Aventures d'une Sissy nymphomane expérimentée (1)
Récit érotique écrit par Gaston75011 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aventures d'une Sissy nymphomane expérimentée (1)
On me dit : “Tarlouze, suceuse de bites”, en réalité être une Sissy accomplie c’est plus intense encore et plus compliqué. Le rose n’est pas ma seule couleur fétiche. Quand je pense à une queue, je dois reconnaître que je bande ou que j’ai l’impression de bander car la délicieuse mini-cage de chasteté que je porte quotidiennement m’en empêche. Elle ne me laisse ressentir qu’un gonflement douloureux de mon clito qui essaie de la remplir entièrement.
Le clito ou pénis, dérisoire accessoire est parfaitement inutile chez une Sissy. Il doit être impitoyablement et sans autre forme de procès, verrouillé dans une cage de chasteté, la plus étroite possible. Chaque matin, je retire ma cage pour ma toilette et je constate que mon ridicule appendice rétrécit de plus en plus chaque jour jusqu’à atteindre au repos une taille ridicule de 2,5 cm ce qui me ravit.
Je me gode régulièrement sous la douche après mon lavement de préparation pour vérifier l’élasticité et la résistance vite apaisée de mon anus qui doit être toujours prêt et accueillant pour un éventuel amant de passage.
Après m’être rasée si nécessaire toutes les zones érogènes et anales, je me crème afin de garder une peau lisse et douce même si je ne suis plus de la première jeunesse et je m’habille après avoir remis en place ma délicieuse cage de chasteté qui est le modèle le plus petit en métal que l’on puisse trouver dans les sex-shops gays spécialisés. Je verrouille le tout et je laisse la clé dans un tiroir à la maison si je dois sortir.
Dans cet état, pas question évidemment d’aller passer une porte de sécurité avec détecteur métallique. Une fois, je me suis trouvée bien embarrassée d’être obligée d’expliquer à un employé de la sécurité que je portais une cage de chasteté. Il m’a emmenée au poste de surveillance et comme il était mignon, après avoir baissé mon pantalon et mon slip pour lui montrer ma cage en métal, je lui ai proposé pour qu’il me laisse tranquille, de lui faire une pipe, ce qu’il a accepté sans autre forme de procès.
Je porte également des protections féminines collées au fond de mon slip à la hauteur de la cage car beaucoup de précum s'échappe de mon clito emprisonné quand j'ai des envies de sexe ou que je m’active sur une queue. Je ne voudrais pas que des taches suspectes autour de ma braguette viennent souiller mon pantalon. Ces protections très absorbantes recueillent même facilement mon foutre qui s’écoule quand j’exerce des pressions sur ma cage ou que je m’enfonce un gode dans l’anus tout en suçant une bite dans un gloryhole ou tout autre endroit où je peux trouver de quoi me remplir la bouche…
J'aime sucer des queues et recueillir leurs chaudes giclées bienfaisantes en récompense après une experte fellation. J'apprécie tout particulièrement les grosses queues de noirs bien membrés et qui ne se sont pas soulagés depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Les queues épaisses et bien cambrées ont ma préférence. J'aime sentir le jus épais et chaud remplir ma bouche, couler sur ma langue. Je le garde un moment avant de le laisser s’échapper le long de mon menton vers ma poitrine et le sol.
Je prends soin d'être torse nu quand je suce une queue. En rentrant à la maison, il faut que je prenne une douche apaisante pour effacer l'odeur enivrante du sperme qui m’accompagne très souvent après quelques séances dans la nature. Dans mon sac, en plus des lingettes imprégnées, j’ai toujours des capotes que je refile à mon amant de passage s’il veut essayer mon autre trou de plaisir pour se vider bien au chaud.
La sodomie à cru est merveilleuse mais malheureusement pas sans risque. Je ne l’accepte pas avec des inconnus. Au Gloryhole des Halles, il arrive parfois qu’un partenaire anonyme très excité par ma fellation demande à me rejoindre dans ma cabine pour m’enculer. Je ne refuse jamais, surtout s’il est particulièrement bien monté.
