Belle nuit

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
  • • 973 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
  • • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 627 562 visites.
Récit libertin : Belle nuit Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 257 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Belle nuit
Je me retire d'elle la queue toute mouillée de cyprine. Je n'ai pas encore joui. Je la revois tout à l'heure se déshabillant devant moi, enlevant le seul sous vêtement: un tout petit string digne d'une stripteaseuse. Ses seins déjà sortis tout durs avec des aréoles foncées et des tétons saillants. Sa robe légère traine dans un angle du salon avec son soutien gorge, si un simple foulard en soie léger peut servir de soutif. A ce moment là j'étais nu et bandant. Je lui caressais les seins et elle m'embrassait dans le cou. Je descendais le plus bas possible quand elle m'entraine dans sa chambre.
Reprenons au début. Nous ne nous connaissions pas au début de ce repas chez des amis communs. Assis à coté d'elle j'engageais la conversation sur un sujet banal: je lui parlais de politique, sujet excitant comme pas un !! A dire vrai elle m'intimidait. Elle me remettait sur le droit chemin en me demandant si j'avais une petite amie. J'en avais eu une que j'avais laissé tomber pour incompatibilité sexuelle (entre nous elle n'aimait pas la sodomie).
Elle en riait, non pas de ma séparation, mais du ton très sérieux que j'avais pour en parler. Elle voulait me consoler de ma solitude.
Finalement nous oubliions les autres et le repas fini je me proposais pour la remmener chez elle en voiture. Elle acceptait et arrivés en bas de son logis, il m'invitait pour un dernier verre. Je sais qu’habituellement ce sont les hommes qui invitent.
Nous étions dans son salon: elle ne me proposait plus de verre. Nous étions debout pas loin, elle venait vers moi et me collait sa bouche sur la mienne. Sa langue venait compléter le message: tu es seul, je suis là, si tu veux on peut tirer un coup tous les deux. Ma bouche ouverte recevait sa langue qui me fouillait. A mon tour je rentrais ma langue dans sa bouche.
Notre affaire commençait à prendre tournure. Elle avait envie et moi aussi. Je mettais mes mains derrière son dos et trouvait la fermeture éclair de la robe et la tirait vers le bas. Elle en sortait d'un coup d'épaule. Pour ne pas être en reste elle me faisait retirer ma veste et ma chemise. Serré comme nous étions je sentais contre moi sa poitrine. Je défaisais son foulard (j'en étais fier d'y être arrivé sans son aide) et enfin je pouvais caresser cette poitrine très ferme. Je l'embrassais, lui suçait les tétons qui durcissait. Je commençais à bander et bien sur elle le savait. Elle le sortait la queue du pantalon et la caressait très lentement en bonne baiseuse.
Je suis nu, elle ne porte que ce léger string. Elle m’entrainait à ce moment là dans la chambre. Elle ne me tient pas la main: elle a pris ma bite comme laisse. Elle s'assoit sur le lit, écarte les jambes et offre son con à ma bouche. J'embrasse tout ce sexe féminin qui sent bon la mouille. Ma langue explore toute sa fente. Je me renseigne sur tous les secrets qu'elle cache habituellement. Elle me dit de ne pas sortir de son con. Pourtant j'aime bien le fouiller. Enfin je m'attarde sur son clitoris. Pour elle la fête commence. J'aspire la moitié du bouton et n'en lèche que le bout. Il faut dire que son clito est long, comme une petite bite. Elle répète sans arrêt: oui, oui, encore, encore !!!! Je continue longtemps sur son con. Elle jouit souvent.
Je ne sais pas encore ce qu'elle préfère. Je la laisse choisir: je suis capable de beaucoup de fantaisies. Ce qu'elle veut est très simple, jouir le plus possible. Je peux et dois la satisfaire. J'ai tout mon temps: si ma bite bande, je n'ai pas encore mal pour la baiser maintenant. Il me semble qu'elle comprend mon problème. Nous sommes allongés tête à tête. Elle se retourne et va chercher ma queue avec sa bouche: elle décalotte mon gland, avec ses lèvres et sa langue commence une partie de lèche particulièrement bien faite.
Il me semble qu'elle aime le goût de ma pine. Et pourtant elle me laisse en plan. Elle revient se met sur le dos et ne me dit qu'un seul mot: baises !
Je monte sur elle. Je sens ses seins contre ma poitrine et surtout son con contre le bout de ma queue. Je ne fais rien: c'est elle qui d'un coup de rein s'enfile ma bite. J'assure seulement les vas et viens. C'est à ce moment là que je me retire d'elle, la queue mouillée.
