Aventures d'ados ( 17 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aventures d'ados ( 17 )
17 Les vacances scolaires se terminent, dans 15 jours je reprends les cours à la Fac. Mon remplacement à la caisse du super marché est terminé, j’ai du temps libre et ne sais plus trop quoi faire de mes journées. J’en profite pour me promener dans les magasins, renouveler ma garde robe pour l’hiver.
Ca fait maintenant deux mois que je n’ai pas baisé, que personne ne ma l’a mise. Quelques fois je repense à la queue de mon « beau-père », surtout les nuits où je me réveille, ma mère étant toujours très peu discrète quand elle est partie ! J’ai bien essayé de le coincer dans le couloir, mais je crois qu’il se méfie de moi, vérifie que je suis bien dans ma chambre avant de se risquer dans la salle de bain. Quant à Marc, disparu, même quand j’étais à la caisse je ne l’ai pas aperçu. J’ai fait le pied de grue devant son atelier, je l’ai vu sortir en voiture, lui ne m’a pas ou n’a pas voulu me remarquer.
Accroc que je suis à sa queue, un soir j’ai quand même réussi à l’avoir au téléphone. Il m’a dit : - Je ne peux plus te revoir, il y a trop de risques. Lorsqu’on a baisé dans mon bureau, une employée était encore sur place. En sortant des toilettes elle t’a vu grimper l’escalier et entrer dans le bureau. Elle est montée, est restée à écouter à la porte pendant tout le temps qu’on a baisé. Elle t’a entendu crier quand tu as joui ! Tout le monde est au courant, l’information circule, « le patron s’est tapé une jeunette dans son bureau pendant l’heure du midi »! Ca a fait le tour de l’atelier, c’est ma secrétaire qui me l’a rapporté, détails à l’appui. Tu me plais toujours, j’ai souvent envie de toi. Tu sais que la première fois j’ai longuement hésité à te sauter, ce n’est pas dans mes habitudes de tromper ma femme. Je ne peux pas risquer de briser mon ménage, j’aime ma femme. Déjà ma réputation en a pris un sérieux coup. Je te demande donc de considérer cette aventure comme sans lendemain ! Peut-être qu’un jour, enfin on verra ?
- Je comprends, tu aurais dû m’appeler pour me le dire, au lieu de me faire gamberger. Ta queue me manque sérieusement !
- Excuse moi ! Comme on n’ a eu que 4 rapports en 3 mois, je me suis dis que tu avais certainement un petit copain pour combler le trou !
- Malheureusement non. Après notre première baise, personne d’autre que toi ne me l’a mise !
- Ne m’appelle plus, je le ferais si une occasion se présente. Tu es vraiment bonne mais tu me crèves !
- Je suis en manque, débrouille toi quand même pour trouver une occasion de ma la mettre, on peut le faire discrètement !
- J’y pense ! Je te rappelle. Bye bye.
J’ai enfin compris la raison de son abandon. On s’est fait prendre. Je ne peux pas lui en vouloir c’est moi qui l’a poussé à la faute !
Mes parents ont fermé le café tabac pendant 3 semaines, mais, à part quelques sorties d’une journée, ils sont restés chez eux. Ma mère part quelque fois l’après midi pour faire des achats dit-elle. Un jour, je rentre du boulot vers trois heures et demi. Mon père est installé dans le salon qui se situe juste en face de ma chambre. Il est sur le canapé, regarde la télévision. Je rentre dans ma chambre, me change, troque jean et Sweet pour un corsage et une jupe, reviens dans le salon, m’installe à côté de lui.. À ce moment là je n’ai aucune intention particulière, je me sens bien, me rapproche de lui, me sers contre lui. J’ai chaud, mon coeur bat plus vite, j’ai soudain envie, je mets ma tête sur son épaule, pose une main sur sa cuisse. Il ne la repousse pas, ne bouge pas, je suis bien, je ferme les yeux. Mine de rien, je caresse sa cuisse, ma main remonte lentement à l’intérieur de la jambe, arrive à l’endroit stratégique. Toujours pas de réaction, il laisse faire, semble indifférent. Je sens un certain trouble m’envahir, il faut que j’ose. Je glisse ma main dans son entrejambes, appuie sur les couilles.