La dernière fois, au sous-sol du B… c’était un Antillais avec un très beau sexe. Après l’avoir sucé un moment à travers le “trou de gloire”, je me suis retournée pour lui offrir mes fesses. Au travers d’un trou de glory ce n’est pas très commode de trouver la bonne position pour se faire enculer. Il a demandé à me rejoindre dans ma cabine. Je l'ai vite fait entrer et voyant qu'il avait déjà une capote et qu'il bandait dur, je me suis de nouveau retournée et lui ai présenté mon dos, cul bien cambré en prenant appui contre la barre le long du mur en face de moi.
Je m'étais soigneusement lubrifiée entretemps et il n'a eu aucune difficulté à m'enfiler directement sa volumineuse queue jusqu'au fond de mon rectum et du premier coup. Je râlais de plaisir à chaque coup de boutoir rapide et profond qu'il m'envoyait, sentant pleinement sa queue cogner jusqu’au fond de mon cul. Je me savais bien ouverte et j'écartais encore plus les cuisses pour lui offrir le meilleur angle de pénétration. Je sentais bien sa grosse tige taper au fond de mon rectum, puis il l’a ressortie entièrement d’un coup avant de revenir aussitôt à la charge. Il coulissait facilement en moi sans effort apparent, me flattant au passage dans un souffle chaud contre ma nuque : "Ma salope, tu es bien chaude !"
Je sentais en effet mon anus brûlant et je me disais que si son traitement continuait ainsi, car il cherchait à chaque fois à me remplir entièrement jusqu’à la garde de son sexe et de ses couilles battantes, j'allais éprouver quelques sensations douloureuses le jours suivants.
Heureusement, il s'est arrêté assez vite, parce que sans doute, il préférait, en connaisseur, se réserver pour honorer dignement d'autres partenaires passifs.
Il s'est retiré et a enlevé sa capote. Comme il bandait toujours très fort et je me suis agenouillée pour sucer encore une fois son merveilleux phallus, espérant le faire jouir dans ma bouche avant qu'il ne s'en aille.
Il a accepté un délicieux début de fellation aux saveurs composées de son odeur vanillée et de mes sécrétions intimes. Puis il m'a repoussée sans ménagement et est sorti sans dire mot ni avoir le moindre geste vers mon clito douloureux et emprisonné dans sa mini cage de chasteté qu’il ne pouvait pas ne pas avoir remarquée. Je l’ai entendu entrer dans sa cabine et ne l’ai point revu ensuite. Je n’ai entendu que brièvement le son de sa voix et je ne connaîtrais jamais rien de plus de lui.
Et c’est ainsi que vivent les Sissies. Combien de partenaires anonymes dont on ne connaîtra même pas le nom, combien de sexes bandés aux contours les plus variés qui se confondent dans des souvenirs épars..
A peine avais-je commencé à me remettre de cette séance courte mais intense que je vis apparaître par l’autre trou de ma cabine celui de gauche que je croyais inoccupée, un sexe assez long et plutôt timide qui venait me saluer.
Son propriétaire avait dû entrer pendant nos ébats et nous mater un moment car le spectacle apparemment lui avait donné des envies. Difficile de résister à cette nouvelle invitation d’une queue palpitante plutôt longue et fine, à la peau très blanche. Il n’était pas circoncis et son gland n’était pas complètement décalotté. J’ai pensé qu’il s'agissait d’un jeune curieux, peut-être d’une première expérience au gloryhole.
J’ai commencé à le masturber lentement d'une main puis j’ai approché mes lèvres et ma langue comme pour le goûter et apprécier la découverte. Propre et chaud son sexe sentait le savon. Dans ce genre d’endroits c’est rare de tomber sur des mâles qui ne prennent pas soin de leur corps. C’est moins le cas sur les aires d’autoroutes ou dans les toilettes publiques. J’ai rencontré pas mal de camionneurs et quand l’odeur du gasoil dominait, je me considérais comme relativement chanceuse… Enfin, il en faut pour tous les goûts. Personnellement, je préfère les saunas et les endroits bien tenus.
