AVENTURES D'ADOS (19 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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AVENTURES D'ADOS (19 )
On est début décembre, les vacances de Noël approchent. Il fait froid, je ne sorts pas beaucoup, étudie. Ca fait plusieurs mois que je n’ai pas senti une bite bien chaude et bien dure s’activer dans mon sexe, ça me manque. Je pense quelque fois à Marc, il ne m’a pas recontacté.
J’invite Carole, avec l’accord de ma mère, à venir déjeuner un dimanche avec nous. Elle hésite, vu la mauvaise réputation que je dois avoir. Le déjeuner se passe bien, pas de sous-entendus, rien que des discutions concernant nos projets d’avenir. Ensuite nous sortons, on décide d’aller au cinéma voir un film qui vient de sortir. À la fin du film, elle m’invite à visiter son studio.
- Tu verras, c’est petit mais assez confortable, juste ce qu’il faut pour un étudiant.
- D’accord, je n’ai rien d’autre à faire, mais je ne veux pas rentres tard chez moi
- Ok, on y va
Ce n’est pas très loin, un quart d’heure dans les transports, 4 ème étage. On quitte les anoraks, les met sur un porte manteau fixé sur la porte. La visite des lieux est rapide. C’est propre, bien entretenu. Ce n’est pas très grand, environ 25 M2, coin cuisine avec évier inox, plaque de cuisson, frigo, placard vaisselle, petite salle de bain avec douche, lavabo, toilettes. Une table, une chaise, lit d’une personne, une armoire. L’indispensable, sans plus. Elle tire le rideau, range quelques bricoles.
- Je peux utiliser tes toilettes ?
- Oui, bien sur !
Soulagée, je m’assois sur le lit, elle m’offre à boire, prend la chaise pour elle. On parle de nos aventures sentimentales, je lui raconte la baise dans le bureau, comment on s’est fait prendre. C’est la raison pour laquelle Marc m’a laissé tomber, sa réputation en a pris un coup, c’est le patron. Il a eu peur que cette aventure ne vienne aux oreilles de sa femme m’a-t-il dit. Je comprends pourquoi, quand, pour la seconde fois, il m’a donné rendez-vous à l’hôtel, il inspectait les alentours avant d’entrer. Il avait l’air soucieux, distant. Peut-être que sa femme le fait suivre ?
- T’as pas de chance, il baisait bien au moins ?
- Oh oui, il a une grosse queue et s’en sert merveilleusement bien !
Je me lève, passe derrière sa chaise, lui masse les épaules. Elle est contractée, me laisse faire. Doucement je descends les mains devant, en passe une dans le col du pull, attrape un sein, le caresse. Elle ferme les yeux, ne bouge pas, ne dit rien. Je ressorts la main et, au travers du pull, dégrafe le soutien gorge, libérant ainsi sa poitrine. Je l’embrasse dans le cou, repasse ma main dans le pull, écarte le sous-tif, roule les tétons entre deux doigts. Je sens les seins durcir, les tétons s’ériger. Elle réagit, quitte la chaise, s’assoie sur le lit. Je me mets à côté d’elle, l’aplatit sur le lit, tente de l’embrasser
- Non, laisse tomber, je n’ai pas envie…
À ce moment là, on frappe à la porte. Elle se lève, va ouvrir. C’est le copain.
- Rentre chez toi, je suis avec une copine, on étudie.
- Laisse moi lui dire bonjour au moins !
Il la repousse, entre.
- Vous bossez pas, y a que des verres sur la table
- Non, on allait s’y mettre quand t’es arrivé.
Le mec n’est pas trop mal, assez balaise, dans les 1 m80 ; 80/90 Kg, pas tout à fait mon genre, mais bon. Ce ne doit pas être un raffiné, vu l’allure.
- J’ai soif, tu me sers un verre
- T’es assez grand pour te servir seul !
Il nous regarde toutes les deux, nous jauge, prend un verre, se sert, le vide, le repose, s’installe entre nous deux bien que la chaise soit libre.