Elle sait que je n'ai pas joui. Je crois savoir ce qu'elle veut me conserver en forme jusqu'au bout. Je suis assez long à jouir, mais maintenant j'ai envie de larguer ma charge de sperme. Finalement je ne la ménage plus: je suis l'homme et je veux lui faire ce dont j'ai envie: sans ménagement je la tourne sur le ventre et lui fait écarter les jambes. Elle devine ce que je veux: elle se met en levrette, ouvre ses fesses avec ses mains et me dit:"vas-y encules moi". Je ne peux refuser ce que je voulais lui faire. Je ne sais pas trop si elle a beaucoup pratiqué. Je lui mets la queue sur son cul. Je veux y rentrer lentement pour prendre le plaisir de la pénétrer doucement. On dirait qu'elle devine. Elle approche son anus, à toucher ma queue et me laisse faire le reste. J'y rentre petit à petit, mon gland passe la porte de son sphincter et enfin je suis totalement en elle. Nous faisons ensemble les mouvements. Je la sens jouir plusieurs fois de ma bite.
Je ne peux plus me retenir: j'éjacule mon sperme dans ses entrailles. Je reste en elle le temps de débander. Quand j'en sors, elle revient me prendre la queue dans sa bouche alors que je sors juste de son cul: elle aime ça. Elle aime surtout me faire bander à nouveau: elle me suce, donc, et me caresse les couilles avec une main et l'autre va se loger près de mon cul pour en caresser les bords, sans jamais y rentrer. Elle m'excite tant que je bande aussi fort que la première fois. Elle ne me demande pas de la baiser encore, non, je sert simplement à l'exciter pendant qu'elle se branle et me demande d'en faire autant. Je regarde sa main et les deux doigts qui frottent sur son clitoris. Son autre main sert à se doigter.
Elle regarde ma main qui monte et descend le long de ma queue.
Ses commentaires sont salés: "vas-y regarde moi me branler comme une salope que je suis. je vois ta queue dans ta main, et l'autre, tu ne peux pas te la mettre au cul" Elle jouit encore et toujours reprend une masturbation; cette fois elle se met la main presque entière dans le vagin et l'autre aussi profond dans le cul.
Elle est affamée de baise. J'arrête de me branler. Elle jouit encore.
Elle sort un godemiché elle se le met au con. Elle en jouit encore.
Cette fois elle ne s'arrête pas à elle: elle veut me faire jouir à sa façon. Elle commence par me branler et pour continuer me dit qu'elle va m'enculer. Je ne veux pas faire cette expérience et pourtant je suis bien obligé d'y passer: "tu m'encules, je t'encule aussi". Au fond elle a raison je me la suis payée, pourquoi elle ne se payerai pas sur moi.
Elle me fait mettre en levrette, écarte mes fesses, mouille mon cul avec sa cyprine et y rentre un, puis deux et enfin trois doigts pour m'élargir. Finalement je trouve que ce n'est pas mauvais. Elle me met juste à l'entrée le gode et sa main gauche viens sur ma queue et la branle. Au moment le plus important de cette masturbation, elle m'encule. Je ne sais si c'est ce gode, la façon de s'en servir ou la branlette, en tout cas je jouis plus fortement que les autres fois. Elle le sait bien et me dit entre deux baiser: tu vois que c'est bon dans le cul. Sa main entoure toujours ma bite et la presse sans arrêt. Il faut que je dise que ma main est sur son con et que de temps en temps, j'y pénètre, juste pour la tenir mouillée.
Elle a encore envie. Cette fois elle veut que nous baisions debout.
Nous nous levons donc. Je suis contre le mur, la bite en l'air. Elle vient contre moi, me prend par le cou pour s'élever et je n'ai qu'à la lui mettre au con. Elle se démène tant qu'elle jouit encore et par la même occasion me fait jouir.
Cette fois c'est fini pour moi. Ce n'est pas grave: nous devons baiser le lendemain dimanche du soir au matin. En attendant nous resterons nus. C'est dans cette "tenue" que nous dormons, sauf que pendant mon sommeil je suis réveillé par sa bouche qui me suce la queue, juste au moment où je jouis.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Belle nuit
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Baiserjouir

La maîtresse de mon, mari - Récit érotique publié le 27-08-2016
Nos turpitudes - Récit érotique publié le 25-08-2016
Quatuor improvisé - Récit érotique publié le 23-08-2016
Amour à quatre - Récit érotique publié le 21-08-2016
La nymphomane guérie - Récit érotique publié le 19-08-2016
Trio improvisé - Récit érotique publié le 17-08-2016
Nouvelles amies - Récit érotique publié le 14-08-2016
Ma nouvelle voisine (suite) - Récit érotique publié le 11-08-2016
Mon anniversaire - Récit érotique publié le 05-08-2016
Avec mes amantes, je suis heureuse. - Récit érotique publié le 02-08-2016