Pétages de fions

- Par l'auteur HDS Acool -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Pétages de fions Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pétages de fions
J'ai trop envie! Je passe une annonce sur une messagerie, car il faut que je fasse un plan ce soir. Cela fait trois jours que je n'ai rien fait, c'en est trop, il me faut exorciser. Peut importe l'échange, je suis actif et passif, plus le premier que le second. Je n'ai aucun critère physique. Seul un age maximum de 55 ans et un critère sur l'hygiène du partenaire. En ce milieu d'aprem je reçois des messages. Il faut faire le tri entre les mythos, ceux qui veulent une photo de l'instrument, les curieux. C'est un véritable sport, mais on les débusque facilement. Un mec de 50 ans me dit être intéressé pour ce soir. Il se défile une heure plus tard. Et reviens à la charge vers 19 heures.

Nous convenons d'un rendez-vous. Discrétion complète me dit il. Pas de question, pas de coup à boire, de l'obscurité pour préserver son anonymat. Voila ses conditions. Je le reçois comme prévu. Il passe dans la salle de bain. On se retrouve dans la chambre en boxer et nous nous palpons au travers du maigre rempart de tissu. Il porte une barbe poivre et sel, mince 1,75, des cuisses et un torse bien poilus. Sa queue est relativement mince. 16 pour 3 environ. Il a plongé la main le premier dans mon sous-vêtement, pour en extirper une queue lourde et épaisse de 19 sur 5, qui semble le ravir, au vu de l’enthousiasme qu'il exprime pour la porter à sa bouche, et lui prodiguer des bienfaits.
Sa langue tourne autour de mon vit, avant d'enfoncer au plus profond de sa gorge ma queue bien déployée. Il aspire en douceur, puis fait des va et vient avec sa bouche. Sa main droite soupèse mes testicules, et son pouce et son index entourent la base de ma bite. De mon coté je caresse sa colonne vertébrale pour atteindre le point névralgique qui m’intéresse. Son petit cul bien fin que je commence par caresser. Il fait le dos rond pour me montrer qu'il est demandeur. J'écarte ses deux lobes pour bien les séparer. Et je saisie chaque quartier dans une main, pour bien les palper.

Je promène mes doigts dans le sillon. Putain ce mec mouille grave. Mon index s'introduit à merveille. Une bonne chienne qui veut de la bite, et qui va la prendre. Pas nécessaire d'attendre davantage. Je le pousse sur le matelas, sur le dos. C'est en missionnaire que je vais le prendre. Le temps d'enfiler mon sésame (la capote indispensable, et un peu de gel pour le confort de la glisse).
Je présente mon gland turgescent dans son sillon. Je maintiens ses jambes relevées. Je suis debout sur le bord du lit. Et je m'enfonce en douceur. Une petite salope qui aime se faire enfiler, tant l'avancée est facile. Bizarrement il me semble étroit, mais je suis bien dedans. Rien n'entame ma progression. Arrivé aux trois quarts de ma longueur. Je stoppe quelques secondes et entame des vas et vient chaloupés. Et mon quinqua commence à souffler et a exprimer son contentement. J’accélère la cadence en le pénétrant désormais sans vergogne. Je lui casse le cul. Et il aime. Il glousse. Je me retire et le positionne désormais sur le flanc droit. Et je rentre fougueusement pour reprendre mon cadencement.
Tu aimes ça ...hein, te faire défoncer la rondelle?…... Dis
Oui ….han.... oui ...c'est trop bon
T'aimes sentir une grosse queue dans ta chatte?
Ouai … j'aime ça.....
Elle est bonne hein celle là?
oh...Oh oui trop bonne, baises moi bien.
Je relève sa jambe gauche un maximum en lui parlant. Et il se tortille davantage. Je ne sais combien de vas et vient je peux faire ainsi. A des vitesses différentes. Je m'enfonce au maximum. Je tape le fond de son trou, et il glousse.
Mets toi en levrette lui dis-je alors
Il change à nouveau de position et me présente son postérieur. Je suis toujours debout au bord du lit. Je monte une jambe pliée sur le matelas, et je le bourre puissamment. Après la jambe droite se sera la jambe gauche. Puis je m'accroupis sur le rebord du lit et je le bourre à une cadence infernale.
Je vais.....
Il n'a pas le temps de finir sa phrase. Je le sens se contracter et s'en suit une plainte de plaisir et de fureur. Il se répand sur le lit. Cela m'excite davantage et dans mes cinq, six coups de reins plus vigoureux, je largue la sauce à mon tour. Et je pousse aussi un râle de soulagement. J'ai expulsé tout mon plaisir. Je me retire. Il part très vite à la salle d'eau. A peine le temps de le voir réapparaître qu'il a déjà disparu derrière la porte. Salut.