- Arrête, tu ne vas pas remettre ça, ta mère risque de rentrer !
J’enlève ma main, prends la sienne, la met en haut de ma cuisse, sous la jupe. Il résiste.
- Ca va comme ça, n’insiste pas !
Il est tout rouge, me regarde d’un air courroucé, je tiens toujours sa main, la maintient solidement en place. Il me sert la cuisse, ses doigts s’enfoncent dans ma chair, il me fait mal. Aïe ! L’étau se dessert doucement, je remue le cul, écarte un peu plus mes cuisses, fais glisser sa main jusqu’à mon entrejambes, la coince en resserrant mes cuisses, la bloque sur mon sexe, la lâche. De lui-même il l’applique sur mon string, enserre ma vulve. J’ai ce que je voulais, la sentir là, sur ma chatte, j’en mouille. Je me tourne vers lui, cherche le zip, ouvre la braguette.
- Je t’ai déjà dit non, t’as pas compris !
Une de ses mains est toujours plaquée sur mon sexe, le pétrit, l’autre essaie de sortir la mienne de son pantalon.
- Enlève ta patte de là, je vais me fâcher !
Elle est dans le pantalon, je serre la bite au travers du boxer, lutte pour la sortir, j’ai du mal à la dégager tellement elle est raide et qu’il bande.
- Sort-la toi-même, j’y arrive pas, tu bandes trop!
- Fout moi la paix ! Qu’est ce qui t’prend ?
- J’ai envie de te branler !
Je ne lâche pas ma prise, au contraire, la tient bien en main, y met les deux, fouille, trouve l’ouverture du boxer, la dégage enfin, elle jaillit toute droite, gonflée, le gland est violacé.
- Arrête, tu n’as pas le droit de faire ça !
De sa main libre il cherche à libérer sa queue et à la faire rentrer dans le pantalon, mais je tiens bon. Pendant que je lutte pour garder ma prise, je sens que son autre main écarte mon string, passe dessous. Elle appuie sur mes lèvres gonflées, glisse les doigts dans ma fente, presse mon clito, le fait surgir de son capuchon, le triture. Je ne tiens plus en place, remue le bas ventre, le pousse au devant de sa main, mon clito s’érige, un flot de mouille envahit ma fente, sa main.
Je sens qu’il est à ma merci malgré ses protestations. Je me bagarre pour l’empêcher de rentrer sa queue dans le caleçon, commence à le branler sérieux. Il capitule, m’abandonne sa queue mais en profite pour glisser son doigt dans mon trou. Il se tourne vers moi, déboutonne mon chemisier, agrippe un sein, le malaxe, pince mon téton à m’en faire mal. Je lui abandonne mon corps, il s’occupe de ma poitrine et de mon sexe, je deviens sa chose. J’enlève la main qui fouille mon intimité, recule sur le canapé, garde un pied au sol, monte un genou sur le coussin. Je me penche sur lui, reprends sa queue en main, la met dans ma bouche. La position est telle que j’ai la tête en bas, le cul un peu relevé. Alors que je tiens sa queue dressée, la suce avec application, il se penche, passe son buste entre moi et le dos du canapé, glisse une main sur mon dos, relève ma jupe jusque sur mes reins, dégage le string sur une fesse, enfile un doigt dans le trou, alors que l’autre main s’occupe toujours de ma poitrine. Sa main passe sous moi, remonte sur l‘intérieur de ma cuisse, se plaque sur ma moule, je ruisselle. Ses doigts cherchent ma fente, l’ouvrent, se glissent dedans. Il m’enfile direct deux doigts dans le vagin, les activent, les fait tourner à l’intérieur, les enfonce sur toute leur longueur. De mon côté je le suce, salive, aspire, entoure le gland de ma langue. J’ai du mal à faire coulisser son braquemart dans ma bouche, il est trop gros et trop long, je ne peux pas l’absorber jusqu’aux couilles comme j’aimerais le faire. Lui est en action dans mon vagin, ne perd pas son temps, entre et sort ses doigts, je mouille comme pas possible, je sens que je vais venir, j’accompagne ses doigts par des mouvements du bassin. Sa bite se contracte dans ma main, grossit, je connais ce signal, ça vient, il va jouir. Je veux qu’il se vide dans moi. Pour ça, il faut que je monte sur lui. Je lâche la queue, la recrache, tente de me redresser. Trop tard, de sa main libre il m’attrape la tête, la tient fermement, me refourre sa bite dans ma bouche, alors que l’autre main se crispe. Il enfonce encore plus ses doigts dans ma gaine, me maintient bloquée dans la position. Il se cambre, donne un coup de rein, décharge, se vide au fond de ma gorge en plusieurs jets d’un foutre épais, fade.
