Baise en trio
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2013 dans la catégorie Plus on est
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Baise en trio
Ne rentres pas trop tard. Quelques mots pour me mettre en émoi. Dans la journée, j'oublie facilement ce qu'elle me dit, aussi je n'arrive chez moi que vers 22 heures. Dès la porte franchie j'entends des bruits de gémissement. J'approche de la chambre pour la voir : à première vue elle est avec une copine que je connais de vue. Gaby, ma femme appuyée contre notre amie Annie est juste en plein orgasme. La bouche ouverte s'écarte à peine du sexe de l'autre femme. Je me souviens de ses paroles. Depuis un bon moment elle voulait baiser avec une autre. De là à échanger un 69 , il y a un pas que je franchi enfin.
Ma bite est dure à ce spectacle. En la sortant je fais part de mon évidente satisfaction. Il faut que je me mette totalement nu pour m'approcher. Je suis invité par l'amante. Comme attirée par un aimant ma bouche rencontre celle de cette seconde femme. Nous restons ainsi unis par les lèvres. Il me tarde de les baiser. Je n'ai rien à faire, ma queue est prise dans une main : l'amante commence à me masturber avec ardeur. En me laissant faire du bien, j'arrive à passer une main entre les jambes encore ouverte d'Annie. Sa chatte est humide j'arrive facilement à entrer deux doigts au fond du vagin. Nous nous branlons ainsi jusqu'au moment où je décharge mon sperme un peu à l'aveugle sur le ventre de Gaby peu sensible, encore perdu dans son orgasme.
Le regard d'Annie reste sur ma pine. Je la regarde aussi avec son gland brillant sorti du tronc de ma queue. Je ne voudrais pas débander, j'arrive à rester encore dur un bon moment. Gaby semble se réveiller quand ma bite entre en contact léger avec son corps.
Elles recommencent à se branler, devant moi cette fois. C'est joli de voir les doigts s'agiter sur les boutons rougis par les plaisirs successifs. Encore des gémissements. Le corps d'Annie se tétanise sous l'orgasme. La main de ma femme reste sur le pubis d'Annie, aplatissant ainsi les poils.
Ma queue frémit d'impatience : je veux un con, n'importe lequel. A la rigueur une bouche avec sa langue. Je me mets sur les deux femmes le sexe tendu : je suis pris par une bouche, celle de ma femme. Sa langue passe le long de la tige, s'arrête juste sur le replis de la queue. Le pubis contracté, prêt à la suite, j'attends de jouir dans la bouche, en regardant en détail. Je suis enfin satisfait quand j'éjacule sur la langue. Ma queue est agitée sans cesse, jusqu'à la fin de l'écoulement du sperme. C'est le signal attendu d'une reprise entre les deux femmes qui continuent en 69 .
Elles jouissent presque ensemble. Les spasmes de l'une s'ajoutent aux spasmes de l'autre. Nous ne restons pas longtemps immobiles. Je leur demande de s'occuper de moi, seulement de moi. Ma queue est reprise dans la bouche d'Annie. Je vois que Gaby vient se mettre juste sous celle qui me suce pour lui coller la bouche sur le con. Je suis assez près pour la branler. Elle préfère se masturber devant nous. Elle a bien raison à voir les nombreux orgasmes qui la dévastent.
Je laisse Annie se faire sucer par Gaby pour moi changer de femme. Ma bite entre facilement dans le vagin détrempé de ma femme. Je sens bien ses lèvres s'écarter devant le gland. Je suppose qu'elle aussi doit ressentir à peu près le même plaisir que moi. Je la sens glisser autour du mandrin. Puis quand je suis bien planté il me semble que la queue bien plantée s'acclimate parfaitement à son ventre. La confirmation arrive quand elle entoure ma taille de ses cuisses. Il me semble que mes couilles frappent parfois son cul. Encore une fois les spasmes dévastateurs : je jouis. Elle aussi, je sens son vagin se resserrer autour de mon pieu.
Annie voudrait que je l'encule : avec elle c'est toujours pareil. La sodomie est sa spécialité. Elle prend ma bite dans la main, elle la caresse lentement, va jusqu'à mon cul pour y mettre deux doigts. Je n'aime pas particulièrement ce genre de caresses, mais avec elle ça marche toujours. Je ne bande pas totalement. Pour elle c'est assez. Je sens que le bout est entre ses fesses qu'elle ouvre en grand. C'est pour une fois ma femme qui cherche l'anus. Elle s'est mouillé les doigts avec se cyprine. Bien sur elle les fait entrer facilement à fond en plus.