- Allez, vire, t’as rien à faire ici, tu vois bien qu’on est occupées.
- Oh, ça va comme ça, on peut faire la conversation.
Et, en disant ça, il pose une main sur ma cuisse. Je la retire. Il se tourne carrément vers moi, ouvre mon jean, passe sa main dan ma culotte, la plaque sur mon sexe, le triture. Je sens que je mouille. Avec mes deux mains, j’essaie en vain de sortir son avant bras de ma culotte, ses doigts vont entrer dans moi, je le sens, ils y sont presque, je ne veux pas.
- Qu’est ce qui te prend, enlève ta patte de là !
- Tu mouilles ma salope !
J’essaie de me dégager, n’y parviens pas. Carole se lève, vient à mon secours, tire sur son bras. Mal lui en prend, il sort la main qui est dans ma culotte, se lève, l’attrape par un bras, la pousse en arrière, elle se retrouve les quatre fers en l’air sur le lit. En voulant ouvrir la ceinture, il arrache le bouton, ouvre le zip, elle se débat, il lui soulève le cul, le jean est sur ses cuisses. Il attrape le bas du jean, le tire, réussit à l’enlever, il vole en travers de la pièce. Il la lâche, la voilà de nouveau assise, mais cette fois, en petite culotte. Ouf ! j’ai eu chaud, j’en ai profité pour refermer mon jean.
- Hé les filles, vous en faites une tête.
- Fous-nous la paix et barre toi !
- On a le temps, on peut s’amuser !
Il s’adresse à Carole
- Tu ne vas pas rester comme ça, enlève ta culotte, je suis venu pour te baiser !
- Pas question. Tu dégages ou je me fâche !
- Oh la la, voyez-vous ça !
Il sort sa queue, garde ses burnes dans le pantalon, bande comme un cerf. Effectivement il y a mieux. La hampe, pas très longue, légèrement courbe (13 ou 14 cm, 16 au max gland compris) est bien plus grosse que le gland qui la termine. Rosée, on croirait une carotte, petit bout côté gland bien sûr. Cette bite, prête à servir, me tente, je suis en manque.
- Allons les filles, soyez sympa. Je commence par laquelle ?
- J’t’ai dit de foutre le camp, on n’a pas envie de baiser !
Il se met devant sa copine, lui attrape la tête des deux mains, la tire vers sa bite
- Aller, suce-moi !
Elle se retrouve avec sa pine dans la bouche, il l’enfonce tellement qu’elle étouffe. Quelques va et vient, il l’abandonne, se fout à poil.
- Bon, maintenant les copines, si on passait aux choses sérieuses. Je m’envoie laquelle en premier ?
Carole me demande :
- Qu’est ce qu’on fait ? On le vire ?
- Tu crois qu’à nous deux on peut y arriver ?
Il s’astique le mandrin, nous regarde :
- Hé, les nanas, faites pas l’poids vous rêvez ! Décidez vous, je perds patience !
Elle me demande :
- T’as envie de baiser ? Tu veux bien ?
Je lui dis oui du regard. Comme c’est parti, c’est plus prudent, il risque de nous violer toutes les deux. Je me lève, me mets devant lui. Et puis, j’ai envie de sa bite, il m’a excité en fourrant sa main sur mon sexe, j’en mouille encore ma culotte, je dois faire quelque chose pour arrêter ça ! Je lui dis :
- C’est d’accord, tu commences par moi !
Je me déshabille, je ne veux pas risquer qu’il s’attaque à ma ceinture, je dois rentrer chez moi par les transports. Je prends une capote dans mon sac, (j’ai 2 modèles, je choisis le moyen) vais vers lui, soupèse les couilles, tire sur la queue, lui fais une branlette inutile, elle est déjà déployée au max. Le gland devient rouge, la hampe se courbe un peu plus. Je lui enfile la capote, la déroule. Il me laisse faire, passe sa main sur ma chatte, cherche à m’enfiler ses doigts. Je m’allonge en travers du lit, remonte les jambes, écarte les cuisses. Il reste planté devant moi, regarde mon entrejambes.
