C'est trop bon Francky
Récit érotique écrit par Acool [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 21 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Acool ont reçu un total de 173 716 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 777 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
C'est trop bon Francky
J'ai connu Franck au sauna au mois de Décembre dernier, nous avions passées quatre heures ensemble dans une cabine. Je l'avais rejoint chez lui quelque jours après. Depuis on correspondait par sms ou mail car on habite à 75 kilomètres l'un de l'autre. Franck à la quarantaine 1métre 70, environ 80 kilos, brun un peu clairsemé, une barbe de trois jours et des yeux très clairs à tomber dedans. Mais alors, le must reste son sexe, énorme un truc le ouf. Il fait au moins 22x5, je kiffe un max et lors de nos deux rencontres, nous avions fait recto verso, car il est actif essentiellement mais accepte d'offrir ses fesses lorsqu'il kiffe le mec et le matos d'en face.
Pour ma part j'ai dix ans de plus, je suis en séparation et n'envisage ma sexualité qu'avec les mecs désormais. Je suis plutôt banal avec un peu d'embonpoint, 1,74 pour 92 kilos , crane dégarni, yeux marrons mais très poilu, actif et passif parfois avec un morceau honorable de 19x5. Dimanche je décide d'aller au sauna et envoie un sms à Franck. Il me réponds qu'il ne sait pas s'il va y aller. Je lui réponds dommage, tu sais que j'aurais bien aimer refaire un plan avec toi. Tant pis me dis-je. J'arrive au sauna. Le mec à l'entrée à la fâcheuse habitude de donner les numéros de casiers dans l'ordre croissant, ce qui fait que si trois ou quatre mecs arrivent à quelques minutes d'intervalle, il leur faut attendre que le mec libère l'emplacement pour pouvoir se désaper. Un mec est rentré en même temps que moi et on en rigole en se déshabillant, nos casiers sont contigus mais on y arrive. Il a la même corpulence que moi et quelques années de moins. Il m'a bien reluqué lorsque j'ai ôté mon boxer et me semble intéressé par ce qui était à l'intérieur. Je file aux toilettes puis à la douche. Je l’aperçoit entrer dans le hammam. J'y file après la douche et m'assoit à la seconde place à gauche. Mon genoux heurte un genoux qui ne bouge pas d'un centimètre. Je vérifie si mon intuition est bonne et laisse ma main tomber sur le coté et effleurer les poils de cuisse de mon voisin. J'ai bien l'impression qu'il s'agit du mec du vestiaire. Je pose donc carrément ma main sur sa cuisse et je sens sa main qui vient se poser sur mon sexe. Pas encore bandé mais il ne reste pas insensible à ces doigts qui le malaxent ouvertement. Plus précisément il me titille le prépuce, et mon gland enfle déjà sous ces palpations. J'ai fait glisser ma main gauche sur sa bite, qu'il avait du déjà branler car le morceau est bien gonflé. Ma main droite attrape son téton gauche pour le faire réagir. Le mec me branle ouvertement maintenant et dans la pénombre je distingue qu'il s'agit bien du mec du vestiaire. J'ai trop envie de sucer et je me positionne à genoux entre ses jambes pour faire partir le bout de ma langue de la base de ses burnes pour remonter sur le gland et l'emprisonner dans ma bouche d'abord juste le gland puis mes lèvres glissent et enfournent son sexe. Je dirais 17x4 environ et le mec bande un max et souffle tellement il semble apprécier la manœuvre de ma bouche, de ma langue gourmande et de mes doigts qui triturent ses burnes. Un mec installé à sa gauche s'est penché et attrape ma bite entre mes jambes pour la malaxer. Quel plaisir. De sa main libre il tâte mon postérieur. Mon sucé ne l'entends pas comme cela et lui vire sa main de mon sexe. Il me veut pour lui tout seul. Il se penche et me dit à l'oreille :
Viens on s'isole
Je lâche ma prise à contrecœur, et me relève. Il se lève et m’emboîte le pas.
