Aventures d'ados ( 16)
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Aventures d'ados ( 16)
16
C’est les vacances. J’ai demandé à voir le chef de service approvisionnements. Un stage de 3 mois, c’est insuffisant pour le genre de travail qu’il me propose. Il est toujours d’accord pour m’embaucher dès que j’aurais mon diplôme. En attendant, j’ai repris un emploi de caissière, d’après lui c’est bon parce que ça me permet de me familiariser avec les produits, j’en aurais besoin par la suite.
Je commence samedi, horaires décalés. Je vais me faire un peu d’argent de poche, j’en ai besoin.
Marc est en vacances, plus de ramonage en vue, la semaine prochaine je vais peut-être téléphoner à Mélanie, lui proposer un partage, j’ai une furieuse
envie de me venger. Ce n’est pas que j’apprécie son mec, il baise ordinaire, son calibre n’est pas terrible, mais bon, il faut faire avec ce qu’on trouve
sur le marché.
Pour le moment je suis bien, quand j’y pense, j’ai l’impression d’avoir encore la bite de Marc en moi, j’en mouille, je me mets les doigts. Je me le représente sautant sa femme. Est-ce qu’elle est chaude ? Peut-être qu’il la lui met » classic « ? C’est bon de baiser dans l’illégalité, ça donne du piment à la chose ! C’est peut être pour ça qu’il est venu vers moi, dans moi ! Avec lui je « baise à crû » sans capote, j’apprécie le contact de son gland quand il me pénètre et de sa hampe coulissant contre la paroi de mon vagin, et surtout j’adore l’onctuosité et la chaleur des jets de foutre qui me le remplissent. Il en a une de bonne taille, (5 x20 ) elle me dilate la gaine, l’étire, me comble le ventre tellement il est gros et va loin en moi. Mais il ne faut pas qu’il essaye de me la mette dans le cul, un tel engin me ferait trop mal, ça serait fini entre nous, je l’ai prévenu !
Pour le moment je suis calme, mes ardeurs sexuelles sont assouvies, je me fais une raison, il n’est pas là. Pas question de me faire sauter par un mâle du centre commercial, ça risquerait de compromettre mon avenir, j’ai vraiment besoin de cet emploi l’année prochaine.
Je n’ai aucune nouvelle de Mélanie, ça ne répond pas, elle est peut être partie en vacances elle aussi. J’attendrais !
Durant le mois qui vient de passer, je flâne pendant mes après midi libre, musées, la butte, les buttes, les Champs, j’ai tendance à m’ennuyer, je me promène seule. Le soir, dans mon lit, surtout lorsque j’entends mes parents faire l’amour, je m’entretiens avec mon gode. Je dors à poil, on est en été.
Il est 2 h du matin, je suis réveillée par des bruits caractéristiques venant de chambre d’à côté. J’allume, me lève, sorts dans le couloir pour aller pisser, laisse la porte ouverte. En passant devant la chambre de mes parents, je vois que leur porte est entrouverte, il y a de la lumière, ils ne baisent pas dans le noir. Curieuse, en silence, doucement pour ne pas attirer l’attention, je l’entrebâille un peu plus, regarde. Ils sont nus au-dessus du lit, ma mère est sur le dos, mon père est entre ses cuisses largement ouvertes et relevées. À voir les mouvements saccadés de ses fesses, ses assauts sont rudes, la cadence est élevée. Elle accompagne chaque coup de bite, se cambre pour bien l’accueillir, remonte le cul, couine, va au devant de la bite quand elle ressort, pousse des petits cris, halète. Il sort d’elle, remonte le long de son corps, sa bite, tendue, glisse sur son ventre, passe entre ses seins, atteint son cou. Il se place au-dessus de sa poitrine, lui présente sa verge. Il l’aide à redresser la tête, lui enfourne son gland dans la bouche. Elle le suce, aspire, ses joues se creusent, absorbe la bite en entier, caresse les couilles, elle a l’air d’aimer ça. Un grognement, il lâche son foutre, elle déglutit, avale, il gicle encore, elle recrache, en bave, un jet lui atteint le visage. Il recule, elle serre la queue entre ses seins, il la fait coulisser, encore un jet, il finit de se vider sur elle. Il roule sur le côté, elle se redresse, s’assoie au bord du lit, se passe la main sur le visage. Je pense qu’elle va aller se laver. J’en ai assez vu, abandonne l’idée d’aller pisser maintenant, me retient, rentre dans ma chambre, referme la porte sans bruit, m’allonge sur mon lit, j’ai chaud, ils m’ont émoustillé, je suis en manque. Il était temps, j’entends la porte de la salle de bain se refermer. Moins de dix minutes plus tard, elle revient, referme la porte de sa chambre. Elle doit s’être douchée. Plus aucun bruit, j’attends encore 5 minutes qu’ils s’endorment. Je me lève, décide d’aller aux toilettes, laisse ma porte ouverte comme tout à l’heure, n’allume pas le couloir. Passant devant la leur, j’entends qu’ils ont remis ça. Je colle mon oreille contre la porte, écoute les han, han appuyés de mon père, suivis de oui, oui, vas-y, plus fort, défonce moi, je viens ha, ha, c’est bon, ouiiiiiiiiiiiiiii, remplit moi, le tout accompagné des râles puissants du mâle en rût. Puis plus rien, silence. Je croyais qu’ils s’étaient endormis, mais non ! En revenant de la salle de bain, ma mère, pas satisfaite, a dû le branler pour le faire rebander. Je la comprends, elle n’a pas joui quand il lui a éjaculé dans la bouche. Après ça, elle ose me critiquer ! Elle remet ça quand elle n’a pas eu d’orgasme ! Comme moi, elle aime se faire sauter ! C’est bon pour la santé, ça brûle les calories en trop !
