Cadeau
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Cadeau
Après le départ du dernier client, la directrice du service de l’époque, au nom de Françoise, teintée en rousse, la cinquantaine plus que passée, de charmantes lunettes sur des yeux verts, des rondeurs bien placées, là où il fallait, était venue me voir dans mon bureau pour me demander si je pouvais verrouiller les portes extérieures, que tout était terminé, et qu’elle avait même congédiée ses collaborateurs pour pouvoir tranquillement faire sa comptabilité en toute tranquilitée.
De retour dans mon bureau je la trouvais sur mon fauteuil en train de boire un verre d’eau.
-tu permets ? Me lança-t-elle.
-je vous en prie, répondais-je en prenant place sur le divan, tout proche.
-tu ne peux pas savoir comment cela fait du bien, t’avoir terminée cette journée des plus qu’ennuyeuses !
-je veux bien vous croire. Répliquais-je, en m’apercevant qu’un stylo qui n’était pas un des miens trainée sous mon bureau.
Par pur réflexe je me levais et m’agenouillais pour m’en saisir, et là, je découvrais alors devant les yeux, un spectacle des plus intéressants, des plus excitants.
Oui, j’avais là, devant les rétines, une paire de cuisses croisées, dont les pans de son manteau écartés, et sa jupe relevée laissaient apercevoir la broderie de ses jolis bas fumés. La coquine profita alors de ma posture pour décroiser et recroiser ses jambes. De telle sorte qu’elle exhiba furtivement, mais pour mon plus grand plaisir la dentelle couleur chair et ornée d’une culotte qui me paraissait bien remplie.
J’étais resté ainsi un certain moment, contemplant le spectacle que m’offrait la coquine, plus longtemps que nécessaire pour un simple ramassage de stylo.
Comme il fallait bien mettre un point final à ce tableau affriolent, c’était avec regret que je me persuadais à me redresser. Ce fut là, que je surpris ma Françoise sourire aux lèvres, parfaitement complice, me fixant de ses yeux clairs.
-alors, ça t’a plu ? M’interrogeait-elle, simplement.
-j’avoue qu’il a fallu que je prenne sur moi pour ne pas rester à contempler le toile plus longtemps.
-cela t’a fait bander ?
-il m’en faudrait beaucoup plus, ma chère Françoise, je n’ai plus seize ans.
-c’est parce que je ne suis pas à ton goût ?
-je n’ai pas dit ça ! Pour être franc avec vous ça fait longtemps que vous m’exciter.
-c’est vrai ! Comme ça tu fantasmes sur moi ?
-ça m’est arrivé, oui… je l’avoue, à plusieurs reprises !
-C’est bien ça ! Ça me fait tout drôle de savoir qu’un beau gosse comme toi se masturbe en pensant à moi. Tu ne te moques pas de moi là au moins ?
-je n’oserai jamais !
-tu m’en diras tant ! Répondait-elle.
-cela vous dérangerait que je rejette un coup d’œil.
-j’en serais ravie !
Je me laissais tomber sur mes genoux, et me gavais à nouveau d’images de ses cuisses. Et comme ce n’était pas suffisant, la coquine releva la jambe bien haut pour la décroiser très lentement, de telle sorte que je pus observer son entrecuisse, et ainsi la lisière à large motif des bas. Les yeux agréablement exorbités, je m’excitais de la vue de sa culotte un peu transparente, qui plaquait son pubis contre son ventre arrondi. À ce moment je vis apparaitre sa main, qu’elle posa sur sa cuisse et à l’aide de ses ongles longs vernis de rouge, elle effleura le devant de sa culotte.
Animer d’une furieuse envie de humer ce qu‘elle grattait, je me laissais alors glisser à quatre pattes sous le bureau, avançant centimètre après centimètres en direction de la fourchette de ses jambes, maintenant grandes ouvertes. Je posais la main sur son genou gainé, faisant crisser le bas et lui caressait doucement la cuisse. Je voyais et entendais son ongle verni de rouge gratter légèrement sa culotte, de manière que je dirai très érotique. L’odeur forte que dégageait son entrecuisse me saoulait de plus en plus. À me mettre très vite dans un état second.
