Se faire Beurrer
Récit érotique écrit par Acool [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Se faire Beurrer
Laissez faire le hasard, et vous verrez qu'il fait parfois bien les choses. « tu es comment? Petit, grand, mince... et...quelle longueur? Et tu aimes quoi?, la liste est inépuisable. Mon annonce précise mon age ou l'age maxi recherché, le fait que je suis actif et passif, et le reste basta. On verra bien et si le feeling ne passe pas en face à face, on a rien signé. Chacun reste libre. Et cela fonctionne assez bien. Pour preuve j'ai reçu une réponse à mon annonce d'un mec qui me disait: «Moi 30 actif, peut recevoir». Je n'ai pas cherché à en savoir davantage.
Nous avons échangés nos numéros de portables et nous sommes mis d'accord pour un rendez-vous le lendemain, sur le parking du stade. Une fois sur place je l'ai contacté. Dix minutes plus tard, je l'ai vu arriver à pieds. Un rebeu de 30 ans vêtu d'un jogging marron qui laissait présager une belle découverte sous la bosse du tissus. Taille moyenne, mince, brun, démarche tranquille. Il est monté dans ma voiture et nous sommes allé chez lui. Je l'avais précédemment chauffé par sms. Il m'avait demandé de le faire bander en lui expliquant ce que j'aimais. J'arrive dans la cour d'un atelier d'un tailleur de pierres. Il me demande de le suivre. Entre dans un hall. Il y a plein de gros blocs qui jonchent le sol. Un peu lugubre je me dis dans ma tête. En me demandant s'il ne s'agit pas d'un traquenard. Il est devant moi et bifurque sur le coté pour emprunter un escalier sans rambarde, qui ouvre sur le vide. Nous montons au deuxième étage, en même temps je vois qu'il veut être le plus discret possible. Je le suis sans penser à autre chose. Il ouvre une porte avec sa clé et nous entrons dans son appart, qui est dans la pénombre. Seule la télé est restée allumée , le temps qu'il vienne à ma rencontre. Je vois qu'il doit avoir un enfant en bas age car il y a un trotteur dans un coin.
Il m’entraîne vers la chambre, plongée dans le noir et me demande de me mettre à l'aise. Autant vous dire que je bande déjà. Rien qu'à le suivre dans l'escalier mon zob est déjà dressé. Moi j'ai 50 ans , physique relativement banal, un peu rond mais avec un sexe bien proportionné de 19x5. Je suis donc essentiellement actif, mais j'avoue avoir plaisir à me faire prendre parfois et ce soir, je suis venu pour cela. Il est parti dans la salle de bain attenante et revient en boxer. Icham, c'est le prénom que je lui donne pour mon récit, car je ne saurais rien de plus. Nous avions conclu: pas de blabla. Icham s'approche en me disant : - Tu es déjà à poil, et il attrape ma queue pour la découvrir sur toute sa longueur.
Moi je pose ma main sur ses épaules et descend lentement pour caresser son corps longiligne. Il a des petites pointes de seins et des poils sur les jambes, mais pas sur son torse glabre. Son ventre est bien plat, sa musculature est fine, sans être particulièrement proéminente. Un beau corps. Il avance sa bouche vers moi et nous nous mordillons les lèvres, avant que nos langues se cherchent.
Ma main droite caresse son boxer, je sens son sexe impatient de s'en échapper, la bosse est vivante. Il grossit sous les caresses que je prodigue par dessus l'étoffe. Et mes doigts sont trop curieux, ils glissent le long de sa peau pour venir écarter l'élastique. Son sexe jailli au moment ou ma main entrait dans le boxer. Belle bête. Circoncis, ça je l'avais deviné il est bien veiné et fait environ 21 centimètres, sa base est large, et sa rigidité bien visible.
Je me penche pour venir le prendre dans ma bouche. Ma langue en parcourt chaque parcelle pour le découvrir en douceur, avant de le prendre en bouche. J'avoue que seuls 18 à 19 cm entrent et glissent au fond de ma gorge.
Icham ne force pas sur ma tête pour m'obliger à plus. Il joue avec ma queue, bien rigide elle aussi. Il imprègne de larges coups de poignet, charmé par sa vigueur également. Et il me caresse le dos, sans pour l'instant toucher mes fesses. Et il feule. Ma bouche lui apporte manifestement du plaisir et je branle la base de sa bite que je ne peux pas entrer dans ma bouche. Je ressort cet engin et ma langue descend parcourir ses testicules rasés, tout comme son sexe d'ailleurs. A chaque coup de langue, je le sens frémir. Il m'invite maintenant à m'allonger et vient s'allonger à son tour sur moi.