La salle de bain se trouve face à l’escalier, presque en face de la chambre de mes parents. Les portes se trouvent à environ 1 m l’une de l’autre, de part et d’autre du couloir. Je dois me soulager, vais dans la salle de bain, m’assoie sur WC, vide ma vessie. Je ne peux pas résister à l’envie de m’introduire deux doigts, de les activer en moi. J’attrape chaud, mon cœur s’emballe, ma cyprine coule sur ma main, ma vulve est trempée, je défaille, jouis. Je vais avoir du mal à me rendormir. J’éteins, sorts, ferme la porte. A ce moment la porte d’en face s’ouvre Mon père sort de la chambre, la referme. Il est à poil, on se retourne en même temps, on se retrouve nez à nez. Surpris, il me regarde, me détaille de la tête aux pieds. Je crois qu’il ne m’a jamais vue nue, il vient de s’apercevoir que sa fille est devenue une femme. De mon côté je ne vois que sa bite pendante, pas tout à fait au repos car il vient de terminer une bonne baise, ses couilles velues, son pubis couvert de poils noirs, je ne parviens pas à quitter son sexe des yeux. Je reste là, plantée devant lui, interdite, bras ballants, je ne pense même pas à cacher les atouts de ma féminité. De toute façon, c’est trop tard ! Il fixe ma toison, son regard insiste sur mon entrejambes. Il ne saurait voir ma fente, elle est masquée par des poils noirs et drus. Il fixe mon bas ventre, sa queue se redresse, gonfle, se raidit, le gland devient rouge, se pointe vers moi. Sa bite m’attire, je mouille de nouveau grave, j’ai une envie folle de la caresser. J’avance vers lui, me colle à lui, passe mes bras autour de son cou, mets ma tête contre son épaule comme quand j’étais petite fille. Je m’accroche à lui, appuie sa queue contre mon ventre, mes seins contre son torse, mes tétons durcissent, s’érigent. Il met ses mains sous mes fesses, les serrent, il m’applique avec force conte lui. Je me frotte à lui, bouge lentement mon bassin comme quand je baise. Je me serre contre lui, écarte un peu les jambes, lui offre mon sexe. Sa bite est coincée entre nous, dressée vers le haut, encore enduite de foutre et de cyprine car elle vient de sortir du vagin de sa femme. Elle augmente de volume, durcit, je la sens vivre contre mon ventre, glisser sur ma peau comme si elle était en moi. Je me cambre un peu, me met sur la pointe des pieds, plaque mon bas ventre contre ses couilles, elles caressent ma chatte humide Plus je me frotte à lui, plus il serre mon ventre contre lui. Ses doigts triturent ma chair, la meurtrit, ils me font mal. Lentement ses mains quittent mes fesses, remontent sur mes hanches, je m’écarte un peu de lui. Il les fait glisser le long de mon corps telle une caresse, s’attardent sur mes seins, ses doigts pincent mes tétons durs et gonflés. Ses mains continuent leur ascension, arrivent sur mes épaules. Il enlève mes bras, me repousse doucement, fermement, me murmure à l’oreille : non !
J’ai chaud, mes idées s’embrouillent, ma raison me dit : c’est ton père, tu n’as pas le droit ! Mon ventre réclame, j’ai envie de prendre sa queue, de la placer devant mon trou, ma vulve est trempée tellement je mouille ! Je laisse glisser mes bras le long de son corps, hasarde une main sous ses couilles, la passe sur sa queue, prends le gland encore un peu collant, recule tout en le tenant. Je le lâche doucement, à regrets, continue de reculer. Je ne vois que sa verge droite, elle reste à l’horizontal, pointée vers moi, quand je l’ai tenu le gland est devenu énorme, violacé. Je m’arrête devant ma porte, lui exposes ma nudité en pleine lumière, lui fais admirer mon corps de femme. J’aurais voulu qu’il me prenne là, dans le couloir, debout, par derrière dans le vagin, mes mains appuyées sur le mur. Mais non, il me regarde, ne bouge pas, a un air désolé. Sa bite reste au garde à vous, je ne vois plus qu’elle, elle m’attire. Je n’ose pas revenir vers lui, m’accroupir devant, la sucer. J’entre dans ma chambre à reculons, lentement, à regrets, reste dans l’encadrement de la porte. Je voudrais qu’il change d’avis, vienne vers moi, je lui lance un dernier regard implorant. J’attends encore un peu, rentre, referme ma porte sans bruit. C’est mon père, sa bite est réservée à ma mère, je ne peux pas, ne dois pas l’avoir pour moi, lui demander de la faire entrer en moi, de la partager avec elle ! Dommage.
