Première expérience échangiste

- Par l'auteur HDS Alnicabe -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Première expérience échangiste Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Première expérience échangiste
je m'appelle Alain, je suis marié
j'ai 60 ans, 168 cm, 71 kg, cheveux poivre et sel, je ne suis pas trop mal conservé.
J'ai une jolie femme, dix ans plus jeune que moi. J'avais réussit à convaincre que le libertinage donnerait un coup de fouet à notre vie sexuelle. Mais notre première expérience ne fut pas une réussite.

Tout avait bien commencé, j'avais convaincu ma femme Catherine (160 cm, 60kg pulpeuse sensuelle) d'inviter Stéphanie et Axel, un couple de novices, comme nous, pour une soirée coquine. Nous les avions rencontré sur un site dédié aux rencontres libertines.

C'était en juillet, il faisait beau et chaud, je portais juste un bermuda et une chemisette. Catherine portait une petite robe courte et moulante sur un string. Ses talons mettaient sa croupe en valeur et galbait ses jambes.
Nos invités sont arrivés vers 20 heures. Ils étaient habillés comme nous très légèrement sauf Stéphanie qui portait en plus un soutien gorge, qui présentait son opulente et magnifique poitrine.

Installés sur la terrasse la soirée a commencé par une discussion à bâton rompu. Le tout arrosé d’un petit rosé.
Il était 22h, nous avions mangé tous les petits fours, et mon cubi de 3 litres de rosé, avait été vidé.

Je me dis qu’il était temps de prendre les choses en main, en voyant les 2 dames, (certainement un peu saoulent), somnoler . Axel lui ne bougeait pas, mais il matait sans gène les cuisses de ma femme, un peu avachie sur son fauteuil.

Je me levais, allais mettre de la musique d’ambiance, revenais sur la terrasse, prenais la main de Stéphanie, et l’attitrais à moi, pour qu’elle vienne danser. Elle ne résista pas et directement colla sa tête contre mon torse.Ses deux mains sur ma nuque me caressaient.
Dans le même temps, d’un signe de tête, je demandais à Cathy d‘aller inviter Axel qui ne demandait que ça.

Je laissais ma femme et notre invité me disant qu’ils étaient assez grands pour savoir ce qu’ils avaient à faire.
Ma cavalière, qui paraissait endormie, me serrait très fort, et tout en dansant langoureusement, frottait son ventre contre ma jambe.
Je baissais la tête, je commençais à lui faire des bisous dans le cou, sur la joue, je cherchais ses lèvres quelle me refusait.
Mes mains n’étaient pas restées inactives. Elles descendaient, et remontaient le long de son dos. A chaque descente elles s’aventuraient un peu plus bas. Et en remontant elles ramenaient la robe vers le haut du dos.
Quand le dos fut nu, je voulu dégrafer le soutien gorge, faire passer la robe par dessus tête, et l’embrasser. Mais elle résista à mes tentatives.
Moi (un peu déçu) il y a un problème Stéphanie tu refuses mes avances.
Stéphanie (timidement) : non j’ai très envie, mais pas devant mon mari que me regarde
je regardais en direction de l’autre couple, ils étaient entrain de s’embrasser langoureusement.
Moi : mais il ne te regarde pas, il est occupé avec Cathy.
Stéphanie : je préférerais aller ailleurs .
Moi : accroche toi
Et joignant le geste à la parole je la soulevais, je rentrais dans le salon et la déposais sur le canapé.
Moi : ici il ne peut plus te voir
Et je posais mes lèvres sur les siennes. Instinctivement sa langue vint à la rencontre de la mienne, pour un baiser intense.
Elle déboutonna ma chemise, l’a fit glisser. S’écarta légèrement, passa sa robe par dessus sa tête, dégrafa le soutien gorge. Et m’enfouit la tête entre ses deux seins.
Stéphanie : j’ai envie de que tu me baises, j’ai chaud partout.
Agréablement surpris par cette attitude, mes mains et ma bouche commencèrent à explorer son corps.
Mais elle repris l’initiative, porta les mains à ma ceinture qu’elle déboutonna, fit glisser le bermuda.
Elle saisit mon sexe déjà raide. S’allongea sur le tapis, écarta les cuisses, tout en tirant sur le coté son string, pour m’offrir son sexe luisant de mouille . Je voulu l’honorer avec ma bouche mais
Stéphanie : (criant presque) Non pas de cuni, baises moi.
Alors sans plus réfléchir, je la pénétrais d’un puissant coup de reins. Un long soupir rauque sorti de sa bouche.