On file sous la douche en se paluchant. On se savonne et nous partons vers une cabine libre. Nos lèvres se joignent, alors que nos mains parcourent nos corps réciproquement. Et nos sexes se collent ventre contre ventre, c'est trop bon.
On s'allonge sur la couche et nous roulons pour venir emboucher nos sexes en 69. Ça y est sa bouche vient baiser ma queue ou plutôt le contraire bien que se soit lui qui soit par dessus moi. Je ramène sa queue jusqu'entre ses fesses pour le faire bander un max et la ramener en arrière et ma langue monte et descend lentement . Il aime ça le gaillard et son sexe est pris de soubresauts. En ce qui me concerne j'aime le traitement qu'il m'inflige et les oh, oui, oui oui fusent.
Cela dure un bon moment nos bouches aiment se défouler sur nos sexes.J'ai trop envie de son cul , dans lequel j'ai déjà introduit un puis deux doigts. Il me semble bien réceptif et je pense que mon sexe va aimer s'introduire dans ce fourreau. Je veux ton sexe en moi fini t' il par lâcher.
Ni une, ni deux je me relève, attrape un préservatif que je déroule sur ma queue bien dure et bien droite. Je prends deux sachets de gel lui en tend un et je prend le second pour enduire mon sexe. Et je le fais mettre le corps allongé et les jambes dans le vide qui touchent le sol. J’attrape ses hanches glisse mon gland turgescent et je m'enfonce et il se laisse aller.
oh oui c'est bon, une bonne queue comme ça
Et je commence de petits va et vient qui me permettent de prendre possession de ce boyau. Je m'y sens bien, suffisamment étroit et au fur à mesure que je m'active, je sens mon braquemart gonfler encore, tant il est agréable d'aller et venir. Le moment est venu je tape le fond profondément. Mes burnes cognent contre ses fesses et il glousse. Je me retire entièrement pour me ré enfoncer en lui. Et je baisse les yeux pour savourer de voir ma queue, sortir et ré-entrer en cadence. Il va falloir que je me calme sinon je ne vais pas tarder à décharger à ce rythme. Même si je suis long à venir, parfois l'excitation précipite les choses.
Mais j'ai vraiment envie de donner du plaisir à ce mec. J'ai chopé sa colonne qui à quelque peu débandée mais je la branle en cadence et n'hésite pas à lui triturer les roustons. Et il couine, il aime ce qu'il subit.
Je vais changer de position et me retire , je lui demande de s'allonger sur le dos. J’attrape ses jambes que je relève et je me réintroduit en lui. Et c'est reparti pour de bons coups de pistons. Il respire par à coups car il semble adorer de se faire saillir ainsi. Je me redresse sur mes jambes et remonte son corps et voilà que je me mets sur la pointe des pieds pour l’emboîter à fond.
-oh ...la....la tu me fais jouir du cul, c'est trop bon s'écrit-il.
Le matelas grince, ses soupirs l'accompagnent. Les mecs des cabines à cotés doivent comprendre ce qui se passe.
oui...oui... hou hou... houai. J'aime trop, c'est trop trop bon.
Et il se contorsionne. Comme il est plaisant de donner et de prendre autant de plaisir. Je dé cule et le positionne sur le flanc droit. Je viens me glisser dans son dos . Je lève sa jambe gauche et me réintroduit en lui. Mon sexe a quelque peu dégonflé pendant la manœuvre, mais il ne tarde pas à retrouver de la vigueur.
Par contre j'ai très chaud, il va falloir que je me calme. Mon partenaire du jour me supplie pour que je sorte. Le limage continu, le fait désormais souffrir.