Quelle nuit ! Notre face à face n’a duré que 2 ou 3 minutes peut être 4 tout au plus, mais il m’a perturbé sérieusement. Heureusement qu’aujourd’hui je suis d’après midi au centre commercial, je fais la grasse matinée, repense à cette nuit ! Il a eu une érection dès l’instant où il m’a vu à poil devant lui, et pourtant, quelques minutes auparavant, il était encore dans le ventre de sa femme, ma mère. Il a réagit à l’appel de mon corps d’une façon très visible, mais a su se contrôler. Pas moi, j’ai mouillé dès que j’ai vu sa bite, avant même qu’elle se redresse ! Il faut dire que je suis plutôt en manque de sexe ces temps ci, je ne résisterais pas à une queue, si j’en vois une, il me la faudra coûte que coûte ! Il est plus fort que moi au jeu du sexe, j’ai sûrement moins d’expérience que lui, cette nuit j’ai perdu la partie, c’est mieux pour tout le monde.
Vers 10 h du matin, je descends, le vois à son comptoir. Il est comme d’habitude, sert les clients. Je ne sais pas ce qu’il pense, s’il m’en veut de l’avoir provoqué, de lui avoir délibérément exposé ma nudité, fait sentir que j’avais envie de lui. J’ai la honte ! Je m’installe dans la cuisine, prends mon petit déjeuner. Ma mère le remplace au tabac, il vient s’asseoir à côté de moi, se sert un café, me regarde, me dit tout bas :
- Aurélie, qu’est ce qui t’arrive ?
- Tu me regardes toujours comme une petite fille, je t’ai montré que je suis devenue une femme !
- Tu es ma fille, ne l’oublie pas !
- Je sais, je n’ai pas voulu, mais c’était trop dur ! Excuse-moi, papa.
Pas de réponse, il boit son café, me dévisage, je rougis. Il retourne à son comptoir. Pauvre papa ! Il doit mettre ça sur le compte d’un dérèglement hormonal. Je remonte dans ma chambre, repense à cette nuit. Sa queue m’a paru moins grosse et moins longue que dans mes souvenirs d’enfance. C’est à 12 ans que je l’ai vue pour la première fois. Maintenant j’ai des éléments de comparaison ! Elle est de bonne taille, au moins comme celle de Marc, je comprends ma mère !
J’avais 3 ans lorsque mes parents se sont mariés, il va falloir que je questionne ma mère. Je porte le nom de son mari, mais ça ne prouve rien. Elle a peut être connu un autre homme avant ? Mon père est bel homme, pas très grand, 40 ans, 1,75 m, 75 kg. Ma mère, plutôt petite, 37 ans, 1,60 m pour 50 kg. Ils forment un beau couple, sont heureux ensemble, c’est elle qui dirige la maison, l’aide au tabac, s’occupe des comptes.
Il s’est passé près d’un mois depuis que j’ai croisé mon père à poil dans le couloir, son regard sur moi a un peu changé, mais c’est tout.
Je ne sais pas trop comment ç’est arrivé. Un jour, vers 4 h, je rentre du boulot, monte dans ma chambre. Ma mère s’affaire dans la sienne, la porte est ouverte, j’entre, m’assoie au bord du lit. Elle est étonnée de me voir là :
- Tu n’as rien à faire cet après midi ?
- Non, rien de spécial, je m’ennuie un peu en ce moment !
- Que devient ton petit copain ?
- Je ne sais pas, je n’ai aucune nouvelle depuis plus de 6 semaines.
- Les hommes sont tous les mêmes, quand ils ont eu ce qu’ils veulent, ils vous laissent tomber !
- Hé oui, toi tu as eu de la chance de rencontrer papa.
- Je me suis mariée à 21 ans, il n’est pas le seul homme que j’ai connu, j’ai eu aussi quelques désillusions avant de le rencontrer.
- Ah oui, c’est vrai, tu m’as eu à 18 ans, alors, c’est lui mon géniteur ?
- Non, c’est un salaud qui a disparu après m’avoir baisé ! Il voulait juste tirer son coup !
- Mais alors, pourquoi je porte le nom de ton mari, je devrais porter le tien ?
- J’ai rencontré Roger quand tu avais un an, on s’est aimé comme des fous, le coup de foudre. Il m’a pris avec l’enfant et t’a reconnu, on a vécu ensemble puis on s’est mariés ! Il a toujours été un bon père pour toi, il t’a élevé comme sa propre fille.
- Je comprends pourquoi lui ne m’engueule jamais, c’est toujours toi ! Tu sais ce qu’est devenu mon vrai père ?
- Non, je n’en ai plus jamais entendu parler. D’ailleurs pour moi il n’existe pas, ton père, c’est celui qui t’a élevé !
- Comment tu as pu céder à un tel mec ?
- J’étais jeune, je manquais d’expérience, il m’a baratiné, m’a culbuté, m’a sauté, je me suis retrouvée enceinte !
- Quel salaud ! T’as pas cherché à le revoir pour lui dire ?
- Quand j’ai cédé à ce mec, je n’avais pas fait l’amour depuis plusieurs mois ! Je ne pouvais pas lui dire, je n’ai jamais su son nom !
- C’est lui qui t’a dépucelé ?
- Non, ça c’était bien avant de le rencontrer, j’avais 15 ans.
- Pourquoi papa ne t’a pas fait un autre enfant ?
- C’est moi qui n’en veux pas d’autre, il me le demande quelque fois, je refuse !
- Pourquoi tu refuses, j’aurais aimé avoir un frère !
- Il fallait que je t’élève, avec le commerce ce n’est pas facile !
