Aventures d'ados ( 14 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aventures d'ados ( 14 )
14 Mon impatience grandit chaque jour. Je ne pense plus qu’à ça, je suis perturbée, distraite pendant les cours, mon bas ventre réclame. Le mercredi matin je dis que je ne suis pas bien, je pousse même la vraisemblance jusqu’à me rendre à l’infirmerie. Je me plains d’un mal au ventre, l’infirmière me fait allonger, relève ma jupe, me palpe le ventre. Rien de grave me dit-elle, prenez ça, ça va passer, retournez en cours. Si elle savait que c’est plus bas que ça se passe !
Après le déjeuner je me rends aux toilettes, enlève ma culotte, la met dans mon sac. Je sèche les cours, prends les transports en commun. Il y a deux changements, j’arrive non loin de l’hôtel, descends à l’arrêt, m’assoie sur le banc, attends. À 3 h moins dix, sac à dos en bandoulière, je traverse la rue, me rapproche doucement de l’entrée. Le voilà, il se gare, descend de voiture, prend sa mallette. Il regarde autour de lui, m’aperçoit, vient vers moi, me serre la main, ne dit rien, pas même bonjour. L’accueil est plutôt froid de la part de quelqu’un qui vient uniquement pour me sauter. Comme la première fois je suis intimidée, subjuguée, marche à côté de lui, on se dirige vers la porte de l’hôtel. Arrivé devant, il s’arrête, jette un regard circulaire sur la rue, ouvre la porte, entre. Je le suis, file directement vers l’ascenseur. Ouf, il n’y a personne à la réception. Il actionne la sonnette, le réceptionniste lui remet une clé, on a la même chambre que la dernière fois. Elle doit être réservée aux clients de passage. Il ouvre la porte, j’entre, m’assoie au bord du lit. Il pose sa mallette sur le porte valise, enlève sa veste Je m’attends à ce qu’il me culbute tout de suite, (c’est pour ça que j’ai enlevé ma culotte avant de le rejoindre ). Eh bien non, il va vers le téléphone, demande une ligne, compose un N°, appelle son bureau, dit qu’il a un imprévu et ne repassera pas ce soir. Il écoute un moment, très bien, à demain matin, raccroche. On est là depuis 10 minutes, j’attends, figée, qu’il daigne s’intéresser à moi, je me demande pourquoi il n’est pas déjà dans moi. Il passe devant moi, va dans la salle de bain, se soulage. Il en sort, lève les yeux, j’ai l’impression qu’il vient de s’apercevoir de ma présence. Il m’examine de la tête aux pieds, je me sens rougir, il vient vers moi, prend mon sac, le met à côté de ses affaires, revient,, m’éloigne du lit, l’ouvre en grand.
Il m’attrape par la taille, me colle contre lui, applique ses mains sur mes fesses. C’est parti ! Je sens son sexe durcir contre mon ventre, il me roule un patin terrible, fouille ma bouche, entortille sa langue avec la mienne. Ses mains palpent mon corps, mes seins, mes fesses, remontent ma jupe. Il s’aperçoit que je n’ai pas de culotte, je relève une jambe pour lui favoriser l’accès à mon sexe. Il m’enfile deux doigts direct dans le vagin, titille mon clito. En un tour de main je me retrouve à poil, je n’ai rien vu venir. Il est là, debout devant moi, encore habillé, me regarde, suce mes tétons, sa main est plaquée sur ma vulve, j’écarte les cuisses, ses doigts sont dans moi, s’activent. Je suis trempée, m’ouvre à lui. Il m’appuie sur les épaules, j’ai comprit ce qu’il veut. Je m’accroupis, ouvre sa braguette, sors sa queue, ses couilles. Elle est encore plus imposante que dans mes souvenirs, le gland est d’un rouge violet, la tige raide et dure. Il me prend la tête, la guide, je l’ai dans la bouche. Force est de la sucer, mais elle est trop longue, le gland trop gros, je ne peux pas l’absorber en entier. Je salive dur, elle coulisse, entre et ressort. Pourvu qu’il n’éjacule pas ! Je me glisse sous lui, prends une couille velue dans ma bouche, fais de même avec l’autre, les suce, les caresse. Il me relève, se baisse, m’attrape aux hanches et entre les jambes, me soulève, me jette sur le lit. Je me retrouve à plat ventre, cul en l’air, embrochée par son pieu qui me pénètre jusqu’à la garde. L’assaut est fulgurant, je pousse un cri, n’ai pas eu le temps de lui mettre une capote. Il me défonce, élargit ma gaine, l’étire, va