À ne pas pouvoir m’empêcher de poser mes lèvres sur sa cuisse, l’embrassant à travers le nylon, et de faire de même à l’autre jambe. C’était chaud et très exquis. Mon ivresse érotique me donnait un droit à tout. Surtout que la coquine ne faisait rien pour me l’interdire. Alors je continuais à l‘explorer, léchant ses bas, caressant ses mollets, ses genoux, ses pieds odorants.
Mais Françoise en espérait plus de ma part. Et elle me le fit savoir, dans un message muet, avançant son bassin vers moi, appelant ainsi ma bouche à atteindre sa motte aromatisée. Dont je humais son délicieux parfum que le désir faisait qu’accroître. Comme télécommander, ma bouche se posa sur la peau nue de ses cuisses, à quelques centimètres au-dessus des bas glissants millimètres après millimètres jusqu’au devant de sa culotte moite. Impatiente à passée à autre chose, elle écarta d’elle-même, et à l’aide de son doigt sa culotte, m’exhibant par ce geste une jolie chatte aux lèvres affublée de poils.
Je plaquais dessus, ma bouche et mes lèvres gourmandes. Ouvrant son antre de ma langue, cherchant l’instant d’après le clitoris que je trouvais aussi dur qu‘une petite bite, tant il était excité, à en émerger de sa gangue. Je commençais à la lécher, à lui téter son pustule. J’avalais agréablement le jus de son bien-être.
-Ho oui, lèche-moi ma foune, c’est bon, j’aime ça… oh putain que c’est bon !
Elle haletait, geignait, écartant ses cuisses, autant que lui permettait sa jupe, relevée au plus haut sur elle. Elle mit en appui son pied sur le bureau, pour être encore plus écartelée, plus disponible, plus impudique, offrant sa chatte trempée de désir à mon bon vouloir.
Tout de suite après, elle déboutonna son chemisier, écarta les bonnets de son soutien-gorge pour se palper les seins d’une main, l’autre se plaquant sur ma tête.
-Ho… continue, oui, tu me fais du bien… je suis proche de jouir… oui ça vient… ça vient !… Pour que son orgasme soit des plus complets, je lui enfonçais mon index dans son fourreau brûlant et je commençais à le coulisser tout en mangeant son fruit juteux, aspirant son bulbe plus que bandé. Puis je partais à la recherche du petit trou serré qui se cachait entre les fesses rondes. Avec beaucoup de douceur, je plaçais mon majeur à l’entrée de cette grotte mystérieuse et odorante, je préparais les muscles par petites touches, l’humidifiais avec le jus de son sexe, enfin je forçais pour l’empaler. Dès lors, je la sentis frémir, se crisper, se tendre. Une longue plainte, un feulement s‘échappa de sa bouche. Je reçus sa jouissance dans ma bouche, alors que je continuais à la branler avec un doigt dans la chatte, l’autre dans le trou du cul. Qui pour information il n‘était pas seul dans le conduit.
Fière de moi, de l’avoir mené à l’orgasme, je me redressais, alors qu’elle reprenait ses esprits. Son maquillage avait coulé sur son visage. C’est alors que je surpris son regard sur la bosse que faisait mon érection sous ma braguette. J’étais tendu à craquer devant elle, elle qui était lubriquement offerte, cuisses écartées, étalant ses bas, ses seins sortis des bonnets de son soutien-gorge, qu’elle continuait d’exciter d’une main.
-tu n’as pas joui toi ? Approche veux-tu, que je m’occupe de Toi.
Sitôt à porter de ses mains, elle posa la droite sur ma braguette et serra ma queue tendue à travers la toile.
-Françoise, quelle coquine vous faites.
-et tu n’as encore rien vu. Me dit-elle en baissant la fermeture éclair de ma braguette et dégrafant ma ceinture.
-montrez-moi alors ce que tu caches en-dessous. Ça a l’air bien gros ton engin, Alain, tu ne peux pas savoir à tel point que j’ai envie de ta queue… -elle est à vous, Françoise.
-tu m’en vois ravie. Lâcha-t-elle, en baissant mon slip.
Tout en me fixant, elle se pencha jusqu’à ce que sa langue atteigne mon gland, qu’elle se mit à me lécher avec sa langue. Prenant bien la hampe dans sa main.
-ça fait bien longtemps que je n’en aie pas eu une aussi belle entre mes doigts.