J’ai trouvé la peau de mon minet très fine et délicate. Du méat commençaient à s’échapper quelques gouttes musquées d’un précum annonciateur de plaisir. Je gobais son gland désormais complètement découvert, offert et tout turgescent du plaisir que ma bouche lui procurait. Ma langue s'activant autour de son gland le faisait gémir derrière la paroi. Il se pressait au maximum contre elle pour m’offrir encore plus son sexe dressé. Répondant à cette avance, je ne résistai pas longtemps au plaisir d’enfourner goulûment la presque totalité de son membre chaud et de le pousser jusqu’au fond de ma gorge.
Un nouveau grognement m’encouragea et me prouva qu’il prenait son pied à toucher ma gorge du bout de son gland, testant son impérieuse virilité et sa domination sur la suceuse de bites accomplie que je suis.
Alternant des aller-retour, je me doutais bien de ce qui n'allait pas tarder à arriver. Encore une occasion pour moi de goûter un sperme inconnu et de préférence généreux, épais et collant ou au contraire léger et liquide. Quel allait être la texture et le goût de mon cadeau ?
Le destin d'une Sissy est d'accepter sa condition de soumise et de recevoir tout le sperme qu'elle peut recueillir avec un maximum de partenaires. Elle est faite pour donner ce plaisir à tous les mâles qui souhaitent l'utiliser en déchargeant fiévreusement dans sa bouche leur trop-plein de foutre. Une Sissy s'agenouille devant un mâle,ouvre la bouche et s'active sur tous les phallus avec ferveur, reconnaissance et humilité.
Mon inconnu du moment eut la courtoisie de m'avertir qu'il "tait sur le point de jouir. Je lui sus gré de cette prévenance que négligent beaucoup de mâles égoïstes, seulement attentifs à leur propre plaisir.
Peut-être pensait-il que je me contenterais de le faire jouir manuellement et voulait-il m’épargner de le recevoir dans ma bouche, ce que lui-même, jeune mâle inexpérimenté et ignorant, n’aurait certainement pas fait pour un autre partenaire ?
Bien au contraire, je l’encourageai par un grognement de plaisir sans équivoque, que le consentais à recevoir sa semence, que ma soumission était totale et que j'avais l'intention de profiter de son épanchement chaud, qu’il n’était pas question de le laisser jouir ailleurs que dans ma bouche !
L'abondance et la saveur du liquide dont il a inondé ma cavité buccale m'a surprise. Je ne pensais pas recevoir six ou sept jets si puissants généreux dont une partie alla se perdre sur mon visage et mon front dégarni. Ah ! délicieuse fougue de la jeunesse révélée par cette abondance de plaisir !
Comme je n'avale presque jamais (à part le sperme de mes amants réguliers) je laissai le chaud liquide s’étaler sur ma langue sortie et bien visible pour lui, couler le long de mon menton en en recueillant un peu avec mes mains pour badigeonner mes seins.
Vite l'odeur caractéristique, musquée et enivrante du sperme envahit la cabine pourtant bien aérée par la climatisation forcée. La texture du nectar qu’il m’avait offert était assez liquide et claire. Son goût légèrement douceâtre d'amande fraîche et presque sucré m'étonna, moi qui suis tellement habituée aux saveurs salées et âcres habituellement propres aux sécrétions des mâles. Mon jeune dominateur devait abuser des pâtisseries et autres sucreries. Je continuai un moment à m’appliquer à nettoyer son sexe devenu plus flasque jusqu'à ce qu’il se retire lentement du trou de gloire, comme à regret.