Pauvre maman, je comprends pourquoi tu t’inquiètes pour moi ! Tranquillise-toi, je prends mes précautions. Je rentre dans ma chambre, pensive, contente de cette révélation. J’avais des doutes, mais ils auraient pu vivre ensemble, me faire et décider de se marier après 4 ans de vue commune. Maintenant je sais, mais je ne pense pas que ma mère l’a mis au courant de la révélation qu’elle vient de me faire.
Je comprends l’embarras de mon père quand, il y a un mois de ça, il m’a vu à poil. Je repense à sa réaction, au désir visible, quasi immédiat, qu’il n’a pas pu masquer. J’ai senti qu’il avait envie de moi quand sa queue était comprimée par nos ventres. Elle se contractait, réagissait à chaque frottement de mon ventre contre le sien. Et moi qui me comportais comme si elle était en moi ! Il me maintenait serrée contre lui, j’ai compris pourquoi. Si, en m’écartant un peu, j’étais parvenue à passer ma main entre nous et à diriger sa queue vers le bas, je n’aurais eu aucun mal à la glisser dans ma fente, la faire entrer dans mon trou. J’étais ouverte, trempée, j’aurais tout fait pour la faire pénétrer dans mon sexe. En me mettant sur la pointe des pieds, je frottais ses couilles contre ma vulve. Il devait sentir qu’elle était trempée, mon ventre prêt à l’accueillir !
Quel supplice j’ai dû lui infliger, qu’elle force de caractère il lui a fallu pour résister à un tel appel de mon ventre, il bandait tellement dur, le pauvre. La vue de ce corps de femme offert, de mes petits seins fermes, de ma toison noire et drue qui se prolonge sur ma vulve, masque ma fente, tout cela lui a mis les sens en émoi. Ses mains me plaquaient contre lui, pétrissaient mes fesses à m’en faire mal, et ça à cause de son désir contenu, manifestation d’une tension extrême, je le comprends maintenant. Quel est l’homme qui peut résister dans une telle situation ? Comme j’ai dû le faire souffrir de ne pouvoir, ou de ne pas vouloir me prendre !
C’est d’autant plus difficile pour lui qu’il sait que je ne suis pas sa fille, et que ma mère, c’est à dire sa femme, refuse d’avoir un enfant de lui.
Peut être qu’un jour je lui donnerais cette joie s’il me demande de lui en faire un, il a toujours été tellement bon pour moi, je lui dois bien ça !. Mais gare aux foudres de ma mère si l’envie m’en prenait !
Maintenant que je sais qu’il n’est pas mon géniteur, je pourrais le récompenser de m’avoir élevé comme sa fille. Papa, je t’aime !
Ca fait plus d’un mois que je n’ai aucune nouvelle de Marc Chaque soir, lorsque je travaille avec l’équipe du matin, avant 6 h, j’essaye de le joindre au téléphone. Personne ne répond, c’est curieux. Comme il sait qu’à cette heure là c’est moi qui appelle, il ne répond pas, c’est évident, il laisse sonner ! Je vais essayer ce midi, cette semaine je suis libre jusqu’à 14 h, on verra bien. Je pense souvent à lui, ça m’inquiète, je crois que j’en suis amoureuse. Il n’est pas libre, dommage, mais de toute façon je ne me fais aucune illusion sur notre relation, il n’y a que mon cul qui l’intéresse.
Ma mère a raison. Ce que les hommes voient en nous, c’est notre cul, le reste, ils s’en tapent ! Pour le moment, je n’ai que ça à leur offrir !
Mon gode et mes doigts ne me suffisent plus ! J’ai besoin de la chaleur d’une bite. Il faut que je trouve un autre porte-couilles !
Au boulot, les propositions ne manquent pas, surtout quand je fais de la mise en rayon ou pendant la pose. Il y a des mecs qui ont les mains baladeuses, mes seins, mon entrejambes, mou cul, tout y passe. Ceux là, ça va encore, je m’habitue, mais d’autres, plus directs, me proposent carrément de me sauter dans l’entrepôt, en levrette derrière les cartons d’emballage.
- T’auras rien à faire, tu baisses ton jean, t’appuies sur les cartons, je fais tout !
T’as une capote ?
- Non ! Pas besoin, j’te la file dans le cul !
- J’aime pas qu’on m’encule !
- Dans l’autre trou, j’f’rais attention, t’inquiète ! Je sorts, t’avales tout !
- Ca va pas ! T’es malade ! Je n’baise pas sans capote, va te faire foutre !
Voilà la dernière proposition qui m’a été faite ! J’en suis à n’aller au boulot qu’en jean et polo, toute autre tenue serait beaucoup trop risquée. Je ne veux pas avoir à utiliser ma botte secrète, je risque ma place ! De toute façon, en cas d’urgence, j’ai toujours des capotes dans ma poche !
Mélanie a trouvé un boulot. Je n’ose pas lui parler de son mec. Finalement je ne suis pas fière, j’ai trahi ma meilleure copine. Pourtant, par le passé, on a fait des parties carrées ensemble. On verra ce qu’il se passera si elle m’invite un soir. S’il est là, je vais l’ignorer, il baise quelconque, il ne m’intéresse plus. J’essayerais quand même de lui faire comprendre que je n’ai pas aimé qu’on me prenne à sec, je ne suis pas un enjeu au poker !
