Départ pour une croisière 1ere partie

- Par l'auteur HDS Coquinette40 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Départ pour une croisière 1ere partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Départ pour une croisière 1ere partie
Cela fait plusieurs jours que j’organise mon départ pour ma croisière en méditerranée d’une semaine. L’embarcation est pour dans deux jours, nous sommes au mois de Juillet.
Je pars après une séparation difficile, j’ai besoin de prendre l’air, seule.
Après une journée de boulot harassante, il me tarde de rentrée de chez moi et de préparer ma valise. Je prends la route le lendemain tôt pour Nice, où le paquebot est amarré, je passe la nuit dans un hôtel près du quai.
Tout y est, maillot de bain, petits hauts sexy, robe de soirée, sous-vêtements affriolants mais aussi shorts, jeans pour les excursions, il me faut une valise pour les fringues, un sac pour les chaussures et un autre sac pour les produits de beauté. J’ai pensé aussi à prendre quelques jouets sexuels, mon plus fidèle compagnon ces derniers temps « rabbit » et mon duck pour mes bains solitaires…
Cette nuit là, je n’ai pas beaucoup dormi, trop impatiente d’y être, je prends la route au petit matin, pour éviter les bouchons des vacances, pour poser mes affaires assez tôt à l’hôtel et profiter de Nice. Il ne fait pas encore jour, il est 5h, je devrais arriver vers 12h ou 13h.


Je m’arrête sur une aire vers 7h30 du matin, le soleil est levé depuis un peu moins d’une heure et il fait déjà bien chaud, je lève la capote de ma voiture et enlève ma petite veste longue. Je suis en robe d’été. Je commande un café, un petit truc à manger et m’installe en terrasse. Les chauffeurs de poids-lourds sont aussi là et discutent fort, certains en espagnol, d’autres en allemand et quelques uns en français. Je remarque en buvant mon café que le groupe d’espagnols se retourne sur moi plusieurs fois, me déshabille du regard, parle et rigole toujours en me regardant. Un d’eux me fait un grand sourire et me fait un geste que je ne comprends pas de suite, il me montre ma poitrine et me montre de relever le haut de ma robe. Je baisse la tête et je vois que la bretelle de ma robe à lâchée et que part cette occasion on voit mon sein droit sous un soutien gorge en dentelle blanc qui laisse apercevoir mon téton. Je deviens rouge pivoine sur le coup mais fini par éclater de rire. Après tout ils ont déjà vu une paire de seins chez eux ou sur les plages alors… je remets comme je peux ma bretelle, remercie l’espagnol d’un « Gracias » et fini mon café. Il vient s’assoir en face de moi et commence à me parler. Je comprends l’espagnol mais là il parle trop vite. Je lui dis de ralentir, il m’explique que si je veux il peut m’aider à remettre ma bretelle. J’accepte, il vient derrière moi, se colle littéralement à moi, je sens une petite pression dans mon dos. Il faut recoudre m’explique t’il.
« J’ai tout ce qu’il faut dans ma cabine, venez ! » me dit-il.
Je le regarde d’un air suspicieux, et refuse. Il me dit alors qu’il va chercher de quoi recoudre et qu’il revient. Je vais à ma voiture et commence à chercher dans ma valise de quoi me changer, je crois moyennement en ses talents de couturier ! Il revient presque en courant, ses compagnons de route lui montre où je me trouve, il vient toujours en courant jusqu'à moi et me montre son aiguille et son fil.
Etant plutôt du genre sans gênes, je prends un débardeur dans ma valise et un short et commence à enlever ma robe pour lui donner. Je suis dans un endroit un peu ombragé et étant derrière ma voiture, le coffre ouvert il est le seul à pouvoir me voir ainsi. Je bredouille en espagnol « retourne toi, ne regarde pas » mais je sais bien au fond qu’il ne le fera pas. J’enfile mon débardeur rapidement, puis mon short lorsque je sens un souffle chaud dans la nuque, puis un corps se coller au mien, un sexe durcir contre mes fesses et ses mains sur mes hanches. Je me retourne vers lui, il me sourit, me prend la nuque d’une main et m’embrasse goulument.