Il était temps pour moi de sortir de ma cabine et de me reposer un peu. Un homme m’a presque bousculée pour entrer à son tour dans la cabine que je venais de quitter. J’ai remarqué qu’il y avait déjà plus de monde dans le couloir. La musique techno couvrait les bruits divers et les râles de plaisir qu’on pouvait parfois entendre venant des autres cabines. Je n’ai pas remis mon pantalon que je gardais contre moi roulé en boule pour aller dans la salle vidéo. J’avais juste remis ma chemise non boutonnée ouverte sur ma poitrine parfumée au sperme de mon jeune amant anonyme.
Dans la grande salle vidéo à gradins, sur un grand écran rien qu’un classique film gay avec de beaux mecs en train de baiser. Après un moment de repos entrecoupé de quelques caresses avec des inconnus qui se glissaient vers moi mais qui renonçaient assez vite à poursuivre en constatant que mon clito était encagé, j’ai découvert en sortant de la salle, un attroupement intéressant près des urinoirs (...)
A suivre…
Le clito ou pénis, dérisoire accessoire est parfaitement inutile chez une Sissy. Il doit être impitoyablement et sans autre forme de procès, verrouillé dans une cage de chasteté, la plus étroite possible. Chaque matin, je retire ma cage pour ma toilette et je constate que mon ridicule appendice rétrécit de plus en plus chaque jour jusqu’à atteindre au repos une taille ridicule de 2,5 cm ce qui me ravit.
Je me gode régulièrement sous la douche après mon lavement de préparation pour vérifier l’élasticité et la résistance vite apaisée de mon anus qui doit être toujours prêt et accueillant pour un éventuel amant de passage.
Après m’être rasée si nécessaire toutes les zones érogènes et anales, je me crème afin de garder une peau lisse et douce même si je ne suis plus de la première jeunesse et je m’habille après avoir remis en place ma délicieuse cage de chasteté qui est le modèle le plus petit en métal que l’on puisse trouver dans les sex-shops gays spécialisés. Je verrouille le tout et je laisse la clé dans un tiroir à la maison si je dois sortir.
Dans cet état, pas question évidemment d’aller passer une porte de sécurité avec détecteur métallique. Une fois, je me suis trouvée bien embarrassée d’être obligée d’expliquer à un employé de la sécurité que je portais une cage de chasteté. Il m’a emmenée au poste de surveillance et comme il était mignon, après avoir baissé mon pantalon et mon slip pour lui montrer ma cage en métal, je lui ai proposé pour qu’il me laisse tranquille, de lui faire une pipe, ce qu’il a accepté sans autre forme de procès.
Je porte également des protections féminines collées au fond de mon slip à la hauteur de la cage car beaucoup de précum s'échappe de mon clito emprisonné quand j'ai des envies de sexe ou que je m’active sur une queue. Je ne voudrais pas que des taches suspectes autour de ma braguette viennent souiller mon pantalon. Ces protections très absorbantes recueillent même facilement mon foutre qui s’écoule quand j’exerce des pressions sur ma cage ou que je m’enfonce un gode dans l’anus tout en suçant une bite dans un gloryhole ou tout autre endroit où je peux trouver de quoi me remplir la bouche…
J'aime sucer des queues et recueillir leurs chaudes giclées bienfaisantes en récompense après une experte fellation. J'apprécie tout particulièrement les grosses queues de noirs bien membrés et qui ne se sont pas soulagés depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Les queues épaisses et bien cambrées ont ma préférence. J'aime sentir le jus épais et chaud remplir ma bouche, couler sur ma langue. Je le garde un moment avant de le laisser s’échapper le long de mon menton vers ma poitrine et le sol.
Je prends soin d'être torse nu quand je suce une queue. En rentrant à la maison, il faut que je prenne une douche apaisante pour effacer l'odeur enivrante du sperme qui m’accompagne très souvent après quelques séances dans la nature. Dans mon sac, en plus des lingettes imprégnées, j’ai toujours des capotes que je refile à mon amant de passage s’il veut essayer mon autre trou de plaisir pour se vider bien au chaud.
La sodomie à cru est merveilleuse mais malheureusement pas sans risque. Je ne l’accepte pas avec des inconnus. Au Gloryhole des Halles, il arrive parfois qu’un partenaire anonyme très excité par ma fellation demande à me rejoindre dans ma cabine pour m’enculer. Je ne refuse jamais, surtout s’il est particulièrement bien monté.