- T’es une vraie salope, t’as c’que tu veux !
J’ai la bouche pleine, j’étouffe, avale, déglutit, me redresse, fonce dans la salle de bain, recrache le surplus. Je me rince la bouche, me lave les dents, me soulage, fait une toilette intime car mes poils sont collants. Je remets le string en place, fais retomber ma jupe, referme mon chemisier, me recoiffe. Je me regarde dans la glace, constate que je suis de nouveau présentable, descends à la cuisine, me prépare un thé, grignote des petits gâteaux. Je pense à ce qui vient de se passer. Je lui ai pompé le dard, mais j’aurais préféré qu’il me l’introduise profond et décharge dans moi. Si l’occasion se représente, je tenterais de nouveau ma chance maintenant que je sais qu’il n’est que mon beau-père. Pour y arriver, je dois parvenir à me saisir de sa queue, c’est son point faible. Ce que je crains, c’est qu’il ne me laisse plus venir contre lui quand on sera seul à la maison, qu’il me repousse. Maintenant qu’il sait ce que veux, il serait surprenant que je parvienne à l’avoir en moi. Je crois qu’il est préférable que je laisse tomber et que je cherche ailleurs ! Surtout si ma mère vient à l’apprendre, elle est capable de me virer, c’est pour le coup que je me retrouverais à la rue !
Voilà ma mère qui rentre avec ses paquets. Je lui propose de lui servir un thé pendant qu’elle déballe ses emplettes.
- Où est ton père ?
- Là haut je suppose, t‘entends pas la télé !
À ce moment là on entend un bruit de chasse d’eau.
- Fait moi un thé, j’en ai plein les bottes à courir dans les magasins. Regarde ce que j’ai trouvé !
Pauvre maman, si elle savait ce que moi j’ai trouvé dans le pantalon de son mari. Je l’ai pompé sérieux, il ne sera pas en forme cette nuit, je vais pouvoir dormir jusqu’au matin ! Pourvu que ma mère soit, elle aussi, sur les rotules !
Maintenant, lorsque je me retrouve seule avec lui au salon, il se met dans un fauteuil. Je vois bien qu’il m’évite. Pourtant il m’arrive quelque fois de le frôler, de me frotter à lui. Parfois il fait semblant de ne pas s’en rendre compte, d’autres fois il me regarde d’un air courroucé.
Ca fait un mois et demi que j’ai sucé la bite de mon beau-père, et autant de temps que je n’ai pas baisé.
Bien sûr, me faire tirer, comme ça, par un mec de passage, c’est toujours possible, je m’en rends compte, mon cul attire le regard les mecs ! Il faut reconnaître que je suis vraiment sexy, vraiment pas mal foutue, bref tout à fait mettable ! Mais j’ai besoin d’une vraie relation, de quelqu’un qui me baise régulièrement, d’un peu d’amour sans doute.
Un après midi morne. Désoeuvrée, je me rends sur les boulevards avec l’intention de voir un film sorti récemment. Il y a la queue à l’extérieur, les gens attendent la prochaine séance. Un mec, à coté de moi dans la file d’attente, engage la conversation, me parle de la pluie et du beau temps, des films qu’il est déjà allé voir. On achète nos tickets, entrons dans la salle, il s’installe à côté de moi, dans le fond, loin de l’écran. On regarde le film, il ne se passe rien, et en sortant on fait un bout de chemin ensemble. Il commente le film, demande mon avis, me donne le sien. On passe devant un grand café, il m’invite à prendre un verre à la terrasse. Une chance, j’ai soif ! Au bout d’une demi-heure à peu près, je me lève, le remercie. On marche tranquillement, il reste à côté de moi, silencieux. On passe devant un hôtel 3*, il s’arrête, m’interroge du regard, me prend la main, me tire doucement vers la double porte vitrée de l’entrée. Je résiste, sans conviction. Il est beau mec, je suis en manque ! C’est un inconnu, je ne sais absolument rien de lui, j’hésite, ne bouge pas, l’observe. Il me dit :- On entre là ?
