SUR LE SLING

- Par l'auteur HDS Acool -
Récit érotique écrit par Acool [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SUR LE SLING Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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SUR LE SLING
Expérimenter des choses parfois inouïes. Depuis un an je suis ouvertement gay, après des années de mariage, ou j'ai refoulé au plus profond de moi. J'ai osé annoncer à ma femme que je partais pour vivre ma sexualité. Elle m'a dit pervers, obsédé par le sexe, ne penser qu'à mon plaisir, aller à ma perte pour le cul. J'ai tout entendu. Mais j'ai foncé. Malgré ma cinquantaine vers des expériences de plus en plus insensées.

Actif j'étais et je pensais rester. Et bien non j'ai voulu franchir le pas, et je ne le regrette pas. Je m'amuse deux fois plus. Au pieux je faisais l'amour pépère à ma femme. Aujourd'hui je m'éclate dans des parties de jambes en l'air interminables et jouissives au possible. Et je rattrape le temps perdu et tout ce que je n'ai pas exploré dans ma jeunesse. J'adore limer et faire couiner un mec. Et je peux vous dire que je m'éclate avec des mecs de tout age. Les minets ce n'est pas mon truc. Bien que j'avoue avoir vécus au sauna de bons moments avec deux ou trois. Mais souvent ils ne savent pas ce qu'ils veulent, ou du moins ils accordent une importance capitale à la sculpture du corps. Moi ce qui m’intéresse, soyons francs, c'est leur petit cul. Leur petite gueule d'amour n'a pas d'importance. Je recherche du consommable, pas du mec qui ne sait pas ce qu'il veut. Et souvent dans les annonces sur internet on les sent compliqués. C'est une constatation. Les mecs mariés bi , par contre savent ce qu'ils veulent.

Passer un bon moment et un bon échange viril dans une cabine. Pas de question, pas de blabla, de l'action. Et moi j'avoue que c'est ce que je recherche, car je ne suis pas un Apollon. Je suis style bear poilu du torse et du dos, et je m'aime naturel. Juste le sexe rasé. J'ai 50 174 95 kilos, donc un peu d’embonpoint. On m'a toujours dit qu'il valait mieux faire envie que pitié. Donc je ne suis pas complexé. Crane dégarni, donc je ne suis pas dans les critères de la beauté. Par contre j'avoue que mon sexe joue beaucoup en ma faveur. 20 x5 bien ferme et vigoureux et très endurant de surcroît. Les mecs que je rencontre me relancent toujours , ils aiment mon calibre qui les fait vibrer. De ce fait j'ai une quinzaine d'amants irréguliers, que je revois au gré de nos envies respectives et de nos emplois du temps. Et puis j'aime en rencontrer de nouveaux. Par ce que c'est toujours différent. On vit un moment unique à chaque fois, c'est ça qui est top. Pas le temps de s'ennuyer.

J'ai un faible néanmoins pour les mecs de 28 à 45 ans. Ils sont ouverts et parmi les bi mariés ou en couple que je vois, il y en a plusieurs qui s'offrent intégralement. Je les initie comme j'ai envie. Pour moi que du soft, pas de violence, ni d'actes crades. De la volupté et du plaisir. Des caresses et des coups de reins. Le décor est planté et résume bien la période actuelle de ma vie.

Voila quinze jours je suis allé au sauna dans une ville de province auprès de laquelle j'habite: Orléans. J'adore l'ambiance, je m'y sens bien. Les patrons sont sympas et le climat est sain. En ce lundi aprem il n'y a pas foule. Quelques échanges manuels dans le hammam. Cela commence tout doux mais j'avais un rendez-vous avec Rémi et il n'est pas là. Il a du avoir un contretemps.
Il n'y a pas beaucoup de monde et je fais le tour des couloirs puis me réfugie dans la backroom du fond. Je suis debout seul dans le noir et j'attends. Oh je n'attends pas très longtemps puisque je distingue une silhouette dans l'obscurité.
Le mec m'a capté et il arrive vers moi. Sa main se fait baladeuse, elle se fixe par dessus la serviette qui cache mon anatomie. La réaction est quasi immédiate puisque je bandais à demi en attendant. Dans ce type d'endroit on est toujours à l’affût, et les chuintements qui proviennent de l'écran qui diffuse un film de boules dans la cabine à proximité, ne font qu'amplifier le phénomène. La main trouve le passage pour accéder directement à mon sexe en écartant les pans de la serviette. De mon coté, j'aime palper et ma main droite s'est avancée pour découvrir ce que mon visiteur dissimule. J'entre en contact direct avec une queue fort bandée. La serviette entoure son cou. Je peux constater que c'est du lourd. Bon matos un gland énorme sur une queue large enserrée à la base d'un cookring métallique. Putain cette queue est maousse. Je la branle avec vigueur alors que mon partenaire fait de même sur mon engin. Il semble satisfait de ce qu'il paluche. Mon 20x5 semble le ravir. Je n'ai toujours pas vu qui j'avais en face de moi. Il me semble pas très bien assuré, par ses gestes, mais c'est tout. Je distingue les contours d'un visage rond. 1,70 pour 85 kilos je dirais et sa bite qui fait 18x6 au moins. Il me dit: «viens on s'isole». Je réponds ok et le suis. Nous sortons de la pénombre pour entrer dans la première cabine. Celle dans laquelle il y a l'écran et qui ressemble à une cellule avec une porte avec barreaux style cachot et dans laquelle un sling est suspendu au plafond.