au plus profond de moi. Il va tellement loin dans moi que j’ai l’impression qu’il va me transpercer. Je crie à chaque coup de piston, c’est trop fort, j’ai chaud, je cambre les reins, remonte mon cul, l’accompagne. Ca y est, je viens, chavire, mon cœur s’emballe, il le sent, se bloque au fond de moi, a un long râle, je pousse un long cri ohouiiiiiiiiiiii quand il envoie plusieurs jets de foutre au fond de mon antre. C’est chaud, c’est bon de sentir son jus se répandre en moi. Il reste là, collé sur moi, je sens sa queue remuer dans moi, il finit de se vider, reprend son souffle. Il sort de moi, mon trou est ouvert, le foutre coule de mon vagin, je le sens suivre ma fente. Je me retourne, le regarde. Le foutre me coule dans la raie des fesses. Il s’est allongé à côté de moi. Sa bite est encore droite, émerge du pantalon. Je me lève, ça coule le long de mes cuisses, je vais dans la salle de bains, m’installe sur le bidet. Il m’en a filé une sacrée dose ! Ca valait le coup d’attendre, de ne pas le précipiter. Le voilà qui arrive, bite et couilles toujours à l’air, me regarde faire ma toilette intime. Sa présence me gène, mais aujourd’hui je n’ai pas honte de me laver le sexe devant lui, pourtant je suis d’ordinaire assez pudique. Il se penche, passe sa main sous moi, glisse un doigt dans ma fente, l’entre dans mon trou, le fait tourner. Il le ressort, il est enduit de foutre. Il se redresse, le met dans ma bouche. Je le suce. Il me présente sa queue, la place devant ma bouche. Avec la langue, je lèche le gland, il est enduit d’un mélange de foutre et de cyprine, c’est âcre ! Je lui énerve le bout du gland, le prends en bouche, il grossit, la queue se redresse. J’ai terminé, me lève, m’essuie. Je lui attrape la queue, tire, le force à me suivre, retourne dans la chambre. A mon tour je le fous à poil, il m’aide. On s’allonge sur le lit, il faut qu’on récupère. Je suis bien, lui tiens la verge, elle est au repos. Lui a sa main sur ma vulve, l’enserre, un doigt est au bord de mon trou, le maintient ouvert. Je goûte ces instants de plénitude, pourquoi ne me parle t-il pas ?
Ca a été un coup génial, il m’a défoncé terrible, j’ai joui plus que jamais, depuis le temps que j’aie envie de sa bite, de sentir son foutre en moi. C’est rare d’avoir un orgasme aussi fort et surtout de l’avoir en même temps que le mâle qui vous possède. Heureusement que je n’ai pas oublié de prendre ma pilule, ça fait 2 semaines que j’ai eu mes règles, je suis en mauvaise période, danger !
Le temps passe, il est 4 h, je me redresse sur un coude, le regarde somnoler. Qu’il est beau.! Sa bite à la tête en bas, entre ses jambes, je la relève, dégage doucement le gland, tire sur la peau. Je me glisse à genoux devant elle, la prend dans ma bouche, elle a un drôle de goût. Je suce, pourtant je n’aime pas, mais là c’est différent. J’en veux encore, il faut qu’elle reprenne vigueur, qu’il me la remette ! Je suis satisfaite, mais pas comblée ! Miracle, elle gonfle, durcit, se redresse, le gland change de couleur, devient violacé. Il se réveille, se frotte les yeux, s’étire, me regarde, relève les bras, met les mains derrière sa tête. Je passe une jambe au-dessus de lui, prends sa verge en main, la guide en moi, descends, elle s’enfonce, ça y est j’y suis, c’est bon ! Me voilà à cheval sur lui, je commence une chevauchée éfreinée, le grand galop. Sa bite coulisse facilement tellement ma gaine est lubrifiée, élargie, profonde. Il se laisse faire, je sens sa queue grossir en moi, elle me remplit le ventre. Je ne sais pas si à ce rythme il va tenir longtemps, mais moi je sens que je vais jouir, ouiiiiiiiiii, je suis partie, je lâche la bride, m’écroule sur lui, haletante. Il m’a regardé jouir, souris, ne dit rien, silence. Tout d’un coup il me bascule, passe derrière moi, il est à genoux, m’écarte les jambes terrible, les remonte, les prend aux mollets. Je me retrouve les pattes en l’air, écartelée, le sexe offert, à porté de sa bouche. Il passe sa langue dans la fente, mordille mon clito, aspire mes nymphes, colle ses lèvres à mon trou, boit ma mouille, entre sa langue. Oh là là, que c’est bon ce qu’il me fait !
