Ma dernière visite au BXM
Récit érotique écrit par Gaston75011 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma dernière visite au BXM
Ma dernière visite au BXM.
J’entre d’un pas décidé et pressé par crainte de croiser une connaissance, au 2 rue de la Cochonnerie, dans le quartier chaud.
Je félicite le gérant qui n’a pas augmenté ses prix depuis avant le Covid, le tarif d’entrée de 10 € permet d’accéder au sous-sol où se situe le Cruising. Je dois comme tout le monde laisser mon sac à dos au vestiaire. En sortant, je visiterai l’espace sex-shop gay qui est au premier étage.
Il n’y a pas encore grand monde en ce début d’après-midi. Je fais un premier tour de reconnaissance croisant au passage une demi-douzaine d’hommes de tous âges. Les cabines équipées de “gloryhole” sont presque toutes vides, seuls les écrans sont allumés et diffusent des vidéos pornos qui tournent en boucle.
La lumière rouge dans le couloir est à peine suffisante pour se déplacer. Ma vue s'accoutume petit à petit mais il y a des endroits où on ne voit vraiment rien.
Outre les cabines, il y a différents espaces intimes pour deux ou plusieurs personnes, peints en noir, séparés du couloir par des bandes de rideaux de plastique noir. Hormis l’éclairage rouge ou bleu, tout le reste est obscur. Dans tous les endroits stratégiques et dans les cabines, on trouve un distributeur de préservatifs, un distributeur de lubrifiant, un distributeur de papier et une poubelle. Les cabines sont propres. Trois heures plus tard quand je suis reparti c'était un peu moins le cas. C’est aussi une des raisons pour lesquelles je préfère fréquenter ces endroits à l’ouverture et pas tard en soirée même si l’atmosphère y est super chaude et la clientèle plus jeune.
La techno obsédante et de bonne qualité sature presque partout l’espace sonore et incite à se lâcher quand on jouit et à bien manifester son plaisir, ce que je ne vais pas me priver de faire toute à l'heure, quand je vais être en main ou plutôt en bouche avec un jeune homme particulièrement doué. C’est vrai que dans les appartements des immeubles collectifs mal insonorisés, on essaie de limiter les cris de plaisir et de jouissance si facilement identifiables quand un couple fait l'amour. C’est assez frustrant, mais il faut tenir compte du voisinage. Là, au moins, comme tout le monde, je peux y aller carrément et en plus j’éprouve une certaine jouissance à l'idée de manifester bruyamment mon plaisir et ensuite, en sortant, à croiser les regards des hommes qui attendent à la porte que la cabine se libère : “En voilà un qui a bien pris son pied !”
Après un premier tour au premier sous-sol, je m’installe dans une cabine sur la petite banquette au fond en prenant soin de laisser ma porte grande ouverte. Au-dessus de la porte, il y a une vidéo qui montre des hardeurs américains poilus et très virils en train de s’amuser. Je déboutonne mon pantalon, ouvre largement ma chemise. Je sors mon sexe et je commence à me caresser bien à la vue des mecs qui passent devant ma cabine, qui regardent l’air de rien, qui repassent. Je continue à me branler en regardant la vidéo, ce n’est pas le grand succès pour moi. Peu m’importe, je suis très exhibitionniste et je continue encore un peu jusqu’au moment où je vois par le trou de gauche une ombre qui vient d’entrer dans la cabine voisine. Ni une, ni deux, je ferme ma porte et je me fous à poil, vite fait. Facile car je ne porte qu’une chemise de lin, un pantalon léger et des sandales à boucle rapide. J’accroche mes fringues à la patère qui est derrière la porte et je vois une main avec une alliance à un doigt, qui se pose sur le bord du large trou. Je la caresse rapidement en signe d’accord et je commence à me masturber en prenant soin de tenir mon sexe le plus près du trou. Je ne bande pas assez, alors je préfère m’accroupir et offrir en évidence ma bouche ouverte. Ce que j’espère ne tarde pas à arriver. Une grosse queue bien lourde, un peu molle, se présente dans le trou.