- Dis donc, elle est vachement poilue ta copine, j’ vois pas l’ trou
- Alors tu viens, qu’est ce t’attends pour me la foutre ?
- Y a pas l’ feu !
Il s’approche, se met à genoux, plonge sa tête entre mes jambes. Ses doigts écartent les poils, sa langue lèche mon clito, il se dégage, sort de sa gaine. Ses lèvres tirent sur mes nymphes, aspirent ma mouille.
- Ca sent la moule pas fraîche !
- Normal, je ne suis pas venue pour baiser, je ne me suis pas préparée !
Il enfonce ses doigts dans la fente, l’ouvre, les glisse au fond, trouve le trou, en fourre deux dedans, les tourne, les sort, me les donne à sucer.
- Tiens, goutte !
Il les entre de nouveau, les fait tourner. Je suis trempée ! Ma copine s’occupe de mes seins, les suce, les pétrit, je sens ma poitrine durcir.
- Oui, maintenant !
Il m’attrape par les mollets, m’écarte les cuisses encore plus, passe ses avant bras sous mes jambes, s’appuie sur le lit, me relève le cul et enfile sa queue d’une seule traite au plus profond de moi.
- Aieeee, Vas y mou !
Il me ramone sauvage, je mouille, couine. Pendant qu’il me pilonne, Carole, toujours assise au bord du lit, d’une main caresse ses couilles et de l’autre mes seins. Il lui dit :
- Alors, qu’est c’que t’attends pour te foutre à poil, ça va être ton tour !
Elle lui répond :
- Vide toi dedans, j’te la laisse !
- Y en a pour deux, j’suis en forme !
Elle se déshabille, se met sur le dos à côté de moi, écarte les cuisses, lui expose son sexe. Elle doit mouiller, je crois qu’elle est prête à l’emploi.
- À moi maintenant, je la veux !
Il me quitte, je reste là, cuisses ouvertes et sexe béant, je n’ai pas joui. Il la met debout, la retourne, la positionne en levrette, pieds au sol, coudes appuyées sur le lit. Il lui écarte les jambes, son cul est légèrement relevé, juste à hauteur de sa bite. Il lui ouvre les grandes lèvres, glisse sa queue dans la fente, l’enfourne d’un seul coup.
- Oh ! Oui défonce-moi !
Je me mets en levrette à côté d’elle. Bonne initiative, il passe de l’une à l’autre. Ses coups de bite sont énergiques, il les accompagne de han, han, maintient une bonne cadence, nous comble à tour de rôle. Soudain il m’écarte les fesses, appuie sa queue sur ma rosette, se prépare à m’empaler.
- Non, ne m’encule pas !
Il n’insiste pas, abandonne l’idée, m’enfile de nouveau dans le bon trou, fait quelques va et vient rapides, se bloque au fond de moi, a un râle puissant, donne plusieurs secousses. À chacune d’elles, il lâche une giclé de foutre dans la capote, la remplit. Il transpire, s’écroule sur moi. Je me retrouve à plat ventre sur le lit, il m’écrase sous son poids, sa queue ramollit lentement, sort de moi. Il se remet debout. Carole se redresse, le tire vers elle, s’accroupit devant lui, vire la capote, absorbe la queue et se met à le sucer, le pompe jusqu’à la dernière goutte. Je n’ai pas eu d’orgasme, rien, juste un bon ramonage, dommage. Pourtant je suis contente d’avoir eu une vraie bite en moi, même pas très grosse ni longue, c’est mieux qu’un gode. Ca vit dans mon ventre. Les jets de foutre font du bien, c’est chaud, j’ai senti chaque giclée malgré la capote.Ca commençait à me manquer vraiment, je n’ai pas laissé passer l’occasion !
Le mec se rhabille, remet son blouson cuir.
- Devoir accompli, salut les filles, à la prochaine !
