Aventure à la plage - histoire érotique

Je suis arrivée tôt à la plage, espérant retrouver Fred, seulement je remarque qu’il n’est pas seul. Je vois son fils, et allongée en contre bas, une femme, qui semble être sa femme.
Je me demande où est ce qu’elle était quand nous avons baisés chez lui, peut être en vacances…Je suis un peu déçue car j’avais envie de baiser aujourd’hui aussi, mais pas déçue qu’il soit marié, ça ne me dérange pas du tout.
Quand j’arrive, sa femme me regarde avec insistance, lui aussi mais est un peu plus gênée…Je m’installe, me déshabille, me passe la crème solaire en le regardant et en lui souriant. Cette situation m’excite, le voir me mater en ayant sa femme à côté de lui. Je ne me gène pas pour me caresser la chatte mais en faisant attention de ne pas me faire griller par sa femme et son fils aussi.
Il s’est mis dans une position pour pouvoir me regarder sans que sa femme ne capte quelque chose, c’est moi qui dois faire attention à ne pas éveiller les soupçons.
J’ai les jambes écartées pour qu’il puisse me mater, je m’allonge, gardant un œil sur lui.
Il joue avec son fils, sa femme elle semble dormir, elle me ressemble physiquement, brune, yeux marrons et une poitrine volumineuse mais néanmoins les miens sont plus gros. Elle doit faire un 95 C. Je ne suis pas étonnée de le voir avec une femme comme elle et d’être attiré par moi.

Je me lève, enfile mon string de bain, et file direction l’eau, il fait très chaud aujourd’hui et la température de l’eau doit être à 23, il y a des bancs de sables sur au moins 100 mètres. L’océan est encore à marée basse, les vagues sont plus ou moins fortes et il y a pas mal de courant. Il me regarde passer discrètement et me rejoins avec son fils.
Jean est là encore aujourd’hui, je ne l’avais pas remarqué, il vient dans mon dos et me cache les yeux. « Qui c’est ? » « Jean ?! » Il libère mes yeux, je lui fais la bise et lui demande comment il va depuis hier.
Fred ne cesse de me regarder, je m’allonge à la surface de l’eau, montrant fièrement mes seins. Jean fait de même à mes cotés tout en me prenant la main. Finalement ça tombe bien qu’il soit là, la femme de Fred n’aura pas de soupçons…Je fais un clin d’œil à Fred en me caressant les seins. Il me sourit et chahute encore avec son fils.
Sa femme arrive, elle me regarde et me sourit, je lui renvoie son sourire. Je me demande si elle sait, si elle est au courant et serait partante pour une partie à trois, voir 4 avec Jean.
Son fils, se dirige vers sa mère et laisse son père seul au large. Je le rejoins en prenant Jean par la main. Je dis à Jean qu’il faut qu’il fasse diversion pour que je puisse parler à Fred (que je montre discrètement du doigt), comme il y a sa femme, c’est un peu délicat.
« Tu veux que j’aille lui parler pour toi ? »« Non, non, je vais me mettre à califourchon sur toi et je ferais semblant de te parler alors que je lui parlerais à lui, toi tu guetteras sa femme. Si tu l’as voit arrivée embrasse moi .»« Ok ma belle .»Cette position est excitante, nous sommes tout les deux autant excités, il me caresse les fesses et m’embrasse dans le cou.
Nous nous approchons plus prêt de Fred et je dis :« Fred ! »Il se retourne et me fait des gros yeux, surement de peur de se faire griller.
« C’est bon, mon pote va faire diversion, ne tourne pas la tête, réponds juste par oui et non ! »« Ok»« C’est ta femme ? »« Oui mais…»« Ne t’inquiète pas je ne suis pas jalouse au contraire, ça m’excite… »« Cochonne .»« Je sais, elle ne serait pas partante pour une partie à 3 ou 4 avec mon pote ? Vu qu’elle m’a sourit, je me suis posé la question, elle est au courant pour nous. »« Non pour tout, elle ne prête pas. »« Dommage ! »« Elle te plairait pas, trop molle ! »« Ah c’est pour ça que tu baises avec moi et ton voisin ?! »« Oui »« Elle était où avant ? »« Chez ses parents en vacances avec mon fils. »« Ok ! Donc on pourra plus baiser ? »« Oh si ma belle, trop envie de toi !»« Ok rejoins-moi seul dans l’eau quand tu auras un moment. »« Ok »Il repart vers sa femme qui nous a vu discuter, c’est sur qu’elle nous a vu, mais la présence de Jean à dû calmer le jeu.
Je remercie Jean pour son aide en lui roulant une pelle très langoureuse, il me serre dans ses bras et me rend mon baiser. Il me caresse les seins, me caresse les cheveux, m’allonge le torse à la surface et continue ses caresses, il me complimente et me reparle de la veille avec l’envie de recommencer.
Ca y est j’ai encore envie de lui.
Nous restons dans ses positions, nous sommes après les vagues, nous avons encore pieds. Il me tient avec sa main sur ma hanche et faufile son autre main sur ma chatte.
« Humm, elle m’a manqué depuis hier ta petite chatte !! »« Tu bandes ?! Humm »« Tu m’excites tellement ...»Il glisse un doigt dans ma chatte en poussant mon string sur le côté. Il me branle doucement et je savoure ce délicieux traitement qui dure plus de 10 min, alternant avec mon clito et mon jardin d’amour. Je me relève, je l’embrasse et glisse ma main dans son maillot. Sa pine est bien dure et tendue vers moi.
Il gémit, m’embrasse, me caresse les seins et veux déjà me prendre là maintenant tout de suite !
« Enlève ton string poupée, je veux te faire jouir ! »Je m’exécute, et accroche mon string à la cheville. Il sort son sexe de son maillot et me soulève pour me mettre encore à califourchon sur lui. Ca rentre comme dans du beurre, et cette sensation est toujours aussi agréable, il m’embrasse, me câline et me baise avec tendresse et volupté.
C’est vraiment trop bon, pour ne pas se faire trop remarqué nous faisons sans blanc de jouer, nous plongeons dans les vagues toujours liés par nos sexes.
Il me caresse les seins les embrassent, les lèchent, les mordilles et pince mes tétons.
Il m’a baisé pendant au moins 20 min et nous avons jouis quasiment en même temps. C’était très très bon et j’en redemandais encore une fois fini.
Il me fait signe de la tête derrière nous et me dit :« Je crois que quelqu’un t’attend ! »Effectivement, Fred est de retour et seul, il est rentré dans l’eau et se dirige lentement vers moi tout en me fixant.
« Attends, j’ai encore besoin de toi, stp »« A vos ordres princesse mais ça se paiera… »« Ok »Fred est à notre hauteur.
« T’as femme n’a rien dit tout à l’heure ? »« Elle m’a demandait de quoi on parlait ? »« Tu as répondu quoi ? »« Que je connaissais ton copain, on a échangé quelques banalités. »« Ah ok »Il me regarde se rapproche de nous, nous discutons avec Jean histoire que sa femme ne nous rejoigne pas.
Il descend sa main dans l’eau vers moi et me caresse la cuisse, Jean me caresse aussi mais l’autre cuisse tout en discutant de tout et n’importe quoi.
Je fais de même avec ma main mais moi je touche directement sa bite, que j’effleure de la main au départ et que je prends en main par la suite. Il n’est pas très a l’aise et me demande d’arrêter.
Je suis déçue mais je comprends ses raisons et ne lui en tient pas rigueur. Il repart.