Sur ce, elle l’enfourna dans sa bouche, alternant les coups de langue, la branlant avec sa main, l’enfonçant à fond dans sa gorge, pour la faire ressortir toute luisante de salive. J’étais aux anges. Je sentais que je n’allais pas tarder à exploser, excité comme j’étais par l’érotisme torride de cet intermède sexuel impromptu.
-patiente encore un peu avant de lâcher ton foutre ! Me lança-t-elle, en se levant et prenant place sur le bureau, cuisses écartées devant moi.
Je me plaçais entre ses cuisses. Je profitais de ma position pour caresser ses seins, avant de me pencher pour les lécher, les sucer, sentant les pointes dures entre mes lèvres.
Puis j’attrapais ses jambes sous les cuisses pour les relever puis présentais mon membre tendu à l’entrée de son sexe, le positionnais, juste entre ses lèvres, puis passant ses mains autour de sa taille, l’attirais contre moi, ma queue dans elle. Elle se laissa conduire, alors que je prenais tout mon temps pour l‘embrocher. Je savourai le spectacle de cette femme offerte, les narines pincées, les seins gonflés de plaisir, le ventre tendu vers son ventre, le regard brillant, son front perlant de sueur, ses joues roses d’émotion et de chaleur.
Je glissais mes mains sous les fesses de Françoise pour la pénétrer au plus profond de son sexe. Je la soulevais à moitié, elle en profita pour passer ses mains autour de mon cou et collait ses seins à mon buste.
Les mâchoires serrées, Françoise ne pouvait retenir un cri. Elle ondulait des hanches, menant le rythme de notre coït à sa guise, tantôt lentement, profondément puis soudain accélérait dans une chevauchée hallucinante, les seins ballottent au gré de son plaisir.
Elle s’accrochait encore plus fort, augmentait encore le rythme, forçait ses mouvements du bassin projetant son ventre contre le mien pour mieux s‘empaler. Elle me voulait, j’étais en elle, je la possédais, elle me possédait, ma tension montait au paroxysme.
Elle était demandeuse, quémandeuse.
-déchire-moi la chatte me souffla-t-elle, plus fort, plus loin, je suis toute à toi et à ton plaisir… Les mots prononcés me faisaient l’effet d’un coup de fouet, je ne pouvais maîtriser plus longtemps la situation et éjaculais dans de grands cris, les yeux exorbités, les traits défaits, épuisés, vidés, morts.
Quelques minutes plus tard je prenais la route pour chez moi. Ma femme inquiète, m’attendait pour dîner. Elle assista tout de suite après, pour faire l’amour.
De retour dans mon bureau je la trouvais sur mon fauteuil en train de boire un verre d’eau.
-tu permets ? Me lança-t-elle.
-je vous en prie, répondais-je en prenant place sur le divan, tout proche.
-tu ne peux pas savoir comment cela fait du bien, t’avoir terminée cette journée des plus qu’ennuyeuses !
-je veux bien vous croire. Répliquais-je, en m’apercevant qu’un stylo qui n’était pas un des miens trainée sous mon bureau.
Par pur réflexe je me levais et m’agenouillais pour m’en saisir, et là, je découvrais alors devant les yeux, un spectacle des plus intéressants, des plus excitants.
Oui, j’avais là, devant les rétines, une paire de cuisses croisées, dont les pans de son manteau écartés, et sa jupe relevée laissaient apercevoir la broderie de ses jolis bas fumés. La coquine profita alors de ma posture pour décroiser et recroiser ses jambes. De telle sorte qu’elle exhiba furtivement, mais pour mon plus grand plaisir la dentelle couleur chair et ornée d’une culotte qui me paraissait bien remplie.
J’étais resté ainsi un certain moment, contemplant le spectacle que m’offrait la coquine, plus longtemps que nécessaire pour un simple ramassage de stylo.
Comme il fallait bien mettre un point final à ce tableau affriolent, c’était avec regret que je me persuadais à me redresser. Ce fut là, que je surpris ma Françoise sourire aux lèvres, parfaitement complice, me fixant de ses yeux clairs.
-alors, ça t’a plu ? M’interrogeait-elle, simplement.
-j’avoue qu’il a fallu que je prenne sur moi pour ne pas rester à contempler le toile plus longtemps.
-cela t’a fait bander ?
-il m’en faudrait beaucoup plus, ma chère Françoise, je n’ai plus seize ans.
-c’est parce que je ne suis pas à ton goût ?