Je fais face au mec dans la lumière de l'écran et j'avoue être un peu décontenancé. Pour moi il a pas loin de 70 ans si toutefois il ne les a pas. Sa bite est énorme en calibre et c'est ce qui fait que je suis scotché.
«Baises moi» me dit-il.
Il est déjà dans le sling et me présente son trou. Et moi qui bandait à fond, je débande au moment ou j'enfile la capote. Ma tête refuse, il n'est pas à mon goût. J'ai jamais fait ça avec un mec âgé comme lui. Ce n'est pas possible.

Il se redresse et comprends la situation et me propose d'inverser les rôles. «Tu veux ma queue, c'est ça?»«Je ne sais pas, ta bite est énorme , j'ai jamais pris un tel calibre»«Tu verras je sais y faire, tu vas aimé salope» me balance t'il.
Je n'ai jamais été sur un sling et la situation commence à me titiller. De plus sa bite n'y est pas étrangère. Je grimpe sur l'assise de cuir en attrapant les chaînes qui la maintienne suspendue. Le bruit du métal provoque un électrochoc dans mon cerveau. J'ai déjà baisés des mecs sur le sling et le bruit des chaînes lorsque le corps se balance pour venir buter sur la queue a quelque chose de particulier. Attraper les chaînes pour faire aller et venir un cul pour le limer est quelque chose d'unique. J'en suis là dans mes pensées que me voilà déjà installé en faisant face à mon futur baiseur et sa grosse teub. Sur laquelle il positionne un préservatif. J'ai relevées mes jambes chacune le long d'une chaîne. Je lui demande de me mettre du gel et j'attends fébrile. A ce moment là je me sens vraiment salope et prêt à tout pour me prendre ce gourdin. Après avoir enduit mon derrière, le mec s'approche tout doucement de mon trou. Je sens le large gland prêt à entrer. Il maintient sa queue d'une main et tire les chaînes de l'autre pour venir me positionner comme il le souhaite.Je pousse au moment ou il me pénètre. Il entre centimètre par centimètre. Je suis surpris, je ne ressens pas de douleur alors que je m'imaginais qu'il allait me déchirer.
Que du plaisir une chaleur intérieure m’envahis. Mais comme c'est bon. Et le voilà qu'il commence à me balancer pour aller et venir en moi.
«C'est bon , ma salope, tu l'aimes ma bite? Elle te fait de l'effet»Ce que je ressens est trop bon. Jamais je n'aurais cru qu'un tel engin m'apporte que du bonheur. Ce type me lime en douceur et en profondeur, sans rien brusquer, et je vois sa queue qui entre et ressort. Et je me mets à couiner tellement j'aime le sentir me pénétrer comme ça.
«Vas y, fais entendre à tout le monde que tu prends ton pieds, en tout cas ton cul est bien serré et j'adore le fourrer»Et le cadencement continu, comme ça de longue minutes. Du pur bonheur, je lui dit de gicler, de se finir. Je le sens maintenant vaciller et il vient s'allonger sur moi dans un rauque qui me laisse deviner que c'est l'assaut final. Il donne deux, trois coup de reins, puis reste quelques secondes sur moi. Le bruit des chaînes a cessé , puisque je ne me balance plus.
«Tu m'as vidées les couilles, c'était trop bon, je pensais pas jouir si vite aujourd'hui» me lâche t-il au moment ou il se redresse. Il me semble sonné. Moi je sens mon trou se libérer et se relâcher. Sans douleur quelconque. J’attrape deux chaînes et me redresse pour descendre de cette assise de fortune. Je n'ai qu'un regret: que la porte ne soit pas restée ouverte pour qu'un mec soit venu se faire sucer pendant que je me faisais sodomiser. Peut être une autre fois, qui sait?

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