Je m'allonge a coté de lui, il se redresse, m’ôte la capote et reprend mon sexe en bouche. Il part de la base de mes couilles qu'il lèche avec gourmandise, puis les mordille. L'effet est détonnant. Je pousse des soupirs et mordille ma lèvre. Je l'invite à venir en 69 et reprend son sexe en bouche. Et je suce et je gloutonne son gland comme lui peut le faire aussi. C'est trop bon et je sens que mon désir monte. Je le prévient, il retire ses lèvres change de position. J’attrape son sexe et le branle et c'est lui qui gicle le premier. Il pousse un cri de délivrance et expulse cinq à six longs jets crémeux qui tombent sur mon torse. Il m'en faut pas plus , il active toujours sa main sur mon sexe, et je me répand à mon tour. Humm quelle libération. Nos bouches se joignent pour se remercier. Nous restons allongés l'un contre l'autre quelques minutes. Puis nous décidons d'aller à la douche.
Il ouvre la cabine je repositionne ma serviette autour de ma taille, et je sors au moment ou je croise un regard. Il me semble qu'il s'agit de Franck. Il me regarde sortir avec le mec. Va jusqu'au bout du couloir et revient. Je me dirige aux douches. Il passe devant les douches. Oui j'en suis certain c'est Franck. Je le vois entrer dans le sauna. Je décide de le suivre après ma douche. Je rentre il est assis face à l'entrée et viens me positionner à sa droite. Il me regarde. Je lui dit ça va et pose un bisou sur ses lèvres. J'imagine déjà son sexe et ma main gauche se pose sur sa cuisse par dessus la serviette. Il ne réagit pas. Je baisse ma main pour caresser la peau velue de ses jambes et mes doigts se frayent un chemin sous la serviette. Je suis électrisé. Je touche sa queue volumineuse. Il me dit viens, ne voulant pas se donner en spectacle dans le sauna. Je le suis, nous entrons dans une cabine avec deux matelas plastifiés sur le sol. Un énorme bidon de chantier, un éclairage tamisé et des filets militaires sur les murs. Nos bouches se soudent en un langoureux baiser, un peu bestial néanmoins. Notre désir est éclatant. Sa main à déjà empoignée ma tige qui a repris de belles proportions. Je fait de même, et lui titille les pointes des seins. C'est son truc, je m'en souviens. Et il pousse des soupirs. Nous nous positionnons à genoux, l'un face à l'autre. Sa position préférée. Nous nous sommes vu que deux fois mais nous avons fait ensemble des choses extraordinaires. Franck veut et sait faire monter le désir. Je baisse ma tête et vient emboucher son sexe. Et là il râle, son
plaisir monte. Je sais comment m'y prendre. Ma bouche se tord pour entrer son sexe entièrement dedans, et je monte et descend pour le faire plonger lentement dans ma gorge. Il pousse de petits soupirs et des han....han …. ouai..ai...ai
Il l'aime ma bouche et il vient de me le dire entre deux roucoulades.
Putain c'est bon. Tu suces divinement bien.
Il ne m'en faut pas davantage pour m'encourager. Je redouble, et change de tactique. Je mordille sa queue sur chaque coté pour venir faire échouer le gland contre ma langue et mon palais. Les bruits de succions redoublent. Un vrai délice cette queue. Je ne m'en lasse pas, de ce gros mandrin qui finira dans mon postérieur. Et cela me fait redoubler d'excitation. Mélange d'appréhension et de désir inconscient. Il me la faut cette queue. Je me redresse et Franck m'invite à m'allonger. Nous inversons les rôles. Il vient à son tour me faire une gâterie. Sa langue enserre mon gland et tourne autour. Il dé bouche de temps à autre pour mieux la reprendre en fond de gorge. Et là c'est moi qui exprime des onomatopées.
Oh la la Franck, c'est le must, c'est trop bon.
Nous reprenons plusieurs fois la position d'origine genoux écartés l'un face à l'autre. Nos bouches se rejoignant en des pelles magistrales et passionnées. Mes dents emprisonnent sa langue, et nos langues se mêlent. Je caresse sa nuque pendant que lui me lustre le sexe de sa main. Nous sommes en osmose complète. Nos corps s'abandonnent, comme si le temps était suspendu. Et mes doigts partent titiller sa rondelle. Il s'allonge et ma langue se fraye un passage entre son fessier. Ce petit cul poilu, je me mets à le dévorer et ma langue tente de se frayer un chemin. Il couine Franck. Cela semble le ravir. Son œillet peine à s'ouvrir. J’attrape du gel et des capotes et j'enduis son postérieur.