J'ai entendu mon tel vibrer et je consulte mes messages. Je vois le numéro d'un de mes amants familiers. Je lis le message: Salut, trop envie de te voir, es tu dispo? Je réponds et il m'invite à le retrouver dans une chambre d’hôtel.
C'est Greg, je vous ai déjà parlé de lui. Il a 29 ans ex-basketteur un bon mètre quatre vingt cinq pour 80 kilos. Cheveux court et yeux clairs. Il se dit hétéro, mais aime sucer et se faire prendre, en souvenir d'un bon copain de basket avec qui il a découvert la bisexualité. Son pseudo est : veux de la queue, c'est un suceur hors pair. La première fois que nous nous sommes retrouvés à l’hôtel, nous avions fait un long plan douche. Le courant était très bien passé. Et depuis nous nous étions revu. Il fantasmait sur ma queue, et j'ai fini par le prendre. Mais c'est lui et lui seul qui mène la cadence. Il s'empale en douceur. Par contre une fois le passage fait, c'est une furie qui se lime comme un dingue sur mon vit.

Lors de, notre dernière rencontre il m'avait fait découvrir la fellation bouche chaude et bouche froide. Une tuerie, pour tous ceux qui n'ont jamais reçues de telles caresses buccales. Il buvait une boisson chaude et faisait pénétrer mon sexe dans sa bouche, puis prenait une eau fraîche en bouche et y introduisait à nouveau mon sexe. Dément, bandant au possible. Je repense justement à ces moments lorsque j'entre dans l’hôtel. J'ai précédemment consulté son dernier message: Chambre 115. La douche est toute petite, j'ai pris la mienne. Prends la tienne et viens me retrouver sur le lit. La porte est ouverte tu entres.

Me voilà justement devant la 115. La porte est entre-ouverte. Je me glisse dans l’obscurité de la chambre éclairée par la télé. La porte de la salle de bain est ouverte. Je connais bien les lieux. C'est l’hôtel ou nous nous sommes retrouvés plusieurs fois. D'habitude il demande la 22 car elle est équipée pour les handicapés avec une douche bien plus grande. Là elle devait être occupée. Car Greg vit encore chez ses parents. De temps en temps il vit avec une nana. Je me déshabille dans le couloir et je l'aperçois nu sur le lit. Je m'avance pour le saluer et je pars à la douche.

Cette douche m'a fait le plus grand bien. Je rejoins Greg sur le lit. Il bande un max. Une belle tige en arrondi bien recourbée. J'ai jamais vue sa queue aussi en forme. 21 cm sur 5,5 voir 6. Je me jette dessus. Elle m'attire trop. La pointe de ma langue vient titiller son gland, bien décalotté. Et joue avec son frein. C'est une invite à prendre un tel morceau en bouche. Mes lèvres épousent sa forme et me voilà parti dans une fellation dont j'ai le secret. Mon Greg se laisse aller, il s'abandonne à mes caresses buccales. Je lèche, je suce, j'aspire, j'avale en fond de gorge, ce qui me soulève des hauts le cœur. Mais c'est trop bon , une telle pine. Quel délice, mieux qu'un sucre d'orge. Un bâton de plaisir, je change de tactique et vient gober ses deux grosses boules, car Greg est très bien pourvu et j'adore ses deux grosses couilles bien lisses. Je mordille la peau, je les suçote tour à tour, pour qu'elles ne soient pas jalouses. Ma bouche et ma langue ne savent plus quoi contenter. Par moment je prends sa bite, que je mordille par le coté entre mes lèvres. Comme un chien qui saisit un os. Sans mordre bien entendu, car je ne souhaite que lui prodiguer du plaisir. Sa queue est toute humide. Parfois Greg passe sa main pour la saisir.
Tu la veux? Me demande t-il tout à coup.
Demandez à un aveugle s'il veut voir. Bien sur que oui je suis trop excité. Je veux la prendre.
- allonges toi sur le coté chuchote t-il
Il vient se positionner dans mon dos. Il introduit du gel dans mon anus et me masse les parois. Puis il se glisse en m'attirant contre lui. Je lève ma jambe gauche, pour faciliter la manœuvre. Il pousse en douceur. Je sens son chibre qui entre en moi. Ce long serpent de chair que je sens prendre possession de mon corps. Ce sexe dont je connais la vigueur, qui est bien ferme et puissant. Je le sent me pénétrer, humm que c'est bon. Mais il n'a pas de prise sur mon corps et me demande de me mettre en levrette.
Je me redresse après qu'il ai ressorti son sexe. A peine le temps de le regretter, que je le sens à nouveau m'investir. Il est à genoux sur le lit, moi à quatre pattes et j'offre ma croupe. Et je cambre mes reins au maximum.

Ah ...Ah… hah, Oui Greg....

C'est une supplique il me pistonne à fond désormais. Ses mains ont épousées mes hanches, il me maintient fermement. C'est un cataclysme dans mon antre. A chaque poussée en avant, je sens sa hampe qui me laboure. Cette sensation unique de ressentir quelque chose de bon et cette douleur qui descend dans mes testicules à chaque fois qu'il tape le fond. Et je me mets à miauler, et à pousser des soupirs.
Tais toi me dit-il...
Ah Gregory, c'est trop bon de sentir ta bite. Tu me fais trop de bien.
Et tu me baises si bien... Je lui lance entre deux soupirs.