Je ne le repousse pas, je suis déjà excitée, je suis déjà sous son emprise. Il me caresse les seins, puis les fesses, le dos, revient sur mes seins, descend sur mon ventre, faisant glisser une main sur mon puits d’amour, mon short n’étant pas fermé, il pénètre directement dans mon string. Sa main se retourne dans mon string, il agite ses doigts sur mon clito déjà bien bandé et mouillé par ma sève. Nos langues joues ensembles, mes mains sont en actions aussi sur son corps, l’une d’elle caresse fermement son pénis, il est en jeans et malgré un tissus épais, sa bite bandée déforme celui-ci et je sais déjà qu’il est bien foutu.
Il baisse mon short, me fait basculer dans le coffre, je suis assise sur le bord du coffre et le dos contre ma valise. Il s’accroupie et joue de ses doigts dans ma chatte, de son autre main il joue avec mon clito, je ne vais pas tarder à jouir à ce rythme là. Il écarte fermement mon string et vient lécher du bout de sa langue mon puits, il entre et ressort pour titiller mon bouton… Je me crispe, je gémis un peu bruyamment mais je m’en fou car je prends mon pied. Je lui attrape les cheveux, appuie fermement sur sa tête, il comprend ce que je veux et me lèche vivement et rapidement le clito, je ne cesse de répéter : « je jouies, je jouies, oui, je jouiiiiiiiiies ! ».
En se relevant il m’embrasse langoureusement, d’une main, il prend une capote dans sa poche puis défait son jean, baisse son caleçon, enfile la capote et viens me pénétré avec douceur. (A mon avis il n’était pas parti chercher que du fil et une aiguille…) Il me caresse les seins que je libère de leur prison de tissus, il se jette dessus et les embrasse, lèche et mordille mes tétons tout durs. Il me baise avec force à présent, j’écarte bien mes jambes aux extrémités du coffre. Je me rends compte après quelques minutes de ce traitement qu’il doit avoir mal aux genoux, car ceux-ci butent contre la carrosserie à chacun de ses coups de bite. Je le pousse en appuyant sur son torse, je me relève et appuie mes mains contre le coffre. Il m’attrape les fesses et vient me besogner avec force à présent. En tournant la tête, je remarque que nous ne sommes plus seuls, que tous ces potes sont autours de nous. Ils sont 5 en plus de lui, ils prennent tous leur queue à la main et se branlent. Ca m’excite encore plus. Pendant qu’il me besogne toujours, je sens des mains se poser sur mes fesses, d’autres sur mon dos, je sens des bites aussi se frotter contre mon ventre et mes épaules. Ils se sont approchés et veulent surement eux aussi un peu de mon corps. Je fais signe à l’un d’eux de venir s’asseoir dans le coffre. Pour ma part c’est pour moi le plus beau, il a des yeux verts et un sourire à tomber. Je prends sa queue en main et lèche délicatement le gland, le contour de sa queue et prends maintenant ce bâton de chair bien bandé en bouche et le suce. Mon cavalier de chatte sort et vient éjaculer sur mes fesses, il me frappe les fesses avec sa queue et dit en espagnol « bueno » !
Celui que je suce goulument veut prendre sa place, je remarque que certains on déjà éjaculés, mon cavalier de chatte demande à un type quelque chose que je ne comprends pas.
Le beau, enfile aussi une capote et entre dans ma chatte ouverte en grand, il gémit en entrant et commence un vas et viens qui me propulse en avant dans le coffre. Ses coups de reins sont féroces, j’ai le buste contre mes valises, le cul en l’air et un fou furieux dans la chatte qui me baise comme une bête. Je cris plus fort, je sens mon point G grossir, je ne vais pas tarder à jouir. Il crache à présent sur mon petit trou, ses doigts titillent mon cul et entre sans difficultés. J’ai envie qu’il m’écarte ce petit trou avec sa grosse bite et son coup de rein merveilleux.
Il sort de mon puits d’amour et me prodigue un annulingus comme jamais j’en ai eu et pour lui montrer que je suis « open », je glisse deux de mes doigts dans mon trou encore un peu serré. Il se relève se recule, ils sont tous là, la queue à la main et me regarde me doigter le cul.