- Non, pas question !
- J’ai envie de toi, tu es si belle !
- Qu’est ce qui te fait croire que j’ai envie que tu me baises !
- Si tu ne veux pas, tant pis !
- On ne se connaît pas !
- Moi c’est André et toi ?
- Aurélie.
On continue de se promener, on parle de choses sans intérêts, l’heure avance, j’ai envie de rentrer à la maison. Il fait une deuxième tentative lorsque l’on passe devant l’entrée d’un autre hôtel, sans succès. Encore un qui ne s’intéresse qu’à mon cul, car pour ce qui est de la conversation, pas grand chose ! Pas de chance pour lui, c’est le dernier jour de mes règles, j’ai mis un tampon par précaution, ce qui me permet de refuser plus facilement qu’il me saute. On se quitte- Je te donne mon téléphone, appelle-moi, j‘aimerais te revoir, tu me plais.
- Si tu ne t’intéresses qu’à mon cul, dis le tout de suite, ça évitera les malentendus.
- T’es vraiment dure avec moi, je ne veux pas seulement te sauter, je veux aussi faire plus ample connaissance !
- Si c’est de mon cul dont tu parles, je vais y réfléchir, mets-toi bien ça dans la tête, je ne couche pas facilement !
- Pourquoi tu t’énerves, on peu parler !
- Je ne baise pas avec le premier venu et seulement si j’en ai envie, je ne suis pas une pute !
On se dit au revoir, il m’embrasse sur la joue, je le quitte sans même me retourner. Il me plaît, c’est évident. Mais il a commencé par vouloir me sauter, ce n’est pas un bon départ pour une relation durable. Ca fait deux mois que je ne me suis pas fait ramoner et pour le moment, rien en vue !
La semaine prochaine je reprends les cours à la Fac. Je vais bosser dur, je veux avoir mon diplôme.
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Ca fait maintenant deux mois que je n’ai pas baisé, que personne ne ma l’a mise. Quelques fois je repense à la queue de mon « beau-père », surtout les nuits où je me réveille, ma mère étant toujours très peu discrète quand elle est partie ! J’ai bien essayé de le coincer dans le couloir, mais je crois qu’il se méfie de moi, vérifie que je suis bien dans ma chambre avant de se risquer dans la salle de bain. Quant à Marc, disparu, même quand j’étais à la caisse je ne l’ai pas aperçu. J’ai fait le pied de grue devant son atelier, je l’ai vu sortir en voiture, lui ne m’a pas ou n’a pas voulu me remarquer.
Accroc que je suis à sa queue, un soir j’ai quand même réussi à l’avoir au téléphone. Il m’a dit : - Je ne peux plus te revoir, il y a trop de risques. Lorsqu’on a baisé dans mon bureau, une employée était encore sur place. En sortant des toilettes elle t’a vu grimper l’escalier et entrer dans le bureau. Elle est montée, est restée à écouter à la porte pendant tout le temps qu’on a baisé. Elle t’a entendu crier quand tu as joui ! Tout le monde est au courant, l’information circule, « le patron s’est tapé une jeunette dans son bureau pendant l’heure du midi »! Ca a fait le tour de l’atelier, c’est ma secrétaire qui me l’a rapporté, détails à l’appui. Tu me plais toujours, j’ai souvent envie de toi. Tu sais que la première fois j’ai longuement hésité à te sauter, ce n’est pas dans mes habitudes de tromper ma femme. Je ne peux pas risquer de briser mon ménage, j’aime ma femme. Déjà ma réputation en a pris un sérieux coup. Je te demande donc de considérer cette aventure comme sans lendemain ! Peut-être qu’un jour, enfin on verra ?
- Je comprends, tu aurais dû m’appeler pour me le dire, au lieu de me faire gamberger. Ta queue me manque sérieusement !