C’est les vacances. J’ai demandé à voir le chef de service approvisionnements. Un stage de 3 mois, c’est insuffisant pour le genre de travail qu’il me propose. Il est toujours d’accord pour m’embaucher dès que j’aurais mon diplôme. En attendant, j’ai repris un emploi de caissière, d’après lui c’est bon parce que ça me permet de me familiariser avec les produits, j’en aurais besoin par la suite.
Je commence samedi, horaires décalés. Je vais me faire un peu d’argent de poche, j’en ai besoin.
Marc est en vacances, plus de ramonage en vue, la semaine prochaine je vais peut-être téléphoner à Mélanie, lui proposer un partage, j’ai une furieuse
envie de me venger. Ce n’est pas que j’apprécie son mec, il baise ordinaire, son calibre n’est pas terrible, mais bon, il faut faire avec ce qu’on trouve
sur le marché.
Pour le moment je suis bien, quand j’y pense, j’ai l’impression d’avoir encore la bite de Marc en moi, j’en mouille, je me mets les doigts. Je me le représente sautant sa femme. Est-ce qu’elle est chaude ? Peut-être qu’il la lui met » classic « ? C’est bon de baiser dans l’illégalité, ça donne du piment à la chose ! C’est peut être pour ça qu’il est venu vers moi, dans moi ! Avec lui je « baise à crû » sans capote, j’apprécie le contact de son gland quand il me pénètre et de sa hampe coulissant contre la paroi de mon vagin, et surtout j’adore l’onctuosité et la chaleur des jets de foutre qui me le remplissent. Il en a une de bonne taille, (5 x20 ) elle me dilate la gaine, l’étire, me comble le ventre tellement il est gros et va loin en moi. Mais il ne faut pas qu’il essaye de me la mette dans le cul, un tel engin me ferait trop mal, ça serait fini entre nous, je l’ai prévenu !
Pour le moment je suis calme, mes ardeurs sexuelles sont assouvies, je me fais une raison, il n’est pas là. Pas question de me faire sauter par un mâle du centre commercial, ça risquerait de compromettre mon avenir, j’ai vraiment besoin de cet emploi l’année prochaine.
Je n’ai aucune nouvelle de Mélanie, ça ne répond pas, elle est peut être partie en vacances elle aussi. J’attendrais !
Durant le mois qui vient de passer, je flâne pendant mes après midi libre, musées, la butte, les buttes, les Champs, j’ai tendance à m’ennuyer, je me promène seule. Le soir, dans mon lit, surtout lorsque j’entends mes parents faire l’amour, je m’entretiens avec mon gode. Je dors à poil, on est en été.
Il est 2 h du matin, je suis réveillée par des bruits caractéristiques venant de chambre d’à côté. J’allume, me lève, sorts dans le couloir pour aller pisser, laisse la porte ouverte. En passant devant la chambre de mes parents, je vois que leur porte est entrouverte, il y a de la lumière, ils ne baisent pas dans le noir. Curieuse, en silence, doucement pour ne pas attirer l’attention, je l’entrebâille un peu plus, regarde. Ils sont nus au-dessus du lit, ma mère est sur le dos, mon père est entre ses cuisses largement ouvertes et relevées. À voir les mouvements saccadés de ses fesses, ses assauts sont rudes, la cadence est élevée. Elle accompagne chaque coup de bite, se cambre pour bien l’accueillir, remonte le cul, couine, va au devant de la bite quand elle ressort, pousse des petits cris, halète. Il sort d’elle, remonte le long de son corps, sa bite, tendue, glisse sur son ventre, passe entre ses seins, atteint son cou. Il se place au-dessus de sa poitrine, lui présente sa verge. Il l’aide à redresser la tête, lui enfourne son gland dans la bouche. Elle le suce, aspire, ses joues se creusent, absorbe la bite en entier, caresse les couilles, elle a l’air d’aimer ça. Un grognement, il lâche son foutre, elle déglutit, avale, il gicle encore, elle recrache, en bave, un jet lui atteint le visage. Il recule, elle serre la queue entre ses seins, il la fait coulisser, encore un jet, il finit de se vider sur elle. Il roule sur le côté, elle se redresse, s’assoie au bord du lit, se passe la main sur le visage. Je pense qu’elle va aller se laver. J’en ai assez vu, abandonne l’idée d’aller pisser maintenant, me retient, rentre dans ma chambre, referme la porte sans bruit, m’allonge sur mon lit, j’ai chaud, ils m’ont émoustillé, je suis en manque. Il était temps, j’entends la porte de la salle de bain se refermer. Moins de dix minutes plus tard, elle revient, referme la porte de sa chambre. Elle doit s’être douchée. Plus aucun bruit, j’attends encore 5 minutes qu’ils s’endorment. Je me lève, décide d’aller aux toilettes, laisse ma porte ouverte comme tout à l’heure, n’allume pas le couloir. Passant devant la leur, j’entends qu’ils ont remis ça. Je colle mon oreille contre la porte, écoute les han, han appuyés de mon père, suivis de oui, oui, vas-y, plus fort, défonce moi, je viens ha, ha, c’est bon, ouiiiiiiiiiiiiiii, remplit moi, le tout accompagné des râles puissants du mâle en rût. Puis plus rien, silence. Je croyais qu’ils s’étaient endormis, mais non ! En revenant de la salle de bain, ma mère, pas satisfaite, a dû le branler pour le faire rebander. Je la comprends, elle n’a pas joui quand il lui a éjaculé dans la bouche. Après ça, elle ose me critiquer ! Elle remet ça quand elle n’a pas eu d’orgasme ! Comme moi, elle aime se faire sauter ! C’est bon pour la santé, ça brûle les calories en trop !