Je la branle un peu, lui parle et lui dis : “Humm, tu es jolie, toi !” j’entends quelque chose derrière la paroi mais je ne comprends pas. Elle est chaude cette bite, je la prends en bouche. Pas d’odeur particulière, le gland reste calotté. Elle est grosse mais elle ne durcit pas vraiment pourtant je m’applique. Je bois rapidement une gorgée d’eau, ma bouteille toujours à côté de moi, pour bien mouiller ma bouche et lui préparer un nid douillet, chaud et humide. C’est vrai que j’ai la bouche un peu sèche et que je suis un petit peu stressé car ça fait pas mal de temps que je n’ai pas sucé un mec. Je m’applique tant que je peux mais finalement le gars retire sa queue tout en me remerciant. Il faut dire que dans ce genre d’endroit, les mecs qu’ils soient suceurs ou sucés, actifs ou passifs ne manquent jamais de remercier leur partenaire avant de sortir pour continuer leur exploration.
Après ce demi-échec, je me plais à penser qu’une bonne partie des hommes qui viennent dans cet établissement dans l’après-midi sont des hétéros plus ou moins âgés qui viennent se soulager dans une bouche, peu importe qu’elle soit celle d’un homme, pour un prix défiant toute concurrence. J’avais remarqué cette pratique venue des États-Unis où les hétéros “mythos” cherchent à se rassurer en pensant que ces endroits sont fréquentés par des femmes qui aiment sucer des inconnus. En fait, je reste convaincu que rares sont les femmes qui aiment vraiment sucer, contrairement à ce que tu prétends, toi, Maîtresse F., elles le font pour faire plaisir à leur partenaire, enfin, c'est ce que je pense, mais je n'ai pas connu beaucoup de femmes.
Je me rhabille donc et je continue mon exploration du “Cruising” (lieu de drague entre hommes), on se frôle, on se regarde, on se jauge. Je choisis de descendre au second sous-sol. C’est tellement sombre que j’ai failli rater les trois dernières marches et me casser la gueule.
Du noir partout, très peu de lumière des cabines, des barres d’appui et rideaux de plastique noir. C’est un endroit tout entier dédié à la fellation et assez bien conçu. Quand on se tient debout on a devant soi une paroi sombre percée de plusieurs trous assez grands placés au niveau de votre visage, vous allez donc être le suceur. De l’autre côté de la paroi, il faut monter trois marches pour accéder au niveau qui vous permet d’avoir le trou au niveau du sexe, quelle que soit votre talle, vous allez être le sucé. Très astucieux, cela évite de se mettre à genoux pour le suceur. J’ai admiré pendant un petit moment une fellation pratiquée très habilement par un homme un peu gros et plus tout jeune à en croire la couleur de ses cheveux.
Tout cela m’a mis en appétit et quand je me suis retourné j’ai constaté qu’il y avait un homme allongé sur le canapé à l’angle du couloir sous la climatisation. Il était sur le dos, le pantalon et le slip baissés à mi-cuisses, le polo remonté au-dessus du ventre. Jeune, corpulent, un très beau sexe non circoncis pas très long mais bien épais. Il bandait fort. Il est resté immobile, offert, les yeux fermés, rafraîchi par la climatisation. Je n’ai pas résisté. Je l’ai d’abord frôlé, caressé, puis je me suis penché et j’ai pris son sexe dans ma bouche. Un léger et délicieux goût de bite qui m'enivre et que j’aime tant. Il est très dur. Je passe ma langue sur toute sa tige, j’alterne les succions du gland et le léchage de la tige et des couilles rasées. Je commence à bander. Il ne bouge pas, ne manifeste rien. En l’explorant, je découvre qu’il porte un anneau pénien métallique bien serré.
Le coquin ! je pense même qu’il a dû prendre une pilule pour bander autant et si dur. Je me redresse et voilà que je suis rejoint par un homme assez gros qui me pousse un peu, gentiment, pour prendre ma place et sucer le bel endormi. Je suis resté à côté, en renfort, et quand le gros homme s’est arrêté, j’ai immédiatement pris sa place et nous avons ainsi pendant un moment offert un double fellation alternée à ce jeune chanceux qui ne manifestait toujours aucune réaction !