Oui baises moi me souffle t-il plein de désir.
Malgré mes efforts avec ma langue puis mes doigts et le gel. Mon sexe butte et n'arrive pas à rentrer. Il est trop serré. Même si je l'avais pénétré les deux fois précédentes. Aujourd'hui, rien n'y fera, il me confirme que cela fait pas mal de temps qu'il ne s'est fait prendre. C'est vrai que lui est du genre marteau piqueur et qu'il kiffe prendre plutôt qu’être pris. Je suis un peu déçu mais malgré toutes mes tentatives mon sexe se rétracte. A nouveau on inverse les positions. J'ai trop envie de le sentir en moi, malgré mon inquiétude. Il me positionne en levrette, j'enduis ma fente, lui fais le même geste sur la capote. Et je sens ses genoux se positionner entre mon postérieur. Et son gland s'insinue lentement. Je respire un grand coup et pousse. Et là c'est l'extase, sa bite écarte mes chairs, je ne sens que cela. Car pour l'instant il s'introduit en douceur jusqu'à la moitié. Il s’arrête quelques secondes, puis une seconde onde puissante se fait ressentir. Il me pénètre entièrement. Les deux premières fois il n'était pas aller jusqu'à la garde.
Il est trop bon ton cul me lance t' il en entamant des va et vient.
Oui baises moi Franck, oh oh elle est trop bonne ta queue.
Il me pistonne en cadence et me demande soudain de me mettre debout contre l'énorme bidon métallique qui est sur le coté de la cabine. J'écarte les jambes, et il se repositionne en attrapant mes hanches
-Yes c'est génial, que j'aime te sentir en moi. Tu es un bon limeur.
Et il redouble de puissance pour venir cogner ses testicules contre mes fesses. Et moi je passe mes mains autour de ses cuisses pour qu'il continue. J'emprisonne ses jambes pour qu'il reste soudé à moi. Tout ce que je ressens est extraordinaire. Son démonte pneu est génial. Il me fait trop de bien. Et je pousse des soupirs et je crie maintenant son prénom sans m'en rendre compte. Je sens son souffle court dans mon cou. Le souffle du mâle en rut. Il adore ce qu'il me fait subir. D' ailleurs il vient de me dire.
J'adore ton cul étroit, je suis trop bien dedans.
Dans ma tête j'ai fortement envie qu'il me prenne en missionnaire pour sentir son poids sur mon corps. Je pense qu'il y a transmission de pensée car soudain il se retire et me demande de me rallonger. Je lui en fait part et remonte mes jambes sur ses épaules. Et il se réintroduit dans mon antre. Ce n'est que du bonheur. Aucune douleur, que du plaisir, de sentir son barreau de chair coulisser en moi. Ses coups de hanches sont pourtant puissants et bestiaux. Mais que c'est bon. Son poids m'écrase mais nos bouches se soudent. C'est génial. Il pousse autant de soupirs que moi. Je ne sais combien de temps et de va et vient j'ai subi. Mais je suis transporté, le temps s'est arrêté. Soudain il se retire, je réagit au quart de tour, il ôte la capote, je me penche vers lui. Sa main branle son manche et moi je tire la langue machinalement. Je sens qu'il va jouir. Et soudain quatre longs jets crémeux tapissent mon torse. Ma bouche revient sur son sexe pour en mordiller les cotés, et nous nous allongeons cote à cote, bouche contre bouche, enfin repu.