Et s’adressant à Carole :
- Dis donc, t’es sûr qu’elle est vraiment bonne ta copine ? J’ai crû baiser un ch’val de bois.
- Aller, barre toi, on t’a assez vu !
Sur ce, il ouvre la porte, sort. Il faut dire que je me suis laissée faire, il s’est acharné, je n’ai pas participé. La présence de Carole, le fait qu’il soit son copain, ça m’a un peu refroidi. Me faire baiser, là, sous ses yeux, simplement pour l’hygiène, on fait mieux dans le genre ! Je n’ai pas amené mon gode, dommage, elle m’aurait terminé ! On est toujours à poil, debout, je m’approche, cherche sa bouche. Elle non plus n’a pas joui. On s’embrasse, je la culbute sur le lit, suce ses tétons, caresse ses seins, écarte ses cuisses, commence à la gouiner. Elle relève ses jambes, remue le bas ventre, se cambre, pousse des petits cris sous l’action de ma langue, je sorts le petit bouton de sa gaine, il bande. Elle se met à gémir de plus en plus fort quand je le mordille. Je glisse ma langue jusqu’à son trou, l’entre dedans, aspre sa mouille. Je me redresse, fourre mes doigts dans son vagin, 2.puis 3 et enfin 4, fait tourner la main. La voilà partie, elle cambre les reins, mouille terrible, pousse un cri strident, s’écroule, pantelante. Je l’abandonne, la regarde, je crois qu’elle a eu un orgasme. Je me lève, me rhabille. Elle s’est assise au bord du lit, toujours à poil, cuisses écartées. Je lui dis
‘ Tu lui as parlé de moi ?
‘ Non, jamais ! Quand il vient, on ne parle pas trop, il arrive, tire son coup et s’en va, comme aujourd’hui ! Il ne vient que pour ça !
- Tu lui mets une capote au moins ?
- Bien sur, comme il ne vient que pour me sauter, je ne sais pas ce qu’il fait ailleurs ! C’est pour l’hygiène, je suis qu’un vide couilles !
- T’as raison, si ça te convient. Et t’arrives à jouir ?
- Pas toujours, je dirais même très rarement ! Souvent, quand il vient, il me fout le cul à l’air vite fait. Il lui arrive de ne pas prendre le temps de se déshabiller. Il sort sa bite et ses couilles du pantalon, j’ai juste le temps de lui mettre une capote. Il baisse mon jean, me culbute sur le lit, m’ouvre les cuisses, écarte ma culotte, m’emmanche, me pilonne, lâche son foutre. Sa petite affaire terminée, il range ses outils, dit : à la prochaine, et s’en va !
Une fois il est entré, m’a repoussé jusqu’à la table, m’a aplati sur mes bouquins. Il a sorti sa queue, mis une capote, baissé mon jean sur le haut de mes cuisses, écarté ma culotte, ouvert mon sexe avec ses doigts, et m’a embroché comme ça, debout, jambes serrées, pliée en deux, j’en avais le souffle coupé ! Puis il est reparti comme il est venu, me laissant par terre une capote pleine de foutre. Quel goujat ! Quand il y met plus de formes, on baise à poil et là, on prend notre temps, je peux me mettre sur lui, le chevaucher, utiliser différentes positions et au bout d’un moment, je perds la tête, jouis. Il ne me parle jamais de sa vie ou de ses fréquentations, je ne sais même pas si il bosse !
- Et tu te laisses te sauter par cet animal, sans préambules, à la sauvette ? Qu’est ce tu t’emmerdes avec un mec comme ça ? T’es pas une bête !
- J’ai pas mieux, je m’en contente. Il vient quand même 2 fois la semaine, ça m’entretient ! Heureusement que dès qu’il me touche, je mouille !
- Pas raffiné le mec, belle comme tu es, tu pourrais trouver mieux. Un maestro de la baguette, ça doit exister ! Il doit y en avoir encore sur le marché !