J’en ai eu marre et j’ai totalement abandonné ma place, pour remonter au premier sous-sol.
Arrivé au premier sous-sol, je m’assieds sur la banquette à côté du distributeur de boissons pour me reposer un instant. Je peux voir les mecs qui descendent de la boutique et tous ceux qui circulent entre les deux niveaux de sous-sol. Il y a plus de monde, tant mieux !
Soudain, je le vois passer. Mon coeur se met à battre la chamade. Un brun, cheveux courts, visage glabre, regard indifférent, en débardeur et jean moulant, épaules dénudées, bras musclés, trente cinq ans, un cul bien mis en valeur, genre méditerranéen, pas très grand, ma taille à peu près, belle gueule ! Le genre de mec dont je peux tomber raide dingue amoureux tout de suite. Le genre de mec avec qui j’ai envie de tout faire sans hésiter. Le cœur battant je me lève, il ne m’a pas vu, je le suis dans le couloir qui mène aux cabines. Il décide de revenir sur ses pas, en chasse comme moi. En le croissant, je lui jette un regard insistant et lui fais un sourire idiot. Putain qu’il est beau ! Une cabine dont la porte est ouverte est juste là à côté de nous… Il m’ignore totalement et passe son chemin. Il faut t’y faire, mon gars, tu n’es plus de la première jeunesse ! Ces gars-là c’est du gibier de salle de musculation; ils peuvent choisir les plus beaux pour baiser. C’est normal, la roue tourne (trop vite) à chacun son tour.
J’aurai l’occasion de le recroiser plusieurs fois, mon beau mâle. La dernière fois, il était en conversation avec un jeune métis bien foutu genre antillais qui lui parlait de tout près, lui mettant même ostensiblement la main au paquet. En train de se chauffer l’un l’autre. Après je ne les ai plus revus, mais il y avait beaucoup de cabines occupées, la porte fermée pour une complète intimité. Ca baisait un peu partout quand je suis remonté de la zone de cruising. Cela faisait plus de trois heures que j’y étais et je commençais à être fatigué. Il faut dire qu’entre temps j’avais bien trouvé une bouche pour me faire jouir et me vider. N’empêche qu’en écrivant cette lettre, je revois très bien mon beau brun et je me caresse en pensant à lui. C’est le seul visage qui m’a profondément troublé parmi tous ces hommes en quête de sexe que j’ai pu croiser. Tous les autres s’évanouissent petit à petit.
A l’exception de celui qui m’a sucé dans une des cabines à gloryhole. J’y suis entré directement car j’avais aperçu sa bouche et une partie de son visage, en attente près du trou dans la paroi. Il était à genoux. J’entre, je me penche vers le trou et je lui demande directement : “Tu suces ?”, Oui, évidemment, quelle question idiote ! Je ferme la porte et je me mets à poil pour la deuxième fois. Ca va encore plus vite. Je me branle un peu et présente ma bite dans le trou. Tout de suite, il se jette dessus et la gobe entièrement. Putain que c’est bon ! Chaud, baveux, sa langue qui s’agite autour de mon gland turgescent. Il aspire ma queue, sa langue est tellement active que si je ne me retire pas tout de suite, je vais tout lâcher. J’ai dû me retirer trois fois, avant de lui dire que j’allais pas tarder à jouir dans sa bouche. Il n’attendait que ça.
J’étais collé au maximum contre la paroi, les bras en hauteur agrippés à la bordure supérieure. Je crois bien qu’on m’a entendu gueuler de plaisir dans le couloir quand j’ai éjaculé tout mon sperme dans sa bouche, et il continuait à téter et à m’aspirer jusqu’à la dernière goutte. Il me suçait jusqu’à ce que ça devienne douloureux et que je n’aie plus qu’une envie c’est de sortir mon sexe de cette bouche ventouse.