-je n’ai pas dit ça ! Pour être franc avec vous ça fait longtemps que vous m’exciter.
-c’est vrai ! Comme ça tu fantasmes sur moi ?
-ça m’est arrivé, oui… je l’avoue, à plusieurs reprises !
-C’est bien ça ! Ça me fait tout drôle de savoir qu’un beau gosse comme toi se masturbe en pensant à moi. Tu ne te moques pas de moi là au moins ?
-je n’oserai jamais !
-tu m’en diras tant ! Répondait-elle.
-cela vous dérangerait que je rejette un coup d’œil.
-j’en serais ravie !
Je me laissais tomber sur mes genoux, et me gavais à nouveau d’images de ses cuisses. Et comme ce n’était pas suffisant, la coquine releva la jambe bien haut pour la décroiser très lentement, de telle sorte que je pus observer son entrecuisse, et ainsi la lisière à large motif des bas. Les yeux agréablement exorbités, je m’excitais de la vue de sa culotte un peu transparente, qui plaquait son pubis contre son ventre arrondi. À ce moment je vis apparaitre sa main, qu’elle posa sur sa cuisse et à l’aide de ses ongles longs vernis de rouge, elle effleura le devant de sa culotte.
Animer d’une furieuse envie de humer ce qu‘elle grattait, je me laissais alors glisser à quatre pattes sous le bureau, avançant centimètre après centimètres en direction de la fourchette de ses jambes, maintenant grandes ouvertes. Je posais la main sur son genou gainé, faisant crisser le bas et lui caressait doucement la cuisse. Je voyais et entendais son ongle verni de rouge gratter légèrement sa culotte, de manière que je dirai très érotique. L’odeur forte que dégageait son entrecuisse me saoulait de plus en plus. À me mettre très vite dans un état second.
À ne pas pouvoir m’empêcher de poser mes lèvres sur sa cuisse, l’embrassant à travers le nylon, et de faire de même à l’autre jambe. C’était chaud et très exquis. Mon ivresse érotique me donnait un droit à tout. Surtout que la coquine ne faisait rien pour me l’interdire. Alors je continuais à l‘explorer, léchant ses bas, caressant ses mollets, ses genoux, ses pieds odorants.
Mais Françoise en espérait plus de ma part. Et elle me le fit savoir, dans un message muet, avançant son bassin vers moi, appelant ainsi ma bouche à atteindre sa motte aromatisée. Dont je humais son délicieux parfum que le désir faisait qu’accroître. Comme télécommander, ma bouche se posa sur la peau nue de ses cuisses, à quelques centimètres au-dessus des bas glissants millimètres après millimètres jusqu’au devant de sa culotte moite. Impatiente à passée à autre chose, elle écarta d’elle-même, et à l’aide de son doigt sa culotte, m’exhibant par ce geste une jolie chatte aux lèvres affublée de poils.
Je plaquais dessus, ma bouche et mes lèvres gourmandes. Ouvrant son antre de ma langue, cherchant l’instant d’après le clitoris que je trouvais aussi dur qu‘une petite bite, tant il était excité, à en émerger de sa gangue. Je commençais à la lécher, à lui téter son pustule. J’avalais agréablement le jus de son bien-être.
-Ho oui, lèche-moi ma foune, c’est bon, j’aime ça… oh putain que c’est bon !
Elle haletait, geignait, écartant ses cuisses, autant que lui permettait sa jupe, relevée au plus haut sur elle. Elle mit en appui son pied sur le bureau, pour être encore plus écartelée, plus disponible, plus impudique, offrant sa chatte trempée de désir à mon bon vouloir.
Tout de suite après, elle déboutonna son chemisier, écarta les bonnets de son soutien-gorge pour se palper les seins d’une main, l’autre se plaquant sur ma tête.
-Ho… continue, oui, tu me fais du bien… je suis proche de jouir… oui ça vient… ça vient !… Pour que son orgasme soit des plus complets, je lui enfonçais mon index dans son fourreau brûlant et je commençais à le coulisser tout en mangeant son fruit juteux, aspirant son bulbe plus que bandé. Puis je partais à la recherche du petit trou serré qui se cachait entre les fesses rondes. Avec beaucoup de douceur, je plaçais mon majeur à l’entrée de cette grotte mystérieuse et odorante, je préparais les muscles par petites touches, l’humidifiais avec le jus de son sexe, enfin je forçais pour l’empaler. Dès lors, je la sentis frémir, se crisper, se tendre. Une longue plainte, un feulement s‘échappa de sa bouche. Je reçus sa jouissance dans ma bouche, alors que je continuais à la branler avec un doigt dans la chatte, l’autre dans le trou du cul. Qui pour information il n‘était pas seul dans le conduit.
