Beau-papa Chapitre 3 Jean me fait découvrir comment donner du plaisir et en recevoir.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Beau-papa Chapitre 3 Jean me fait découvrir comment donner du plaisir et en recevoir.
Beau-papaChapitre 3Jean me fait découvrir comment donner du plaisir et en recevoir.
-Si tu veux, je te donne ta première leçon ! J’avais prévu plutôt large pour mon dépannage…-Euh ! Tout de suite ? ?
-Oui… On a largement le temps avant que tu n’ailles chercher les enfants à l’école.
Il se lève de la chaise, me tend la main et m’entraine vers la salle de bain. Il me fait asseoir sur la cuvette des WC.
Suite :-Déshabille-toi !
Je retire mon haut bientôt rejoint par mon pantalon, me retrouvant en sous –vêtements devant mon beau-père.
Je dégrafe mon soutien-gorge apeurée, regardant le sol puis cachant aussitôt ma poitrine avec mon bras.
-Ne sois pas si peureuse, lève la tête, sois fière de ton corps, regarde-moi avec un air de défi et retire ta main.
Agréablement surpris, il ouvre de grands yeux en découvrant mes seins. Je fais un 90C mais j’ai une belle poitrine qui tient toute seule.
-Je m’en doutais, tu as une poitrine magnifique ! Un bon point pour toi…continue !
Je lève les jambes et fais glisser ma culotte avant de la retirer complètement.
-Ah ! Là tu marques un mauvais point ! Les hommes de nos jours ne veulent plus de poils, il va falloir retirer tout cela. On va commencer par là, ton mari doit bien avoir un rasoir et du savon à barbe ?
Je me lève pour aller chercher le matériel en question. Il prend les ustensiles et me fait asseoir sur le rebord de la baignoire, m’écarte les cuisses et applique de la mousse qu’il étale d’une main sûre.
Avec dextérité, il commence son travail, tendant ma peau pour en effacer tous les replis avec une main pendant que l’autre passe le fils du rasoir sur les bords de ma vulve. Après une vingtaine de minutes, je me retrouve avec un sexe complètement glabre où quelques poils récalcitrants batifolent encore. Il pousse sa conscience professionnelle de bon ouvrier à les retirer un par un à la pince à épiler.
Il me savonne ensuite l’entrejambe puis me rince et me sèche. Je n’ai pas bougé, toujours assise sur le rebord de la baignoire.
Il commence par mes seins qu'il caresse en douceur avant de se consacrer à mes tétons qui durcissent sous ses doigts. Il les pince doucement, ce qui a pour effet de me faire gémir. Sa main descend ensuite délicatement sur mon ventre, je frissonne comme jamais auparavant.
Sa main se retrouve sur mon sexe qu'elle survole du bout des doigts, il pose sa main gauche sur ma cuisse, le majeur de son autre main posée sur mon bas-ventre glisse alors sur mes grandes lèvres, animé d’un mouvement de bas en haut avant de l’immiscer entre elles avec une extrême douceur. Son doigt ne tarde pas à être couvert de ma cyprine, je mouille déjà…
-Tu vois ! La première chose que tu dois ressentir avec un partenaire, c’est ton propre plaisir ! Et c’est à lui de faire le nécessaire pour que tu y parviennes. S’il ne cherche qu’à assouvir son propre plaisir, il gâche tout !
Deux doigts se plaquent contre mon clitoris et le serrent délicatement, le chatouillent. Je le regarde faire, me concentrant sur le plaisir qui monte en moi. Jean s’applique en surveillant mes réactions.
Je gémis, mon corps répond à la caresse qu'il me prodigue. Mon sexe est de plus en plus humide.
Le tempo de ses doigts s’accélère, mon rythme cardiaque aussi. Mon plaisir frôle son paroxysme.
Il s'arrête brusquement, me regarde droit dans les yeux un long moment puis enfonce un de ses doigts en moi.
Je suis à la fois frustrée par cet orgasme qu’il m’a refusé, mais satisfaite de sentir son doigt me remplir. Je me remets à gémir, la pression remonte. Après quelques instants, il insère un autre doigt dans mon sexe humide. Il est encore plus agile et sait comment s'y prendre, mon sexe est trempé et poisse le creux de sa paume. Jean m'offre alors un troisième doigt. Mon sexe n'a jamais été autant ouvert à ce genre de caresse mais j'adore ça. Mon bassin ondule comme si je n'avais jamais connu le plaisir auparavant.