Elle était déchaînée, elle me serrait dans ses bras. Ses jambes repliées autour de ma taille, retenaient mes coups de reins, pour que j’aille au plus profond de sa chatte.
Stéphanie (déchainée) vas y fort, très fort, (criant) prends moi comme une chienne oooohhhh oooouuuiiiiiiiiiiii, oui oui oui oui uiiiiiiiiiiiiiii
Puis elle partit dans un orgasme fabuleux. Ses jambes et ses bras se détendirent d’un seul coup et elle se cambra toue raide, et retomba, les yeux à moitié fermés, comme évanouie.
Son mouvement de reins fut si soudain et puissant, qu’elle m’expulsa de son ventre. Je retombais sur elle. Mon sexe tout luisant, glissa le long de sa fente jusqu’à sa rosette. Mais elle resserra les jambes, passa sa main entre nous, et me repoussa.
Stépahnie : whaooo, merci Alain, ça fait longtemps que je n’avait pas ressenti autant de plaisir.
Je me levais, lui tendait la main pour l’aider à s’asseoir sur le canapé. Nous étions en sueur, nous reprenions notre souffle.

Quand tout à coup on entend Axel en colère.
Axle : bon y’en à marre de cette comédie on s’en va.
Cathy : non attend, on va boire un verre, se calmer et ça ira mieux après.
Axel : Non J’ai dit non on se tire d’ici. Stéphanie tu te magnes ou ça va barder.
A ce moment là, Stéphanie et moi arrivons sur la terrasse .
Il est presque totalement vêtu.
j’interroge de signe de tête Cathy, qui me répond par une grimace
Stéphanie : que se passe t’il mon chéri ?
Axel (énervé) : tout va bien
puis voyant sa femme nue
Axel :(criant presque) je vois que tu as eu ce que tu voulais ? Tu t’es fait baiser par l’autre c*** (me désignant d’un geste de la main.
Moi : eh tu restes poli ; (m’approchant) si tu as un problème, on en parle calmement ou tu te casses. Mais tu ne fous pas le bordel chez moi.
Axel (se dirigeant vers la porte d’entrée). T’inquiète pas je me casse
puis s’adressant à sa femme avec agressivité : tu viens ou tu viens pas ?
Sans lui laisser le temps de répondre : bon je me casse mais on en reparlera.
Et il claqua la porte derrière lui .

Nous restons là, sans rien dire, quelques instants.
Stéphanie retourne dans le salon pleurant
MOI (allant retrouver ma femme) : mais que c’est il passé ?
Cathy : je ne sais pas, tout allait bien, il était doux et tendre. On avait commencé à se déshabiller, j’allais le sucer, quand on a entendu Stéphanie qui commençait à gémir et soupirer.
Et d‘un seul coup, il a débandé. j’ai essayé de rattraper l’affaire avec ma bouche. Mais il s’est retiré, à grommelé je ne sais pas quoi.
Je lui ai dit ce n’est pas grave, on va faire une pause et on reprendra un peu plus tard. Il m’a dit de me taire. Puis vous êtes apparus et tu connais la suite.