- Ce mec là, au début de notre relation, était bien, il me la jouait délicat, préliminaires et tout et tout, il me faisait jouir, mais ça n’a pas duré !
Je l’embrasse, lui dis à demain, rentre chez moi juste pour mettre les pieds sous la table.
J’invite Carole, avec l’accord de ma mère, à venir déjeuner un dimanche avec nous. Elle hésite, vu la mauvaise réputation que je dois avoir. Le déjeuner se passe bien, pas de sous-entendus, rien que des discutions concernant nos projets d’avenir. Ensuite nous sortons, on décide d’aller au cinéma voir un film qui vient de sortir. À la fin du film, elle m’invite à visiter son studio.
- Tu verras, c’est petit mais assez confortable, juste ce qu’il faut pour un étudiant.
- D’accord, je n’ai rien d’autre à faire, mais je ne veux pas rentres tard chez moi
- Ok, on y va
Ce n’est pas très loin, un quart d’heure dans les transports, 4 ème étage. On quitte les anoraks, les met sur un porte manteau fixé sur la porte. La visite des lieux est rapide. C’est propre, bien entretenu. Ce n’est pas très grand, environ 25 M2, coin cuisine avec évier inox, plaque de cuisson, frigo, placard vaisselle, petite salle de bain avec douche, lavabo, toilettes. Une table, une chaise, lit d’une personne, une armoire. L’indispensable, sans plus. Elle tire le rideau, range quelques bricoles.
- Je peux utiliser tes toilettes ?
- Oui, bien sur !
Soulagée, je m’assois sur le lit, elle m’offre à boire, prend la chaise pour elle. On parle de nos aventures sentimentales, je lui raconte la baise dans le bureau, comment on s’est fait prendre. C’est la raison pour laquelle Marc m’a laissé tomber, sa réputation en a pris un coup, c’est le patron. Il a eu peur que cette aventure ne vienne aux oreilles de sa femme m’a-t-il dit. Je comprends pourquoi, quand, pour la seconde fois, il m’a donné rendez-vous à l’hôtel, il inspectait les alentours avant d’entrer. Il avait l’air soucieux, distant. Peut-être que sa femme le fait suivre ?
- T’as pas de chance, il baisait bien au moins ?
- Oh oui, il a une grosse queue et s’en sert merveilleusement bien !
Je me lève, passe derrière sa chaise, lui masse les épaules. Elle est contractée, me laisse faire. Doucement je descends les mains devant, en passe une dans le col du pull, attrape un sein, le caresse. Elle ferme les yeux, ne bouge pas, ne dit rien. Je ressorts la main et, au travers du pull, dégrafe le soutien gorge, libérant ainsi sa poitrine. Je l’embrasse dans le cou, repasse ma main dans le pull, écarte le sous-tif, roule les tétons entre deux doigts. Je sens les seins durcir, les tétons s’ériger. Elle réagit, quitte la chaise, s’assoie sur le lit. Je me mets à côté d’elle, l’aplatit sur le lit, tente de l’embrasser
- Non, laisse tomber, je n’ai pas envie…
À ce moment là, on frappe à la porte. Elle se lève, va ouvrir. C’est le copain.
- Rentre chez toi, je suis avec une copine, on étudie.
- Laisse moi lui dire bonjour au moins !
Il la repousse, entre.
- Vous bossez pas, y a que des verres sur la table
- Non, on allait s’y mettre quand t’es arrivé.
Le mec n’est pas trop mal, assez balaise, dans les 1 m80 ; 80/90 Kg, pas tout à fait mon genre, mais bon. Ce ne doit pas être un raffiné, vu l’allure.
- J’ai soif, tu me sers un verre
- T’es assez grand pour te servir seul !
Il nous regarde toutes les deux, nous jauge, prend un verre, se sert, le vide, le repose, s’installe entre nous deux bien que la chaise soit libre.
- Allez, vire, t’as rien à faire ici, tu vois bien qu’on est occupées.
- Oh, ça va comme ça, on peut faire la conversation.
