Carole, premier trio bisexuel FFH avec Catherine et Patrick :
Récit érotique écrit par Caro16 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Carole, premier trio bisexuel FFH avec Catherine et Patrick :
Je continue ma série avec Catherine et Patrick, et pour ce récit je vais pouvoir témoigner, argumenter et alimenter les échanges pour avoir été active lors de cet évènement.
C’est une soirée ordinaire de la fin de l'été 2023, Roger est en « voyage humanitaire », avec son association, il mène des campagnes de sensibilisation auprès de la population Mauritanienne pour lutter contre le diabète et soutien les centres de santé pour la gestion de cette maladie, car elle constitue aujourd'hui une urgence de santé publique.
Il est parti depuis trois semaines, la solitude est bien trop présente pour moi, pour que je l'ignore. J'ai besoin de me changer les idées et quoi de mieux que d’inviter des personnes que l’on apprécie. Avec Roger, nous avions rencontré lors d’une soirée privée un couple plutôt sympathique qui venait de s’installer en Charente-Maritime.
Catherine, très belle femme brune de cinquante-quatre ans, est toujours séduisante, elle est très sportive, tonique toujours très joyeuse, j’avais apprécié cette belle personne lors du premier contact.
Patrick, lui est âgé à ce moment-là de cinquante-sept ans, c’est un très bel homme, très respectueux, bienveillant et très endurant dont le seul but lors de notre soirée privée avait été de me faire jouir, c’est très rare dans nos rencontres, sa préoccupation principale était mon plaisir.
Je ne me souviens plus exactement de la façon dont j’ai procédé pour provoquer cette invitation de ce couple que je n’avais rencontré qu’une seule fois. Je me souviens simplement d’une remarque de Patrick qui m’avait informée de la jalousie de son épouse, mais aussi pour une certaine attirance pour une expérience avec une autre femme en sa présence.
J’avais tout de suite accroché l'idée. J’avais également enregistrée leurs numéros de portable. Une femme et un homme pour me faire oublier ma solitude ! Sans attentes précises, je souhaitais passer une bonne soirée. J’envoyais un message à Patrick :
- Bonjour les amis. J'ai une idée un peu folle, si vous êtes partants ?
La réponse ne tarda pas. Ça semblait presque trop simple, trop direct pour être vrai.
- Bonjour Carole, nous sommes toujours partants pour un peu de folie. Que proposes-tu ?
- Une rencontre sexe à trois. Roger est absent, en voyage en Afrique. Moi, Catherine, et toi Patrick. Juste pour le plaisir, sans blabla.
- Nous sommes intrigués, nous ne l’avons jamais fait. Comment ça fonctionne, exactement ?
- Simple, venez me voir chez moi, je suis seule, on prend un verre, et on voit si… C’est positif.
- D'accord. Quand et où ? Me répondit très vite Patrick.
Nous nous sommes donné rendez-vous chez moi un samedi soir. Le jour J, je prends une douche prolongée, je choisis mes vêtements minutieusement, une longue robe, fendue sur le côté, très sexy, un mini string blanc, pas de soutien-gorge, j’en porte rarement. J’étais satisfaite car suffisamment provocatrice.
Lorsqu’ils arrivent, là, mon regard croise celui de Catherine, elle me semble encore plus ravissante, avec un air de mystère qui semble cacher mille histoires. Ses yeux bruns sont profonds, et son sourire, léger. Elle porte une petite jupe noire moulante qui souligne ses courbes, un chemisier blanc et des escarpins. L’effet est au rendez-vous. Elle a joué sur le côté sexy du noir en optant pour une jupe très courte, sans être trop voyante. Elle me fait un sourire enjoué aux lèvres et m’embrasse immédiatement.
- Vous êtes pile à l'heure, dis-je, banalement, en les accueillant.
- Toujours. Et toi, tu es encore plus jolie.
Je ris doucement, un son qui semble chasser toutes mes inquiétudes. La conversation s'engage naturellement. Aucune tension, aucun malaise, seulement une connexion sincère. Nous nous installons dans le salon, je leur propose de trinquer pour nos retrouvailles à l’aide d’une coupe de champagne. Catherine est vive, pleine d'humour, tandis que Patrick est plus calme, mais doté d'une présence magnétique. Ils parlent avec une facilité déconcertante, et rapidement, je me sens à l'aise.
Puis vint le moment où la conversation prend une tournure plus intime. Catherine joue avec son verre, un sourire malicieux au coin des lèvres.
- Alors, Carole, qu'est-ce qui t'a donné envie de proposer cette invitation et de faire ce plan à trois ?