Il bande toujours, je vois sa queue dressée, ses couilles velues. Il lâche mes jambes, se met sur moi, m’enfile brusquement. Je suis surprise, oh ! Je remonte le cul, oh oui, vas-y, défonce-moi. Il me burine rapide, han han, ses coups de bite sont rudes, il me pénètre un max, ses couilles touchent sur mon cul, je serre les muscles de mon étui, je le sens bien. Je vais venir de nouveau, relève les jambes, les écarte le plus possible, remonte mon bas ventre pour mieux l’accueillir, je couine de plus en plus fort. Il me termine à l’arraché, grogne, s’arrête au fond de moi, gicle. Oh oui oui, ouiiiiiiiiiii, je défaille sous ses jets de foutre, ils me font chavirer, j’en perds la tête, jouit. Quelle ressource, il vient encore de me remplir, s’aplatit sur moi. Je reste emmanchée par sa bite, on roule sur le lit, je suis sur lui. J’ai les cuisses ouvertes, ressert mon vagin, je l’enferme dans moi, repart à l’assaut. Je donne des coups de reins, il ne ramollit pas, je le maintiens au fond de moi, lui tire une dernière giclée, il finit de se vider. On reste comme ça, encastrés l’un dans l’autre, on se calme, je suis crevée, je reste sur lui, je viens d’avoir un autre orgasme. Il est long à sortir de moi.
Je me lève, le foutre coule le long de mes cuisses, je cours aux toilettes, pisse, vide le trop plein de foutre. Il est là, me regarde, cette fois je me sens gênée. J’ai besoin d’une bonne douche, je suis sous l’eau, il m’aide, me savonne. Il entre avec moi, il n’y a pas place pour deux. Alors il se colle à moi, ses mains en profitent pour s’attarder sur mes seins, les malaxer, sa bouche les dévore, aspire mes tétons, ils durcissent. Il s’accroupit, me broute le gazon. J’écarte les cuisses, il fouille mon antre, glisse doucement ses doigts à l’intérieur, les ressort enduits de nos jus, ça me fait du bien. Il se redresse, je le savonne à mon tour. Je ferme l’eau. On sort de la douche, il prend une serviette, m’essuie. À mon tour je l’essuie, m’attarde sur sa queue, ses couilles, j’en profite pour le branler un peu. Sa bite ne réagit pas, je crois qu’il n’en peut plus ! Elle est molle, je m’accroupis, la prend dans la bouche, je peux l’absorber en entier, l’avale jusqu’aux couilles, manque de m’étouffer, j’y mets tout mon savoir. Il apprécie. Oh là, là, elle se redresse, gonfle, durcit. Stop, j’en ai eu assez pour aujourd’hui, je me relève. J’ai joué avec le feu, je me retrouve les mains appuyées sur le lavabo. Il m’écarte les cuisses, passe la main sur ma moule, ouvre la fente, y place sa pine. Un coup de rein, et han, elle est au fond, je n’ai pas eu le temps de réagir ! Il me prend à la taille, me soulève, sa bite reste encastrée dans moi, il me transporte dans la chambre, s’assoie sur la chaise Je me retrouve assise sur lui, embrochée, prête pour une autre baise. Je ne refuse pas la situation, au contraire je m’adapte. Je m’incline vers l’avant, passe la main entre mes jambes, ses couilles sont là, reposent sur la chaise, je les caresse, joue avec les testicules.
- T’en as encore à me donner ? Elles sont pas vides ?
- Il est 5 h va falloir y aller !
- Pourquoi tu m’as encore enfilé si on a plus le temps ?
Je remonte mes jambes, pose les pieds sur ses genoux, il me prend aux hanches et m’aide à monter et descendre sur son pieu. Je le sens, il me comble comme pas possible, va profond, me ramone.
- Défonce-moi ! Je ne suis pas rassasiée !
Il se lève, me retourne face à la chaise, me plie, je m’appuie dessus, je serre les jambes. Il écarte mes lèvres, place sa queue dans la fente, me pénètre. Il me burine sec, ses coups de queue sont rudes, il entre en entier, accélère, butte au fond. Je sens que je vais venir, couine, ouiiiiiiiiiii, il se bloque, soubresauts, râle, décharge. Pas croyable, il en avait encore.
- T’as eu c’que tu voulais ?
- Oui, tu m’as encore fait jouir, je n’en peux plus !
Je file me vider, y a pas grand chose, ce n’est plus aussi laiteux, je me rince, lui lave la queue, elle retombe. Je me peigne, me regarde dans le miroir, j’ai les traits tirés, des cernes sous les yeux, bref vraiment une sale tête. Il me roule un dernier patin, m’enfile un doigt, on se rhabille.