La salle de bain se trouve face à l’escalier, presque en face de la chambre de mes parents. Les portes se trouvent à environ 1 m l’une de l’autre, de part et d’autre du couloir. Je dois me soulager, vais dans la salle de bain, m’assoie sur WC, vide ma vessie. Je ne peux pas résister à l’envie de m’introduire deux doigts, de les activer en moi. J’attrape chaud, mon cœur s’emballe, ma cyprine coule sur ma main, ma vulve est trempée, je défaille, jouis. Je vais avoir du mal à me rendormir. J’éteins, sorts, ferme la porte. A ce moment la porte d’en face s’ouvre Mon père sort de la chambre, la referme. Il est à poil, on se retourne en même temps, on se retrouve nez à nez. Surpris, il me regarde, me détaille de la tête aux pieds. Je crois qu’il ne m’a jamais vue nue, il vient de s’apercevoir que sa fille est devenue une femme. De mon côté je ne vois que sa bite pendante, pas tout à fait au repos car il vient de terminer une bonne baise, ses couilles velues, son pubis couvert de poils noirs, je ne parviens pas à quitter son sexe des yeux. Je reste là, plantée devant lui, interdite, bras ballants, je ne pense même pas à cacher les atouts de ma féminité. De toute façon, c’est trop tard ! Il fixe ma toison, son regard insiste sur mon entrejambes. Il ne saurait voir ma fente, elle est masquée par des poils noirs et drus. Il fixe mon bas ventre, sa queue se redresse, gonfle, se raidit, le gland devient rouge, se pointe vers moi. Sa bite m’attire, je mouille de nouveau grave, j’ai une envie folle de la caresser. J’avance vers lui, me colle à lui, passe mes bras autour de son cou, mets ma tête contre son épaule comme quand j’étais petite fille. Je m’accroche à lui, appuie sa queue contre mon ventre, mes seins contre son torse, mes tétons durcissent, s’érigent. Il met ses mains sous mes fesses, les serrent, il m’applique avec force conte lui. Je me frotte à lui, bouge lentement mon bassin comme quand je baise. Je me serre contre lui, écarte un peu les jambes, lui offre mon sexe. Sa bite est coincée entre nous, dressée vers le haut, encore enduite de foutre et de cyprine car elle vient de sortir du vagin de sa femme. Elle augmente de volume, durcit, je la sens vivre contre mon ventre, glisser sur ma peau comme si elle était en moi. Je me cambre un peu, me met sur la pointe des pieds, plaque mon bas ventre contre ses couilles, elles caressent ma chatte humide Plus je me frotte à lui, plus il serre mon ventre contre lui. Ses doigts triturent ma chair, la meurtrit, ils me font mal. Lentement ses mains quittent mes fesses, remontent sur mes hanches, je m’écarte un peu de lui. Il les fait glisser le long de mon corps telle une caresse, s’attardent sur mes seins, ses doigts pincent mes tétons durs et gonflés. Ses mains continuent leur ascension, arrivent sur mes épaules. Il enlève mes bras, me repousse doucement, fermement, me murmure à l’oreille : non !
J’ai chaud, mes idées s’embrouillent, ma raison me dit : c’est ton père, tu n’as pas le droit ! Mon ventre réclame, j’ai envie de prendre sa queue, de la placer devant mon trou, ma vulve est trempée tellement je mouille ! Je laisse glisser mes bras le long de son corps, hasarde une main sous ses couilles, la passe sur sa queue, prends le gland encore un peu collant, recule tout en le tenant. Je le lâche doucement, à regrets, continue de reculer. Je ne vois que sa verge droite, elle reste à l’horizontal, pointée vers moi, quand je l’ai tenu le gland est devenu énorme, violacé. Je m’arrête devant ma porte, lui exposes ma nudité en pleine lumière, lui fais admirer mon corps de femme. J’aurais voulu qu’il me prenne là, dans le couloir, debout, par derrière dans le vagin, mes mains appuyées sur le mur. Mais non, il me regarde, ne bouge pas, a un air désolé. Sa bite reste au garde à vous, je ne vois plus qu’elle, elle m’attire. Je n’ose pas revenir vers lui, m’accroupir devant, la sucer. J’entre dans ma chambre à reculons, lentement, à regrets, reste dans l’encadrement de la porte. Je voudrais qu’il change d’avis, vienne vers moi, je lui lance un dernier regard implorant. J’attends encore un peu, rentre, referme ma porte sans bruit. C’est mon père, sa bite est réservée à ma mère, je ne peux pas, ne dois pas l’avoir pour moi, lui demander de la faire entrer en moi, de la partager avec elle ! Dommage.