Il m’a laissé retirer mon sexe comme à regrets. A-t-il avalé mon sperme ? Je n’en sais rien, en tout cas je ne l’ai pas entendu cracher. Je l’ai remercié en lui disant qu’il m’avait bien fait jouir ! Lui aussi m’a remercié ! Je lui ai demandé de me montrer sa queue. Il était à poil comme moi et il bandait bien le salaud. Une belle queue circoncise comme la mienne mais bien plus grosse. Je lui ai demandé s’il faisait autre chose. Il m’a répondu direct : “Je fais tout !” Alors je lui dis : “Bouffe-moi le cul”, et j’ajoute : “T’as rien à craindre, je suis propre !” En effet, vous connaissez mes obsessions hygiéniques et je m’étais soigneusement préparé à la maison avant de partir.
Je me tourne et me penche en avant, le cul vers le trou. J’écarte bien mes fesses et je me colle au trou, mon anus bien ouvert et offert à sa bouche. Je sens tout de suite sa langue fougueuse qui ne s’attarde pas sur le bord de mon puits d’amour mais qui fouille direct au plus profond, il faut dire que je suis bien ouvert et que je me gode très souvent.
La sensation est très agréable, il est vraiment très chaud et très doué. Voilà que maintenant, il m’aspire même, il me suce l’anus. Je n’en peux plus, c’est moi qui abandonne, j’ai un besoin impérieux de me sentir rempli par une bite, maintenant !
Je lui demande s’il encule, il me répond “oui !” mais il ajoute tout de suite : “sans préservatif, car sinon, je débande !” Putain, j’hésite. Apparemment c’est un gars dans la trentaine. S’il est plombé et qu’il jouit dans mon cul : bonjour la galère ! Je n’ai pas envie de retourner faire des tests HIV la peur au ventre. Je lui réponds : “Non, désolé”. Je n’ai pas fait super attention jusqu'à mon âge pour tout foirer sur une baise. Je le remercie encore, je me rhabille, quitte la cabine et lui attend son partenaire suivant. Ça a dû être sa fête, parce que j’ai croisé un mec qui attendait son tour, quand je suis sorti et qui m’a remplacé dans cet espace de jouissance.
J’ai encore trainé un moment dans le cruising, regardé une intéressante vidéo montrant deux très beaux minets qui baisaient accompagnés et observés par la copine de l’un deux, à poil également, en train de se branler la chatte pendant qu’une belle scène de sodomie s’offrait à son regard. Un peu plus tard dans la vidéo, on la voit qui s’est équipée d’un gode-ceinture et s’apprête à enculer son petit ami pendant que l’autre mec se fait sucer par l’enculé. Très excitant. J’ai un peu branlé le vieux qui est entré dans la cabine et s’est mis à côté de moi contre la barre d’appui pour mater aussi la vidéo. Il avait tout de suite sorti sa bite de son pantalon dans l’attente que je lui rende ce service. Je n’en ai pas fait plus.
Retour dans une cabine à gloryhole, où je me suis fait encore sucer, mais cette fois-ci plus calmement, de toute façon je n’avais plus rien à donner. Bonne bouche quand même. Il a dû être déçu. Je me suis dit qu’il était temps de quitter les lieux.
Comme j’étais un peu frustré parce que je ne m’étais toujours pas encaissé une bonne queue dans ma chatte affamée, je me suis acheté un nouveau gode de taille raisonnable. Je ne l’ai pas encore testé, bien trop crevé le soir. Je me suis endormi comme un plomb presque instantanément.
J’entre d’un pas décidé et pressé par crainte de croiser une connaissance, au 2 rue de la Cochonnerie, dans le quartier chaud.
Je félicite le gérant qui n’a pas augmenté ses prix depuis avant le Covid, le tarif d’entrée de 10 € permet d’accéder au sous-sol où se situe le Cruising. Je dois comme tout le monde laisser mon sac à dos au vestiaire. En sortant, je visiterai l’espace sex-shop gay qui est au premier étage.
