C'est mercredi (5° partie)
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2013 dans la catégorie A dormir debout
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C'est mercredi (5° partie)
Laure continue son mercredi. Elle aime finir cette journée particulière avec ses deux derniers amants aussi débauchés qu’elle. Ne sachant jamais comment elle va être prise, ni par lequel des deux elle attend avec impatience. Elle reste avec son imper sur le ventre en ouvrant la porte. La vue de deux hommes qui se touchent la bite lui donne envie de participer.
Les deux hommes branlent l’autre doucement, comme pour mieux jouir ; Laure aime ce genre d’exhibition. Elle adore voir une bite caressée par une autre main que celle du propriétaire, surtout si c’est une main d’homme. Les deux types sont debout face à face, une main entourant la queue bien dure de l’autre. Ils se masturbent en cadence. Elle regarde en, détail, remarque surtout les couilles poilues relevées. Malgré sa volonté elle est obligée de se toucher la chatte. Elle écarte un peu les cuisses, montre ce qu’elle fait elle aussi.
Cette fois elle ne se contente plus de sa chatte, elle passe une main derrière elle sur ses fesses. Elle cherche son anus en passant dans la raie. Doucement, comme pour ne pas se déranger, elle arrive pile sur le cul. Le majeur suffit pour ce qu’elle à faire. Elle caresse dehors puis lentement elle entre le doigt à fond dans le cul. Elle fait aller son doigt, le ressort presque en entier, le rentre à nouveau. Ses fesses se tendent en arrière. L’orgasme arrive dans son ventre. Elle voit au même moment les spermes sortir des méats.
Laure garde le doigt au fond du cul, s’approche pour prendre un peu des deux semences pour les déguster. Dommage les queues débandent. Laure demande qu’on lui donne du plaisir. Elle se couche, écarte ses jambes pour monter ses trésors. En attendant elle remet deux doigts sur le clitoris pour entamer cette danse formidable du plaisir dont elle ne se lasse pas. Les hommes viennent près d’elle, de chaque coté. D’un commun accord un l’embrasse sur la bouche, l’autre prend les tétons pour les sucer.
Laure laisse de coté son abricot pour caresser les deux bites. Les mains des hommes viennent sur elle pour la masturber comme elle le demande. Les mains de Laure passe et repassent sur les queues encore flageolantes. En les roulant comme pour une pâtisserie elle arrive à la faire éclore à nouveau.
Adroitement elle les caresse, les fait bien bander. Enfin elle a deux bites à la fois près d’elle. Elle sait que désormais les queues font rester dures jusqu’à la fin qu’elle espère depuis le matin. Pourtant elle en a eu dans son con depuis une bite, une langue d’homme puis de femme. Il lui semble sentir et son con et son cul frémir d’impatience. Elle s’assoit entre les deux hommes, continue à les branler avec amour. Voir les glands brillants l’excite. L’ennui est qu’elle faut choisir pour sucer une queue. Elle se penche pour prendre celle de droite. Le choix est bon : c’est la plus grosse des deux. En ouvrant la bouche Laure pense à toujours branler l’autre sans la faire juter. Ses lèvres gourmandes entourent la pine, la serrent un peu, passe ainsi le repli après le gland, avant de descendre le long de la tige. Elle garde une main sur la base, contrôlant ainsi le flux à venir de sperme. Elle donne aussi ses fesses à son autre amant qui entre deux doigts dans le fondement à son grand plaisir.
Son besoin de pénétration est trop grand, elle arrête de qu’elle fait. Elle enjambe le premier des deux à sa gauche, même s’il est moins bien monté que l’autre, pose ses cuisses sur les autres. Elle se positionne seule sur la bite dure. Elle ferme les yeux pour mieux ressentir le plaisir d’être baiser enfin. Elle remue ses fesses pour être mieux installée sur la queue. Laure n’est pas totalement couchée sur l’amant. Elle se laisse baiser sans bouger elle-même.
L’autre amant vient juste derrière elle, se penche pour poser sa tête sur les fesses. Il sort sa langue à la recherche du l’anus odorant. Il le trouve, le mouille, lentement le lèche. Laure gémit en le sentant. Il entre la langue presque à fond comme si elle l’enculait. Laure jouit une autre fois.
Le deuxième amant se relève, il vient sur elle pour faire ce qu’elle attend. Il entre lentement sa grosse pine dans le cul ouvert par la langue. L’anus s’ouvre lentement, comme obligé. Elle se fait enculer, baiser à la fois. Sa taille participe à la fête en se pliant aux injonctions des deux bites en elle.
Laure se sent petite fille en obéissant sans contrainte aux ordres des deux hommes : se laisser faire en jouissant. Elle arrive à passer ses mains, une sur le ventre et l’autre sur ses fesses. Elle cherche à toucher les queues qui lui font du bien. Le fait de sentir de ses mains ce qui lui fait du bien elle en a encore plus.
Dommage, elle sent les spasmes de la queue qui l’encule. Elle ne sort pas encore. Elle serre le cul pour ne pas libérer le gros membre qui lui fait encore du bien. La queue coulisse hors de l’anus. Laure est obligée de remplacer la queue défaillant par ses doigts. Cette fois elle essaye d’en entrer le plus possible.
Elle se met d’abord l’index, puis le majeur. Ils sont bien en elle. En forçant à peine, elle entre l’annuaire. Il lui en faut encore pour compenser l’absence. Elle essaie avec beaucoup de mal à mettre le pouce. Le sphincter anal s’ouvre enfin : elle s’encule seule. Prise de folie érotique elle jouit en continue. Le sperme de celui qui la baise sort à son tour.