Je lui dit qu'il va falloir que je rentre. Il me dit déjà, car le temps a passé trop vite et pourtant cela fait bien une heure trente que nous sommes ensemble. J'ai pris trop de plaisir que nous avons partagé. Franck est un insatiable baiseur et vous comprenez pourquoi j'avais tant envie de le revoir. De toutes façons j'ai son phone, donc je pense que nous nous reverrons.
Pour ma part j'ai dix ans de plus, je suis en séparation et n'envisage ma sexualité qu'avec les mecs désormais. Je suis plutôt banal avec un peu d'embonpoint, 1,74 pour 92 kilos , crane dégarni, yeux marrons mais très poilu, actif et passif parfois avec un morceau honorable de 19x5. Dimanche je décide d'aller au sauna et envoie un sms à Franck. Il me réponds qu'il ne sait pas s'il va y aller. Je lui réponds dommage, tu sais que j'aurais bien aimer refaire un plan avec toi. Tant pis me dis-je. J'arrive au sauna. Le mec à l'entrée à la fâcheuse habitude de donner les numéros de casiers dans l'ordre croissant, ce qui fait que si trois ou quatre mecs arrivent à quelques minutes d'intervalle, il leur faut attendre que le mec libère l'emplacement pour pouvoir se désaper. Un mec est rentré en même temps que moi et on en rigole en se déshabillant, nos casiers sont contigus mais on y arrive. Il a la même corpulence que moi et quelques années de moins. Il m'a bien reluqué lorsque j'ai ôté mon boxer et me semble intéressé par ce qui était à l'intérieur. Je file aux toilettes puis à la douche. Je l’aperçoit entrer dans le hammam. J'y file après la douche et m'assoit à la seconde place à gauche. Mon genoux heurte un genoux qui ne bouge pas d'un centimètre. Je vérifie si mon intuition est bonne et laisse ma main tomber sur le coté et effleurer les poils de cuisse de mon voisin. J'ai bien l'impression qu'il s'agit du mec du vestiaire. Je pose donc carrément ma main sur sa cuisse et je sens sa main qui vient se poser sur mon sexe. Pas encore bandé mais il ne reste pas insensible à ces doigts qui le malaxent ouvertement. Plus précisément il me titille le prépuce, et mon gland enfle déjà sous ces palpations. J'ai fait glisser ma main gauche sur sa bite, qu'il avait du déjà branler car le morceau est bien gonflé. Ma main droite attrape son téton gauche pour le faire réagir. Le mec me branle ouvertement maintenant et dans la pénombre je distingue qu'il s'agit bien du mec du vestiaire. J'ai trop envie de sucer et je me positionne à genoux entre ses jambes pour faire partir le bout de ma langue de la base de ses burnes pour remonter sur le gland et l'emprisonner dans ma bouche d'abord juste le gland puis mes lèvres glissent et enfournent son sexe. Je dirais 17x4 environ et le mec bande un max et souffle tellement il semble apprécier la manœuvre de ma bouche, de ma langue gourmande et de mes doigts qui triturent ses burnes. Un mec installé à sa gauche s'est penché et attrape ma bite entre mes jambes pour la malaxer. Quel plaisir. De sa main libre il tâte mon postérieur. Mon sucé ne l'entends pas comme cela et lui vire sa main de mon sexe. Il me veut pour lui tout seul. Il se penche et me dit à l'oreille :
Viens on s'isole
Je lâche ma prise à contrecœur, et me relève. Il se lève et m’emboîte le pas.
On file sous la douche en se paluchant. On se savonne et nous partons vers une cabine libre. Nos lèvres se joignent, alors que nos mains parcourent nos corps réciproquement. Et nos sexes se collent ventre contre ventre, c'est trop bon.
On s'allonge sur la couche et nous roulons pour venir emboucher nos sexes en 69. Ça y est sa bouche vient baiser ma queue ou plutôt le contraire bien que se soit lui qui soit par dessus moi. Je ramène sa queue jusqu'entre ses fesses pour le faire bander un max et la ramener en arrière et ma langue monte et descend lentement . Il aime ça le gaillard et son sexe est pris de soubresauts. En ce qui me concerne j'aime le traitement qu'il m'inflige et les oh, oui, oui oui fusent.