Et, en disant ça, il pose une main sur ma cuisse. Je la retire. Il se tourne carrément vers moi, ouvre mon jean, passe sa main dan ma culotte, la plaque sur mon sexe, le triture. Je sens que je mouille. Avec mes deux mains, j’essaie en vain de sortir son avant bras de ma culotte, ses doigts vont entrer dans moi, je le sens, ils y sont presque, je ne veux pas.
- Qu’est ce qui te prend, enlève ta patte de là !
- Tu mouilles ma salope !
J’essaie de me dégager, n’y parviens pas. Carole se lève, vient à mon secours, tire sur son bras. Mal lui en prend, il sort la main qui est dans ma culotte, se lève, l’attrape par un bras, la pousse en arrière, elle se retrouve les quatre fers en l’air sur le lit. En voulant ouvrir la ceinture, il arrache le bouton, ouvre le zip, elle se débat, il lui soulève le cul, le jean est sur ses cuisses. Il attrape le bas du jean, le tire, réussit à l’enlever, il vole en travers de la pièce. Il la lâche, la voilà de nouveau assise, mais cette fois, en petite culotte. Ouf ! j’ai eu chaud, j’en ai profité pour refermer mon jean.
- Hé les filles, vous en faites une tête.
- Fous-nous la paix et barre toi !
- On a le temps, on peut s’amuser !
Il s’adresse à Carole
- Tu ne vas pas rester comme ça, enlève ta culotte, je suis venu pour te baiser !
- Pas question. Tu dégages ou je me fâche !
- Oh la la, voyez-vous ça !
Il sort sa queue, garde ses burnes dans le pantalon, bande comme un cerf. Effectivement il y a mieux. La hampe, pas très longue, légèrement courbe (13 ou 14 cm, 16 au max gland compris) est bien plus grosse que le gland qui la termine. Rosée, on croirait une carotte, petit bout côté gland bien sûr. Cette bite, prête à servir, me tente, je suis en manque.
- Allons les filles, soyez sympa. Je commence par laquelle ?
- J’t’ai dit de foutre le camp, on n’a pas envie de baiser !
Il se met devant sa copine, lui attrape la tête des deux mains, la tire vers sa bite
- Aller, suce-moi !
Elle se retrouve avec sa pine dans la bouche, il l’enfonce tellement qu’elle étouffe. Quelques va et vient, il l’abandonne, se fout à poil.
- Bon, maintenant les copines, si on passait aux choses sérieuses. Je m’envoie laquelle en premier ?
Carole me demande :
- Qu’est ce qu’on fait ? On le vire ?
- Tu crois qu’à nous deux on peut y arriver ?
Il s’astique le mandrin, nous regarde :
- Hé, les nanas, faites pas l’poids vous rêvez ! Décidez vous, je perds patience !
Elle me demande :
- T’as envie de baiser ? Tu veux bien ?
Je lui dis oui du regard. Comme c’est parti, c’est plus prudent, il risque de nous violer toutes les deux. Je me lève, me mets devant lui. Et puis, j’ai envie de sa bite, il m’a excité en fourrant sa main sur mon sexe, j’en mouille encore ma culotte, je dois faire quelque chose pour arrêter ça ! Je lui dis :
- C’est d’accord, tu commences par moi !
Je me déshabille, je ne veux pas risquer qu’il s’attaque à ma ceinture, je dois rentrer chez moi par les transports. Je prends une capote dans mon sac, (j’ai 2 modèles, je choisis le moyen) vais vers lui, soupèse les couilles, tire sur la queue, lui fais une branlette inutile, elle est déjà déployée au max. Le gland devient rouge, la hampe se courbe un peu plus. Je lui enfile la capote, la déroule. Il me laisse faire, passe sa main sur ma chatte, cherche à m’enfiler ses doigts. Je m’allonge en travers du lit, remonte les jambes, écarte les cuisses. Il reste planté devant moi, regarde mon entrejambes.