La dernière fois, au sous-sol du B… c’était un Antillais avec un très beau sexe. Après l’avoir sucé un moment à travers le “trou de gloire”, je me suis retournée pour lui offrir mes fesses. Au travers d’un trou de glory ce n’est pas très commode de trouver la bonne position pour se faire enculer. Il a demandé à me rejoindre dans ma cabine. Je l'ai vite fait entrer et voyant qu'il avait déjà une capote et qu'il bandait dur, je me suis de nouveau retournée et lui ai présenté mon dos, cul bien cambré en prenant appui contre la barre le long du mur en face de moi.
Je m'étais soigneusement lubrifiée entretemps et il n'a eu aucune difficulté à m'enfiler directement sa volumineuse queue jusqu'au fond de mon rectum et du premier coup. Je râlais de plaisir à chaque coup de boutoir rapide et profond qu'il m'envoyait, sentant pleinement sa queue cogner jusqu’au fond de mon cul. Je me savais bien ouverte et j'écartais encore plus les cuisses pour lui offrir le meilleur angle de pénétration. Je sentais bien sa grosse tige taper au fond de mon rectum, puis il l’a ressortie entièrement d’un coup avant de revenir aussitôt à la charge. Il coulissait facilement en moi sans effort apparent, me flattant au passage dans un souffle chaud contre ma nuque : "Ma salope, tu es bien chaude !"
Je sentais en effet mon anus brûlant et je me disais que si son traitement continuait ainsi, car il cherchait à chaque fois à me remplir entièrement jusqu’à la garde de son sexe et de ses couilles battantes, j'allais éprouver quelques sensations douloureuses le jours suivants.
Heureusement, il s'est arrêté assez vite, parce que sans doute, il préférait, en connaisseur, se réserver pour honorer dignement d'autres partenaires passifs.
Il s'est retiré et a enlevé sa capote. Comme il bandait toujours très fort et je me suis agenouillée pour sucer encore une fois son merveilleux phallus, espérant le faire jouir dans ma bouche avant qu'il ne s'en aille.
Il a accepté un délicieux début de fellation aux saveurs composées de son odeur vanillée et de mes sécrétions intimes. Puis il m'a repoussée sans ménagement et est sorti sans dire mot ni avoir le moindre geste vers mon clito douloureux et emprisonné dans sa mini cage de chasteté qu’il ne pouvait pas ne pas avoir remarquée. Je l’ai entendu entrer dans sa cabine et ne l’ai point revu ensuite. Je n’ai entendu que brièvement le son de sa voix et je ne connaîtrais jamais rien de plus de lui.
Et c’est ainsi que vivent les Sissies. Combien de partenaires anonymes dont on ne connaîtra même pas le nom, combien de sexes bandés aux contours les plus variés qui se confondent dans des souvenirs épars..
A peine avais-je commencé à me remettre de cette séance courte mais intense que je vis apparaître par l’autre trou de ma cabine celui de gauche que je croyais inoccupée, un sexe assez long et plutôt timide qui venait me saluer.
Son propriétaire avait dû entrer pendant nos ébats et nous mater un moment car le spectacle apparemment lui avait donné des envies. Difficile de résister à cette nouvelle invitation d’une queue palpitante plutôt longue et fine, à la peau très blanche. Il n’était pas circoncis et son gland n’était pas complètement décalotté. J’ai pensé qu’il s'agissait d’un jeune curieux, peut-être d’une première expérience au gloryhole.
J’ai commencé à le masturber lentement d'une main puis j’ai approché mes lèvres et ma langue comme pour le goûter et apprécier la découverte. Propre et chaud son sexe sentait le savon. Dans ce genre d’endroits c’est rare de tomber sur des mâles qui ne prennent pas soin de leur corps. C’est moins le cas sur les aires d’autoroutes ou dans les toilettes publiques. J’ai rencontré pas mal de camionneurs et quand l’odeur du gasoil dominait, je me considérais comme relativement chanceuse… Enfin, il en faut pour tous les goûts. Personnellement, je préfère les saunas et les endroits bien tenus.