Je hausse les épaules, j’hésite à être totalement honnête.
- L'aventure, je suppose. La curiosité. Et peut-être un peu de folie, comme tu l'as dit. La solitude aussi, j'ai besoin de me changer les idées.
Catherine me fixe intensément, ses yeux semblant lire au-delà de mes mots.
- Tu n'as jamais fait ça avant ?
- Non. Ce n’est pas une première pour moi. Mais c’est une première sans Roger.
Patrick pose sa main sur la mienne.
- Ne t'inquiète pas, on ne mord pas… Enfin, pas trop.
Son ton taquin me fait sourire, et la nervosité se dissipe un peu plus. Après quelques coupes et une conversation qui dure plus longtemps que je ne l'aurais imaginé, nous quittons le salon pour nous rendre dans le parc de ma maison pour prendre l’air. Catherine marche à mes côtés, ses doigts effleurant brièvement les miens. À chaque contact, une étincelle me parcoure, tandis que Patrick nous suit tranquillement, le regard toujours empreint d'une chaleur discrète mais intense. Cette nuit d'été est parfaite. Une légère brise fait frémir l'air, et les sons lointains des conversations des voisins donnent à la soirée une sensation d'irréalité. L'idée de ce qui va suivre flotte dans mon esprit, de plus en plus concrète. L'anticipation rend chaque seconde plus vibrante.
Nous décidons de regagner la maison, nous entrons dans ma chambre que j’avais préparée avec des lumières tamisées et une douce musique de jazz en fond sonore pour créer une ambiance confortable.
Catherine fut surprise par la sérénité du lieu, un espace chaleureux et accueillant, un lit moelleux, loin de ce que son imagination lui avait laissé croire.
- Faites comme chez vous, leur dis-je, avec un sourire. Vous voulez boire quelque chose ?
- Pourquoi pas un dernier verre, dit Patrick, tentant de garder un ton détendu.
Je demande à Patrick de préparer les coupes du breuvage préféré de Catherine. Elle me rejoint sur le lit. La proximité de son corps contre le mien m'envoie un frisson d'excitation. Nos jambes se touchent légèrement, et la tension entre nous est palpable, mais elle ne dit rien. Son silence est chargé de promesses.
Patrick revient avec trois coupes et s'assoit de l'autre côté, me piégeant agréablement entre lui et Catherine. Nous trinquons en silence, le moment suspendu dans le temps. Puis, doucement, Catherine pose sa coupe déjà vide, se penche vers moi, et murmure à mon oreille :
- Tu es toujours aussi sûre de vouloir ça ?
Je tourne la tête pour croiser son regard. Ses yeux pétillent de malice et d'excitation. Je n'ai aucune hésitation.
- Oui, répondis-je, ma voix légèrement coquine.
C’est Catherine qui fait le premier pas. Ses lèvres effleurent les miennes avec une douceur qui enflamme immédiatement tous mes sens. Je me laisse aller à son baiser, profond, délicat mais chargé d'une intensité. Pendant ce temps, Patrick pose une main légère sur mon bras, puis mes seins, ses doigts traçant des lignes invisibles qui font battre mon cœur à toute vitesse.
Il n'y a aucune précipitation. Le moment est exquis parce qu'il est lent, presque rituel. Lorsque je me tourne vers Patrick, il est déjà prêt, ses yeux me dévorant du regard. Son baiser est différent de celui de Catherine, plus calme, plus langoureux, mais tout aussi ensorcelant.
A partir de ce moment-là, les choses ont vite dérapé.
J’adore les petits baisers, mais l’envie est trop forte pour moi, alors je me mets nue et je commence directement à manger véritablement la bouche de Catherine. Pendant ce temps, Patrick est en train de se déshabiller, il enlève son pantalon, Le coquin bande comme un taureau. Comme s’il avait pris du viagra. C'est comme irréel…Pas mal pour un mec de cinquante-sept ans.
Puis je glisse ma langue dans la bouche de la belle brune, cherchant la sienne. Nous approfondissons le baiser. Je l’attire vers moi, sentant sa poitrine contre la mienne. Mes bras sont sur son dos en train de la caresser. Je l’embrasse jusqu’à ce que je la sente me toucher. Je gémis dans sa bouche. J’allonge Catherine sur le lit. Nous la comblons Patrick et moi avec des baisers dans le cou. Je la lèche avec ma langue. Elle grignote le lobe de mon oreille, tout en la touchant. Mes mains retrouvent ses seins. Sa poitrine est belle et ferme. Je sens ses mamelons devenir durs. Patrick vient lentement rejoindre mes mains. La poitrine de Catherine a l’air de vouloir se libérer de son soutien-gorge que je dégrafe rapidement. Je pince vite un mamelon. Ma bouche trouve d’abord un mamelon, puis l’autre. Je suce, lèche et touche doucement ses mamelons. Je n’en ai jamais assez. D’abord l’un, puis l’autre. Patrick me caresse de nouveau. Quelle bonne sensation !!!