- Encore, encore ! Va plus vite !
Il me sourit.
-Je vois que tu aimes ça, tu veux que je continue ?
- Oh Oui ! Ouuuiii ! Ne t’arrête surtout pas !
Je ne me rends même pas compte que je le tutoie tellement je plane.
Pendant que ses doigts s’activent dans ma chatte trempée, son autre main vient caresser mon petit bourgeon qui devient de plus en plus sensible. Je gémis doucement, recherchant un deuxième souffle.
Pendant de longues minutes, il continue sa double caresse jusqu’au moment où tout mon corps se tend comme une corde de piano…une sensation inconnue germe en moi, mon clitoris me brûle, la pointe de mes seins est douloureuse, mes reins irradient dans tout mon corps une vague énorme de plaisir.
Je ne peux plus me retenir et crie mon plaisir sans aucune retenue. Je viens de jouir !!!
Je n’ai jamais connu une chose pareille ! Pour la première fois de ma vie, je ressens ce qu’on appelle le plaisir ou plutôt l’orgasme. Je viens de vivre le premier orgasme de ma vie…à bientôt trente cinq ans ! Jean avait raison. Il n’est jamais trop tard pour apprendre!!!
Il se relève, le sourire aux lèvres, satisfait du résultat. Je retrouve doucement mes esprits, les lèvres de ma vulve et mon clitoris ont pris une couleur rosée très prononcée tellement ils sont gonflés.
Jean se relève et se rapproche un peu plus de moi.
-Pour la deuxième leçon…c’est à toi de me rendre la pareille !
Je comprends immédiatement où il veut en venir en voyant la bosse qui déforme le haut de son pantalon.
-Souviens-toi de ce que je t’ai dit tout à l’heure sur le premier plaisir avec un partenaire !
Sa braguette est en saillie, déformée par son sexe en érection. Je lève les yeux pour rechercher son regard. D’un simple signe de la tête, il m’encourage à aller plus loin.
Je pose mes mains sur sa ceinture et la déboucle puis baisse la fermeture éclair. Je fais glisser son pantalon le long de ses cuisses découvrant un caleçon noir gonflé par une belle bosse.
Je passe une main de chaque coté de ses hanches et fait descendre son sous-vêtement, son sexe jaillit sous mes yeux.
Je n’en reviens pas de voir chez un homme qui a dépassé la soixantaine se dresser fièrement une queue plus que raisonnable. Elle est grosse, bien plus grosse que celle de son fils avec une belle paire de bourses pendantes. Je n’en ais jamais vu d’aussi grosses…et d’aussi près, il faut dire que je n’en ai pas connues beaucoup d’autres.
Je n’ai connu que deux hommes et je n’ai jamais aimé faire des fellations, trouvant ça avilissant pour la femme et pas très hygiénique. Même pour mon mari Bruno, je ne lui ai fait ce plaisir que de rares fois.
Jean m’encourage de sa voix grave et rassurante :
-Tu dois faire comme moi, découvrir l’organe masculin, le toucher, le caresser avec douceur.
J'approche ma main son sexe. Je n'en reviens pas de la taille de son engin. Ma main en fait le tour mais comparé à la verge de Bruno, il me parait énorme et dépasse allègrement les treize centimètres de son fils avec un gland gonflé de désir à demi caché par son prépuce.
Je tire doucement sur la peau, découvrant le gland violacé.
-Bon maintenant, ouvre la bouche et si ça ne te met pas trop mal à l'aise, alors suce-moi!
Cet ordre me laisse sans voix, mais sans bien savoir pourquoi, j'obéis, voulant lui rendre de qu’il m’a déjà donné. Je pose alors timidement ma bouche sur son sexe si imposant et le fait coulisser entre mes lèvres. Je lui offre une fellation délicate, ne sachant pas trop comment m’y prendre.
Il pose sa main sur ma joue et la caresse pour m’encourager. Ma langue entre en contact avec le gland dont le goût n’est pas désagréable. Je me mets à aller et venir dessus, laissant à chaque passage un filet de salive sur son pénis désormais brillant.
-N’oublie-pas mes bourses, prends-les dans ta main et caresse-les en même temps… Tu es si différente de ta belle-mère, si docile et appliquée. J'adore ça !