Son corps est léger, nos sexes se joignent, comme s'ils se jaugeaient. Mais la main d'Icham ne peut s’empêcher de venir me toucher mon sexe. Et il glisse sa queue entre mes cuisses serrées . Et nos bouches se réunissent à nouveau. Que de volupté. Je connais un autre Marocain, car je suis certain qu'il l'est, qui est autant doux et attentionné que lui. C'est un régal, un mec si câlin. Il veut mener la danse, mais il aime plein de trucs. Il va très vite me le montrer car sa bouche descend le long de mon corps, et se pose sur mon sexe.
Va t'il, ne va t'il pas ? A peine le temps d'y réfléchir qu'il me lèche le gland , pour très vite me sucer goulûment. Actif peut être, mais relativement attentionné à son plaisir et à celui du partenaire. En fait il aime la queue je pense, il veut rester macho et viril, mais depuis mon arrivée ses gestes trahissent sa préférence sexuelle. Je titille ses petits seins entre le pouce et l'index, et il semble apprécier. Il me fait glisser sur le coté et commence à caresser mes fesses. Il revient coller son sexe contre mon pubis comme pour s'y affronter.
« Viens on va dans la salle de bain». Il semble avoir perçus des sons dans la pièce de l'appartement d’à coté. Je le suis. Je me mets à genoux et reprends son sexe en bouche. Il n'a pas frémis, et est toujours aussi ferme. Je le suce à une cadence rapide, et lève mes yeux vers lui. La salle de bain est éclairée. A genoux sur le carrelage, je peux admirer son corps à la lumière vu d'en bas. Je caresse la peau velue brune de ses jambes. Je suis la courbe, de ses mollets jusqu'à son fessier. Pendant ce temps ma bouche goûte à tout ce quelle découvre. Ses burnes, son gland massif, rien ne la laisse indifférente. Et je lâche: « ta bite est trop belle et bonne je la veux»
Icham m'invite à me redresser et me fait pencher au dessus de la machine à laver. Il enduit mes fesses de salive , et commence à me doigter fermement. Mon cul s'écarte sous ses doigts fureteurs. Je cambre mes reins pour lui offrir mon intimité. On sort le gel, je m'en enduit les parois. Il vient positionner très vite son sexe capoté sur mon trou. La tache va être délicate. J'écarte mes deux fesses de chaque main. Il commence à entrer en poussant en douceur. Je me sens écarté, c'est vraiment l'impression que l'on va me déchirer. Je cambre davantage, je pousse un max pour l'aider à progresser. Et petit à petit il gagne du terrain en de petits cadencements d'avant en arrière. Icham est doux et précautionneux. Il chope mon sexe par en dessous et me branle. Et son sexe entre davantage en moi, et cette sensation de déchirement disparaît. Il n'est pas entré entièrement. Mais moi je suis affalé sur la machine à laver, et il me bourre le cul. Je suis venu pour cela de toutes façons et j'y prends du plaisir.
Comme il ne me possède pas entièrement. Il ressort et me fais basculer contre le mur couvert de carrelage sur la gauche. Et il me plaque en me faisant écarter les jambes.
«Il est trop bon ton cul, mais tu es très serré» me lâche t-il.
Et il revient dans mon trou et choppe ma queue qu'il branle avec vigueur par en dessous mes fesses. Il branle bien, vite et ferme. Et l'action sur ma queue fait que mon cul s'ouvre davantage. Il me lime et je sens bien passer son calibre. Mais ses couilles ne battront pas mes fesses. La largeur de son zob, l’empêche de pénétrer davantage. Dommage, mais mon cul n'en peut plus. Il m'a éclatée la chatte.
Icham se dégage et attrape sa queue qu'il branle. Je me retourne et me branle également. «Je ne vais pas tarder» me dit-il.
Juste le temps de m'accroupir , un premier jet passe par dessus mon oreille, sa main s'active toujours, je rate le second, mais je gobe son gland et c'est une large rasade de crème que je reçois en bouche. Une bonne liqueur de couilles. Épaisse et suave, je déguste, ma langue évite d’être trop pressante, car je connais la sensation désagréable que cela peut provoquer après la jouissance. Je m'écarte à regret et me relève pour à mon tour m'astiquer le jonc. Icham n'a pas cessé ses mouvements de poignet, sur son propre sexe, mais ils sont moins amples, plus mesurés. Et je sens le jus monter, et me submerger. Je suis haletant, je ralenti le mouvement pour faire retomber la pression puis repars de plus belle, et là c'est l'apothéose, je me délivre et lance quatre à cinq jets. Pour Icham le jet était plus long et continu. Ces derniers vont s'écraser sur le sol de la salle de bain. Je suis vidé. Icham aussi apparemment. Je regarde mon image dans le miroir en me penchant au dessus du lavabo pour me nettoyer. Je suis écarlate. Méconnaissable. La salope qui sommeille en moi est comblée.