Pendant que je fais cela, ma main descend le long de son corps, se frayant un chemin jusqu’à sa petite jupe. Je mets d’abord ma main dessous. Je sens la chaleur à travers son string. Je suis en train de trouver une fente. Tout en lui léchant les seins. Je l’a sent mouiller. J’enlève sa jupe et son string d’un seul geste. Elle écarte les jambes, sa chatte est magnifique. Toute épilée avec un petit ticket de métro de poils juste au-dessus. Elle est déjà toute trempée et sa mouille brille sous la lumière tamisée.
Je ne lui donne pas le temps de reculer. J’écarte encore plus ses jambes et j’entre. Je prends un long coup de langue. De l’arrière de sa chatte à l’avant. Doucement. Je fais ça encore et encore. Elle dégouline sur ma langue. Je suis en train de lui en mettre plein la vue. Puis je m’arrête à son clito. Je trouve son bouton dur et gros. Il s’adapte parfaitement dans ma bouche. Je commence juste à le sucer.
Je caresse en même temps ses nichons qui sont bien fermes et m’amuse à lui pincer ses tétons. La petite cochonne a l’air d’aimer ça !!!
Patrick se met aussi rapidement dans le bain en venant me bouffer la chatte. Catherine gémit et se tortille partout sur le lit. Elle mouille bien la salope !!! C’est un déluge de cunnilingus ! Patrick me lèche, pendant que je lèche sa compagne. Toutes les deux gémissons de plaisir… Mais ma bouche ne quitte pas sa chatte, je tiens bon. Je mets mon majeur dans son trou chaud pendant que je lèche son clito. Je la baise avec mes doigts et je la lèche, puis elle explose dans ma bouche. Elle commence à crier qu’elle éjacule :
- Oh oui ma chérie ! Suce-moi encore, suce ma chatte !!! Lèche-moi pendant que je jouis !
Elle n’arrête pas de le répéter jusqu’à ce que son corps ne tremble plus. Je regarde Patrick ébloui par le spectacle offert qui se masturbe énergiquement. L’excitation est à son comble dans cette chambre, dans ma chambre conjugale, notre espace sacré à Roger et moi.
Je ne veux pas lui donner le temps de faire des choses. Alors, je demande à Patrick de m’attraper un jouet que j’avais préparé. Patrick me tend, quelque chose qui va l’époustoufler vraiment. C’est un gode de trente centimètres.
En me le passant celui-ci me déclare :
- Voyons ! Carole, ce n’est pas possible, tu vas lui faire mal.
- Ne t’inquiètes pas, Chéri, Roger me l’enfonce dans le cul ! Lui répondis-je.
Je le mets sur ses lèvres, pour qu’elle le lèche et le mouille bien. Elle le lèche de bas en haut. Elle adore cela, cela la rend folle. Je prends le jouet et je le traîne sur son corps. Au-dessus de ses beaux seins, en mouillant ses tétons, sur son ventre, et sur sa chatte humide et chaude. Je le passe sur les lèvres de sa chatte, elle écarte, elle-même ses jambes le plus largement possible. Au début, je ne veux pas m’en mêler. Je veux qu’elle me désire aussi. Alors je la taquine avec. Je lui passe sur les lèvres, sur le clito, juste en le touchant. Elle est en feu, la belle Catherine.
Doucement j’enfonce le gros gode dans sa chatte, dans son trou chaud, humide et prêt. Elle commence à baiser sur le jouet. Je prends de la vitesse et je pousse de plus en plus fort.
- C’est ça, ma chérie, baise-moi !!! Plus fort !!! Fais-moi jouir !!!
Nous nous regardons avec Patrick, qui se masturbe toujours excité par cette situation inédite pour lui. Sa femme se fait défoncer par une autre femme.
Elle crie toujours. Elle s’agite partout sur le lit, hystérique et impressionnante. Puis elle explose encore.
Je sens son corps trembler et trembler. Je vois ses tétons devenir si durs. Elle est épuisée. Elle est allongée sur le lit, avec un sourire doux et fatigué sur le visage.
