Rencontre sur une plage nudiste suite 2 !
Récit érotique écrit par Coquinette40 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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Rencontre sur une plage nudiste suite 2 !
Nous repartons de la plage, sur le trajet, il me met la main sur la cuisse et me demande si j’ai aimé cette journée avec lui. J’avoue avoir passé une journée riche en émotions et en sensations. Je ne suis pas du tout déçue mais j’avais envie de plus de frissons et prendre plus de risques. Mon autre fantasme c’est de baiser dans un endroit encore plus insolite, de changer d’endroits chaque fois que ça devient de plus en plus chaud et de terminer sur un parking soit d’une boite échangiste, soit sur une aire d’autoroute où il y a des chauffeurs poids lourds en manque de baise. Il semble surpris par mes dires et me demande si je plaisante, je confirme mes dires et il laisse échapper un sourire de satisfaction. Je lui explique assumer complètement mes choix, mes désirs, mes fantasmes et ma façon d’être. Je ne suis pas une salope, juste une jeune femme qui aime le sexe, donner et prendre du plaisir sans tabous.
J'imaginais qu’il allait me faire plaisir et m’emmener réaliser mon fantasme, il ne semble pas très chaud car il me ramène à ma voiture, m’embrasse et me laisse là sans m’inviter à entrer. Un peu déçue, je rentre dans ma voiture et jure de le rendre fou le lendemain sur la plage. Il m’a invité à le rejoindre l’après midi à 13h30. Je suis encore devant chez lui, en train de réfléchir à mon plan, que quelqu’un frappe à la vitre de ma voiture, me faisant sursauter. Qui croyez vous que c’est ? Fred ? Et ben non, c’est son charmant voisin.
Je lui ouvre la portière, l’invite à entrer et lui demande se qu’il fait là à une heure aussi tardive ? Il dit nous avoir aperçu revenir mais ne me voyant pas repartir et fred pas revenir, il s’est invité, espérant que je ne parte pas avant qu’il n’arrive.
Nous discutons, de tout et de rien et de fil en aiguille nous parlons de nos points de vue sur le sexe et le plaisir… De nos fantasmes, quand je viens à parler du même fantasme que celui que je venais de dévoiler à Fred, il est très excité, et une bosse se forme dans son short. En regardant autour de nous, je vois que Fred est devant sa fenêtre probablement en train de nous regarder. Ça m’excite encore un peu plus que je l’étais déjà suite à ma conversation avec Pascal (le voisin).
Je détourne mon regard sur Pascal et m’approche pour l’embrasser, il est très réceptif et me caresse les cuisses passant ses doigts sous ma jupe un peu relevée. Je passe ma main sur son bâton de chair bien dur.
Je recule son siège au maximum, m’installe devant lui et sort son sexe de son short pour une fellation dans l’art et la manière… Je suis sure que Fred est toujours à sa fenêtre en train de mater et pour vérifier, je me relève pour embrasser Pascal, Fred est toujours là. Je propose à mon amant de sortir de la voiture, et de baiser dehors sur le capot de la voiture, la rue étant déserte à cette heure si, il n’a pas de risques de se faire voir par ses autres voisins. Il accepte sans broncher et me voila allonger sur le capot, les jambes écartées, la jupe relevée et une langue experte en train de me lécher. J’ai la tête tournée en direction de la maison de Fred et je vois qu’il part de la fenêtre, je vois la lumière du couloir s’allumer. Mince, il arrive… Je propose à pascal de partir ailleurs et de réaliser mon fantasme, il accepte. Nous remontons dans la voiture, je vois les lumières éteintes, et la porte d’entrée s’ouvrir, Fred arrive, je démarre la voiture, il semble surpris de nous voir partir. J’avance doucement, laissant assez à ma chatte pour que Pascal continue de stimuler mon clito. Je regarde dans mon rétro et voit que Fred monte dans sa voiture. Je souris et est sûre qu’il va nous suivre. Pascal me demande où nous allons et je lui réponds, sur une aire d’autoroute. Il sourit et me dis, tu vas te faire tringler par tous les trous, je lui réponds oui mais d’abord avec lui, je jette à nouveau un œil dans le rétro et Fred nous suit. L’aire d’autoroute la plus proche et la plus fréquentée par les chauffeurs n’est qu’a 10km.