- On a baisé sans capote !
- J’ai pas eu le temps de te la mettre, tu m’as embroché trop vite. Heureusement je prends la pilule.
- J’avais trop envie de toi pour encore attendre.
- Moi aussi, t’as traîné en arrivant, tu m’as tellement manqué.
- Alors, si j’t’ai manqué, pourquoi t’as pas répondu au téléphone ?
- Tu n’m’as pas appelé, après 6 h je suis toujours à la maison, je potasse mes cours.
- Si ! C’est ta mère qui m’a répondu, elle m’a dit qu’tu n’es pas là ! J’ai rappelé une autre fois. Elle m’a demandé de la part de qui ? J’ai dit Marc. Répondu: Elle ne veut pas vous voir !
- Qu’elle toupet, je vais l’engueuler, elle n’a pas à s’occuper de mes affaires, je suis majeure ! C’est vrai, elle n’a pas apprécié que je passe la nuit avec toi ! Alors, si elle sait qu’aujourd’hui on a passé l’après midi à baiser, je vais en entendre !
- Bon, on y va, tu m’as crevé.
On descend, il règle en liquide. On va jusqu’à la voiture, il inspecte les environs, m’ouvre, me fait monter. Pourquoi est-il méfiant ?
- Si ma mère fait barrage, comment je peux te joindre ? Chaque jour j’ai traîné dans le centre commercial dans l’espoir de t’y rencontrer.
- Je te donne mon N° au bureau. N’appelle pas avant 5 h 30, ni après 6 h, à cette heure là il n’a plus que moi. Si quelqu’un d’autre répond, tu raccroches. OK, pas de blagues surtout.
- Je pense toujours à toi. Je suis accroc à ta bite. J’aimerais l’avoir plus souvent dans moi.
- Je n’ai pas trop de moments libres. Pas la semaine prochaine. À mon prochain voyage en province, je t’emmène avec moi !
Je pose la main sur sa cuisse, la glisse entre ses jambes, serre ses couilles, ouvre sa braguette.
- Laisse moi conduire !
- Je veux encore la toucher. Je la lui sors, astique un peu le gland, il réagit, enfle, rougit.
- Du calme, on peut nous voir, tu me gènes pour conduire, attends les feux rouges, touche la discrètement !
- Je n’ai pas remis ma culotte, profites-en ! J’ai envie de tes doigts !
- Tu es vraiment insupportable !
On arrive, il s’arrête 100 m avant le café tabac, m’embrasse, glisse deux doigts dans ma cheminée, la ramone, me les donne à sucer ! Il reste du foutre mélangé à ma cyprine. Je me penche, absorbe le gland, ses doigts continent de me fouiller. Bon, je me redresse, il ferme son porte-monnaie, j’ouvre la portière, prends mon sac à dos, descends.
- Je t’appelle demain du bureau !
Je rentre à la maison, monte direct dans ma chambre, m’écroule sur le lit, anéantie. Je repense à cet après midi. Il me l’a mise à crû, c’est quand même mieux que couverte. J’ai senti la chaleur de sa pine, le contact direct entre les muqueuses lubrifiées de mon vagin et son gland nu est sublime. C’est surtout les jets de foutre qui ont rempli mon antre qui font la différence. À chaque fois il m’a fait perdre la tête, je me sentais envahie par ces jets chauds qui se répandait au fond de moi, tapissaient les parois de ma gaine quand il ressortait sa queue! Encore une fois, je ne crois pas qu’il baisera sa femme ce soir, il a les couilles vides !
J’ai roupillé un peu, il faut que je récupère. J’ai faim, je descends. Ma mère est à la cuisine, mon père au comptoir, le bistrot ferme à 10 h. En me voyant, ma mère me dit :- - D’où tu sorts ?
- J’étais dans ma chambre !
- T’as vu ta tête ? T’as encore baisé avec ce Marc !
- Pourquoi tu me dis ça ? Et puis après tout, je ne vois pas en quoi ça te regarde !
- Ce mec te ruine la santé, quand il a téléphoné je l’ai éconduit !
- Tu n’as pas à te mêler de mes affaires, je suis assez grande pour ça !
- Et comment t’as fais pour le retrouver ? Je lui ai dit de ne plus t’importuner ! Je te croyais à la Fac et t’étais en train de te faire sauter !
- Et alors, je ne te demande pas ce que tu fais les après midi où tu n’es pas là !
- Ca suffit ! Qu’est que tu insinues ? Je suis ta mère, ne l’oublie pas !