Il n’y a pas encore grand monde en ce début d’après-midi. Je fais un premier tour de reconnaissance croisant au passage une demi-douzaine d’hommes de tous âges. Les cabines équipées de “gloryhole” sont presque toutes vides, seuls les écrans sont allumés et diffusent des vidéos pornos qui tournent en boucle.
La lumière rouge dans le couloir est à peine suffisante pour se déplacer. Ma vue s'accoutume petit à petit mais il y a des endroits où on ne voit vraiment rien.
Outre les cabines, il y a différents espaces intimes pour deux ou plusieurs personnes, peints en noir, séparés du couloir par des bandes de rideaux de plastique noir. Hormis l’éclairage rouge ou bleu, tout le reste est obscur. Dans tous les endroits stratégiques et dans les cabines, on trouve un distributeur de préservatifs, un distributeur de lubrifiant, un distributeur de papier et une poubelle. Les cabines sont propres. Trois heures plus tard quand je suis reparti c'était un peu moins le cas. C’est aussi une des raisons pour lesquelles je préfère fréquenter ces endroits à l’ouverture et pas tard en soirée même si l’atmosphère y est super chaude et la clientèle plus jeune.
La techno obsédante et de bonne qualité sature presque partout l’espace sonore et incite à se lâcher quand on jouit et à bien manifester son plaisir, ce que je ne vais pas me priver de faire toute à l'heure, quand je vais être en main ou plutôt en bouche avec un jeune homme particulièrement doué. C’est vrai que dans les appartements des immeubles collectifs mal insonorisés, on essaie de limiter les cris de plaisir et de jouissance si facilement identifiables quand un couple fait l'amour. C’est assez frustrant, mais il faut tenir compte du voisinage. Là, au moins, comme tout le monde, je peux y aller carrément et en plus j’éprouve une certaine jouissance à l'idée de manifester bruyamment mon plaisir et ensuite, en sortant, à croiser les regards des hommes qui attendent à la porte que la cabine se libère : “En voilà un qui a bien pris son pied !”
Après un premier tour au premier sous-sol, je m’installe dans une cabine sur la petite banquette au fond en prenant soin de laisser ma porte grande ouverte. Au-dessus de la porte, il y a une vidéo qui montre des hardeurs américains poilus et très virils en train de s’amuser. Je déboutonne mon pantalon, ouvre largement ma chemise. Je sors mon sexe et je commence à me caresser bien à la vue des mecs qui passent devant ma cabine, qui regardent l’air de rien, qui repassent. Je continue à me branler en regardant la vidéo, ce n’est pas le grand succès pour moi. Peu m’importe, je suis très exhibitionniste et je continue encore un peu jusqu’au moment où je vois par le trou de gauche une ombre qui vient d’entrer dans la cabine voisine. Ni une, ni deux, je ferme ma porte et je me fous à poil, vite fait. Facile car je ne porte qu’une chemise de lin, un pantalon léger et des sandales à boucle rapide. J’accroche mes fringues à la patère qui est derrière la porte et je vois une main avec une alliance à un doigt, qui se pose sur le bord du large trou. Je la caresse rapidement en signe d’accord et je commence à me masturber en prenant soin de tenir mon sexe le plus près du trou. Je ne bande pas assez, alors je préfère m’accroupir et offrir en évidence ma bouche ouverte. Ce que j’espère ne tarde pas à arriver. Une grosse queue bien lourde, un peu molle, se présente dans le trou.
Je la branle un peu, lui parle et lui dis : “Humm, tu es jolie, toi !” j’entends quelque chose derrière la paroi mais je ne comprends pas. Elle est chaude cette bite, je la prends en bouche. Pas d’odeur particulière, le gland reste calotté. Elle est grosse mais elle ne durcit pas vraiment pourtant je m’applique. Je bois rapidement une gorgée d’eau, ma bouteille toujours à côté de moi, pour bien mouiller ma bouche et lui préparer un nid douillet, chaud et humide. C’est vrai que j’ai la bouche un peu sèche et que je suis un petit peu stressé car ça fait pas mal de temps que je n’ai pas sucé un mec. Je m’applique tant que je peux mais finalement le gars retire sa queue tout en me remerciant. Il faut dire que dans ce genre d’endroit, les mecs qu’ils soient suceurs ou sucés, actifs ou passifs ne manquent jamais de remercier leur partenaire avant de sortir pour continuer leur exploration.