- Dis donc, elle est vachement poilue ta copine, j’ vois pas l’ trou
- Alors tu viens, qu’est ce t’attends pour me la foutre ?
- Y a pas l’ feu !
Il s’approche, se met à genoux, plonge sa tête entre mes jambes. Ses doigts écartent les poils, sa langue lèche mon clito, il se dégage, sort de sa gaine. Ses lèvres tirent sur mes nymphes, aspirent ma mouille.
- Ca sent la moule pas fraîche !
- Normal, je ne suis pas venue pour baiser, je ne me suis pas préparée !
Il enfonce ses doigts dans la fente, l’ouvre, les glisse au fond, trouve le trou, en fourre deux dedans, les tourne, les sort, me les donne à sucer.
- Tiens, goutte !
Il les entre de nouveau, les fait tourner. Je suis trempée ! Ma copine s’occupe de mes seins, les suce, les pétrit, je sens ma poitrine durcir.
- Oui, maintenant !
Il m’attrape par les mollets, m’écarte les cuisses encore plus, passe ses avant bras sous mes jambes, s’appuie sur le lit, me relève le cul et enfile sa queue d’une seule traite au plus profond de moi.
- Aieeee, Vas y mou !
Il me ramone sauvage, je mouille, couine. Pendant qu’il me pilonne, Carole, toujours assise au bord du lit, d’une main caresse ses couilles et de l’autre mes seins. Il lui dit :
- Alors, qu’est c’que t’attends pour te foutre à poil, ça va être ton tour !
Elle lui répond :
- Vide toi dedans, j’te la laisse !
- Y en a pour deux, j’suis en forme !
Elle se déshabille, se met sur le dos à côté de moi, écarte les cuisses, lui expose son sexe. Elle doit mouiller, je crois qu’elle est prête à l’emploi.
- À moi maintenant, je la veux !
Il me quitte, je reste là, cuisses ouvertes et sexe béant, je n’ai pas joui. Il la met debout, la retourne, la positionne en levrette, pieds au sol, coudes appuyées sur le lit. Il lui écarte les jambes, son cul est légèrement relevé, juste à hauteur de sa bite. Il lui ouvre les grandes lèvres, glisse sa queue dans la fente, l’enfourne d’un seul coup.
- Oh ! Oui défonce-moi !
Je me mets en levrette à côté d’elle. Bonne initiative, il passe de l’une à l’autre. Ses coups de bite sont énergiques, il les accompagne de han, han, maintient une bonne cadence, nous comble à tour de rôle. Soudain il m’écarte les fesses, appuie sa queue sur ma rosette, se prépare à m’empaler.
- Non, ne m’encule pas !
Il n’insiste pas, abandonne l’idée, m’enfile de nouveau dans le bon trou, fait quelques va et vient rapides, se bloque au fond de moi, a un râle puissant, donne plusieurs secousses. À chacune d’elles, il lâche une giclé de foutre dans la capote, la remplit. Il transpire, s’écroule sur moi. Je me retrouve à plat ventre sur le lit, il m’écrase sous son poids, sa queue ramollit lentement, sort de moi. Il se remet debout. Carole se redresse, le tire vers elle, s’accroupit devant lui, vire la capote, absorbe la queue et se met à le sucer, le pompe jusqu’à la dernière goutte. Je n’ai pas eu d’orgasme, rien, juste un bon ramonage, dommage. Pourtant je suis contente d’avoir eu une vraie bite en moi, même pas très grosse ni longue, c’est mieux qu’un gode. Ca vit dans mon ventre. Les jets de foutre font du bien, c’est chaud, j’ai senti chaque giclée malgré la capote.Ca commençait à me manquer vraiment, je n’ai pas laissé passer l’occasion !
Le mec se rhabille, remet son blouson cuir.
- Devoir accompli, salut les filles, à la prochaine !
Et s’adressant à Carole :
- Dis donc, t’es sûr qu’elle est vraiment bonne ta copine ? J’ai crû baiser un ch’val de bois.
- Aller, barre toi, on t’a assez vu !