Tous les hommes viennent vers moi et m’attrapent, ils me posent sur un matelas que je n’ai même pas vu arrivé, ils me manipulent comme un pantin, mon cavalier de chatte s’allonge sous moi et un autre vient au dessus, l’un s’enfile dans mon cul et l’autre entre délicatement dans mon puits d’amour… Je jouies à peine les deux queues en moi, un jet de cyprine gicle sur eux. Je cris sans me retenir du bruit que je peux faire et me laisse totalement prendre par ces deux espagnoles visiblement en manque de femmes et de sexe. J’ai jouies trois fois pendant cette double pénétration, ils ont jouis sur mes seins et mon visage. Je suis souillée de partout, allongée sur ce matelas les jambes encore écartées, je reprends mon souffle doucement. Ils se relèvent, m’embrassent et m’aident à me rhabiller et monter en voiture. Il est presque 9h15, il faut vraiment que je parte sinon je n’arriverais jamais à Nice. Ils m’ont tous fait un signe de la main, mon cavalier de cul et de chatte, m’a donné son numéro de téléphone en me disant “appelle moi, ma belle”. Il me donne un baiser et je suis partie.
Je crois que je n’oublierais jamais cette journée.

En roulant, je me suis dis que j’avais pris mon pied avec de parfaits inconnus, je ne connais même pas leur prénom mais ce fut une de mes plus belles expériences sexuelles.
J’ai roulé à présent sans m’arrêter jusqu'à Nîmes il ne me reste à présent plus que 3h…
Sur une aire après Nîmes, je prends de quoi manger vite fait pour reprendre la route rapidement.
Je me rends compte que je suis encore bien mouillée de cette baise intense, ça m’émoustille un peu mais je ne me laisse pas envahir sinon je vais avoir une envie de ma caresser et je n’ai pas vraiment le temps.
Allez hop, c’est reparti pour 3h. Il commence à y avoir du monde sur la route mais en repartant à l’heure du repas je fus tranquille la première heure. C’est vers Aix en Provence que la grosse affluence est arrivée, grâce à mon gps je décide de prendre quelques routes secondaires pour reprendre l’autoroute un peu plus loin vers Cannes. Malheureusement en entrant sur l’autoroute à Cannes, les bouchons sont encore bien plus denses, j’y suis dedans, les voitures roulent au pas et sur certaines files ça n’avance plus.
Je rêvasse un peu puis repense à ma matinée avec les espagnols, j’ai encore envie, dans un geste non conscient ma main se pose sur mon puits d’amour, je commence à me caresser lentement… Lorsque je reprends mes esprits, je remarque qu’un mec dans un 4x4 à côté me fixe, je lui lance un petit sourire coquin et remets ma main où elle était. La file avance toujours au ralentie, je décide de défaire la fermeture de mon short et d’y glisser ma main. Je me caresse à présent sans gênes au milieu de centaines d’automobilistes… Je suis toujours matée par le 4x4 mais aussi par le passager d’une voiture à ma gauche, il m’a gratifié d’un pouce levé avec un sourire. Ma main s’agite dans mon short, mes doigts effleurent mon clito et jouent avec, je suis bien. J’ai envie d’un de mes jouets, il vibrerait et ferait tout le travail à ma place. J’attrape mon sac à main et cherche mon œuf vibrant (ah oui lui aussi est venu avec moi en vacances, il me suit partout où je vais).
Je montre bien au 4x4 mon jouet, il écarquille les yeux et me fait un signe de tête approbatif. J’écarte mon short et mon string en me relevant un peu et l’y glisse. Il est dotait d’une télécommande que je pose sur mes jambes. Dès la première vitesse, je sursaute et me détends dans mon siège. C’est trop bon. Les vibrations de mon œuf stimule si bien mon clito encore trempée, je sens qu’il chauffe, j’augmente la vitesse progressivement, à chaque vitesse, le plaisir monte. La dernière vitesse aura eu raison de moi, je jouies, et laisse échapper un petit râle de plaisir. Je suis persuadée que le 4x4 à son chibre en main et se branle en vue de son bras qui s’agite de haut en bas. Je mets la musique un peu plus forte et reviens plus concentrée sur la route.
C’est au bout d’une heure et demie de bouchon que j’arrive enfin à Nice.
Je trouve mon hôtel rapidement, je dépose mes affaires dans ma chambre, petite mais suffisante pour une nuit. Je prends rapidement une douche, et descend pour faire le trajet jusqu’au quai histoire de savoir combien je mets de temps pour y aller et être à l’heure demain pour l’embarcation. Il faut que je sois à 8h au bateau. Il me tarde !
J’en profite après pour me balader dans Nice, je fais quelques emplettes, un maillot de bain léopard attire tout particulièrement mon attention, l’essayage me convient, ma poitrine volumineuse est mise en valeur et le bas est échancré juste ce qu’il faut. Je me rends également dans un sex shop, peut être que j’y trouverais un nouveau jouet.