- Toi aussi tu baises. Ma chambre est à côté de la tienne. J’entends quand vous baisez et que tu jouis, tu n’es pas très discrète ! Je regarde dans le frigo pour trouver quelque chose à me mettre sous la dent. Il faut que je compense les calories perdues.
- Mets la table, on va manger, pour l’instant il n’y a pas de clients.
Patience, l'aventure continue!
Après le déjeuner je me rends aux toilettes, enlève ma culotte, la met dans mon sac. Je sèche les cours, prends les transports en commun. Il y a deux changements, j’arrive non loin de l’hôtel, descends à l’arrêt, m’assoie sur le banc, attends. À 3 h moins dix, sac à dos en bandoulière, je traverse la rue, me rapproche doucement de l’entrée. Le voilà, il se gare, descend de voiture, prend sa mallette. Il regarde autour de lui, m’aperçoit, vient vers moi, me serre la main, ne dit rien, pas même bonjour. L’accueil est plutôt froid de la part de quelqu’un qui vient uniquement pour me sauter. Comme la première fois je suis intimidée, subjuguée, marche à côté de lui, on se dirige vers la porte de l’hôtel. Arrivé devant, il s’arrête, jette un regard circulaire sur la rue, ouvre la porte, entre. Je le suis, file directement vers l’ascenseur. Ouf, il n’y a personne à la réception. Il actionne la sonnette, le réceptionniste lui remet une clé, on a la même chambre que la dernière fois. Elle doit être réservée aux clients de passage. Il ouvre la porte, j’entre, m’assoie au bord du lit. Il pose sa mallette sur le porte valise, enlève sa veste Je m’attends à ce qu’il me culbute tout de suite, (c’est pour ça que j’ai enlevé ma culotte avant de le rejoindre ). Eh bien non, il va vers le téléphone, demande une ligne, compose un N°, appelle son bureau, dit qu’il a un imprévu et ne repassera pas ce soir. Il écoute un moment, très bien, à demain matin, raccroche. On est là depuis 10 minutes, j’attends, figée, qu’il daigne s’intéresser à moi, je me demande pourquoi il n’est pas déjà dans moi. Il passe devant moi, va dans la salle de bain, se soulage. Il en sort, lève les yeux, j’ai l’impression qu’il vient de s’apercevoir de ma présence. Il m’examine de la tête aux pieds, je me sens rougir, il vient vers moi, prend mon sac, le met à côté de ses affaires, revient,, m’éloigne du lit, l’ouvre en grand.
Il m’attrape par la taille, me colle contre lui, applique ses mains sur mes fesses. C’est parti ! Je sens son sexe durcir contre mon ventre, il me roule un patin terrible, fouille ma bouche, entortille sa langue avec la mienne. Ses mains palpent mon corps, mes seins, mes fesses, remontent ma jupe. Il s’aperçoit que je n’ai pas de culotte, je relève une jambe pour lui favoriser l’accès à mon sexe. Il m’enfile deux doigts direct dans le vagin, titille mon clito. En un tour de main je me retrouve à poil, je n’ai rien vu venir. Il est là, debout devant moi, encore habillé, me regarde, suce mes tétons, sa main est plaquée sur ma vulve, j’écarte les cuisses, ses doigts sont dans moi, s’activent. Je suis trempée, m’ouvre à lui. Il m’appuie sur les épaules, j’ai comprit ce qu’il veut. Je m’accroupis, ouvre sa braguette, sors sa queue, ses couilles. Elle est encore plus imposante que dans mes souvenirs, le gland est d’un rouge violet, la tige raide et dure. Il me prend la tête, la guide, je l’ai dans la bouche. Force est de la sucer, mais elle est trop longue, le gland trop gros, je ne peux pas l’absorber en entier. Je salive dur, elle coulisse, entre et ressort. Pourvu qu’il n’éjacule pas ! Je me glisse sous lui, prends une couille velue dans ma bouche, fais de même avec l’autre, les suce, les caresse. Il me relève, se baisse, m’attrape aux hanches et entre les jambes, me soulève, me jette sur le lit. Je me retrouve à plat ventre, cul en l’air, embrochée par son pieu qui me pénètre jusqu’à la garde. L’assaut est fulgurant, je pousse un cri, n’ai pas eu le temps de lui mettre une capote. Il me défonce, élargit ma gaine, l’étire, va au plus profond de moi. Il va tellement loin dans moi que j’ai l’impression qu’il va me transpercer. Je crie à