pour essuyer mes jambes couvertes de sperme, et comment empêcher mon sexe de couler.
Je regarde Robert, assis sur le bord du capot, le pantalon aux cheville, il reprend son souffle. Son sexe est encore un peu raide. Il fouille dans la poche de sa veste, qu’il n’a même pas pris le temps d’enlever, et en sort un paquet de kleenex.
Robert : tu veux un mouchoir pour t’essuyer le minou ? Avec la dose que je t’ai mis il va couler pendant des heures.
Cathy: oui je veux bien.
Je tends la main
Robert : ok tu auras ton kleenex, mais avant nettoie moi la bite avec ta bouche .
Sans réfléchir, je me penchais, prenais le sexe pendant entre mes lèvres et dans ma main, et avec application je passais ma langue partout.
Après quelques instants je me redressais, tendais la main pour qu’il me donne les mouchoirs
Putain, tu es bonne tu as presque réussi à me refaire bandé .
Nous sommes remontés chacun de notre côté.
C’était l’heure du déjeuner,, j’ai eu la chance de rencontrer personne.
Ce jour là je suis parti tôt,je voulais prendre une douche avant que tu ne rentres.
Et surtout j’étais sans sous-vêtement.
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