J’aime sa voix et ses directives, faisant tout ce qu’il me demande, accélérant ou ralentissant la cadence, accentuant ou diminuant la pression à exercer sur sa verge. Ses gémissements de contentement m’encouragent et entretiennent mon excitation. Je m’applique si bien à lui rendre le plaisir reçu qu’il ne tarde pas à m’implorer :
-Continue, surtout ne t’arrête-pas ! Je sens que je viens ! Putain que c’est booon !
Je sens son sexe gonfler encore dans ma bouche m’annonçant l’imminence de sa jouissance. Mais il a la délicatesse de se maîtriser pour me prévenir :
-Je vais bientôt jouir, si tu ne veux pas que j’éjacule dans ta bouche, je peux comprendre. Dans ce cas fais-moi jouir sur tes seins…mais si tu veux aller jusqu’au bout, branle-moi plus vite et surtout je t’interdis de tout recracher !
J’apprécie sa galanterie de me laisser le choix. Je déteste ça mais je veux trop lui faire plaisir, me rappelant ce qu’il m’a fait connaître il y a quelques minutes. J’accélère donc le rythme et ses grognements sont ma récompense
-Oui ! Vas-y ! C’est booon ! Aaahhh ! Tu me suces comme une reine … je vais jouir… ne t’arrête surtout pas !
Deux gouttes de pré-sperme coulent sur ma langue, aussitôt suivi de puissants jets d’une semence abondante qui manque de m’étouffer car vu son âge, je ne croyais pas assister à un tel festival.
Je suis obligée de m’y reprendre en plusieurs fois pour avaler le tout.
C’est la première fois de ma vie que j’avale le sperme d’un homme et qui plus est, celui de mon beau-père. Si on m’avait dit ça ce matin, je ne l’aurais jamais cru !
Contrairement à ce que je redoutais, le goût ne m’a pas rebuté. Je ne veux pas laisser ressortir sa lance avant de l’avoir complètement nettoyée de sa semence et de ma bave abondante.
-Tu as été très bien Lucie ! Tu t’es bien débrouillée pour une novice, on va en rester là pour aujourd’hui… mais avant de partir, je vais dérégler la chasse d’eau pour avoir un prétexte pour pouvoir revenir demain !
A suivre…
-Si tu veux, je te donne ta première leçon ! J’avais prévu plutôt large pour mon dépannage…-Euh ! Tout de suite ? ?
-Oui… On a largement le temps avant que tu n’ailles chercher les enfants à l’école.
Il se lève de la chaise, me tend la main et m’entraine vers la salle de bain. Il me fait asseoir sur la cuvette des WC.
Suite :-Déshabille-toi !
Je retire mon haut bientôt rejoint par mon pantalon, me retrouvant en sous –vêtements devant mon beau-père.
Je dégrafe mon soutien-gorge apeurée, regardant le sol puis cachant aussitôt ma poitrine avec mon bras.
-Ne sois pas si peureuse, lève la tête, sois fière de ton corps, regarde-moi avec un air de défi et retire ta main.
Agréablement surpris, il ouvre de grands yeux en découvrant mes seins. Je fais un 90C mais j’ai une belle poitrine qui tient toute seule.
-Je m’en doutais, tu as une poitrine magnifique ! Un bon point pour toi…continue !
Je lève les jambes et fais glisser ma culotte avant de la retirer complètement.
-Ah ! Là tu marques un mauvais point ! Les hommes de nos jours ne veulent plus de poils, il va falloir retirer tout cela. On va commencer par là, ton mari doit bien avoir un rasoir et du savon à barbe ?
Je me lève pour aller chercher le matériel en question. Il prend les ustensiles et me fait asseoir sur le rebord de la baignoire, m’écarte les cuisses et applique de la mousse qu’il étale d’une main sûre.
Avec dextérité, il commence son travail, tendant ma peau pour en effacer tous les replis avec une main pendant que l’autre passe le fils du rasoir sur les bords de ma vulve. Après une vingtaine de minutes, je me retrouve avec un sexe complètement glabre où quelques poils récalcitrants batifolent encore. Il pousse sa conscience professionnelle de bon ouvrier à les retirer un par un à la pince à épiler.