chaque coup de piston, c’est trop fort, j’ai chaud, je cambre les reins, remonte mon cul, l’accompagne. Ca y est, je viens, chavire, mon cœur s’emballe, il le sent, se bloque au fond de moi, a un long râle, je pousse un long cri ohouiiiiiiiiiiii quand il envoie plusieurs jets de foutre au fond de mon antre. C’est chaud, c’est bon de sentir son jus se répandre en moi. Il reste là, collé sur moi, je sens sa queue remuer dans moi, il finit de se vider, reprend son souffle. Il sort de moi, mon trou est ouvert, le foutre coule de mon vagin, je le sens suivre ma fente. Je me retourne, le regarde. Le foutre me coule dans la raie des fesses. Il s’est allongé à côté de moi. Sa bite est encore droite, émerge du pantalon. Je me lève, ça coule le long de mes cuisses, je vais dans la salle de bains, m’installe sur le bidet. Il m’en a filé une sacrée dose ! Ca valait le coup d’attendre, de ne pas le précipiter. Le voilà qui arrive, bite et couilles toujours à l’air, me regarde faire ma toilette intime. Sa présence me gène, mais aujourd’hui je n’ai pas honte de me laver le sexe devant lui, pourtant je suis d’ordinaire assez pudique. Il se penche, passe sa main sous moi, glisse un doigt dans ma fente, l’entre dans mon trou, le fait tourner. Il le ressort, il est enduit de foutre. Il se redresse, le met dans ma bouche. Je le suce. Il me présente sa queue, la place devant ma bouche. Avec la langue, je lèche le gland, il est enduit d’un mélange de foutre et de cyprine, c’est âcre ! Je lui énerve le bout du gland, le prends en bouche, il grossit, la queue se redresse. J’ai terminé, me lève, m’essuie. Je lui attrape la queue, tire, le force à me suivre, retourne dans la chambre. A mon tour je le fous à poil, il m’aide. On s’allonge sur le lit, il faut qu’on récupère. Je suis bien, lui tiens la verge, elle est au repos. Lui a sa main sur ma vulve, l’enserre, un doigt est au bord de mon trou, le maintient ouvert. Je goûte ces instants de plénitude, pourquoi ne me parle t-il pas ?
Ca a été un coup génial, il m’a défoncé terrible, j’ai joui plus que jamais, depuis le temps que j’aie envie de sa bite, de sentir son foutre en moi. C’est rare d’avoir un orgasme aussi fort et surtout de l’avoir en même temps que le mâle qui vous possède. Heureusement que je n’ai pas oublié de prendre ma pilule, ça fait 2 semaines que j’ai eu mes règles, je suis en mauvaise période, danger !
Le temps passe, il est 4 h, je me redresse sur un coude, le regarde somnoler. Qu’il est beau.! Sa bite à la tête en bas, entre ses jambes, je la relève, dégage doucement le gland, tire sur la peau. Je me glisse à genoux devant elle, la prend dans ma bouche, elle a un drôle de goût. Je suce, pourtant je n’aime pas, mais là c’est différent. J’en veux encore, il faut qu’elle reprenne vigueur, qu’il me la remette ! Je suis satisfaite, mais pas comblée ! Miracle, elle gonfle, durcit, se redresse, le gland change de couleur, devient violacé. Il se réveille, se frotte les yeux, s’étire, me regarde, relève les bras, met les mains derrière sa tête. Je passe une jambe au-dessus de lui, prends sa verge en main, la guide en moi, descends, elle s’enfonce, ça y est j’y suis, c’est bon ! Me voilà à cheval sur lui, je commence une chevauchée éfreinée, le grand galop. Sa bite coulisse facilement tellement ma gaine est lubrifiée, élargie, profonde. Il se laisse faire, je sens sa queue grossir en moi, elle me remplit le ventre. Je ne sais pas si à ce rythme il va tenir longtemps, mais moi je sens que je vais jouir, ouiiiiiiiiii, je suis partie, je lâche la bride, m’écroule sur lui, haletante. Il m’a regardé jouir, souris, ne dit rien, silence. Tout d’un coup il me bascule, passe derrière moi, il est à genoux, m’écarte les jambes terrible, les remonte, les prend aux mollets. Je me retrouve les pattes en l’air, écartelée, le sexe offert, à porté de sa bouche. Il passe sa langue dans la fente, mordille mon clito, aspire mes nymphes, colle ses lèvres à mon trou, boit ma mouille, entre sa langue. Oh là là, que c’est bon ce qu’il me fait !