Sa première fois est pulsionnelle, sauvage… Elle n’avait jamais pensé se retrouver dans cette situation un jour… Dans un lit avec une autre femme, avec ses doigts en moi et nos corps fusionnés pendant une longue période. Nous ne formons plus qu’une personne. Nous laissons Patrick nous caresser, Catherine, la compagne possessive et jalouse, est prête à partager son chéri !!! L’ambiance est devenue de plus en plus chaude, Patrick enfile un préservatif, il est temps que son chéri enfonce sa grosse bite dans ma chatte de salope après avoir autant fait jouir sa belle. L’un comme l’autre, nous ne nous sommes pas fait prier avant de se mettre en action.
Catherine est très excitée de nous voir baiser de la sorte. Elle essaie de se frayer un chemin pour gober les couilles de son compagnon pendant que sa queue me défonce. Elle se met derrière moi afin de me malaxer les seins et de titiller mon clito pendant que je chevauche son homme. Mon petit cul bombé rebondit contre ses couilles pleines. Je cris comme une coquine et dit à un moment à voix haute :
- Donne-moi des fessées, tire-moi les cheveux, je veux que tu me prennes comme une chienne.
Pour Patrick, c’est l'apothéose ! Il a deux coquines soumises rien que pour lui…Deux salopes…
Je ne peux retenir mes gémissements qui ne font qu’accroître son excitation. Je ne mets d’ailleurs pas longtemps à jouir.
Puis c’est au tour de Catherine de se mettre en position de chevauchement de Patrick et là c’est moi qui lèche ses nibards et l’embrasse à pleine bouche. Tout comme moi, elle laisse exploser un orgasme de malade. Puis elle déclare en murmurant :
- Qu’est-ce que c’est bon ce plan avec toi, ma chérie…
Pour clôturer cette bonne baise, une première pour nous trois, et surtout pour moi en l’absence de Roger, nous suçons Patrick en duo, celui-ci n’a pas tardé à lâcher tout son foutre chaud sur nos visages. Nous nous sommes léchées le visage, avalant sa semence jusqu'à la dernière goutte.
- C'était magique, comme un film porno mais en vrai ! Un plan à trois de rêve ! Dit Patrick satisfait.
Le matin suivant, le soleil filtre à travers les rideaux de ma chambre, et l'odeur du café emplit l'air. Je m'éveille lentement, sentant la chaleur de deux corps contre le mien. Catherine dort encore, la tête appuyée contre mon épaule, tandis que Patrick, déjà réveillé, sirote une tasse de café en silence.
- Bien dormie ? murmura-t-il avec un sourire complice.
Je souris à mon tour, encore enveloppée dans la douceur de la nuit passée.
- Merveilleusement.
Patrick pose sa tasse et se penche pour déposer un baiser léger sur ma joue.
- Tu as été parfaite. Pour une première fois, pour nous.
Je laisse échapper un rire, légèrement gênée mais heureuse.
- Merci. Vous avez été incroyables.
Il hausse les épaules, l'air malicieux.
- Nous sommes juste nous-mêmes.
Catherine ouvre un œil à ce moment-là, son sourire endormi ajoutant à la chaleur du moment.
- La prochaine fois, on pourrait essayer quelque chose d'encore plus… aventureux, dit-elle en étirant ses bras.
- La prochaine fois ? Répétai-je, mon cœur battant de nouveau à toute vitesse.
Elle rit doucement, un éclat joyeux dans le regard.
- Oui, si tu es toujours partante.
Je vais laisser le soin à Catherine et Patrick de clôturer ce récit en laissant leurs commentaires.
« Pour un premier trio improbable avec une belle femme mâture, la femme d’un nos amis en plus, je peux vous dire que c’est encore plus fou que ce que je pouvais imaginer. Ma première fois fut jouissive…Elle m’a initié aux plaisirs lesbiens. J’en mouille rien qu’en y pensant !!! ». Déclare Catherine.
« Voilà comment j'ai découvert le sexe avec deux femmes « bisexuelles » ! Ma compagne et la femme d’un ami. Depuis ce jour-là, nous essayons régulièrement de rencontrer Carole dès que nous en avons l'occasion. Ce plan à trois a changé a jamais ma sexualité et je ne regrette pas d'avoir répondu au SMS de Carole. Je n'aurai jamais réalisé ce fantasme sans elle. Même si cette rencontre a légèrement déplu à Roger ! Et je peux le comprendre. » Déclare Patrick.
C’est une soirée ordinaire de la fin de l'été 2023, Roger est en « voyage humanitaire », avec son association, il mène des campagnes de sensibilisation auprès de la population Mauritanienne pour lutter contre le diabète et soutien les centres de santé pour la gestion de cette maladie, car elle constitue aujourd'hui une urgence de santé publique.