Nous y sommes rapidement, Fred nous a bien suivi, Pascal s’est branlé avec mon aide de temps à autres pendant le trajet. Nous arrivons sur le parking et je vois quelques lumières allumées dans les cabines des camions.
J’avoue être un peu stressée mais impatiente de reprendre ma partie de jambe en l’air avec Pascal en ayant Fred comme voyeur. Je ne veux pas que Fred se joigne à nous, il m’a planté devant chez lui, alors il va souffrir d’un mal de bite trop bandée ou se masturber tout seul, sans avoir le plaisir d’être lécher par ma langue, ni être au chaud dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul.
Un peu garce sur les bords j’avoue…
Pascal est toujours très excité et me dit « alors on l’a continue cette baise ? », en 30 secondes, nous sommes dehors, même position que devant chez Fred, sauf que cette fois ci j’ai les seins à l’air, que je masse frénétiquement en regardant en direction des cabines. Un chauffeur, nous regarde, il semble ahuri par ce qu’il voit, se frotte les yeux et surement le manche. C’est le plus près de nous, donc il a une aussi bonne vue que moi, seulement moi je ne vois pas s’il se branle ou pas.
Les coups de langues de Pascal sont très bons, et je ne vais pas tarder à jouir, Fred est toujours garé au loin, mais n’est plus dans sa voiture, il est devant, se masturbe en nous regardant. Etant garé entre deux gros arbres difficile pour les camionneurs de le voir. Moi par contre je vois tout mais de loin, seuls ses gestes ne sont pas discrets. Je suis en train de partir, ma jouissance arrive, les chauffeurs sont de plus en plus nombreux à être réveillés et à nous mater… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, ça y est je jouie, d’une telle force que j’en ai les jambes toutes tremblantes, ma chatte est inondée et mon lécheur veut que je le suce. Je m’accroupi devant lui et commence une longue fellation. Je joue avec son gland qui est véritablement très sensible, à la moindre succion il gémit et me demande sans cesse de continuer. J’alterne tout de même entre les gorges profondes, les succions, le baisage de bouche et la pipe langoureuse et douce. Après un traitement de faveur de plus de 20 min je pense, il jouit dans ma bouche. Je prends le soin d’ouvrir grand la bouche, de montrer à mes camionneurs et de tout avaler. Je vois que deux hommes s’approchent de nous, je suis tellement excitée que je ne suis même pas inquiète de savoir se qu’ils me réservent. Fred s’est avancé, la bite toujours à la main, collé contre un arbre.
Pascal, s’occupe de se rhabiller.
Je assise dans l’herbe, les deux hommes arrivent et me demande si j’ai encore besoin de coups de bites où pas ? Je vois que le camionneur le plus prêt, descend de sa cabine et se dirige aussi vers moi. Je réponds que je suis en manque. Les trois hommes debout devant moi, baissent leur pantalon et prennent leur bite en main. Pascal, s’étant rhabillé me dit qu’il va boire un café à la station, en me faisant un clin d’œil. Je suis un peu inquiète mais je sais que Fred n’est pas très loin au cas où.