Sur ce, il ouvre la porte, sort. Il faut dire que je me suis laissée faire, il s’est acharné, je n’ai pas participé. La présence de Carole, le fait qu’il soit son copain, ça m’a un peu refroidi. Me faire baiser, là, sous ses yeux, simplement pour l’hygiène, on fait mieux dans le genre ! Je n’ai pas amené mon gode, dommage, elle m’aurait terminé ! On est toujours à poil, debout, je m’approche, cherche sa bouche. Elle non plus n’a pas joui. On s’embrasse, je la culbute sur le lit, suce ses tétons, caresse ses seins, écarte ses cuisses, commence à la gouiner. Elle relève ses jambes, remue le bas ventre, se cambre, pousse des petits cris sous l’action de ma langue, je sorts le petit bouton de sa gaine, il bande. Elle se met à gémir de plus en plus fort quand je le mordille. Je glisse ma langue jusqu’à son trou, l’entre dedans, aspre sa mouille. Je me redresse, fourre mes doigts dans son vagin, 2.puis 3 et enfin 4, fait tourner la main. La voilà partie, elle cambre les reins, mouille terrible, pousse un cri strident, s’écroule, pantelante. Je l’abandonne, la regarde, je crois qu’elle a eu un orgasme. Je me lève, me rhabille. Elle s’est assise au bord du lit, toujours à poil, cuisses écartées. Je lui dis
‘ Tu lui as parlé de moi ?
‘ Non, jamais ! Quand il vient, on ne parle pas trop, il arrive, tire son coup et s’en va, comme aujourd’hui ! Il ne vient que pour ça !
- Tu lui mets une capote au moins ?
- Bien sur, comme il ne vient que pour me sauter, je ne sais pas ce qu’il fait ailleurs ! C’est pour l’hygiène, je suis qu’un vide couilles !
- T’as raison, si ça te convient. Et t’arrives à jouir ?
- Pas toujours, je dirais même très rarement ! Souvent, quand il vient, il me fout le cul à l’air vite fait. Il lui arrive de ne pas prendre le temps de se déshabiller. Il sort sa bite et ses couilles du pantalon, j’ai juste le temps de lui mettre une capote. Il baisse mon jean, me culbute sur le lit, m’ouvre les cuisses, écarte ma culotte, m’emmanche, me pilonne, lâche son foutre. Sa petite affaire terminée, il range ses outils, dit : à la prochaine, et s’en va !
Une fois il est entré, m’a repoussé jusqu’à la table, m’a aplati sur mes bouquins. Il a sorti sa queue, mis une capote, baissé mon jean sur le haut de mes cuisses, écarté ma culotte, ouvert mon sexe avec ses doigts, et m’a embroché comme ça, debout, jambes serrées, pliée en deux, j’en avais le souffle coupé ! Puis il est reparti comme il est venu, me laissant par terre une capote pleine de foutre. Quel goujat ! Quand il y met plus de formes, on baise à poil et là, on prend notre temps, je peux me mettre sur lui, le chevaucher, utiliser différentes positions et au bout d’un moment, je perds la tête, jouis. Il ne me parle jamais de sa vie ou de ses fréquentations, je ne sais même pas si il bosse !
- Et tu te laisses te sauter par cet animal, sans préambules, à la sauvette ? Qu’est ce tu t’emmerdes avec un mec comme ça ? T’es pas une bête !
- J’ai pas mieux, je m’en contente. Il vient quand même 2 fois la semaine, ça m’entretient ! Heureusement que dès qu’il me touche, je mouille !
- Pas raffiné le mec, belle comme tu es, tu pourrais trouver mieux. Un maestro de la baguette, ça doit exister ! Il doit y en avoir encore sur le marché !
- Ce mec là, au début de notre relation, était bien, il me la jouait délicat, préliminaires et tout et tout, il me faisait jouir, mais ça n’a pas duré !
Je l’embrasse, lui dis à demain, rentre chez moi juste pour mettre les pieds sous la table.
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