Il bande toujours, je vois sa queue dressée, ses couilles velues. Il lâche mes jambes, se met sur moi, m’enfile brusquement. Je suis surprise, oh ! Je remonte le cul, oh oui, vas-y, défonce-moi. Il me burine rapide, han han, ses coups de bite sont rudes, il me pénètre un max, ses couilles touchent sur mon cul, je serre les muscles de mon étui, je le sens bien. Je vais venir de nouveau, relève les jambes, les écarte le plus possible, remonte mon bas ventre pour mieux l’accueillir, je couine de plus en plus fort. Il me termine à l’arraché, grogne, s’arrête au fond de moi, gicle. Oh oui oui, ouiiiiiiiiiii, je défaille sous ses jets de foutre, ils me font chavirer, j’en perds la tête, jouit. Quelle ressource, il vient encore de me remplir, s’aplatit sur moi. Je reste emmanchée par sa bite, on roule sur le lit, je suis sur lui. J’ai les cuisses ouvertes, ressert mon vagin, je l’enferme dans moi, repart à l’assaut. Je donne des coups de reins, il ne ramollit pas, je le maintiens au fond de moi, lui tire une dernière giclée, il finit de se vider. On reste comme ça, encastrés l’un dans l’autre, on se calme, je suis crevée, je reste sur lui, je viens d’avoir un autre orgasme. Il est long à sortir de moi.
Je me lève, le foutre coule le long de mes cuisses, je cours aux toilettes, pisse, vide le trop plein de foutre. Il est là, me regarde, cette fois je me sens gênée. J’ai besoin d’une bonne douche, je suis sous l’eau, il m’aide, me savonne. Il entre avec moi, il n’y a pas place pour deux. Alors il se colle à moi, ses mains en profitent pour s’attarder sur mes seins, les malaxer, sa bouche les dévore, aspire mes tétons, ils durcissent. Il s’accroupit, me broute le gazon. J’écarte les cuisses, il fouille mon antre, glisse doucement ses doigts à l’intérieur, les ressort enduits de nos jus, ça me fait du bien. Il se redresse, je le savonne à mon tour. Je ferme l’eau. On sort de la douche, il prend une serviette, m’essuie. À mon tour je l’essuie, m’attarde sur sa queue, ses couilles, j’en profite pour le branler un peu. Sa bite ne réagit pas, je crois qu’il n’en peut plus ! Elle est molle, je m’accroupis, la prend dans la bouche, je peux l’absorber en entier, l’avale jusqu’aux couilles, manque de m’étouffer, j’y mets tout mon savoir. Il apprécie. Oh là, là, elle se redresse, gonfle, durcit. Stop, j’en ai eu assez pour aujourd’hui, je me relève. J’ai joué avec le feu, je me retrouve les mains appuyées sur le lavabo. Il m’écarte les cuisses, passe la main sur ma moule, ouvre la fente, y place sa pine. Un coup de rein, et han, elle est au fond, je n’ai pas eu le temps de réagir ! Il me prend à la taille, me soulève, sa bite reste encastrée dans moi, il me transporte dans la chambre, s’assoie sur la chaise Je me retrouve assise sur lui, embrochée, prête pour une autre baise. Je ne refuse pas la situation, au contraire je m’adapte. Je m’incline vers l’avant, passe la main entre mes jambes, ses couilles sont là, reposent sur la chaise, je les caresse, joue avec les testicules.
- T’en as encore à me donner ? Elles sont pas vides ?
- Il est 5 h va falloir y aller !
- Pourquoi tu m’as encore enfilé si on a plus le temps ?
Je remonte mes jambes, pose les pieds sur ses genoux, il me prend aux hanches et m’aide à monter et descendre sur son pieu. Je le sens, il me comble comme pas possible, va profond, me ramone.
- Défonce-moi ! Je ne suis pas rassasiée !
Il se lève, me retourne face à la chaise, me plie, je m’appuie dessus, je serre les jambes. Il écarte mes lèvres, place sa queue dans la fente, me pénètre. Il me burine sec, ses coups de queue sont rudes, il entre en entier, accélère, butte au fond. Je sens que je vais venir, couine, ouiiiiiiiiiii, il se bloque, soubresauts, râle, décharge. Pas croyable, il en avait encore.
- T’as eu c’que tu voulais ?
- Oui, tu m’as encore fait jouir, je n’en peux plus !
Je file me vider, y a pas grand chose, ce n’est plus aussi laiteux, je me rince, lui lave la queue, elle retombe. Je me peigne, me regarde dans le miroir, j’ai les traits tirés, des cernes sous les yeux, bref vraiment une sale tête. Il me roule un dernier patin, m’enfile un doigt, on se rhabille.
- On a baisé sans capote !
- J’ai pas eu le temps de te la mettre, tu m’as embroché trop vite. Heureusement je prends la pilule.
- J’avais trop envie de toi pour encore attendre.
- Moi aussi, t’as traîné en arrivant, tu m’as tellement manqué.