J’ai trouvé la peau de mon minet très fine et délicate. Du méat commençaient à s’échapper quelques gouttes musquées d’un précum annonciateur de plaisir. Je gobais son gland désormais complètement découvert, offert et tout turgescent du plaisir que ma bouche lui procurait. Ma langue s'activant autour de son gland le faisait gémir derrière la paroi. Il se pressait au maximum contre elle pour m’offrir encore plus son sexe dressé. Répondant à cette avance, je ne résistai pas longtemps au plaisir d’enfourner goulûment la presque totalité de son membre chaud et de le pousser jusqu’au fond de ma gorge.
Un nouveau grognement m’encouragea et me prouva qu’il prenait son pied à toucher ma gorge du bout de son gland, testant son impérieuse virilité et sa domination sur la suceuse de bites accomplie que je suis.
Alternant des aller-retour, je me doutais bien de ce qui n'allait pas tarder à arriver. Encore une occasion pour moi de goûter un sperme inconnu et de préférence généreux, épais et collant ou au contraire léger et liquide. Quel allait être la texture et le goût de mon cadeau ?
Le destin d'une Sissy est d'accepter sa condition de soumise et de recevoir tout le sperme qu'elle peut recueillir avec un maximum de partenaires. Elle est faite pour donner ce plaisir à tous les mâles qui souhaitent l'utiliser en déchargeant fiévreusement dans sa bouche leur trop-plein de foutre. Une Sissy s'agenouille devant un mâle,ouvre la bouche et s'active sur tous les phallus avec ferveur, reconnaissance et humilité.
Mon inconnu du moment eut la courtoisie de m'avertir qu'il "tait sur le point de jouir. Je lui sus gré de cette prévenance que négligent beaucoup de mâles égoïstes, seulement attentifs à leur propre plaisir.
Peut-être pensait-il que je me contenterais de le faire jouir manuellement et voulait-il m’épargner de le recevoir dans ma bouche, ce que lui-même, jeune mâle inexpérimenté et ignorant, n’aurait certainement pas fait pour un autre partenaire ?
Bien au contraire, je l’encourageai par un grognement de plaisir sans équivoque, que le consentais à recevoir sa semence, que ma soumission était totale et que j'avais l'intention de profiter de son épanchement chaud, qu’il n’était pas question de le laisser jouir ailleurs que dans ma bouche !
L'abondance et la saveur du liquide dont il a inondé ma cavité buccale m'a surprise. Je ne pensais pas recevoir six ou sept jets si puissants généreux dont une partie alla se perdre sur mon visage et mon front dégarni. Ah ! délicieuse fougue de la jeunesse révélée par cette abondance de plaisir !
Comme je n'avale presque jamais (à part le sperme de mes amants réguliers) je laissai le chaud liquide s’étaler sur ma langue sortie et bien visible pour lui, couler le long de mon menton en en recueillant un peu avec mes mains pour badigeonner mes seins.
Vite l'odeur caractéristique, musquée et enivrante du sperme envahit la cabine pourtant bien aérée par la climatisation forcée. La texture du nectar qu’il m’avait offert était assez liquide et claire. Son goût légèrement douceâtre d'amande fraîche et presque sucré m'étonna, moi qui suis tellement habituée aux saveurs salées et âcres habituellement propres aux sécrétions des mâles. Mon jeune dominateur devait abuser des pâtisseries et autres sucreries. Je continuai un moment à m’appliquer à nettoyer son sexe devenu plus flasque jusqu'à ce qu’il se retire lentement du trou de gloire, comme à regret.