Quelle nuit ! Notre face à face n’a duré que 2 ou 3 minutes peut être 4 tout au plus, mais il m’a perturbé sérieusement. Heureusement qu’aujourd’hui je suis d’après midi au centre commercial, je fais la grasse matinée, repense à cette nuit ! Il a eu une érection dès l’instant où il m’a vu à poil devant lui, et pourtant, quelques minutes auparavant, il était encore dans le ventre de sa femme, ma mère. Il a réagit à l’appel de mon corps d’une façon très visible, mais a su se contrôler. Pas moi, j’ai mouillé dès que j’ai vu sa bite, avant même qu’elle se redresse ! Il faut dire que je suis plutôt en manque de sexe ces temps ci, je ne résisterais pas à une queue, si j’en vois une, il me la faudra coûte que coûte ! Il est plus fort que moi au jeu du sexe, j’ai sûrement moins d’expérience que lui, cette nuit j’ai perdu la partie, c’est mieux pour tout le monde.
Vers 10 h du matin, je descends, le vois à son comptoir. Il est comme d’habitude, sert les clients. Je ne sais pas ce qu’il pense, s’il m’en veut de l’avoir provoqué, de lui avoir délibérément exposé ma nudité, fait sentir que j’avais envie de lui. J’ai la honte ! Je m’installe dans la cuisine, prends mon petit déjeuner. Ma mère le remplace au tabac, il vient s’asseoir à côté de moi, se sert un café, me regarde, me dit tout bas :
- Aurélie, qu’est ce qui t’arrive ?
- Tu me regardes toujours comme une petite fille, je t’ai montré que je suis devenue une femme !
- Tu es ma fille, ne l’oublie pas !
- Je sais, je n’ai pas voulu, mais c’était trop dur ! Excuse-moi, papa.
Pas de réponse, il boit son café, me dévisage, je rougis. Il retourne à son comptoir. Pauvre papa ! Il doit mettre ça sur le compte d’un dérèglement hormonal. Je remonte dans ma chambre, repense à cette nuit. Sa queue m’a paru moins grosse et moins longue que dans mes souvenirs d’enfance. C’est à 12 ans que je l’ai vue pour la première fois. Maintenant j’ai des éléments de comparaison ! Elle est de bonne taille, au moins comme celle de Marc, je comprends ma mère !
J’avais 3 ans lorsque mes parents se sont mariés, il va falloir que je questionne ma mère. Je porte le nom de son mari, mais ça ne prouve rien. Elle a peut être connu un autre homme avant ? Mon père est bel homme, pas très grand, 40 ans, 1,75 m, 75 kg. Ma mère, plutôt petite, 37 ans, 1,60 m pour 50 kg. Ils forment un beau couple, sont heureux ensemble, c’est elle qui dirige la maison, l’aide au tabac, s’occupe des comptes.
Il s’est passé près d’un mois depuis que j’ai croisé mon père à poil dans le couloir, son regard sur moi a un peu changé, mais c’est tout.
Je ne sais pas trop comment ç’est arrivé. Un jour, vers 4 h, je rentre du boulot, monte dans ma chambre. Ma mère s’affaire dans la sienne, la porte est ouverte, j’entre, m’assoie au bord du lit. Elle est étonnée de me voir là :
- Tu n’as rien à faire cet après midi ?
- Non, rien de spécial, je m’ennuie un peu en ce moment !
- Que devient ton petit copain ?
- Je ne sais pas, je n’ai aucune nouvelle depuis plus de 6 semaines.
- Les hommes sont tous les mêmes, quand ils ont eu ce qu’ils veulent, ils vous laissent tomber !
- Hé oui, toi tu as eu de la chance de rencontrer papa.
- Je me suis mariée à 21 ans, il n’est pas le seul homme que j’ai connu, j’ai eu aussi quelques désillusions avant de le rencontrer.
- Ah oui, c’est vrai, tu m’as eu à 18 ans, alors, c’est lui mon géniteur ?
- Non, c’est un salaud qui a disparu après m’avoir baisé ! Il voulait juste tirer son coup !
- Mais alors, pourquoi je porte le nom de ton mari, je devrais porter le tien ?
- J’ai rencontré Roger quand tu avais un an, on s’est aimé comme des fous, le coup de foudre. Il m’a pris avec l’enfant et t’a reconnu, on a vécu ensemble puis on s’est mariés ! Il a toujours été un bon père pour toi, il t’a élevé comme sa propre fille.
- Je comprends pourquoi lui ne m’engueule jamais, c’est toujours toi ! Tu sais ce qu’est devenu mon vrai père ?
- Non, je n’en ai plus jamais entendu parler. D’ailleurs pour moi il n’existe pas, ton père, c’est celui qui t’a élevé !
- Comment tu as pu céder à un tel mec ?
- J’étais jeune, je manquais d’expérience, il m’a baratiné, m’a culbuté, m’a sauté, je me suis retrouvée enceinte !
- Quel salaud ! T’as pas cherché à le revoir pour lui dire ?
- Quand j’ai cédé à ce mec, je n’avais pas fait l’amour depuis plusieurs mois ! Je ne pouvais pas lui dire, je n’ai jamais su son nom !
- C’est lui qui t’a dépucelé ?
- Non, ça c’était bien avant de le rencontrer, j’avais 15 ans.
- Pourquoi papa ne t’a pas fait un autre enfant ?
- C’est moi qui n’en veux pas d’autre, il me le demande quelque fois, je refuse !
- Pourquoi tu refuses, j’aurais aimé avoir un frère !
- Il fallait que je t’élève, avec le commerce ce n’est pas facile !