Il me savonne ensuite l’entrejambe puis me rince et me sèche. Je n’ai pas bougé, toujours assise sur le rebord de la baignoire.
Il commence par mes seins qu'il caresse en douceur avant de se consacrer à mes tétons qui durcissent sous ses doigts. Il les pince doucement, ce qui a pour effet de me faire gémir. Sa main descend ensuite délicatement sur mon ventre, je frissonne comme jamais auparavant.
Sa main se retrouve sur mon sexe qu'elle survole du bout des doigts, il pose sa main gauche sur ma cuisse, le majeur de son autre main posée sur mon bas-ventre glisse alors sur mes grandes lèvres, animé d’un mouvement de bas en haut avant de l’immiscer entre elles avec une extrême douceur. Son doigt ne tarde pas à être couvert de ma cyprine, je mouille déjà…
-Tu vois ! La première chose que tu dois ressentir avec un partenaire, c’est ton propre plaisir ! Et c’est à lui de faire le nécessaire pour que tu y parviennes. S’il ne cherche qu’à assouvir son propre plaisir, il gâche tout !
Deux doigts se plaquent contre mon clitoris et le serrent délicatement, le chatouillent. Je le regarde faire, me concentrant sur le plaisir qui monte en moi. Jean s’applique en surveillant mes réactions.
Je gémis, mon corps répond à la caresse qu'il me prodigue. Mon sexe est de plus en plus humide.
Le tempo de ses doigts s’accélère, mon rythme cardiaque aussi. Mon plaisir frôle son paroxysme.
Il s'arrête brusquement, me regarde droit dans les yeux un long moment puis enfonce un de ses doigts en moi.
Je suis à la fois frustrée par cet orgasme qu’il m’a refusé, mais satisfaite de sentir son doigt me remplir. Je me remets à gémir, la pression remonte. Après quelques instants, il insère un autre doigt dans mon sexe humide. Il est encore plus agile et sait comment s'y prendre, mon sexe est trempé et poisse le creux de sa paume. Jean m'offre alors un troisième doigt. Mon sexe n'a jamais été autant ouvert à ce genre de caresse mais j'adore ça. Mon bassin ondule comme si je n'avais jamais connu le plaisir auparavant.
- Encore, encore ! Va plus vite !
Il me sourit.
-Je vois que tu aimes ça, tu veux que je continue ?
- Oh Oui ! Ouuuiii ! Ne t’arrête surtout pas !
Je ne me rends même pas compte que je le tutoie tellement je plane.
Pendant que ses doigts s’activent dans ma chatte trempée, son autre main vient caresser mon petit bourgeon qui devient de plus en plus sensible. Je gémis doucement, recherchant un deuxième souffle.
Pendant de longues minutes, il continue sa double caresse jusqu’au moment où tout mon corps se tend comme une corde de piano…une sensation inconnue germe en moi, mon clitoris me brûle, la pointe de mes seins est douloureuse, mes reins irradient dans tout mon corps une vague énorme de plaisir.
Je ne peux plus me retenir et crie mon plaisir sans aucune retenue. Je viens de jouir !!!
Je n’ai jamais connu une chose pareille ! Pour la première fois de ma vie, je ressens ce qu’on appelle le plaisir ou plutôt l’orgasme. Je viens de vivre le premier orgasme de ma vie…à bientôt trente cinq ans ! Jean avait raison. Il n’est jamais trop tard pour apprendre!!!
Il se relève, le sourire aux lèvres, satisfait du résultat. Je retrouve doucement mes esprits, les lèvres de ma vulve et mon clitoris ont pris une couleur rosée très prononcée tellement ils sont gonflés.
Jean se relève et se rapproche un peu plus de moi.
-Pour la deuxième leçon…c’est à toi de me rendre la pareille !
Je comprends immédiatement où il veut en venir en voyant la bosse qui déforme le haut de son pantalon.
-Souviens-toi de ce que je t’ai dit tout à l’heure sur le premier plaisir avec un partenaire !
Sa braguette est en saillie, déformée par son sexe en érection. Je lève les yeux pour rechercher son regard. D’un simple signe de la tête, il m’encourage à aller plus loin.
Je pose mes mains sur sa ceinture et la déboucle puis baisse la fermeture éclair. Je fais glisser son pantalon le long de ses cuisses découvrant un caleçon noir gonflé par une belle bosse.