Nous avons échangés nos numéros de portables et nous sommes mis d'accord pour un rendez-vous le lendemain, sur le parking du stade. Une fois sur place je l'ai contacté. Dix minutes plus tard, je l'ai vu arriver à pieds. Un rebeu de 30 ans vêtu d'un jogging marron qui laissait présager une belle découverte sous la bosse du tissus. Taille moyenne, mince, brun, démarche tranquille. Il est monté dans ma voiture et nous sommes allé chez lui. Je l'avais précédemment chauffé par sms. Il m'avait demandé de le faire bander en lui expliquant ce que j'aimais. J'arrive dans la cour d'un atelier d'un tailleur de pierres. Il me demande de le suivre. Entre dans un hall. Il y a plein de gros blocs qui jonchent le sol. Un peu lugubre je me dis dans ma tête. En me demandant s'il ne s'agit pas d'un traquenard. Il est devant moi et bifurque sur le coté pour emprunter un escalier sans rambarde, qui ouvre sur le vide. Nous montons au deuxième étage, en même temps je vois qu'il veut être le plus discret possible. Je le suis sans penser à autre chose. Il ouvre une porte avec sa clé et nous entrons dans son appart, qui est dans la pénombre. Seule la télé est restée allumée , le temps qu'il vienne à ma rencontre. Je vois qu'il doit avoir un enfant en bas age car il y a un trotteur dans un coin.
Il m’entraîne vers la chambre, plongée dans le noir et me demande de me mettre à l'aise. Autant vous dire que je bande déjà. Rien qu'à le suivre dans l'escalier mon zob est déjà dressé. Moi j'ai 50 ans , physique relativement banal, un peu rond mais avec un sexe bien proportionné de 19x5. Je suis donc essentiellement actif, mais j'avoue avoir plaisir à me faire prendre parfois et ce soir, je suis venu pour cela. Il est parti dans la salle de bain attenante et revient en boxer. Icham, c'est le prénom que je lui donne pour mon récit, car je ne saurais rien de plus. Nous avions conclu: pas de blabla. Icham s'approche en me disant : - Tu es déjà à poil, et il attrape ma queue pour la découvrir sur toute sa longueur.
Moi je pose ma main sur ses épaules et descend lentement pour caresser son corps longiligne. Il a des petites pointes de seins et des poils sur les jambes, mais pas sur son torse glabre. Son ventre est bien plat, sa musculature est fine, sans être particulièrement proéminente. Un beau corps. Il avance sa bouche vers moi et nous nous mordillons les lèvres, avant que nos langues se cherchent.
Ma main droite caresse son boxer, je sens son sexe impatient de s'en échapper, la bosse est vivante. Il grossit sous les caresses que je prodigue par dessus l'étoffe. Et mes doigts sont trop curieux, ils glissent le long de sa peau pour venir écarter l'élastique. Son sexe jailli au moment ou ma main entrait dans le boxer. Belle bête. Circoncis, ça je l'avais deviné il est bien veiné et fait environ 21 centimètres, sa base est large, et sa rigidité bien visible.
Je me penche pour venir le prendre dans ma bouche. Ma langue en parcourt chaque parcelle pour le découvrir en douceur, avant de le prendre en bouche. J'avoue que seuls 18 à 19 cm entrent et glissent au fond de ma gorge.
Icham ne force pas sur ma tête pour m'obliger à plus. Il joue avec ma queue, bien rigide elle aussi. Il imprègne de larges coups de poignet, charmé par sa vigueur également. Et il me caresse le dos, sans pour l'instant toucher mes fesses. Et il feule. Ma bouche lui apporte manifestement du plaisir et je branle la base de sa bite que je ne peux pas entrer dans ma bouche. Je ressort cet engin et ma langue descend parcourir ses testicules rasés, tout comme son sexe d'ailleurs. A chaque coup de langue, je le sens frémir. Il m'invite maintenant à m'allonger et vient s'allonger à son tour sur moi.
Son corps est léger, nos sexes se joignent, comme s'ils se jaugeaient. Mais la main d'Icham ne peut s’empêcher de venir me toucher mon sexe. Et il glisse sa queue entre mes cuisses serrées . Et nos bouches se réunissent à nouveau. Que de volupté. Je connais un autre Marocain, car je suis certain qu'il l'est, qui est autant doux et attentionné que lui. C'est un régal, un mec si câlin. Il veut mener la danse, mais il aime plein de trucs. Il va très vite me le montrer car sa bouche descend le long de mon corps, et se pose sur mon sexe.