Cela dure un bon moment nos bouches aiment se défouler sur nos sexes.J'ai trop envie de son cul , dans lequel j'ai déjà introduit un puis deux doigts. Il me semble bien réceptif et je pense que mon sexe va aimer s'introduire dans ce fourreau. Je veux ton sexe en moi fini t' il par lâcher.
Ni une, ni deux je me relève, attrape un préservatif que je déroule sur ma queue bien dure et bien droite. Je prends deux sachets de gel lui en tend un et je prend le second pour enduire mon sexe. Et je le fais mettre le corps allongé et les jambes dans le vide qui touchent le sol. J’attrape ses hanches glisse mon gland turgescent et je m'enfonce et il se laisse aller.
oh oui c'est bon, une bonne queue comme ça
Et je commence de petits va et vient qui me permettent de prendre possession de ce boyau. Je m'y sens bien, suffisamment étroit et au fur à mesure que je m'active, je sens mon braquemart gonfler encore, tant il est agréable d'aller et venir. Le moment est venu je tape le fond profondément. Mes burnes cognent contre ses fesses et il glousse. Je me retire entièrement pour me ré enfoncer en lui. Et je baisse les yeux pour savourer de voir ma queue, sortir et ré-entrer en cadence. Il va falloir que je me calme sinon je ne vais pas tarder à décharger à ce rythme. Même si je suis long à venir, parfois l'excitation précipite les choses.
Mais j'ai vraiment envie de donner du plaisir à ce mec. J'ai chopé sa colonne qui à quelque peu débandée mais je la branle en cadence et n'hésite pas à lui triturer les roustons. Et il couine, il aime ce qu'il subit.
Je vais changer de position et me retire , je lui demande de s'allonger sur le dos. J’attrape ses jambes que je relève et je me réintroduit en lui. Et c'est reparti pour de bons coups de pistons. Il respire par à coups car il semble adorer de se faire saillir ainsi. Je me redresse sur mes jambes et remonte son corps et voilà que je me mets sur la pointe des pieds pour l’emboîter à fond.
-oh ...la....la tu me fais jouir du cul, c'est trop bon s'écrit-il.
Le matelas grince, ses soupirs l'accompagnent. Les mecs des cabines à cotés doivent comprendre ce qui se passe.
oui...oui... hou hou... houai. J'aime trop, c'est trop trop bon.
Et il se contorsionne. Comme il est plaisant de donner et de prendre autant de plaisir. Je dé cule et le positionne sur le flanc droit. Je viens me glisser dans son dos . Je lève sa jambe gauche et me réintroduit en lui. Mon sexe a quelque peu dégonflé pendant la manœuvre, mais il ne tarde pas à retrouver de la vigueur.
Par contre j'ai très chaud, il va falloir que je me calme. Mon partenaire du jour me supplie pour que je sorte. Le limage continu, le fait désormais souffrir.
Je m'allonge a coté de lui, il se redresse, m’ôte la capote et reprend mon sexe en bouche. Il part de la base de mes couilles qu'il lèche avec gourmandise, puis les mordille. L'effet est détonnant. Je pousse des soupirs et mordille ma lèvre. Je l'invite à venir en 69 et reprend son sexe en bouche. Et je suce et je gloutonne son gland comme lui peut le faire aussi. C'est trop bon et je sens que mon désir monte. Je le prévient, il retire ses lèvres change de position. J’attrape son sexe et le branle et c'est lui qui gicle le premier. Il pousse un cri de délivrance et expulse cinq à six longs jets crémeux qui tombent sur mon torse. Il m'en faut pas plus , il active toujours sa main sur mon sexe, et je me répand à mon tour. Humm quelle libération. Nos bouches se joignent pour se remercier. Nous restons allongés l'un contre l'autre quelques minutes. Puis nous décidons d'aller à la douche.