Il était temps pour moi de sortir de ma cabine et de me reposer un peu. Un homme m’a presque bousculée pour entrer à son tour dans la cabine que je venais de quitter. J’ai remarqué qu’il y avait déjà plus de monde dans le couloir. La musique techno couvrait les bruits divers et les râles de plaisir qu’on pouvait parfois entendre venant des autres cabines. Je n’ai pas remis mon pantalon que je gardais contre moi roulé en boule pour aller dans la salle vidéo. J’avais juste remis ma chemise non boutonnée ouverte sur ma poitrine parfumée au sperme de mon jeune amant anonyme.
Dans la grande salle vidéo à gradins, sur un grand écran rien qu’un classique film gay avec de beaux mecs en train de baiser. Après un moment de repos entrecoupé de quelques caresses avec des inconnus qui se glissaient vers moi mais qui renonçaient assez vite à poursuivre en constatant que mon clito était encagé, j’ai découvert en sortant de la salle, un attroupement intéressant près des urinoirs (...)
A suivre…
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je me retrouve dans l'histoire très bien racontée et exactement ce que je vis avec ma MAITRESSE DONNA . Elle me fait devenir une vrai sissy et j'en suis fière . Belle histoire merci RUBY
trés bien
Ah les Gloryhole, ma femme en raffole.
Elle adore sucer des bites à la chaîne !
Se faire baiser dans les Gloryhole, quel plaisir pour elle.
Ne pas savoir qui elle suce, ou qui l'a pénètre.
J'adore la regarder vider des queues.
Je me branle dans mon coin.
Depuis qqtemps, elle me demande de participer.
Moi qui suis 100% hétéro.
Elle me demande de guider les queues vers son sexe ou son petit trou.
Je finis aussi les mecs à la main, souvent pour enlever les capotes, et Asperger le Cul ou la chate de ma femme.
Je sents dans mes mains le plaisir des mecs venir !
Et je guide ces sexes inonder les trous de mon épouse.
Qd son sexe ou son cul sont bien ouvert, je vise pour bien remplir ma femme de tout ce foutre, pour bien qu'il rentre dans ses orifices.
Avec mes doigts je finis le travail, pour bien qu'elle soit remplie.
Elle adore que je p dearticipe et l'aide à se faire remplir ses trous.
Je l'aime, et je ferais tout pour laï satisfaire.d
Je l'aime, je suis candauliste et fait tout pour qu'elle soit heureuse et fière de moi!
Elle adore sucer des bites à la chaîne !
Se faire baiser dans les Gloryhole, quel plaisir pour elle.
Ne pas savoir qui elle suce, ou qui l'a pénètre.
J'adore la regarder vider des queues.
Je me branle dans mon coin.
Depuis qqtemps, elle me demande de participer.
Moi qui suis 100% hétéro.
Elle me demande de guider les queues vers son sexe ou son petit trou.
Je finis aussi les mecs à la main, souvent pour enlever les capotes, et Asperger le Cul ou la chate de ma femme.
Je sents dans mes mains le plaisir des mecs venir !
Et je guide ces sexes inonder les trous de mon épouse.
Qd son sexe ou son cul sont bien ouvert, je vise pour bien remplir ma femme de tout ce foutre, pour bien qu'il rentre dans ses orifices.
Avec mes doigts je finis le travail, pour bien qu'elle soit remplie.
Elle adore que je p dearticipe et l'aide à se faire remplir ses trous.
Je l'aime, et je ferais tout pour laï satisfaire.d
Je l'aime, je suis candauliste et fait tout pour qu'elle soit heureuse et fière de moi!
Être un homme s’offrant à tous les désirs d’autres hommes, un de mes fantasmes préférés.
Très belle histoire, chaude, bien écrite. Moi qui ne suis pas Parisien, le glory hole des Halles, le B ,j'aimerais bien y faire un tour lorsque d'une visite à Paris. En espérant trouver cet endroit fort sympathique. Caramel35
Je ne suis pas très familiarisé avec les sissy, mais ton récit et la manière dont il est écrit m’ont terriblement excité.
Merci
Merci
Belle histoire bien racontée dans un français parfait avec une approche fort intéressante sur la psychologie de la Sissy.