En entrant je flash sur un bijou annal (rosebud) avec un diamant rose, il coûte un peu cher mais je ne résiste pas, j’adore avoir mon ptit trou rempli. La vendeuse vient pour me renseigner, je prends une taille M, c’est mon premier on va y aller doucement. J’ai choisi aussi un string rouge ouvert.
Je suis ravie de mes achats, je cherche un petit restaurant sur le port et après je rentre dormir à l’hôtel car la journée fut chargée et je veux être en forme demain pour ma première journée à bord du bateau.

Il est 20h quand je me décide pour un resto pizzeria face au port, la terrasse est bondée, je suis obligée de faire la queue. Il se passe un quart d’heure quand le serveur revienne vers moi en me disant qu’il y a enfin une table qui se libère, je le suis jusqu'à la table, il me donne la carte des boissons et me propose un punch maison, que je prends. Je suis face à la mer, il y a un homme à côté de moi qui semble captivé par son téléphone. Il est charmant, bronzé, lunettes de soleil, brun, silhouette musclée, habillé d’une chemise légère et d’un bermuda beige en lin.
J’essaie d’être discrète pour le mater mais mes regards sont assez insistants, il relève enfin la tête de son téléphone, me regarde et me sourit. Je lui rends son sourire, c’est à ce moment là que le serveur m’apporte mon punch avec la carte des menus.
Mon voisin de table lève son verre et le dirige vers le miens, en me disant « tchin » ! Il a un accent italien, il me fait de l’effet. Petit à petit nous engageons la conversation et finissons notre repas ensembles, nous avons parlé de tout et de rien, lui est ici pour du boulot, il est bien italien et à 32 ans. J’en ai 25, l’âge m’importe peu et j’aime beaucoup les hommes murs pour leurs talents de donner du plaisir aux femmes.
Il me propose d’aller boire un verre après le resto dans un bar branché mais je suis contrainte de refusé car le lendemain je me lève tôt. Il semble déçu, je lui propose donc de venir dans ma chambre pour boire un dernier verre. Evidemment j’ai une idée derrière la tête, il m’excite ce type, j’ai envie de baiser alors s’il est OK c’est parfait. Il accepte, il m’offre le repas et nous partons en direction de l’hôtel.
Arrivés dans la chambre, je lui demande ce qu’il veut boire, nous commandons à la réception deux cocktails. Nous nous accoudons à la fenêtre et regardons le paysage, la douceur de la nuit et les lumières du port rend l’ambiance romantique. Il me complimente sur mon regard qu’il trouve ravageur, « regarde-moi » me dit-il, nous nous fixons et au moment où il s’approche de moi, le service d’étage frappe à la porte… Il va chercher les commandes, me donne mon verre et nous trinquons toujours sur ce bord de fenêtre. Nous posons nos verres sur la table, il me dit « on en était où déjà ? » faisant mine de ne pas savoir, je vais m’asseoir sur le lit en le fixant du regard.
Il s’approche de moi, se met à genoux et me dit « ah oui si je me souviens, je regardais tes yeux, je peux ? ». J’oche la tête, il s’approche de mon visage, regarde mes yeux et n’y tenant plus je l’embrasse. Il me prend le cou, me caresse les cheveux et s’allonge sur moi. Nous tournons et je me retrouve sur lui les jambes écartées, ma chatte contre son sexe. Je suis allongée sur lui, mon corps se love contre le sien et nous nous embrassons langoureusement.