Il ouvre la cabine je repositionne ma serviette autour de ma taille, et je sors au moment ou je croise un regard. Il me semble qu'il s'agit de Franck. Il me regarde sortir avec le mec. Va jusqu'au bout du couloir et revient. Je me dirige aux douches. Il passe devant les douches. Oui j'en suis certain c'est Franck. Je le vois entrer dans le sauna. Je décide de le suivre après ma douche. Je rentre il est assis face à l'entrée et viens me positionner à sa droite. Il me regarde. Je lui dit ça va et pose un bisou sur ses lèvres. J'imagine déjà son sexe et ma main gauche se pose sur sa cuisse par dessus la serviette. Il ne réagit pas. Je baisse ma main pour caresser la peau velue de ses jambes et mes doigts se frayent un chemin sous la serviette. Je suis électrisé. Je touche sa queue volumineuse. Il me dit viens, ne voulant pas se donner en spectacle dans le sauna. Je le suis, nous entrons dans une cabine avec deux matelas plastifiés sur le sol. Un énorme bidon de chantier, un éclairage tamisé et des filets militaires sur les murs. Nos bouches se soudent en un langoureux baiser, un peu bestial néanmoins. Notre désir est éclatant. Sa main à déjà empoignée ma tige qui a repris de belles proportions. Je fait de même, et lui titille les pointes des seins. C'est son truc, je m'en souviens. Et il pousse des soupirs. Nous nous positionnons à genoux, l'un face à l'autre. Sa position préférée. Nous nous sommes vu que deux fois mais nous avons fait ensemble des choses extraordinaires. Franck veut et sait faire monter le désir. Je baisse ma tête et vient emboucher son sexe. Et là il râle, son
plaisir monte. Je sais comment m'y prendre. Ma bouche se tord pour entrer son sexe entièrement dedans, et je monte et descend pour le faire plonger lentement dans ma gorge. Il pousse de petits soupirs et des han....han …. ouai..ai...ai
Il l'aime ma bouche et il vient de me le dire entre deux roucoulades.
Putain c'est bon. Tu suces divinement bien.
Il ne m'en faut pas davantage pour m'encourager. Je redouble, et change de tactique. Je mordille sa queue sur chaque coté pour venir faire échouer le gland contre ma langue et mon palais. Les bruits de succions redoublent. Un vrai délice cette queue. Je ne m'en lasse pas, de ce gros mandrin qui finira dans mon postérieur. Et cela me fait redoubler d'excitation. Mélange d'appréhension et de désir inconscient. Il me la faut cette queue. Je me redresse et Franck m'invite à m'allonger. Nous inversons les rôles. Il vient à son tour me faire une gâterie. Sa langue enserre mon gland et tourne autour. Il dé bouche de temps à autre pour mieux la reprendre en fond de gorge. Et là c'est moi qui exprime des onomatopées.
Oh la la Franck, c'est le must, c'est trop bon.
Nous reprenons plusieurs fois la position d'origine genoux écartés l'un face à l'autre. Nos bouches se rejoignant en des pelles magistrales et passionnées. Mes dents emprisonnent sa langue, et nos langues se mêlent. Je caresse sa nuque pendant que lui me lustre le sexe de sa main. Nous sommes en osmose complète. Nos corps s'abandonnent, comme si le temps était suspendu. Et mes doigts partent titiller sa rondelle. Il s'allonge et ma langue se fraye un passage entre son fessier. Ce petit cul poilu, je me mets à le dévorer et ma langue tente de se frayer un chemin. Il couine Franck. Cela semble le ravir. Son œillet peine à s'ouvrir. J’attrape du gel et des capotes et j'enduis son postérieur.
Oui baises moi me souffle t-il plein de désir.