Je pense que dans les chambres contiguës, on doit m'entendre, et je décide d'étouffer mes suppliques dans les draps que je mords à pleine dents. Et je supporte le poids du corps de mon basketteur. Il m’attrape par les jambes, pour mieux me ramener dans le viseur de sa queue. Je suis comme une masse de viande qu'il ramène à lui, pour encore mieux me prendre. Je me sens embroché comme jamais. Je gémis de plaisir. Il accélère, les vas et vient, parfois en douceur pour se terminer en bourrades. Je ne sais combien de temps il va me ramoner ainsi.

Jamais je n'ai ressenti une queue si profondément en moi. Il saisit ma queue et mes couilles par en dessous et me branle énergiquement.
Oh la la quelle virilité, il me fait monter au septième ciel, ainsi. Et il donne de puissants coups de reins par moments.
-Ah.... tu aimes trop te faire baiser....Elle te fait du bien ma bite....Je vais te donner mon jus....C'est ce que tu veux....Hein ? T'es une bonne chienne...

De l'entendre me parler ainsi m'excite encore plus. Alors je remue ma croupe, je sers mes sphincters, et je sens davantage ses ruades. De très longs et profonds va et vient. Et à chaque poussée au fond, ses burnes cognent sur mes fesses. Je sens les deux sacs lourds qui s'écrasent et viennent fouetter mon postérieur, au moment ou je ressens une onde de choc parcourir mon ventre tout entier. Il a de bons rebonds mon basketteur, et il y met du cœur. C'est presque de la hargne, à ce point, mais tellement bon.

Il m'empoigne maintenant d'une main par les épaules. De peur que je me défile. Il est vrai que parfois, j'essaye d'esquiver les assauts profonds. De l'autre main il maintient une de mes cuisses. Et il me bourre, car on ne peut pas appeler cela autrement, toujours. J'ai chaud. Mon front et mon corps transpirent. Car c'est aussi un autre bienfait de la baise, d'y mettre autant d'ardeur. Je suis à la fois prêt à lui demander d’arrêter, et en même temps je souhaite qu'il continue.
Drôle de paradoxe.
Cambres toi... cambres toi encore plus, je vais te saucer, je te baise à fond là. Clame t'il .
Deux ou trois coups de reins encore plus bestiaux. Greg pousse un gémissement, et son arrière train redouble de va et vient. Puis quatre, à cinq assauts plus rudes et profonds. Il se libère. Je connais trop ces moments ou une force incroyable monte en soi dans de profonds assauts, lorsqu'on joui. Son sexe a tressailli en moi et semble encore plus gonflé, il a libéré son jus. Et moi je continue à gémir de bien être, pendant qu'il reprend le basculement de ses reins, mais moins brusques. J'ai l'impression qu'il est aimanté. En même temps son corps pèse davantage sur le mien. On sent la bête épuisée par tant de puissance déployée. J'ai pris mon pieds . C'était bon et tout à la fois douloureux, tellement sa force était déployée. Mais je n'en garde que le plaisir, car tout n'était que plaisir. Greg tu m'as fait tant de bien.
Il se redresse et part se doucher. Je reste groggy allongé sur le lit. Tant de bonnes ondes libèrent mon corps. J'ai l'impression de le sentir encore en moi.

Quelques minutes plus tard, il vient s'allonger à mes cotés. Sa main caresse mon sexe et à vite fait de le remettre en forme. Sa bouche vient prendre le relais. Il est vraiment très doué ce Greg. Il sait stimuler un gland. Et cette langue qui se déploie sur la longueur de mon sexe. Il me branle en même temps. Quelques minutes de pur plaisir et de caresses auront raison de ma semence. Je sais que le plaisir vient. Je lui chuchote que je vais cracher. Il garde mon sexe en bouche et redouble ses succions de gland. Sa bouche est un véritable palais de douceur. Mon corps trésaille en entier, une onde me parcourt, je pousse un très large soupir, mêlé à un cri de guerrier soulagé. Et je me répands dans sa bouche , il n'esquive pas trop heureux de se faire saucer. Sa bouche aspire encore davantage et sa langue sollicite mon gland pour récupérer encore plus de liqueur. Il avale tout sans broncher, trop heureux de récupérer une bonne dose de crème. Et nous restons allongés l'un à coté de l'autre aucun mot ne peut exprimer notre plaisir mutuel.

Que cette soirée fut bonne. Je repars deux heure trente après être arrivé. Il me raccompagne dans le hall pour prendre un café au distributeur automatique. Mes fesses me rappelleront le lendemain ses assauts. Mais que de souvenirs, si ce soir je ne l'ai pas sodomisé, je sais que je le reverrais.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Salut Acool une fois de plus je viens de lire ton histoire , toujours aussi explosive .....Surtout ton rapport avec Greg . Prendre une bite de 21:5,5 dans les fesses (cela est la taille d'une bouteille d'évian d'un demi litre , j'en ai juste une devant moi ) cela doit pas être facile a mettre ...... a bientôt la suite



Texte coquin : Pétages de fions
Histoire sexe : Une rose rouge
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