Fière de moi, de l’avoir mené à l’orgasme, je me redressais, alors qu’elle reprenait ses esprits. Son maquillage avait coulé sur son visage. C’est alors que je surpris son regard sur la bosse que faisait mon érection sous ma braguette. J’étais tendu à craquer devant elle, elle qui était lubriquement offerte, cuisses écartées, étalant ses bas, ses seins sortis des bonnets de son soutien-gorge, qu’elle continuait d’exciter d’une main.
-tu n’as pas joui toi ? Approche veux-tu, que je m’occupe de Toi.
Sitôt à porter de ses mains, elle posa la droite sur ma braguette et serra ma queue tendue à travers la toile.
-Françoise, quelle coquine vous faites.
-et tu n’as encore rien vu. Me dit-elle en baissant la fermeture éclair de ma braguette et dégrafant ma ceinture.
-montrez-moi alors ce que tu caches en-dessous. Ça a l’air bien gros ton engin, Alain, tu ne peux pas savoir à tel point que j’ai envie de ta queue… -elle est à vous, Françoise.
-tu m’en vois ravie. Lâcha-t-elle, en baissant mon slip.
Tout en me fixant, elle se pencha jusqu’à ce que sa langue atteigne mon gland, qu’elle se mit à me lécher avec sa langue. Prenant bien la hampe dans sa main.
-ça fait bien longtemps que je n’en aie pas eu une aussi belle entre mes doigts.
Sur ce, elle l’enfourna dans sa bouche, alternant les coups de langue, la branlant avec sa main, l’enfonçant à fond dans sa gorge, pour la faire ressortir toute luisante de salive. J’étais aux anges. Je sentais que je n’allais pas tarder à exploser, excité comme j’étais par l’érotisme torride de cet intermède sexuel impromptu.
-patiente encore un peu avant de lâcher ton foutre ! Me lança-t-elle, en se levant et prenant place sur le bureau, cuisses écartées devant moi.
Je me plaçais entre ses cuisses. Je profitais de ma position pour caresser ses seins, avant de me pencher pour les lécher, les sucer, sentant les pointes dures entre mes lèvres.
Puis j’attrapais ses jambes sous les cuisses pour les relever puis présentais mon membre tendu à l’entrée de son sexe, le positionnais, juste entre ses lèvres, puis passant ses mains autour de sa taille, l’attirais contre moi, ma queue dans elle. Elle se laissa conduire, alors que je prenais tout mon temps pour l‘embrocher. Je savourai le spectacle de cette femme offerte, les narines pincées, les seins gonflés de plaisir, le ventre tendu vers son ventre, le regard brillant, son front perlant de sueur, ses joues roses d’émotion et de chaleur.
Je glissais mes mains sous les fesses de Françoise pour la pénétrer au plus profond de son sexe. Je la soulevais à moitié, elle en profita pour passer ses mains autour de mon cou et collait ses seins à mon buste.
Les mâchoires serrées, Françoise ne pouvait retenir un cri. Elle ondulait des hanches, menant le rythme de notre coït à sa guise, tantôt lentement, profondément puis soudain accélérait dans une chevauchée hallucinante, les seins ballottent au gré de son plaisir.
Elle s’accrochait encore plus fort, augmentait encore le rythme, forçait ses mouvements du bassin projetant son ventre contre le mien pour mieux s‘empaler. Elle me voulait, j’étais en elle, je la possédais, elle me possédait, ma tension montait au paroxysme.
Elle était demandeuse, quémandeuse.
-déchire-moi la chatte me souffla-t-elle, plus fort, plus loin, je suis toute à toi et à ton plaisir… Les mots prononcés me faisaient l’effet d’un coup de fouet, je ne pouvais maîtriser plus longtemps la situation et éjaculais dans de grands cris, les yeux exorbités, les traits défaits, épuisés, vidés, morts.
Quelques minutes plus tard je prenais la route pour chez moi. Ma femme inquiète, m’attendait pour dîner. Elle assista tout de suite après, pour faire l’amour.
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