Va t'il, ne va t'il pas ? A peine le temps d'y réfléchir qu'il me lèche le gland , pour très vite me sucer goulûment. Actif peut être, mais relativement attentionné à son plaisir et à celui du partenaire. En fait il aime la queue je pense, il veut rester macho et viril, mais depuis mon arrivée ses gestes trahissent sa préférence sexuelle. Je titille ses petits seins entre le pouce et l'index, et il semble apprécier. Il me fait glisser sur le coté et commence à caresser mes fesses. Il revient coller son sexe contre mon pubis comme pour s'y affronter.
« Viens on va dans la salle de bain». Il semble avoir perçus des sons dans la pièce de l'appartement d’à coté. Je le suis. Je me mets à genoux et reprends son sexe en bouche. Il n'a pas frémis, et est toujours aussi ferme. Je le suce à une cadence rapide, et lève mes yeux vers lui. La salle de bain est éclairée. A genoux sur le carrelage, je peux admirer son corps à la lumière vu d'en bas. Je caresse la peau velue brune de ses jambes. Je suis la courbe, de ses mollets jusqu'à son fessier. Pendant ce temps ma bouche goûte à tout ce quelle découvre. Ses burnes, son gland massif, rien ne la laisse indifférente. Et je lâche: « ta bite est trop belle et bonne je la veux»
Icham m'invite à me redresser et me fait pencher au dessus de la machine à laver. Il enduit mes fesses de salive , et commence à me doigter fermement. Mon cul s'écarte sous ses doigts fureteurs. Je cambre mes reins pour lui offrir mon intimité. On sort le gel, je m'en enduit les parois. Il vient positionner très vite son sexe capoté sur mon trou. La tache va être délicate. J'écarte mes deux fesses de chaque main. Il commence à entrer en poussant en douceur. Je me sens écarté, c'est vraiment l'impression que l'on va me déchirer. Je cambre davantage, je pousse un max pour l'aider à progresser. Et petit à petit il gagne du terrain en de petits cadencements d'avant en arrière. Icham est doux et précautionneux. Il chope mon sexe par en dessous et me branle. Et son sexe entre davantage en moi, et cette sensation de déchirement disparaît. Il n'est pas entré entièrement. Mais moi je suis affalé sur la machine à laver, et il me bourre le cul. Je suis venu pour cela de toutes façons et j'y prends du plaisir.
Comme il ne me possède pas entièrement. Il ressort et me fais basculer contre le mur couvert de carrelage sur la gauche. Et il me plaque en me faisant écarter les jambes.
«Il est trop bon ton cul, mais tu es très serré» me lâche t-il.
Et il revient dans mon trou et choppe ma queue qu'il branle avec vigueur par en dessous mes fesses. Il branle bien, vite et ferme. Et l'action sur ma queue fait que mon cul s'ouvre davantage. Il me lime et je sens bien passer son calibre. Mais ses couilles ne battront pas mes fesses. La largeur de son zob, l’empêche de pénétrer davantage. Dommage, mais mon cul n'en peut plus. Il m'a éclatée la chatte.
Icham se dégage et attrape sa queue qu'il branle. Je me retourne et me branle également. «Je ne vais pas tarder» me dit-il.
Juste le temps de m'accroupir , un premier jet passe par dessus mon oreille, sa main s'active toujours, je rate le second, mais je gobe son gland et c'est une large rasade de crème que je reçois en bouche. Une bonne liqueur de couilles. Épaisse et suave, je déguste, ma langue évite d’être trop pressante, car je connais la sensation désagréable que cela peut provoquer après la jouissance. Je m'écarte à regret et me relève pour à mon tour m'astiquer le jonc. Icham n'a pas cessé ses mouvements de poignet, sur son propre sexe, mais ils sont moins amples, plus mesurés. Et je sens le jus monter, et me submerger. Je suis haletant, je ralenti le mouvement pour faire retomber la pression puis repars de plus belle, et là c'est l'apothéose, je me délivre et lance quatre à cinq jets. Pour Icham le jet était plus long et continu. Ces derniers vont s'écraser sur le sol de la salle de bain. Je suis vidé. Icham aussi apparemment. Je regarde mon image dans le miroir en me penchant au dessus du lavabo pour me nettoyer. Je suis écarlate. Méconnaissable. La salope qui sommeille en moi est comblée.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Humm je n'ai pu m'empêcher de me branler en lisant ton histoire tellement elle m'a excité.
Toujours aussi excitante a lire tes histoires , continu a nous en raconter surtout a ceux qui n'ont pas les mêmes chances de rencontre que toi et qui ne sont pas aussi bien équiper par la nature que toi .Avoir une si grosse bite dans les fesses , on doit la sentir passer !!! A+