- Excuse moi ! Comme on n’ a eu que 4 rapports en 3 mois, je me suis dis que tu avais certainement un petit copain pour combler le trou !
- Malheureusement non. Après notre première baise, personne d’autre que toi ne me l’a mise !
- Ne m’appelle plus, je le ferais si une occasion se présente. Tu es vraiment bonne mais tu me crèves !
- Je suis en manque, débrouille toi quand même pour trouver une occasion de ma la mettre, on peut le faire discrètement !
- J’y pense ! Je te rappelle. Bye bye.
J’ai enfin compris la raison de son abandon. On s’est fait prendre. Je ne peux pas lui en vouloir c’est moi qui l’a poussé à la faute !
Mes parents ont fermé le café tabac pendant 3 semaines, mais, à part quelques sorties d’une journée, ils sont restés chez eux. Ma mère part quelque fois l’après midi pour faire des achats dit-elle. Un jour, je rentre du boulot vers trois heures et demi. Mon père est installé dans le salon qui se situe juste en face de ma chambre. Il est sur le canapé, regarde la télévision. Je rentre dans ma chambre, me change, troque jean et Sweet pour un corsage et une jupe, reviens dans le salon, m’installe à côté de lui.. À ce moment là je n’ai aucune intention particulière, je me sens bien, me rapproche de lui, me sers contre lui. J’ai chaud, mon coeur bat plus vite, j’ai soudain envie, je mets ma tête sur son épaule, pose une main sur sa cuisse. Il ne la repousse pas, ne bouge pas, je suis bien, je ferme les yeux. Mine de rien, je caresse sa cuisse, ma main remonte lentement à l’intérieur de la jambe, arrive à l’endroit stratégique. Toujours pas de réaction, il laisse faire, semble indifférent. Je sens un certain trouble m’envahir, il faut que j’ose. Je glisse ma main dans son entrejambes, appuie sur les couilles.
- Arrête, tu ne vas pas remettre ça, ta mère risque de rentrer !
J’enlève ma main, prends la sienne, la met en haut de ma cuisse, sous la jupe. Il résiste.
- Ca va comme ça, n’insiste pas !
Il est tout rouge, me regarde d’un air courroucé, je tiens toujours sa main, la maintient solidement en place. Il me sert la cuisse, ses doigts s’enfoncent dans ma chair, il me fait mal. Aïe ! L’étau se dessert doucement, je remue le cul, écarte un peu plus mes cuisses, fais glisser sa main jusqu’à mon entrejambes, la coince en resserrant mes cuisses, la bloque sur mon sexe, la lâche. De lui-même il l’applique sur mon string, enserre ma vulve. J’ai ce que je voulais, la sentir là, sur ma chatte, j’en mouille. Je me tourne vers lui, cherche le zip, ouvre la braguette.
- Je t’ai déjà dit non, t’as pas compris !
Une de ses mains est toujours plaquée sur mon sexe, le pétrit, l’autre essaie de sortir la mienne de son pantalon.
- Enlève ta patte de là, je vais me fâcher !
Elle est dans le pantalon, je serre la bite au travers du boxer, lutte pour la sortir, j’ai du mal à la dégager tellement elle est raide et qu’il bande.
- Sort-la toi-même, j’y arrive pas, tu bandes trop!
- Fout moi la paix ! Qu’est ce qui t’prend ?
- J’ai envie de te branler !
Je ne lâche pas ma prise, au contraire, la tient bien en main, y met les deux, fouille, trouve l’ouverture du boxer, la dégage enfin, elle jaillit toute droite, gonflée, le gland est violacé.
- Arrête, tu n’as pas le droit de faire ça !
De sa main libre il cherche à libérer sa queue et à la faire rentrer dans le pantalon, mais je tiens bon. Pendant que je lutte pour garder ma prise, je sens que son autre main écarte mon string, passe dessous. Elle appuie sur mes lèvres gonflées, glisse les doigts dans ma fente, presse mon clito, le fait surgir de son capuchon, le triture. Je ne tiens plus en place, remue le bas ventre, le pousse au devant de sa main, mon clito s’érige, un flot de mouille envahit ma fente, sa main.