Après ce demi-échec, je me plais à penser qu’une bonne partie des hommes qui viennent dans cet établissement dans l’après-midi sont des hétéros plus ou moins âgés qui viennent se soulager dans une bouche, peu importe qu’elle soit celle d’un homme, pour un prix défiant toute concurrence. J’avais remarqué cette pratique venue des États-Unis où les hétéros “mythos” cherchent à se rassurer en pensant que ces endroits sont fréquentés par des femmes qui aiment sucer des inconnus. En fait, je reste convaincu que rares sont les femmes qui aiment vraiment sucer, contrairement à ce que tu prétends, toi, Maîtresse F., elles le font pour faire plaisir à leur partenaire, enfin, c'est ce que je pense, mais je n'ai pas connu beaucoup de femmes.
Je me rhabille donc et je continue mon exploration du “Cruising” (lieu de drague entre hommes), on se frôle, on se regarde, on se jauge. Je choisis de descendre au second sous-sol. C’est tellement sombre que j’ai failli rater les trois dernières marches et me casser la gueule.
Du noir partout, très peu de lumière des cabines, des barres d’appui et rideaux de plastique noir. C’est un endroit tout entier dédié à la fellation et assez bien conçu. Quand on se tient debout on a devant soi une paroi sombre percée de plusieurs trous assez grands placés au niveau de votre visage, vous allez donc être le suceur. De l’autre côté de la paroi, il faut monter trois marches pour accéder au niveau qui vous permet d’avoir le trou au niveau du sexe, quelle que soit votre talle, vous allez être le sucé. Très astucieux, cela évite de se mettre à genoux pour le suceur. J’ai admiré pendant un petit moment une fellation pratiquée très habilement par un homme un peu gros et plus tout jeune à en croire la couleur de ses cheveux.
Tout cela m’a mis en appétit et quand je me suis retourné j’ai constaté qu’il y avait un homme allongé sur le canapé à l’angle du couloir sous la climatisation. Il était sur le dos, le pantalon et le slip baissés à mi-cuisses, le polo remonté au-dessus du ventre. Jeune, corpulent, un très beau sexe non circoncis pas très long mais bien épais. Il bandait fort. Il est resté immobile, offert, les yeux fermés, rafraîchi par la climatisation. Je n’ai pas résisté. Je l’ai d’abord frôlé, caressé, puis je me suis penché et j’ai pris son sexe dans ma bouche. Un léger et délicieux goût de bite qui m'enivre et que j’aime tant. Il est très dur. Je passe ma langue sur toute sa tige, j’alterne les succions du gland et le léchage de la tige et des couilles rasées. Je commence à bander. Il ne bouge pas, ne manifeste rien. En l’explorant, je découvre qu’il porte un anneau pénien métallique bien serré.
Le coquin ! je pense même qu’il a dû prendre une pilule pour bander autant et si dur. Je me redresse et voilà que je suis rejoint par un homme assez gros qui me pousse un peu, gentiment, pour prendre ma place et sucer le bel endormi. Je suis resté à côté, en renfort, et quand le gros homme s’est arrêté, j’ai immédiatement pris sa place et nous avons ainsi pendant un moment offert un double fellation alternée à ce jeune chanceux qui ne manifestait toujours aucune réaction !
J’en ai eu marre et j’ai totalement abandonné ma place, pour remonter au premier sous-sol.
Arrivé au premier sous-sol, je m’assieds sur la banquette à côté du distributeur de boissons pour me reposer un instant. Je peux voir les mecs qui descendent de la boutique et tous ceux qui circulent entre les deux niveaux de sous-sol. Il y a plus de monde, tant mieux !