- Alors, si j’t’ai manqué, pourquoi t’as pas répondu au téléphone ?
- Tu n’m’as pas appelé, après 6 h je suis toujours à la maison, je potasse mes cours.
- Si ! C’est ta mère qui m’a répondu, elle m’a dit qu’tu n’es pas là ! J’ai rappelé une autre fois. Elle m’a demandé de la part de qui ? J’ai dit Marc. Répondu: Elle ne veut pas vous voir !
- Qu’elle toupet, je vais l’engueuler, elle n’a pas à s’occuper de mes affaires, je suis majeure ! C’est vrai, elle n’a pas apprécié que je passe la nuit avec toi ! Alors, si elle sait qu’aujourd’hui on a passé l’après midi à baiser, je vais en entendre !
- Bon, on y va, tu m’as crevé.
On descend, il règle en liquide. On va jusqu’à la voiture, il inspecte les environs, m’ouvre, me fait monter. Pourquoi est-il méfiant ?
- Si ma mère fait barrage, comment je peux te joindre ? Chaque jour j’ai traîné dans le centre commercial dans l’espoir de t’y rencontrer.
- Je te donne mon N° au bureau. N’appelle pas avant 5 h 30, ni après 6 h, à cette heure là il n’a plus que moi. Si quelqu’un d’autre répond, tu raccroches. OK, pas de blagues surtout.
- Je pense toujours à toi. Je suis accroc à ta bite. J’aimerais l’avoir plus souvent dans moi.
- Je n’ai pas trop de moments libres. Pas la semaine prochaine. À mon prochain voyage en province, je t’emmène avec moi !
Je pose la main sur sa cuisse, la glisse entre ses jambes, serre ses couilles, ouvre sa braguette.
- Laisse moi conduire !
- Je veux encore la toucher. Je la lui sors, astique un peu le gland, il réagit, enfle, rougit.
- Du calme, on peut nous voir, tu me gènes pour conduire, attends les feux rouges, touche la discrètement !
- Je n’ai pas remis ma culotte, profites-en ! J’ai envie de tes doigts !
- Tu es vraiment insupportable !
On arrive, il s’arrête 100 m avant le café tabac, m’embrasse, glisse deux doigts dans ma cheminée, la ramone, me les donne à sucer ! Il reste du foutre mélangé à ma cyprine. Je me penche, absorbe le gland, ses doigts continent de me fouiller. Bon, je me redresse, il ferme son porte-monnaie, j’ouvre la portière, prends mon sac à dos, descends.
- Je t’appelle demain du bureau !
Je rentre à la maison, monte direct dans ma chambre, m’écroule sur le lit, anéantie. Je repense à cet après midi. Il me l’a mise à crû, c’est quand même mieux que couverte. J’ai senti la chaleur de sa pine, le contact direct entre les muqueuses lubrifiées de mon vagin et son gland nu est sublime. C’est surtout les jets de foutre qui ont rempli mon antre qui font la différence. À chaque fois il m’a fait perdre la tête, je me sentais envahie par ces jets chauds qui se répandait au fond de moi, tapissaient les parois de ma gaine quand il ressortait sa queue! Encore une fois, je ne crois pas qu’il baisera sa femme ce soir, il a les couilles vides !
J’ai roupillé un peu, il faut que je récupère. J’ai faim, je descends. Ma mère est à la cuisine, mon père au comptoir, le bistrot ferme à 10 h. En me voyant, ma mère me dit :- - D’où tu sorts ?
- J’étais dans ma chambre !
- T’as vu ta tête ? T’as encore baisé avec ce Marc !
- Pourquoi tu me dis ça ? Et puis après tout, je ne vois pas en quoi ça te regarde !
- Ce mec te ruine la santé, quand il a téléphoné je l’ai éconduit !
- Tu n’as pas à te mêler de mes affaires, je suis assez grande pour ça !
- Et comment t’as fais pour le retrouver ? Je lui ai dit de ne plus t’importuner ! Je te croyais à la Fac et t’étais en train de te faire sauter !
- Et alors, je ne te demande pas ce que tu fais les après midi où tu n’es pas là !
- Ca suffit ! Qu’est que tu insinues ? Je suis ta mère, ne l’oublie pas !
- Toi aussi tu baises. Ma chambre est à côté de la tienne. J’entends quand vous baisez et que tu jouis, tu n’es pas très discrète ! Je regarde dans le frigo pour trouver quelque chose à me mettre sous la dent. Il faut que je compense les calories perdues.
- Mets la table, on va manger, pour l’instant il n’y a pas de clients.
Patience, l'aventure continue!
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