Stéphanie (rhabillée) : c’est de ma faute, c’est moi qui voulait cette expérience . Je suis désolée que ça se soit passé comme ça. Je vais vous laisser maintenant.
Cathy : ne soit pas désolée, ce n’est pas grave. Mais tu ne vas pas partir, comme ça, à cette heure. Tu vas rentrer comment ? Il a du prendre votre voiture ?
Moi : Cathy à raison, tu vas dormir ici et demain nous te raccompagnerons chez toi et nous essaierons de parler à Axel.
Après quelques secondes de réflexion, elle accepte notre proposition. Elle dormira dans le chambre d’amis.

Une fois couché
Cathy : toi au moins tu as de la chance, tu as tiré ton coup ce soir. Mais moi rien du tout, j’ai à peine commencé de mouillé qu’il m’a laissé tombé comme une vieille chaussette.
Moi : eh bien même pas. Si Stéphanie à pris son pied, moi je n’ai pas joui (et je lui raconte comment ça c’est passé). Donc tu vois nous sommes à égalité.
Nous rigolons ensembles et nous sous endormons.

Je me réveille Cathy n’est plus là.
Je me lève en enfilant un caleçon, je sors de la chambre, les 2 filles sont là, elles discutent assissent face à face sur le canapé. Elles ont chacune, une jambe repliée sous elle, l’autre pendante. Leur
t-shirt remonté jusqu’aux fesses. En arrivant, j’ai une vue plongeant sur leur intimité.
Automatiquement j’ai une bosse qui se forme au niveau de mon caleçon.
Moi (restant debout à 1 mètre d’elles): bonjour les filles remisent de vos émotions ?
Cathy : justement Stéphanie me disait qu’elle était encore désolée, et quelle ne savait pas comment nous remercier.
J’avais bien mon idée vu mon état, mais ma femme fut plus rapide que moi.
Cathy : j’ai bien mon idée, quand tu vois son état.
Stéphanie regarda dans la direction indiquée par ma femme. Elle rougit en voyant mon short déformé par mon érection.
Stéphanie (toute rouge) ça ne te dérange pas Cathy ?
Cathy : pas du tout
Stéphanie corrigea sa position, me tendit les bras, je m’approchais, mon ventre à la hauteur de sa tête.
Elle passa ses mains sur mes fesses, fit glisser la boxer jusqu’aux chevilles . Elle se recula pour esquiver mon sexe tendu qui sorti comme un diable. Elle le prit dans sa main droite, et très lentement l’avala jusqu’à la garde. Elle le gardait comme ça pendant quelques instants le temps que sa langue lèche mon gland en tournant autour. Puis elle commença, des aller et retour avec sa tête, les lèvres bien arrondies autour de ma tige.
Ma femme qui nous regardait tout en se caressant, se rapprocha tout à coup
Cathy : vous m’excitez tous les deux, et j’ai très envie de goûter le plaisir de mon chéri. qu’en penses tu Stéphanie ?
Stéphanie (se retirant pour répondre ): comme tu veux, je n’ai jamais embrasser une fille, et j’ai sucé une seule fois Axel à fond. Il à toujours éjaculé hors de ma bouche.
Cathy : pour moi avaler le sperme, je le fais souvent, mais embrasser une fille jamais fait.
Je me retrouve debout devant deux jolies femmes que me sucent en même temps. Je regarde tout en savourant, leurs lèvres et leurs langues sur mon sexe. A tour de rôle elles me gobent. Elles essaient autant que possible, d’éviter que leurs lèvres ne se touchent. Même si parfois elles s’effleurent.
Le spectacle et l’action de leurs bouches cumulées, je ne peux résister long temps. Très vite je leur indique que je vais jouir.
Stéphanie se recule légèrement, et je jouis dans la gorge de ma femme qui m’a englouti en gorge profonde. Quand je me retire, elle a les larmes aux yeux, et une partie de mon plaisir coule sur son menton. Avec sa langue elle en récupère un maximum.
En faisant ça, elle me regarde d’un air coquin, elle se tourne vers Stéphanie, qui regarde la scène sans bouger.