Soudain, je le vois passer. Mon coeur se met à battre la chamade. Un brun, cheveux courts, visage glabre, regard indifférent, en débardeur et jean moulant, épaules dénudées, bras musclés, trente cinq ans, un cul bien mis en valeur, genre méditerranéen, pas très grand, ma taille à peu près, belle gueule ! Le genre de mec dont je peux tomber raide dingue amoureux tout de suite. Le genre de mec avec qui j’ai envie de tout faire sans hésiter. Le cœur battant je me lève, il ne m’a pas vu, je le suis dans le couloir qui mène aux cabines. Il décide de revenir sur ses pas, en chasse comme moi. En le croissant, je lui jette un regard insistant et lui fais un sourire idiot. Putain qu’il est beau ! Une cabine dont la porte est ouverte est juste là à côté de nous… Il m’ignore totalement et passe son chemin. Il faut t’y faire, mon gars, tu n’es plus de la première jeunesse ! Ces gars-là c’est du gibier de salle de musculation; ils peuvent choisir les plus beaux pour baiser. C’est normal, la roue tourne (trop vite) à chacun son tour.
J’aurai l’occasion de le recroiser plusieurs fois, mon beau mâle. La dernière fois, il était en conversation avec un jeune métis bien foutu genre antillais qui lui parlait de tout près, lui mettant même ostensiblement la main au paquet. En train de se chauffer l’un l’autre. Après je ne les ai plus revus, mais il y avait beaucoup de cabines occupées, la porte fermée pour une complète intimité. Ca baisait un peu partout quand je suis remonté de la zone de cruising. Cela faisait plus de trois heures que j’y étais et je commençais à être fatigué. Il faut dire qu’entre temps j’avais bien trouvé une bouche pour me faire jouir et me vider. N’empêche qu’en écrivant cette lettre, je revois très bien mon beau brun et je me caresse en pensant à lui. C’est le seul visage qui m’a profondément troublé parmi tous ces hommes en quête de sexe que j’ai pu croiser. Tous les autres s’évanouissent petit à petit.
A l’exception de celui qui m’a sucé dans une des cabines à gloryhole. J’y suis entré directement car j’avais aperçu sa bouche et une partie de son visage, en attente près du trou dans la paroi. Il était à genoux. J’entre, je me penche vers le trou et je lui demande directement : “Tu suces ?”, Oui, évidemment, quelle question idiote ! Je ferme la porte et je me mets à poil pour la deuxième fois. Ca va encore plus vite. Je me branle un peu et présente ma bite dans le trou. Tout de suite, il se jette dessus et la gobe entièrement. Putain que c’est bon ! Chaud, baveux, sa langue qui s’agite autour de mon gland turgescent. Il aspire ma queue, sa langue est tellement active que si je ne me retire pas tout de suite, je vais tout lâcher. J’ai dû me retirer trois fois, avant de lui dire que j’allais pas tarder à jouir dans sa bouche. Il n’attendait que ça.
J’étais collé au maximum contre la paroi, les bras en hauteur agrippés à la bordure supérieure. Je crois bien qu’on m’a entendu gueuler de plaisir dans le couloir quand j’ai éjaculé tout mon sperme dans sa bouche, et il continuait à téter et à m’aspirer jusqu’à la dernière goutte. Il me suçait jusqu’à ce que ça devienne douloureux et que je n’aie plus qu’une envie c’est de sortir mon sexe de cette bouche ventouse.
Il m’a laissé retirer mon sexe comme à regrets. A-t-il avalé mon sperme ? Je n’en sais rien, en tout cas je ne l’ai pas entendu cracher. Je l’ai remercié en lui disant qu’il m’avait bien fait jouir ! Lui aussi m’a remercié ! Je lui ai demandé de me montrer sa queue. Il était à poil comme moi et il bandait bien le salaud. Une belle queue circoncise comme la mienne mais bien plus grosse. Je lui ai demandé s’il faisait autre chose. Il m’a répondu direct : “Je fais tout !” Alors je lui dis : “Bouffe-moi le cul”, et j’ajoute : “T’as rien à craindre, je suis propre !” En effet, vous connaissez mes obsessions hygiéniques et je m’étais soigneusement préparé à la maison avant de partir.