Un homme me dit d’une grosse voix « alors tu nous suces ou quoi ? » Je réponds d’un aplomb « d’abord c’est vous qui allez me faire du bien ! »
Le deuxième me dit « ok, les femmes d’abord »
Le troisième ne perd pas de temps, et m’allonge sur le sol, écarte mes jambes et glisse deux doigts dans ma chatte, il me branle fort et tourne ses doigts, il baissera sa tête pour me lécher le clito, un peu maladroitement mais c’était plutôt bon. Le 1er vient me lécher les seins et le 2ème me présente sa bite à la bouche, oubliant mes précédents dires par l’excitation, je prends sa bouche et le suce avidement. Ils m’insultent, se qui me stimule encore plus. Le 3ème enfile un préservatif et m’empale sans ménagement, il ne durera pas longtemps mais sa bite étant large, il me procura un plaisir intense. Les deux autres veulent me prendre en même temps.
Je ne réfléchi même pas, laisse le 1er s’installer sous moi et le 2ème au dessus, je sens une bite rentrer dans ma chatte et une langue me lécher le cul en introduisant un doigt, puis deux, un troisième et maintenant un bâton de chair tout chaud et bandé forçant un peu pour rentre. Le 1er me baise doucement et s’arrête pour laisser la place à mon enculeur. Ils y sont et j’hurle de plaisir, il me baise fort, faisant parfois sortir leur bite mais mes trous étant bien ouverts, ils n’ont pas de difficultés pour re rentrer. Ils sont plus endurants que le 3ème et sont bien faits. Ils doivent avoir entre 40 et 50 ans. J’aime les hommes d’âge mur. Fred ? Oups j’ai oublié que Fred ét ait là, d’ailleurs il n’est plus là, Pascal, je ne sais pas non plus…
Les coups de bites me font vite oublier une nouvelle fois Fred et Pascal.
Les deux hommes vont baiser sans ménagement pendant une bonne demi-heure… Il doit être 4h du mat’…
Ils se sont vidés sur mes seins et mon visage. Le 3ème est déjà reparti à son camion.
Je me rhabille un peu, en cherchant Pascal et Fred du regard, je remercie mes baiseurs, et ils repartent à leur camion.
Je me dirige vers la station à la recherche de Pascal, je vais aux toilettes, je regarde sous les portes et je m'arrête stupéfaite en voyant 4 jambes d’hommes et visiblement elles sont à Fred et Pascal. Vu les bruits, ils ne sont pas en train de discuter mais plutôt en train de baiser. Je ressors, prends un bout de papier et vais le glisser sur le pare brise de Fred. « Il semblerait que savez bien vous occuper sans moi, vous n’aurez pas de mal à rentrer ensembles » !
J’ai pris ma voiture et est rentrée chez moi, je ne suis pas allée à la boite nuit cette nuit là, trop épuisée. J’ai dormi jusqu’au lendemain 14H00.
Plage ou pas ?
J'imaginais qu’il allait me faire plaisir et m’emmener réaliser mon fantasme, il ne semble pas très chaud car il me ramène à ma voiture, m’embrasse et me laisse là sans m’inviter à entrer. Un peu déçue, je rentre dans ma voiture et jure de le rendre fou le lendemain sur la plage. Il m’a invité à le rejoindre l’après midi à 13h30. Je suis encore devant chez lui, en train de réfléchir à mon plan, que quelqu’un frappe à la vitre de ma voiture, me faisant sursauter. Qui croyez vous que c’est ? Fred ? Et ben non, c’est son charmant voisin.
Je lui ouvre la portière, l’invite à entrer et lui demande se qu’il fait là à une heure aussi tardive ? Il dit nous avoir aperçu revenir mais ne me voyant pas repartir et fred pas revenir, il s’est invité, espérant que je ne parte pas avant qu’il n’arrive.
Nous discutons, de tout et de rien et de fil en aiguille nous parlons de nos points de vue sur le sexe et le plaisir… De nos fantasmes, quand je viens à parler du même fantasme que celui que je venais de dévoiler à Fred, il est très excité, et une bosse se forme dans son short. En regardant autour de nous, je vois que Fred est devant sa fenêtre probablement en train de nous regarder. Ça m’excite encore un peu plus que je l’étais déjà suite à ma conversation avec Pascal (le voisin).