Cathy : approches toi, vient m’aider à le nettoyer complètement.
Lentement leurs lèvres se rapprochent de mon sexe toujours tendu. Au moment de toucher ma tige,
( les yeux fermés ) elles ne se comprennent pas et leurs lèvres se rencontrent.
Stéphanie dans un sursaut ouvre les yeux et recule en s’excusant auprès de Cathy.
Stéphanie (rougissante) : Désolé, je suis désolée.
Cathy (en souriant et en se rapprochant) ce n’est pas grave, c’était même très agréable.
Et elle repose ses lèvres sur celles de Stéphanie, qui écarquille encore plus les yeux, qui se crispe, mais qui ne fait pas un geste pour sortir de cette situation.
Les lèvres toujours collées, Cathy passe une main derrière la nuque de sa mairesse, pour accentuer la pression, tout en léchant, tout en douceur les lèvres toujours fermées de son amie.
Après quelques instants Stéphanie se détend. Ses mains viennent caresser les bras, puis le cou, et enfin le visage de ma femme. Leurs bouches s’ouvrent et laissent passer leurs langues pour un long baiser langoureux.

Je me suis assis dans un fauteuil, et je me régale du spectacle de ses 2 femmes qui vont faire l’amour devant moi.
Cathy pousse lentement Stéphanie qui se retrouve allongée sur la canapé . Avant de s’étendre, ma femme enlève son tee-shirt, se positionne entre les jambes de Stéphanie, qui se laisse faire.
Puis Cathy se penche en avant, avec ses tétons elle caresse le ventre, la poitrine de Stéphanie, qui c’est mise nue en déchirant le léger vêtement qu’elle portait.
Elles ont repris leur baiser . Ma femme malaxe les seins de Stéphanie, qui a étendu les bras au-dessus de sa tête, et qui gémi doucement. Elle ondule aussi du bassin frottant son pubis contre celui de ma femme.
Cathy se décale légèrement et sa main gauche descend le long de leurs corps, pour venir se poser sur la chatte de notre amie.
Elle sursaute, mais ne bouge pas.
Je vois la main explorer ce sexe en montant et descendant le long de grandes lèvres. s’arrêter pour vérifier avec le majeur l’intérieur.
Cathy (donnant son majeur à sucer à Stéphanie rougissante) : mais c’est qu’elle est trempée la cochonne
moi : je peux vérifier ?
Cathy : non
je reste à ma place.
Stéphanie se crispe quand deux doigts la pénètre. Pendant qu’elle la lime avec force, Cathy lui mordille les tétons.
Stéphanie lance des petits cris et et gémit en même temps. On ne sait pas si elle a mal ou si elle va jouir.elle se tort quand même dans tous les sens, elle lance son bassin en avant, comme si elle voulait que les 3 doigts (maintenant) la viole encore plus fort.
Elle prend du plaisir, on voit sa mouille, coulée sur la main de Cathy qui va de plus en plus vite de plus en plus profond.
Cathy : tu aimes ça Hein ?
Stéphanie : oh ooouuiii continue fort
Cathy : plus fort et plus gros tu aimerais Hein
Stéphanie oui oui plus fort, plus gros ouiiiiiiiiii plus gros
Cathy en changeant légèrement de position lui enfonce le poing en entier . Stéphanie écartelée et surprise, écarquille les yeux, et ouvre la bouche, comme si elle reprenait son souffle.
Cathy : c’est assez gros maintenant ?
Stéphanie (avec une petite voix) : oui va doucement
Ma femme corrige de nouveau sa position, et continue de baiser Stéphanie, qui a refermé les yeux et qui a l’air de beaucoup apprécier ce traitement.
Stéphanie (après quelques instants) : accélère s’il te plaît
Cathy :pourquoi tu veux que j’accélère ?
Stéphanie : j’ai envie de jouir
Cathy : montre moi que tu as envie
Stéphanie écarte les cuisses au maximum, en tenant ses chevilles avec ses mains
Cathy : belle position de cochonne
Sa main accélère , le vagin est entièrement dilaté, notre amie les yeux fermés gémit, elle va jouir.
Cathy : (avec un sourire sadique) dis moi que tu aimes et que tu veux jouir, dis moi que tu es une dépravée
Stéphanie (au bord des larmes ) : fait moi jouir, oui oui vas y, (elle crie) fort fort défonce moi ouiiiu
ouiiiiiiii, je suis ta pute ta puuute je ferai tout ce que tu veux mais defonce moi fooooort .
Cathy en sueur se démène comme une folle.
Puis tout à coup l’ogasme de Stéphanie explose. Elle hurle,
Stéphanie : hhoooo que t’es bonne ma salope, tu me fais jouir ouuuuiiiiiiiiiiiiii oh ouiiiiiiiiiiiii
Se débat et se tend comme un arc avant de retomber,pour ne plus bouger, les yeux fermés, comme évanouie. Seul son majeur de la main droite bouge. Il caresse très délicatement son clitoris.
Après plusieurs minutes de récupération, nous avons repris nos esprits les deux filles se sont rhabillées, et moi j’ai fini de bander, mais il n’en faudrait pas beaucoup pour que la mèche se rallume.
Nous dictons de ce qui vient de se passer.
Pour les 2 femmes c’était une succession de premières fois. Première fois homos sexuelles, première fois un fiste donné ou reçu, première foi faire l’amour avec un spectateur.