Annie me fait entrer dans son cul. J'y coulisse bien facilement avec le même plaisir qui enfle. L'anus se ferme autour de la queue. Prisonnière, ma bite reste plantée. Annie fait entende son plaisir avec de sonores « oui, oui, encore, à fond, encules moi ».
Il nous semble être dans un monde fait de divertissements et autres plaisirs.
Ma bite est dure à ce spectacle. En la sortant je fais part de mon évidente satisfaction. Il faut que je me mette totalement nu pour m'approcher. Je suis invité par l'amante. Comme attirée par un aimant ma bouche rencontre celle de cette seconde femme. Nous restons ainsi unis par les lèvres. Il me tarde de les baiser. Je n'ai rien à faire, ma queue est prise dans une main : l'amante commence à me masturber avec ardeur. En me laissant faire du bien, j'arrive à passer une main entre les jambes encore ouverte d'Annie. Sa chatte est humide j'arrive facilement à entrer deux doigts au fond du vagin. Nous nous branlons ainsi jusqu'au moment où je décharge mon sperme un peu à l'aveugle sur le ventre de Gaby peu sensible, encore perdu dans son orgasme.
Le regard d'Annie reste sur ma pine. Je la regarde aussi avec son gland brillant sorti du tronc de ma queue. Je ne voudrais pas débander, j'arrive à rester encore dur un bon moment. Gaby semble se réveiller quand ma bite entre en contact léger avec son corps.
Elles recommencent à se branler, devant moi cette fois. C'est joli de voir les doigts s'agiter sur les boutons rougis par les plaisirs successifs. Encore des gémissements. Le corps d'Annie se tétanise sous l'orgasme. La main de ma femme reste sur le pubis d'Annie, aplatissant ainsi les poils.
Ma queue frémit d'impatience : je veux un con, n'importe lequel. A la rigueur une bouche avec sa langue. Je me mets sur les deux femmes le sexe tendu : je suis pris par une bouche, celle de ma femme. Sa langue passe le long de la tige, s'arrête juste sur le replis de la queue. Le pubis contracté, prêt à la suite, j'attends de jouir dans la bouche, en regardant en détail. Je suis enfin satisfait quand j'éjacule sur la langue. Ma queue est agitée sans cesse, jusqu'à la fin de l'écoulement du sperme. C'est le signal attendu d'une reprise entre les deux femmes qui continuent en 69 .
Elles jouissent presque ensemble. Les spasmes de l'une s'ajoutent aux spasmes de l'autre. Nous ne restons pas longtemps immobiles. Je leur demande de s'occuper de moi, seulement de moi. Ma queue est reprise dans la bouche d'Annie. Je vois que Gaby vient se mettre juste sous celle qui me suce pour lui coller la bouche sur le con. Je suis assez près pour la branler. Elle préfère se masturber devant nous. Elle a bien raison à voir les nombreux orgasmes qui la dévastent.
Je laisse Annie se faire sucer par Gaby pour moi changer de femme. Ma bite entre facilement dans le vagin détrempé de ma femme. Je sens bien ses lèvres s'écarter devant le gland. Je suppose qu'elle aussi doit ressentir à peu près le même plaisir que moi. Je la sens glisser autour du mandrin. Puis quand je suis bien planté il me semble que la queue bien plantée s'acclimate parfaitement à son ventre. La confirmation arrive quand elle entoure ma taille de ses cuisses. Il me semble que mes couilles frappent parfois son cul. Encore une fois les spasmes dévastateurs : je jouis. Elle aussi, je sens son vagin se resserrer autour de mon pieu.
Annie voudrait que je l'encule : avec elle c'est toujours pareil. La sodomie est sa spécialité. Elle prend ma bite dans la main, elle la caresse lentement, va jusqu'à mon cul pour y mettre deux doigts. Je n'aime pas particulièrement ce genre de caresses, mais avec elle ça marche toujours. Je ne bande pas totalement. Pour elle c'est assez. Je sens que le bout est entre ses fesses qu'elle ouvre en grand. C'est pour une fois ma femme qui cherche l'anus. Elle s'est mouillé les doigts avec se cyprine. Bien sur elle les fait entrer facilement à fond en plus.
Annie me fait entrer dans son cul. J'y coulisse bien facilement avec le même plaisir qui enfle. L'anus se ferme autour de la queue. Prisonnière, ma bite reste plantée. Annie fait entende son plaisir avec de sonores « oui, oui, encore, à fond, encules moi ».
Il nous semble être dans un monde fait de divertissements et autres plaisirs.
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