Je détourne mon regard sur Pascal et m’approche pour l’embrasser, il est très réceptif et me caresse les cuisses passant ses doigts sous ma jupe un peu relevée. Je passe ma main sur son bâton de chair bien dur.
Je recule son siège au maximum, m’installe devant lui et sort son sexe de son short pour une fellation dans l’art et la manière… Je suis sure que Fred est toujours à sa fenêtre en train de mater et pour vérifier, je me relève pour embrasser Pascal, Fred est toujours là. Je propose à mon amant de sortir de la voiture, et de baiser dehors sur le capot de la voiture, la rue étant déserte à cette heure si, il n’a pas de risques de se faire voir par ses autres voisins. Il accepte sans broncher et me voila allonger sur le capot, les jambes écartées, la jupe relevée et une langue experte en train de me lécher. J’ai la tête tournée en direction de la maison de Fred et je vois qu’il part de la fenêtre, je vois la lumière du couloir s’allumer. Mince, il arrive… Je propose à pascal de partir ailleurs et de réaliser mon fantasme, il accepte. Nous remontons dans la voiture, je vois les lumières éteintes, et la porte d’entrée s’ouvrir, Fred arrive, je démarre la voiture, il semble surpris de nous voir partir. J’avance doucement, laissant assez à ma chatte pour que Pascal continue de stimuler mon clito. Je regarde dans mon rétro et voit que Fred monte dans sa voiture. Je souris et est sûre qu’il va nous suivre. Pascal me demande où nous allons et je lui réponds, sur une aire d’autoroute. Il sourit et me dis, tu vas te faire tringler par tous les trous, je lui réponds oui mais d’abord avec lui, je jette à nouveau un œil dans le rétro et Fred nous suit. L’aire d’autoroute la plus proche et la plus fréquentée par les chauffeurs n’est qu’a 10km.
Nous y sommes rapidement, Fred nous a bien suivi, Pascal s’est branlé avec mon aide de temps à autres pendant le trajet. Nous arrivons sur le parking et je vois quelques lumières allumées dans les cabines des camions.
J’avoue être un peu stressée mais impatiente de reprendre ma partie de jambe en l’air avec Pascal en ayant Fred comme voyeur. Je ne veux pas que Fred se joigne à nous, il m’a planté devant chez lui, alors il va souffrir d’un mal de bite trop bandée ou se masturber tout seul, sans avoir le plaisir d’être lécher par ma langue, ni être au chaud dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul.
Un peu garce sur les bords j’avoue…
Pascal est toujours très excité et me dit « alors on l’a continue cette baise ? », en 30 secondes, nous sommes dehors, même position que devant chez Fred, sauf que cette fois ci j’ai les seins à l’air, que je masse frénétiquement en regardant en direction des cabines. Un chauffeur, nous regarde, il semble ahuri par ce qu’il voit, se frotte les yeux et surement le manche. C’est le plus près de nous, donc il a une aussi bonne vue que moi, seulement moi je ne vois pas s’il se branle ou pas.
Les coups de langues de Pascal sont très bons, et je ne vais pas tarder à jouir, Fred est toujours garé au loin, mais n’est plus dans sa voiture, il est devant, se masturbe en nous regardant. Etant garé entre deux gros arbres difficile pour les camionneurs de le voir. Moi par contre je vois tout mais de loin, seuls ses gestes ne sont pas discrets. Je suis en train de partir, ma jouissance arrive, les chauffeurs sont de plus en plus nombreux à être réveillés et à nous mater… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, ça y est je jouie, d’une telle force que j’en ai les jambes toutes tremblantes, ma chatte est inondée et mon lécheur veut que je le suce. Je m’accroupi devant lui et commence une longue fellation. Je joue avec son gland qui est véritablement très sensible, à la moindre succion il gémit et me demande sans cesse de continuer. J’alterne tout de même entre les gorges profondes, les succions, le baisage de bouche et la pipe langoureuse et douce. Après un traitement de faveur de plus de 20 min je pense, il jouit dans ma bouche. Je prends le soin d’ouvrir grand la bouche, de montrer à mes camionneurs et de tout avaler. Je vois que deux hommes s’approchent de nous, je suis tellement excitée que je ne suis même pas inquiète de savoir se qu’ils me réservent. Fred s’est avancé, la bite toujours à la main, collé contre un arbre.