J’ouvris les yeux après un petit somme, ma femme dormait sur le canapé, les cuisses largement écartées. Stéphanie me tournait le dos, elle était à genou, et j’apercevais sa main entre deux aller et retour, qui lui caressait les jambes de la cheville au pubis.
Elle était légèrement penchée en avant et j’apercevais aussi, son dos, et le bas de son dos. Ses deux jolies fesses bien rondes, qui elles aussi ne demandaient qu’à être caressées.
Je m’approchais, sans rien dire, l’a prenait délicatement dans mes bras, que je passaient sous sa poitrine.
Surprise elle se figea un instant, puis se blottit contre moi. Elle continuait de caresser les jambes de Cathy, qui commençait à réagir aux caresses. Elle ouvrit les yeux, nous sourit, posa sa mains droite sur son sexe. Elle posa la main gauche, derrière la nuque de Stéphanie et l’attira vers son pubis. Notre maîtresse ne résista pas et sa bouche remplaça la main droite. Elle commença par de petit bisous sur le pubis, lécha jusqu’au nombril . Redescendit toujours avec sa langue jusqu’au vagin,
qu’elle pénétra le plus profond possible.
Pour être mieux installée, elle du se pencher en avant. Mon ventre collé contre son dos ne suivit pas la mouvement, et mon sexe glissa le long de la raie et se positionna juste à l’entrée de sa grotte toute humide. Elle sursauta, puis recula lentement et s’empala complètement sur ma tige. La vue de cette croupe, de ma femme allongée sur le canapé avec la tette de Stéphanie entre ses cuisses, je failli jouir.
Elle repris sa position, et sa langue recommença à monter et descendre le long des grandes lèvres, à titiller le clitoris qui devenait de plus en plus sensible.
Ma femme gémissait. Je prenais Stéphanie (toujours empalée) par les hanches et je commençais à la limer.
Le plaisir de chacun ne fut pas long à venir. La première fut Cathy tout à coup, serra les cuisses (coinçant la tête de son amante) et jouit dans un râle rauque et bruillant. Puis Stéphanie pris son pied sous mes coups de reins puissants et réguliers. Son orgasme fut si fort qu’elle m’éjecta de son sexe transformé en fontaine.
Stéphanie la tête toujours coincée, reprenait son souffle. Penchée en avant comme elle l’ était, bien cambrée, m’offrait son petit trou tout serré.
Sans hésité, je prenais ma bite toute luisante de mouille en main. La présentait à l’entrée de sa rosette et d’un simple coup de reins je m’enfonçais au plus profond de ses fesses.
Elle sentit une forte douleur cria
Stéphanie : Aie aie tu es fou ça fait mal, retire toi
elle essayait de se dégager mais je lui tenais fermement les hanches
Moi : c’est la première fois
Stéphanie : oui je n’ai jamais voulu qu’Axel me le fasse, c’est douloureux
Moi : tu vas avoir un peu mal, mais la douleur va vite s’estomper pour, laisser la place au plaisir
tu me fais confiance
Cathy : laisses toi faire ma belle, tu vas vite aimer.