Malgré mes efforts avec ma langue puis mes doigts et le gel. Mon sexe butte et n'arrive pas à rentrer. Il est trop serré. Même si je l'avais pénétré les deux fois précédentes. Aujourd'hui, rien n'y fera, il me confirme que cela fait pas mal de temps qu'il ne s'est fait prendre. C'est vrai que lui est du genre marteau piqueur et qu'il kiffe prendre plutôt qu’être pris. Je suis un peu déçu mais malgré toutes mes tentatives mon sexe se rétracte. A nouveau on inverse les positions. J'ai trop envie de le sentir en moi, malgré mon inquiétude. Il me positionne en levrette, j'enduis ma fente, lui fais le même geste sur la capote. Et je sens ses genoux se positionner entre mon postérieur. Et son gland s'insinue lentement. Je respire un grand coup et pousse. Et là c'est l'extase, sa bite écarte mes chairs, je ne sens que cela. Car pour l'instant il s'introduit en douceur jusqu'à la moitié. Il s’arrête quelques secondes, puis une seconde onde puissante se fait ressentir. Il me pénètre entièrement. Les deux premières fois il n'était pas aller jusqu'à la garde.
Il est trop bon ton cul me lance t' il en entamant des va et vient.
Oui baises moi Franck, oh oh elle est trop bonne ta queue.
Il me pistonne en cadence et me demande soudain de me mettre debout contre l'énorme bidon métallique qui est sur le coté de la cabine. J'écarte les jambes, et il se repositionne en attrapant mes hanches
-Yes c'est génial, que j'aime te sentir en moi. Tu es un bon limeur.
Et il redouble de puissance pour venir cogner ses testicules contre mes fesses. Et moi je passe mes mains autour de ses cuisses pour qu'il continue. J'emprisonne ses jambes pour qu'il reste soudé à moi. Tout ce que je ressens est extraordinaire. Son démonte pneu est génial. Il me fait trop de bien. Et je pousse des soupirs et je crie maintenant son prénom sans m'en rendre compte. Je sens son souffle court dans mon cou. Le souffle du mâle en rut. Il adore ce qu'il me fait subir. D' ailleurs il vient de me dire.
J'adore ton cul étroit, je suis trop bien dedans.
Dans ma tête j'ai fortement envie qu'il me prenne en missionnaire pour sentir son poids sur mon corps. Je pense qu'il y a transmission de pensée car soudain il se retire et me demande de me rallonger. Je lui en fait part et remonte mes jambes sur ses épaules. Et il se réintroduit dans mon antre. Ce n'est que du bonheur. Aucune douleur, que du plaisir, de sentir son barreau de chair coulisser en moi. Ses coups de hanches sont pourtant puissants et bestiaux. Mais que c'est bon. Son poids m'écrase mais nos bouches se soudent. C'est génial. Il pousse autant de soupirs que moi. Je ne sais combien de temps et de va et vient j'ai subi. Mais je suis transporté, le temps s'est arrêté. Soudain il se retire, je réagit au quart de tour, il ôte la capote, je me penche vers lui. Sa main branle son manche et moi je tire la langue machinalement. Je sens qu'il va jouir. Et soudain quatre longs jets crémeux tapissent mon torse. Ma bouche revient sur son sexe pour en mordiller les cotés, et nous nous allongeons cote à cote, bouche contre bouche, enfin repu.
Je lui dit qu'il va falloir que je rentre. Il me dit déjà, car le temps a passé trop vite et pourtant cela fait bien une heure trente que nous sommes ensemble. J'ai pris trop de plaisir que nous avons partagé. Franck est un insatiable baiseur et vous comprenez pourquoi j'avais tant envie de le revoir. De toutes façons j'ai son phone, donc je pense que nous nous reverrons.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Acool
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il est où ce sauna ???? Quelle belle après-midi tu as passée ! Toutes les histoires que tu racontes sont super bandantes, j'adore les lire.
A bientôt j'espère.
A bientôt j'espère.
Je viens de relire pour la 2e fois ton histoire , toujours aussi excitante . Je m'imagine participer a vos ébats et je mouille mon boxer . Continus a nous raconter tes exploits , j'attend avec impatience la prochaine !!!!