Je sens qu’il est à ma merci malgré ses protestations. Je me bagarre pour l’empêcher de rentrer sa queue dans le caleçon, commence à le branler sérieux. Il capitule, m’abandonne sa queue mais en profite pour glisser son doigt dans mon trou. Il se tourne vers moi, déboutonne mon chemisier, agrippe un sein, le malaxe, pince mon téton à m’en faire mal. Je lui abandonne mon corps, il s’occupe de ma poitrine et de mon sexe, je deviens sa chose. J’enlève la main qui fouille mon intimité, recule sur le canapé, garde un pied au sol, monte un genou sur le coussin. Je me penche sur lui, reprends sa queue en main, la met dans ma bouche. La position est telle que j’ai la tête en bas, le cul un peu relevé. Alors que je tiens sa queue dressée, la suce avec application, il se penche, passe son buste entre moi et le dos du canapé, glisse une main sur mon dos, relève ma jupe jusque sur mes reins, dégage le string sur une fesse, enfile un doigt dans le trou, alors que l’autre main s’occupe toujours de ma poitrine. Sa main passe sous moi, remonte sur l‘intérieur de ma cuisse, se plaque sur ma moule, je ruisselle. Ses doigts cherchent ma fente, l’ouvrent, se glissent dedans. Il m’enfile direct deux doigts dans le vagin, les activent, les fait tourner à l’intérieur, les enfonce sur toute leur longueur. De mon côté je le suce, salive, aspire, entoure le gland de ma langue. J’ai du mal à faire coulisser son braquemart dans ma bouche, il est trop gros et trop long, je ne peux pas l’absorber jusqu’aux couilles comme j’aimerais le faire. Lui est en action dans mon vagin, ne perd pas son temps, entre et sort ses doigts, je mouille comme pas possible, je sens que je vais venir, j’accompagne ses doigts par des mouvements du bassin. Sa bite se contracte dans ma main, grossit, je connais ce signal, ça vient, il va jouir. Je veux qu’il se vide dans moi. Pour ça, il faut que je monte sur lui. Je lâche la queue, la recrache, tente de me redresser. Trop tard, de sa main libre il m’attrape la tête, la tient fermement, me refourre sa bite dans ma bouche, alors que l’autre main se crispe. Il enfonce encore plus ses doigts dans ma gaine, me maintient bloquée dans la position. Il se cambre, donne un coup de rein, décharge, se vide au fond de ma gorge en plusieurs jets d’un foutre épais, fade.
- T’es une vraie salope, t’as c’que tu veux !
J’ai la bouche pleine, j’étouffe, avale, déglutit, me redresse, fonce dans la salle de bain, recrache le surplus. Je me rince la bouche, me lave les dents, me soulage, fait une toilette intime car mes poils sont collants. Je remets le string en place, fais retomber ma jupe, referme mon chemisier, me recoiffe. Je me regarde dans la glace, constate que je suis de nouveau présentable, descends à la cuisine, me prépare un thé, grignote des petits gâteaux. Je pense à ce qui vient de se passer. Je lui ai pompé le dard, mais j’aurais préféré qu’il me l’introduise profond et décharge dans moi. Si l’occasion se représente, je tenterais de nouveau ma chance maintenant que je sais qu’il n’est que mon beau-père. Pour y arriver, je dois parvenir à me saisir de sa queue, c’est son point faible. Ce que je crains, c’est qu’il ne me laisse plus venir contre lui quand on sera seul à la maison, qu’il me repousse. Maintenant qu’il sait ce que veux, il serait surprenant que je parvienne à l’avoir en moi. Je crois qu’il est préférable que je laisse tomber et que je cherche ailleurs ! Surtout si ma mère vient à l’apprendre, elle est capable de me virer, c’est pour le coup que je me retrouverais à la rue !
Voilà ma mère qui rentre avec ses paquets. Je lui propose de lui servir un thé pendant qu’elle déballe ses emplettes.
- Où est ton père ?
- Là haut je suppose, t‘entends pas la télé !
À ce moment là on entend un bruit de chasse d’eau.
- Fait moi un thé, j’en ai plein les bottes à courir dans les magasins. Regarde ce que j’ai trouvé !