Stéphanie (avec timidité) : ok, mais vas y tout doucement et si je te demande d’arrêter tu te retires .
Moi : Ok
je recommençais à la baiser lentement. Cathy s’était redressée et couvrait son visage de baisers.
Moi : ça va ?
Stéphanie : oui c’est mieux, je m’habitue
je repris ma chevauchée. Je sentais mon désir monter. Puis sans pouvoir me contrôler plus, j’ai eu envie de jouir. Une envie soudaine et violente, et je ne pu me retenir de me vider dans ce cul.
Moi . Désolé Stéphanie, mais à force de vous regarder faire l ‘amour , vous caresser, je n’ai pas pu me retenir.
Stéphanie : ce n’est pas grave, mais il est vrai que je commençais à m’habituer.
Je me dégageais, elle se leva
Stéphanie : (en portant sa main vers son anus) mais tu en à mis combien de litres ça coule de
mes fesses.
Nous nous dirigeâmes tous les trois vers la salle de bain, ou une douche nous fit du bien.
Vers 18h nous avons proposé de raccompagner notre nouvelle amie. Qui avait encore bien jouit sous les coups de langue de Cathy.
Au moment de se dire au revoir Stéphanie fit un doux baiser à Cathy. Se tourna vers moi et me présenta sa joue.
Moi : tu pourrais me dire au revoir mieux que ça.
Stéphanie jeta un coup d’oeil à Cathy qui nous regardait en souriant, puis elle posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue me pénétra, nos salives se mélangèrent. Sa main droite plaquée sur ma nuque, son corps collé contre le mien, j’eus instantanément une érection.
Alors , Je l’ai repoussé, je l’ai retourné, poussé en avant. Elle du s’appuyer sur les accoudoirs d’un fauteuil pour ne pas tomber. Je passais les mains sous sa jupe, la remontait jusqu’aux reins. j’avais une vue sur ce cul magnifique. Arrachais son string, sortis ma bite déjà raide, et je la dirigeais vers sa chatte, et la pénétrais en lui tenant fermement les hanches. Le baiser m’avait déclenché une telle excitation, que je la limais avec force à peine une minute avant de jouir au plus profond de son ventre.
j’étais essoufflé, je me retirais lentement, j’aidais Stéphanie à se redresser. Elle remettait de l’ordre dans sa tenue.
Cathy : (en me tapant sur l’épaule) ça va mieux mon chéri ?
Moi : oui merci, désolé j’ai eu une pulsion intense désolé Stéphanie
Stéphanie : ne t’excuses pas c’est aussi un peu de ma faute, je comprends que mon baiser t’ai enflammé. Et ce fut rapide mais très agréable quand même. Bon Axel va m’attendre peut être à bientôt les amis.
Une heure avant son mari lui avait téléphoné s’était excusé et avait proposé de venir la chercher.
Cathy (en voyant notre amie montée dans la voiture) : je paris qu’il va la sauter avant d’arriver chez eux
Moi : avec ce que je viens de lui mettre il va rentrer comme dans du beurre .

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle histoire, certe mauvais départ mais ce fut vite rattrapé....

Cyrille



Texte coquin : Première expérience échangiste
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