Nous repartons Jean et moi main dans la main en direction de mon emplacement, au passage il récupérera ses affaires.
Nous nous installons, et échangeons de longs et tendres baisers, avec des caresses sur tout le corps. Impossible pour nous de refaire ça ici, seules les caresses restent possibles à cacher. Je remarque que Fred ainsi que sa femme nous regardent. Nous nous asseyons et pendant que Jean me passe de la crème dans le dos, je m’occupe de mes seins, Fred me regarde encore mais sa femme elle s’est allongée, il se caresse parfois le sexe discrètement. Je lui fais de grand sourire, nous nous faisons des signaux quand notre jeu devient dangereux, autant pour lui que pour moi. Je me caresse maintenant la chatte et arrive à m’enfoncer deux doigts sans que les gens ne me remarquent, seuls Fred et Jean en profite.

Ils se préparent à partir, sa femme vient de s’habiller, lui range leurs affaires. Je dis à Jean de m’aider nous devons partir aussi.
Il me dit que ça craint pour la femme de Fred, elle va se poser des questions, je m’en fou, je veux qu’on se croise.
Affaires rangées, habits mis, ils commencent à partir, il passe devant nous et nous n’avons pas encore fini, elle me regarde, me sourit et me dit « bonne fin d’après midi » surprise mais je réponds « Merci bien, à vous aussi ». Quand Fred passe derrière elle est son fils, nous sommes aussi sur le départ. Je suis quasiment à côté de lui, je regarde autour de moi, la voie est libre, je lui caresse les fesses et lui chuchote : « à quand tu veux, tu as mon numéro… »Il hoche de la tête et me fait un signe de la main en me disant au revoir.

Jean me propose de venir dans son mobil home dans un camping pas loin de la plage. Je suis partante.
A peine rentrée il me prend dans ses bras et me dirige vers la chambre. Il me déshabille a toute vitesse, je lui enlève son short, je me mets telle une chatte sur le lit à quatre patte et lui dit de s’approcher. Il est sur les genoux quand je lui prends la queue pour le sucer en récompense de son aide. Comme à mon habitude, j’y mets beaucoup de cœur et il a l’air d’apprécier, il gémit, me dis que c’est bon et que je suce bien. Avant qu’il n’éjacule, il me retourne pour me prendre en levrette, il pousse d’un coup sec son sexe dans ma chatte, se qui me fait crié très fort, il met son doigt sur mon anus tout en me baisant. Je cris mon plaisir sans gêne, il me donne un coussin pour que j’y cris dedans… « Vas y défonce moi, plus fort, plus vite, mais baise moi à fond ! C’est bon, oui , oui, oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ! »Il m’allonge sur le dos, relève mes jambes et se positionne à l’entrée de mon cul.
Sa bite étant trempée de ma cyprine, il ne tarde pas à entrer. Que c’est bon, j’ai des frissons partout, il prend autant de plaisir que moi à ce que je vois. Il ne cesse de gémir, de faire des ohh, ahhhh, hummm… Moi comme à mon habitude je cris de plaisir. Il me défonce littéralement, sans ménagement mais j’ai tellement ça…Il me prévient qu’il va jouir !
Je le fais sortir et je m’installe pour le sucé, il giclera tout son foutre dans ma bouche pour mon plus grand plaisir, j’ai tout avalé en léchant les restes qui ont coulés sur mes seins. Et oui, j’arrive à me lécher les seins…
Après une bonne douche, je repars chez moi avec le cul défoncé sur lequel j’ai du mal à m’asseoir ! hihihi...