C’est hélas terminé. Son mercredi s’achève sans un dernier orgasme.
Les deux hommes branlent l’autre doucement, comme pour mieux jouir ; Laure aime ce genre d’exhibition. Elle adore voir une bite caressée par une autre main que celle du propriétaire, surtout si c’est une main d’homme. Les deux types sont debout face à face, une main entourant la queue bien dure de l’autre. Ils se masturbent en cadence. Elle regarde en, détail, remarque surtout les couilles poilues relevées. Malgré sa volonté elle est obligée de se toucher la chatte. Elle écarte un peu les cuisses, montre ce qu’elle fait elle aussi.
Cette fois elle ne se contente plus de sa chatte, elle passe une main derrière elle sur ses fesses. Elle cherche son anus en passant dans la raie. Doucement, comme pour ne pas se déranger, elle arrive pile sur le cul. Le majeur suffit pour ce qu’elle à faire. Elle caresse dehors puis lentement elle entre le doigt à fond dans le cul. Elle fait aller son doigt, le ressort presque en entier, le rentre à nouveau. Ses fesses se tendent en arrière. L’orgasme arrive dans son ventre. Elle voit au même moment les spermes sortir des méats.
Laure garde le doigt au fond du cul, s’approche pour prendre un peu des deux semences pour les déguster. Dommage les queues débandent. Laure demande qu’on lui donne du plaisir. Elle se couche, écarte ses jambes pour monter ses trésors. En attendant elle remet deux doigts sur le clitoris pour entamer cette danse formidable du plaisir dont elle ne se lasse pas. Les hommes viennent près d’elle, de chaque coté. D’un commun accord un l’embrasse sur la bouche, l’autre prend les tétons pour les sucer.
Laure laisse de coté son abricot pour caresser les deux bites. Les mains des hommes viennent sur elle pour la masturber comme elle le demande. Les mains de Laure passe et repassent sur les queues encore flageolantes. En les roulant comme pour une pâtisserie elle arrive à la faire éclore à nouveau.
Adroitement elle les caresse, les fait bien bander. Enfin elle a deux bites à la fois près d’elle. Elle sait que désormais les queues font rester dures jusqu’à la fin qu’elle espère depuis le matin. Pourtant elle en a eu dans son con depuis une bite, une langue d’homme puis de femme. Il lui semble sentir et son con et son cul frémir d’impatience. Elle s’assoit entre les deux hommes, continue à les branler avec amour. Voir les glands brillants l’excite. L’ennui est qu’elle faut choisir pour sucer une queue. Elle se penche pour prendre celle de droite. Le choix est bon : c’est la plus grosse des deux. En ouvrant la bouche Laure pense à toujours branler l’autre sans la faire juter. Ses lèvres gourmandes entourent la pine, la serrent un peu, passe ainsi le repli après le gland, avant de descendre le long de la tige. Elle garde une main sur la base, contrôlant ainsi le flux à venir de sperme. Elle donne aussi ses fesses à son autre amant qui entre deux doigts dans le fondement à son grand plaisir.
Son besoin de pénétration est trop grand, elle arrête de qu’elle fait. Elle enjambe le premier des deux à sa gauche, même s’il est moins bien monté que l’autre, pose ses cuisses sur les autres. Elle se positionne seule sur la bite dure. Elle ferme les yeux pour mieux ressentir le plaisir d’être baiser enfin. Elle remue ses fesses pour être mieux installée sur la queue. Laure n’est pas totalement couchée sur l’amant. Elle se laisse baiser sans bouger elle-même.
L’autre amant vient juste derrière elle, se penche pour poser sa tête sur les fesses. Il sort sa langue à la recherche du l’anus odorant. Il le trouve, le mouille, lentement le lèche. Laure gémit en le sentant. Il entre la langue presque à fond comme si elle l’enculait. Laure jouit une autre fois.
Le deuxième amant se relève, il vient sur elle pour faire ce qu’elle attend. Il entre lentement sa grosse pine dans le cul ouvert par la langue. L’anus s’ouvre lentement, comme obligé. Elle se fait enculer, baiser à la fois. Sa taille participe à la fête en se pliant aux injonctions des deux bites en elle.
Laure se sent petite fille en obéissant sans contrainte aux ordres des deux hommes : se laisser faire en jouissant. Elle arrive à passer ses mains, une sur le ventre et l’autre sur ses fesses. Elle cherche à toucher les queues qui lui font du bien. Le fait de sentir de ses mains ce qui lui fait du bien elle en a encore plus.
Dommage, elle sent les spasmes de la queue qui l’encule. Elle ne sort pas encore. Elle serre le cul pour ne pas libérer le gros membre qui lui fait encore du bien. La queue coulisse hors de l’anus. Laure est obligée de remplacer la queue défaillant par ses doigts. Cette fois elle essaye d’en entrer le plus possible.
Elle se met d’abord l’index, puis le majeur. Ils sont bien en elle. En forçant à peine, elle entre l’annuaire. Il lui en faut encore pour compenser l’absence. Elle essaie avec beaucoup de mal à mettre le pouce. Le sphincter anal s’ouvre enfin : elle s’encule seule. Prise de folie érotique elle jouit en continue. Le sperme de celui qui la baise sort à son tour.
C’est hélas terminé. Son mercredi s’achève sans un dernier orgasme.
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