Pauvre maman, si elle savait ce que moi j’ai trouvé dans le pantalon de son mari. Je l’ai pompé sérieux, il ne sera pas en forme cette nuit, je vais pouvoir dormir jusqu’au matin ! Pourvu que ma mère soit, elle aussi, sur les rotules !
Maintenant, lorsque je me retrouve seule avec lui au salon, il se met dans un fauteuil. Je vois bien qu’il m’évite. Pourtant il m’arrive quelque fois de le frôler, de me frotter à lui. Parfois il fait semblant de ne pas s’en rendre compte, d’autres fois il me regarde d’un air courroucé.
Ca fait un mois et demi que j’ai sucé la bite de mon beau-père, et autant de temps que je n’ai pas baisé.
Bien sûr, me faire tirer, comme ça, par un mec de passage, c’est toujours possible, je m’en rends compte, mon cul attire le regard les mecs ! Il faut reconnaître que je suis vraiment sexy, vraiment pas mal foutue, bref tout à fait mettable ! Mais j’ai besoin d’une vraie relation, de quelqu’un qui me baise régulièrement, d’un peu d’amour sans doute.
Un après midi morne. Désoeuvrée, je me rends sur les boulevards avec l’intention de voir un film sorti récemment. Il y a la queue à l’extérieur, les gens attendent la prochaine séance. Un mec, à coté de moi dans la file d’attente, engage la conversation, me parle de la pluie et du beau temps, des films qu’il est déjà allé voir. On achète nos tickets, entrons dans la salle, il s’installe à côté de moi, dans le fond, loin de l’écran. On regarde le film, il ne se passe rien, et en sortant on fait un bout de chemin ensemble. Il commente le film, demande mon avis, me donne le sien. On passe devant un grand café, il m’invite à prendre un verre à la terrasse. Une chance, j’ai soif ! Au bout d’une demi-heure à peu près, je me lève, le remercie. On marche tranquillement, il reste à côté de moi, silencieux. On passe devant un hôtel 3*, il s’arrête, m’interroge du regard, me prend la main, me tire doucement vers la double porte vitrée de l’entrée. Je résiste, sans conviction. Il est beau mec, je suis en manque ! C’est un inconnu, je ne sais absolument rien de lui, j’hésite, ne bouge pas, l’observe. Il me dit :- On entre là ?
- Non, pas question !
- J’ai envie de toi, tu es si belle !
- Qu’est ce qui te fait croire que j’ai envie que tu me baises !
- Si tu ne veux pas, tant pis !
- On ne se connaît pas !
- Moi c’est André et toi ?
- Aurélie.
On continue de se promener, on parle de choses sans intérêts, l’heure avance, j’ai envie de rentrer à la maison. Il fait une deuxième tentative lorsque l’on passe devant l’entrée d’un autre hôtel, sans succès. Encore un qui ne s’intéresse qu’à mon cul, car pour ce qui est de la conversation, pas grand chose ! Pas de chance pour lui, c’est le dernier jour de mes règles, j’ai mis un tampon par précaution, ce qui me permet de refuser plus facilement qu’il me saute. On se quitte- Je te donne mon téléphone, appelle-moi, j‘aimerais te revoir, tu me plais.
- Si tu ne t’intéresses qu’à mon cul, dis le tout de suite, ça évitera les malentendus.
- T’es vraiment dure avec moi, je ne veux pas seulement te sauter, je veux aussi faire plus ample connaissance !
- Si c’est de mon cul dont tu parles, je vais y réfléchir, mets-toi bien ça dans la tête, je ne couche pas facilement !
- Pourquoi tu t’énerves, on peu parler !
- Je ne baise pas avec le premier venu et seulement si j’en ai envie, je ne suis pas une pute !
On se dit au revoir, il m’embrasse sur la joue, je le quitte sans même me retourner. Il me plaît, c’est évident. Mais il a commencé par vouloir me sauter, ce n’est pas un bon départ pour une relation durable. Ca fait deux mois que je ne me suis pas fait ramoner et pour le moment, rien en vue !
La semaine prochaine je reprends les cours à la Fac. Je vais bosser dur, je veux avoir mon diplôme.
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