Je me tourne et me penche en avant, le cul vers le trou. J’écarte bien mes fesses et je me colle au trou, mon anus bien ouvert et offert à sa bouche. Je sens tout de suite sa langue fougueuse qui ne s’attarde pas sur le bord de mon puits d’amour mais qui fouille direct au plus profond, il faut dire que je suis bien ouvert et que je me gode très souvent.
La sensation est très agréable, il est vraiment très chaud et très doué. Voilà que maintenant, il m’aspire même, il me suce l’anus. Je n’en peux plus, c’est moi qui abandonne, j’ai un besoin impérieux de me sentir rempli par une bite, maintenant !
Je lui demande s’il encule, il me répond “oui !” mais il ajoute tout de suite : “sans préservatif, car sinon, je débande !” Putain, j’hésite. Apparemment c’est un gars dans la trentaine. S’il est plombé et qu’il jouit dans mon cul : bonjour la galère ! Je n’ai pas envie de retourner faire des tests HIV la peur au ventre. Je lui réponds : “Non, désolé”. Je n’ai pas fait super attention jusqu'à mon âge pour tout foirer sur une baise. Je le remercie encore, je me rhabille, quitte la cabine et lui attend son partenaire suivant. Ça a dû être sa fête, parce que j’ai croisé un mec qui attendait son tour, quand je suis sorti et qui m’a remplacé dans cet espace de jouissance.
J’ai encore trainé un moment dans le cruising, regardé une intéressante vidéo montrant deux très beaux minets qui baisaient accompagnés et observés par la copine de l’un deux, à poil également, en train de se branler la chatte pendant qu’une belle scène de sodomie s’offrait à son regard. Un peu plus tard dans la vidéo, on la voit qui s’est équipée d’un gode-ceinture et s’apprête à enculer son petit ami pendant que l’autre mec se fait sucer par l’enculé. Très excitant. J’ai un peu branlé le vieux qui est entré dans la cabine et s’est mis à côté de moi contre la barre d’appui pour mater aussi la vidéo. Il avait tout de suite sorti sa bite de son pantalon dans l’attente que je lui rende ce service. Je n’en ai pas fait plus.
Retour dans une cabine à gloryhole, où je me suis fait encore sucer, mais cette fois-ci plus calmement, de toute façon je n’avais plus rien à donner. Bonne bouche quand même. Il a dû être déçu. Je me suis dit qu’il était temps de quitter les lieux.
Comme j’étais un peu frustré parce que je ne m’étais toujours pas encaissé une bonne queue dans ma chatte affamée, je me suis acheté un nouveau gode de taille raisonnable. Je ne l’ai pas encore testé, bien trop crevé le soir. Je me suis endormi comme un plomb presque instantanément.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très bien écrit pas de surenchère comme souvent . j'aimerai bien connaitre ce bxm et y faire un tour s'il n'est pas trop loin.
Je ne connais pas ce genre d'endroit. Pas sûr sûr d'avoir envie d'y aller.
Mais c'est bien écrit et excitant.
Mais c'est bien écrit et excitant.
Cool. On s'y croirait.
@ Philus. C’est un espace de cruising bien réel dont le nom comprend ces 3 lettres.
Glauque : oui ça c’est clair !
Pour le reste, pas de problème, si tu le dis !
Glauque : oui ça c’est clair !
Pour le reste, pas de problème, si tu le dis !
Bien écrit. C'est quoi BXM ? Comme dirait "le lecteur" : Beau récit réaliste de ce qui se passe dans ce genre d'endroit. Personnellement, je trouve ça un peu glauque. Par ailleurs, je pense qu'un femme aime autant sucer une bite qu'un homme aime sucer une chatte. Très souvent, homme ou femme, on aime sucer les deux.
Merci Caramel. Je ne perds jamais espoir :-)
Beau récit réaliste de ce qui se passe dans ce genre d'endroit. Dommage que le mec ne t'a pas enculé.
Caramel35
Caramel35