Black Domina Ch II - histoire érotique

Arianne et moi étions vraiment sur la même longueur d’onde, Chaque moment que nous pouvions partager nous nous retrouvions chez moi. Elle adorait ma façon de lui faire l’amour, et avec elle j’ai connu des plaisirs inouïs pourtant j’en avais pas mal connu avant elle.

Jamais elle ne m’avait invité chez elle dans son studio de travail, son donjon. Cela faisait un moment que nous avions entamé cette relation, amoureuse ? Je ne suis pas certain une grande complicité, de la tendresse et une attirance totale certainement. Mais les sentiments ce n’était pas le principal, j’avais eu des déboires récents, pire une catastrophe même. Je sortais d’une période peuplée de mecs presque exclusivement, une période gay si l’on veut. Arianne faisait un peu la sourde oreille quand je parlais domination/soumission. En particulier ma soumission a elle. Nous avions des instants ou elle prenait les rênes, mais c’étaient des instants, pas une réelle soumission et j’avoues que j’en avais envie avec elle.

- Ma chérie, dis-je, alors quand voudra tu de moi comme soumis ?

- Tu y tiens vraiment ? Dit Ariane posant son menton sur ma poitrine et me caressant doucement.

- Oh oui très envie, mais tu ne partages pas mon idée on dirait ? Répliquais je

C’est vrai que j’ai du mal à te voir comme un de ces hommes qui viennent se faire humilier, maltraiter et qui me payes grassement même pour ça. Je ne t’ai jamais raconté comment j’en suis arrivée à çà.

Elle se blottit contre moi, ses gros seins contre mon flanc, sa jambe par-dessus les miennes, sa main posée sur mon sexe dressé qu’elle caressait doucement. Je sentais la chaleur humide de son sexe contre le haut de ma cuisse, et les petits et gros anneaux qui ornaient si bien sons sexe.

Elle m’apprit que son job c’était expert-comptable, métier qu’elle avait pratiqué quelques années. Très libertine elle participait à des soirées de groupe fréquemment avec ses compagnons du moment. Plus que volage elle avait des tas d’amants. Mais elle fit la rencontre d’une femme, une domina qui sans être une pro, avait aussi de temps a autre des prestations payantes pour certains hommes. Son besoin de sexe incessant avait conduit cette femme à assouvir son plaisir en offrant ses services a des hommes prêts à payer des fortunes pour accéder à des plaisirs peu communs. Elle s’initia avec cette femme et commença a y trouver beaucoup de plaisir. C’était un loisir, mais rendant service à sn initiatrice en prenant en charge certains “clients” elle c’était rendue compte que deux ou trois sessions avec des soumis li rapportait autant que son salaire. Elle continuait à travailler au début, puis sa réputation grandissant, elle ne vit plus l’intérêt de continuer, enfin elle arrêta un temps avant de retravailler comme indépendante dans son domaine, cela lui permettait d’avoir une façade dans la vie mais ses revenus étaient peu liés à la comptabilité.

- Je peux donc compter sur toi c’est ton métier. Fis-je plaisantant tout en caressant ses tétons

Elle appréciait cette caresse, son visage ,sa respiration, tout indiquait qu’elle était excitée par mes caresses. Sa main posée sur mon sexe, le branlait doucement, me décalottant totalement et un peu plus. Elle savait que j’aimais que l’on force mon sexe a cet endroit.

- Oh oui ma chérie dis-je j’aimes continue plus fort.

- Plus? Gilles regarde comment je te tire dessus.

En effet le plaisir qui montait était généré par cette tension, Arianne tirait si fort que mon sexe s’incurvait dans l’autre sens. Le gland trempé par ce qui coulait lentement. Transparent et épais souillant les doigts d’Arianne.

- Oui, j’aimes çà mon Arianne, encore vas y tu va me faire jouir.

- Tu es dingue je vais te déchirer le frein oui...

- Et alors, on verra bien. Continue-je t’en supplies c’est trop bon.

- Chéri tu es fou !!, tu trembles tellement.

En effet l’excitation, me faisait trembler, je me foutais bien qu’elle me déchire, je voulais jouir. Même j’avais envie qu’elle brise se petit voile de chair Arianne avait happé mon téton, le mordillais, le mordait même très fort. Son autre main sur mes couilles les pressait, les broyaient.

- Tire encore plus fort. déchire le vas y ,je suis ton esclave, détruis-moi.

- Tu es vraiment un chien, une salope, je vais faire de toi mon esclave en crachant dans ma bouche.

Elle accédait enfin à mon désir, Elle devint plus brutale

- Esclave donne-moi ton foutre ou je détruis ton sexe !!

- Oui maitresse, plus fort déchires moi

Arianne, se laissait aller, oubliant notre complicité demi-amoureuse, pour ne vois a ce moment que la larve soumise. Elle se forçait, car habituellement aucun lien émotionnel n’existait avec ses sujets, j’étais ravi qu’elle oublie notre relation pour profiter de son emprise et de sa violence. Elle m’avoua que faire souffrir les soumis lui procurait un vrai plaisir. Je commençais a le voir dans ma “soumissions improvisée” et partielle. Il y aura d’autres séquences plus extensives plus tard.

Elle me parlait nez contre nez, en hurlant, me crachant dessus fréquemment. Sa main donnait des à-coups à mon sexe, elle semblait décider à aller au bout Mon exitation était au summum. Arianne aussi elle passait sa main entre ses cuisses titillant son gros clito et je voyais ses doigts revenir tous mouillés. Arianne mouillait énormément une fontaine,

Elle continuait a me tenir tendu au maximum. C’était maintenant très douloureux et je sentais monter l’orgasme au fond de mes couilles. Ses dents sur mes tétons me faisaient crier tout comme la douleur de mon sexe. Malgré tout je réclamais plus

- Plus fort maitresse craque tout!!

- Ah tu le veux !! Salaud, chien tiens voilà encore !!!

Ce fut fulgurant au moment où j’éjaculais comme un fou, sur les seins d’Arianne sur mon torse mon visage je poussais un hurlement bestial. Le frein venait de se rompre au niveau de son attache sur le gland. Arianne eut alors un orgasme aussi fulgurant que le mien... Il fallut un peu de temps pour qu’elle et moi prenions conscience de l’hémorragie en cours. Nous en sommes venus a bout relativement rapidement, mais pas assez vite pour mettre le bazar dans le lit.

Curieusement elle et moi étions totalement satisfait de ce qui venait d’arriver, çà ne prête pas à conséquences et c’était un fantasme ancien un désir non avoué mais bien vivace. Arianne aussi avait ce fantasme à force de “travailler” des soumis. Elle fut quelques jours pourtant, torturée par le plaisir qu’elle avait pris à me faire subir cela. Pourtant je lui témoignais beaucoup d’affection, d’amour? Je ne sais pas si on était amoureux, je pense qu'au fond oui, on se contacte de temps en temps et je sens chez elle une pointe de regret que notre histoire n’ai pas duré. Mais je n’en ai pas fini avec elle du moins dans la narration de nos turpitudes.

A suivre