Pauvre maman, je comprends pourquoi tu t’inquiètes pour moi ! Tranquillise-toi, je prends mes précautions. Je rentre dans ma chambre, pensive, contente de cette révélation. J’avais des doutes, mais ils auraient pu vivre ensemble, me faire et décider de se marier après 4 ans de vue commune. Maintenant je sais, mais je ne pense pas que ma mère l’a mis au courant de la révélation qu’elle vient de me faire.
Je comprends l’embarras de mon père quand, il y a un mois de ça, il m’a vu à poil. Je repense à sa réaction, au désir visible, quasi immédiat, qu’il n’a pas pu masquer. J’ai senti qu’il avait envie de moi quand sa queue était comprimée par nos ventres. Elle se contractait, réagissait à chaque frottement de mon ventre contre le sien. Et moi qui me comportais comme si elle était en moi ! Il me maintenait serrée contre lui, j’ai compris pourquoi. Si, en m’écartant un peu, j’étais parvenue à passer ma main entre nous et à diriger sa queue vers le bas, je n’aurais eu aucun mal à la glisser dans ma fente, la faire entrer dans mon trou. J’étais ouverte, trempée, j’aurais tout fait pour la faire pénétrer dans mon sexe. En me mettant sur la pointe des pieds, je frottais ses couilles contre ma vulve. Il devait sentir qu’elle était trempée, mon ventre prêt à l’accueillir !
Quel supplice j’ai dû lui infliger, qu’elle force de caractère il lui a fallu pour résister à un tel appel de mon ventre, il bandait tellement dur, le pauvre. La vue de ce corps de femme offert, de mes petits seins fermes, de ma toison noire et drue qui se prolonge sur ma vulve, masque ma fente, tout cela lui a mis les sens en émoi. Ses mains me plaquaient contre lui, pétrissaient mes fesses à m’en faire mal, et ça à cause de son désir contenu, manifestation d’une tension extrême, je le comprends maintenant. Quel est l’homme qui peut résister dans une telle situation ? Comme j’ai dû le faire souffrir de ne pouvoir, ou de ne pas vouloir me prendre !
C’est d’autant plus difficile pour lui qu’il sait que je ne suis pas sa fille, et que ma mère, c’est à dire sa femme, refuse d’avoir un enfant de lui.
Peut être qu’un jour je lui donnerais cette joie s’il me demande de lui en faire un, il a toujours été tellement bon pour moi, je lui dois bien ça !. Mais gare aux foudres de ma mère si l’envie m’en prenait !
Maintenant que je sais qu’il n’est pas mon géniteur, je pourrais le récompenser de m’avoir élevé comme sa fille. Papa, je t’aime !
Ca fait plus d’un mois que je n’ai aucune nouvelle de Marc Chaque soir, lorsque je travaille avec l’équipe du matin, avant 6 h, j’essaye de le joindre au téléphone. Personne ne répond, c’est curieux. Comme il sait qu’à cette heure là c’est moi qui appelle, il ne répond pas, c’est évident, il laisse sonner ! Je vais essayer ce midi, cette semaine je suis libre jusqu’à 14 h, on verra bien. Je pense souvent à lui, ça m’inquiète, je crois que j’en suis amoureuse. Il n’est pas libre, dommage, mais de toute façon je ne me fais aucune illusion sur notre relation, il n’y a que mon cul qui l’intéresse.
Ma mère a raison. Ce que les hommes voient en nous, c’est notre cul, le reste, ils s’en tapent ! Pour le moment, je n’ai que ça à leur offrir !
Mon gode et mes doigts ne me suffisent plus ! J’ai besoin de la chaleur d’une bite. Il faut que je trouve un autre porte-couilles !
Au boulot, les propositions ne manquent pas, surtout quand je fais de la mise en rayon ou pendant la pose. Il y a des mecs qui ont les mains baladeuses, mes seins, mon entrejambes, mou cul, tout y passe. Ceux là, ça va encore, je m’habitue, mais d’autres, plus directs, me proposent carrément de me sauter dans l’entrepôt, en levrette derrière les cartons d’emballage.
- T’auras rien à faire, tu baisses ton jean, t’appuies sur les cartons, je fais tout !
T’as une capote ?
- Non ! Pas besoin, j’te la file dans le cul !
- J’aime pas qu’on m’encule !
- Dans l’autre trou, j’f’rais attention, t’inquiète ! Je sorts, t’avales tout !
- Ca va pas ! T’es malade ! Je n’baise pas sans capote, va te faire foutre !
Voilà la dernière proposition qui m’a été faite ! J’en suis à n’aller au boulot qu’en jean et polo, toute autre tenue serait beaucoup trop risquée. Je ne veux pas avoir à utiliser ma botte secrète, je risque ma place ! De toute façon, en cas d’urgence, j’ai toujours des capotes dans ma poche !
Mélanie a trouvé un boulot. Je n’ose pas lui parler de son mec. Finalement je ne suis pas fière, j’ai trahi ma meilleure copine. Pourtant, par le passé, on a fait des parties carrées ensemble. On verra ce qu’il se passera si elle m’invite un soir. S’il est là, je vais l’ignorer, il baise quelconque, il ne m’intéresse plus. J’essayerais quand même de lui faire comprendre que je n’ai pas aimé qu’on me prenne à sec, je ne suis pas un enjeu au poker !
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