Je passe une main de chaque coté de ses hanches et fait descendre son sous-vêtement, son sexe jaillit sous mes yeux.
Je n’en reviens pas de voir chez un homme qui a dépassé la soixantaine se dresser fièrement une queue plus que raisonnable. Elle est grosse, bien plus grosse que celle de son fils avec une belle paire de bourses pendantes. Je n’en ais jamais vu d’aussi grosses…et d’aussi près, il faut dire que je n’en ai pas connues beaucoup d’autres.
Je n’ai connu que deux hommes et je n’ai jamais aimé faire des fellations, trouvant ça avilissant pour la femme et pas très hygiénique. Même pour mon mari Bruno, je ne lui ai fait ce plaisir que de rares fois.
Jean m’encourage de sa voix grave et rassurante :
-Tu dois faire comme moi, découvrir l’organe masculin, le toucher, le caresser avec douceur.
J'approche ma main son sexe. Je n'en reviens pas de la taille de son engin. Ma main en fait le tour mais comparé à la verge de Bruno, il me parait énorme et dépasse allègrement les treize centimètres de son fils avec un gland gonflé de désir à demi caché par son prépuce.
Je tire doucement sur la peau, découvrant le gland violacé.
-Bon maintenant, ouvre la bouche et si ça ne te met pas trop mal à l'aise, alors suce-moi!
Cet ordre me laisse sans voix, mais sans bien savoir pourquoi, j'obéis, voulant lui rendre de qu’il m’a déjà donné. Je pose alors timidement ma bouche sur son sexe si imposant et le fait coulisser entre mes lèvres. Je lui offre une fellation délicate, ne sachant pas trop comment m’y prendre.
Il pose sa main sur ma joue et la caresse pour m’encourager. Ma langue entre en contact avec le gland dont le goût n’est pas désagréable. Je me mets à aller et venir dessus, laissant à chaque passage un filet de salive sur son pénis désormais brillant.
-N’oublie-pas mes bourses, prends-les dans ta main et caresse-les en même temps… Tu es si différente de ta belle-mère, si docile et appliquée. J'adore ça !
J’aime sa voix et ses directives, faisant tout ce qu’il me demande, accélérant ou ralentissant la cadence, accentuant ou diminuant la pression à exercer sur sa verge. Ses gémissements de contentement m’encouragent et entretiennent mon excitation. Je m’applique si bien à lui rendre le plaisir reçu qu’il ne tarde pas à m’implorer :
-Continue, surtout ne t’arrête-pas ! Je sens que je viens ! Putain que c’est booon !
Je sens son sexe gonfler encore dans ma bouche m’annonçant l’imminence de sa jouissance. Mais il a la délicatesse de se maîtriser pour me prévenir :
-Je vais bientôt jouir, si tu ne veux pas que j’éjacule dans ta bouche, je peux comprendre. Dans ce cas fais-moi jouir sur tes seins…mais si tu veux aller jusqu’au bout, branle-moi plus vite et surtout je t’interdis de tout recracher !
J’apprécie sa galanterie de me laisser le choix. Je déteste ça mais je veux trop lui faire plaisir, me rappelant ce qu’il m’a fait connaître il y a quelques minutes. J’accélère donc le rythme et ses grognements sont ma récompense
-Oui ! Vas-y ! C’est booon ! Aaahhh ! Tu me suces comme une reine … je vais jouir… ne t’arrête surtout pas !
Deux gouttes de pré-sperme coulent sur ma langue, aussitôt suivi de puissants jets d’une semence abondante qui manque de m’étouffer car vu son âge, je ne croyais pas assister à un tel festival.
Je suis obligée de m’y reprendre en plusieurs fois pour avaler le tout.
C’est la première fois de ma vie que j’avale le sperme d’un homme et qui plus est, celui de mon beau-père. Si on m’avait dit ça ce matin, je ne l’aurais jamais cru !
Contrairement à ce que je redoutais, le goût ne m’a pas rebuté. Je ne veux pas laisser ressortir sa lance avant de l’avoir complètement nettoyée de sa semence et de ma bave abondante.
-Tu as été très bien Lucie ! Tu t’es bien débrouillée pour une novice, on va en rester là pour aujourd’hui… mais avant de partir, je vais dérégler la chasse d’eau pour avoir un prétexte pour pouvoir revenir demain !
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