Il me dit à plusieurs reprises "sei bellissima" ! Il me retourne sur le dos, et commence à me déshabiller, il embrasse tendrement toutes les parties de mon corps qu’il découvre. Je suis excitée, j’ai envie qu’il me lèche, qu’il me baise et qu’il me déflore le cul. Il arrive à présent sur mon sexe trempé, il fait un « humm » et engouffre sa tête entre mes cuisses. Il me lèche la chatte avec volupté, son souffle chaud et sa langue humide me font grimper au rideau rapidement. Je le repousse en arrière et lui défait avec frénésie son bermuda. Le bout de son sexe sort de son caleçon, il est super bien foutu, sa bite est même énorme, longue et épaisse. Je l’engouffre rapidement dans ma bouche et lui prodigue une fellation tendre et langoureuse au début. Elle ne rentre pas entièrement même à gorge profonde. A ce moment là, je pense au moment où il va me l’a foutre dans la chatte et peut être même dans le cul. Mes pensées m’excitent encore plus et je le suce à présent rapidement puis je ralentis, je joue avec son gland et je recommence rapidement. Il me fait comprendre qu’à ce rythme là il ne tiendra pas longtemps. Il me relève contre lui et m’embrasse, j’en profite pour finir de le déshabiller. Il me relève une jambe et avec son sexe caresse ma chatte encore bien trempée. Il met la capote que je lui donne, il me bascule en arrière et vient s’engouffrer en moi. Dès son entrée, je sens des frissons me parcourir le corps, le plaisir est déjà là. Je ferme les yeux par moment comme pour savourer encore plus ses vas et viens, quand j’ouvre à nouveau les yeux son action sur moi m’excite au plus point, je vois sa bite rentrée en moi rapidement. Je me lâche totalement et je sens que je ne vais pas tarder à jouir. J’essaie de me retenir pour que le plaisir soit encore plus grand. Mes cris l’encouragent à aller de plus en plus fort et de plus en plus vite, je suis stupéfaite par ses ressources d’endurance. Je veux à présent qu’il me prenne le cul, je me mets donc en position de levrette et lui dit « baise-moi le cul ! » il semble surprit mais ravit aussi je pense. Mon galant italien, n’hésite pas et prépare mon cul à recevoir sa longue et grosse tige. Il me lèche, et entre un doigt, voyant que je suis réceptive, il rajoute un autre doigt tourne à l’intérieur de mon trou, il faut qu’il me dilate plus sinon je risque de ne pas apprécier le passage de sa bite.
Ses doigts et sa langue m’ont à présent bien ouverte, je suis prête à l’accueillir…
« Vas-y maintenant baise moi » lui dis-je
« Tu vas voir ce que tu vas prendre petite chienne »
Nous sommes complètement désinhibés, nous nous sommes insultés tout le restant de la baise.
Il pénètre lentement mon cul, il fait ça trop gentiment à mon goût, du coup je prends les choses en mains et je me balance d’avant en arrière sur ce bâton de chair que je sens grossir de plus en plus. Salope, pute, chienne, trainée voila comment je m’appelle à présent pour lui. Les siens sont, salaud, pervers, grosse bite, connard aussi.
« T’aimes ça hein mon salaud ?! »
« Oh oui grosse chienne, et toi tu l’aimes ma bite dans ton cul !!! »
Il a attrapé mes cheveux et me baise comme un ogre, son souffle est rauque, moi je cris sans retenues, quand je prends mon pied comme ça plus rien n’existe autour.
Je sens dans mon cul qu’il ne va pas tarder à jouir, moi aussi mon point g et stimulé au plus haut point. Ma jouissance l’excite, il me donne quelques coups de rein de plus et il jouit en moi. Nous nous affalons l’un sur l’autre. Après quelques minutes nous avons reprit nos esprits.
Je lui propose d’aller se doucher.
Je me suis remise au bord de la fenêtre, nue, il fait chaud et le mistral me fait un bien fou. Je bois quelques gorgées de mon cocktail et attend qu’il sorte de la salle de bain.
Il me dit, qu’il ne va pas tarder, que de toute façon il faut que je me couche tôt. Je lui demande de rester un peu, jusqu'à ce que je m’endorme, je n’aime pas rester seule. Il accepte.
Nous nous sommes couchés dans les bras l’un de l’autre devant la télé. Je n’ai pas fait long feu, la journée à vraiment été éprouvante. Vers 4h du matin je me suis réveillée, il était plus là, j’avais soif, je rallume la lumière et je vois sur la table de nuit un petit mot qui disait « Merci ma coquine aux yeux ravageurs, c’était fantastique, kiss » !
Je me suis recouchée après avoir bu et avec le sourire.

6h du matin mon réveil sonne, c’est l’heure faut que je me lève, c’est le grand jour. Après une heure passée à la salle de bain je choisis mes vêtements de la journée, un jean moulant, mes escarpins fétiches, un soutif blanc décolleté et un petit chemisier blanc. Je range toutes mes affaires dans les valises, prends mon billet, et files à la réception prendre mon petit dej’ et payer la note. Je ne traine pas, je pars de l’hôtel à 7h45, je gare ma voiture sur un parking réservé aux voyageurs. Je traine mes sacs et valises jusqu'à l’embarquement et enfin j’y suis.
Suite très prochainement...

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