Pascal, s’occupe de se rhabiller.
Je assise dans l’herbe, les deux hommes arrivent et me demande si j’ai encore besoin de coups de bites où pas ? Je vois que le camionneur le plus prêt, descend de sa cabine et se dirige aussi vers moi. Je réponds que je suis en manque. Les trois hommes debout devant moi, baissent leur pantalon et prennent leur bite en main. Pascal, s’étant rhabillé me dit qu’il va boire un café à la station, en me faisant un clin d’œil. Je suis un peu inquiète mais je sais que Fred n’est pas très loin au cas où.
Un homme me dit d’une grosse voix « alors tu nous suces ou quoi ? » Je réponds d’un aplomb « d’abord c’est vous qui allez me faire du bien ! »
Le deuxième me dit « ok, les femmes d’abord »
Le troisième ne perd pas de temps, et m’allonge sur le sol, écarte mes jambes et glisse deux doigts dans ma chatte, il me branle fort et tourne ses doigts, il baissera sa tête pour me lécher le clito, un peu maladroitement mais c’était plutôt bon. Le 1er vient me lécher les seins et le 2ème me présente sa bite à la bouche, oubliant mes précédents dires par l’excitation, je prends sa bouche et le suce avidement. Ils m’insultent, se qui me stimule encore plus. Le 3ème enfile un préservatif et m’empale sans ménagement, il ne durera pas longtemps mais sa bite étant large, il me procura un plaisir intense. Les deux autres veulent me prendre en même temps.
Je ne réfléchi même pas, laisse le 1er s’installer sous moi et le 2ème au dessus, je sens une bite rentrer dans ma chatte et une langue me lécher le cul en introduisant un doigt, puis deux, un troisième et maintenant un bâton de chair tout chaud et bandé forçant un peu pour rentre. Le 1er me baise doucement et s’arrête pour laisser la place à mon enculeur. Ils y sont et j’hurle de plaisir, il me baise fort, faisant parfois sortir leur bite mais mes trous étant bien ouverts, ils n’ont pas de difficultés pour re rentrer. Ils sont plus endurants que le 3ème et sont bien faits. Ils doivent avoir entre 40 et 50 ans. J’aime les hommes d’âge mur. Fred ? Oups j’ai oublié que Fred ét ait là, d’ailleurs il n’est plus là, Pascal, je ne sais pas non plus…
Les coups de bites me font vite oublier une nouvelle fois Fred et Pascal.
Les deux hommes vont baiser sans ménagement pendant une bonne demi-heure… Il doit être 4h du mat’…
Ils se sont vidés sur mes seins et mon visage. Le 3ème est déjà reparti à son camion.
Je me rhabille un peu, en cherchant Pascal et Fred du regard, je remercie mes baiseurs, et ils repartent à leur camion.
Je me dirige vers la station à la recherche de Pascal, je vais aux toilettes, je regarde sous les portes et je m'arrête stupéfaite en voyant 4 jambes d’hommes et visiblement elles sont à Fred et Pascal. Vu les bruits, ils ne sont pas en train de discuter mais plutôt en train de baiser. Je ressors, prends un bout de papier et vais le glisser sur le pare brise de Fred. « Il semblerait que savez bien vous occuper sans moi, vous n’aurez pas de mal à rentrer ensembles » !
J’ai pris ma voiture et est rentrée chez moi, je ne suis pas allée à la boite nuit cette nuit là, trop épuisée. J’ai dormi jusqu’au lendemain 14H00.
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