Il est parti depuis trois semaines, la solitude est bien trop présente pour moi, pour que je l'ignore. J'ai besoin de me changer les idées et quoi de mieux que d’inviter des personnes que l’on apprécie. Avec Roger, nous avions rencontré lors d’une soirée privée un couple plutôt sympathique qui venait de s’installer en Charente-Maritime.
Catherine, très belle femme brune de cinquante-quatre ans, est toujours séduisante, elle est très sportive, tonique toujours très joyeuse, j’avais apprécié cette belle personne lors du premier contact.
Patrick, lui est âgé à ce moment-là de cinquante-sept ans, c’est un très bel homme, très respectueux, bienveillant et très endurant dont le seul but lors de notre soirée privée avait été de me faire jouir, c’est très rare dans nos rencontres, sa préoccupation principale était mon plaisir.
Je ne me souviens plus exactement de la façon dont j’ai procédé pour provoquer cette invitation de ce couple que je n’avais rencontré qu’une seule fois. Je me souviens simplement d’une remarque de Patrick qui m’avait informée de la jalousie de son épouse, mais aussi pour une certaine attirance pour une expérience avec une autre femme en sa présence.
J’avais tout de suite accroché l'idée. J’avais également enregistrée leurs numéros de portable. Une femme et un homme pour me faire oublier ma solitude ! Sans attentes précises, je souhaitais passer une bonne soirée. J’envoyais un message à Patrick :
- Bonjour les amis. J'ai une idée un peu folle, si vous êtes partants ?
La réponse ne tarda pas. Ça semblait presque trop simple, trop direct pour être vrai.
- Bonjour Carole, nous sommes toujours partants pour un peu de folie. Que proposes-tu ?
- Une rencontre sexe à trois. Roger est absent, en voyage en Afrique. Moi, Catherine, et toi Patrick. Juste pour le plaisir, sans blabla.
- Nous sommes intrigués, nous ne l’avons jamais fait. Comment ça fonctionne, exactement ?
- Simple, venez me voir chez moi, je suis seule, on prend un verre, et on voit si… C’est positif.
- D'accord. Quand et où ? Me répondit très vite Patrick.
Nous nous sommes donné rendez-vous chez moi un samedi soir. Le jour J, je prends une douche prolongée, je choisis mes vêtements minutieusement, une longue robe, fendue sur le côté, très sexy, un mini string blanc, pas de soutien-gorge, j’en porte rarement. J’étais satisfaite car suffisamment provocatrice.
Lorsqu’ils arrivent, là, mon regard croise celui de Catherine, elle me semble encore plus ravissante, avec un air de mystère qui semble cacher mille histoires. Ses yeux bruns sont profonds, et son sourire, léger. Elle porte une petite jupe noire moulante qui souligne ses courbes, un chemisier blanc et des escarpins. L’effet est au rendez-vous. Elle a joué sur le côté sexy du noir en optant pour une jupe très courte, sans être trop voyante. Elle me fait un sourire enjoué aux lèvres et m’embrasse immédiatement.
- Vous êtes pile à l'heure, dis-je, banalement, en les accueillant.
- Toujours. Et toi, tu es encore plus jolie.
Je ris doucement, un son qui semble chasser toutes mes inquiétudes. La conversation s'engage naturellement. Aucune tension, aucun malaise, seulement une connexion sincère. Nous nous installons dans le salon, je leur propose de trinquer pour nos retrouvailles à l’aide d’une coupe de champagne. Catherine est vive, pleine d'humour, tandis que Patrick est plus calme, mais doté d'une présence magnétique. Ils parlent avec une facilité déconcertante, et rapidement, je me sens à l'aise.
Puis vint le moment où la conversation prend une tournure plus intime. Catherine joue avec son verre, un sourire malicieux au coin des lèvres.
- Alors, Carole, qu'est-ce qui t'a donné envie de proposer cette invitation et de faire ce plan à trois ?
Je hausse les épaules, j’hésite à être totalement honnête.
- L'aventure, je suppose. La curiosité. Et peut-être un peu de folie, comme tu l'as dit. La solitude aussi, j'ai besoin de me changer les idées.
Catherine me fixe intensément, ses yeux semblant lire au-delà de mes mots.
- Tu n'as jamais fait ça avant ?
- Non. Ce n’est pas une première pour moi. Mais c’est une première sans Roger.
Patrick pose sa main sur la mienne.
- Ne t'inquiète pas, on ne mord pas… Enfin, pas trop.
Son ton taquin me fait sourire, et la nervosité se dissipe un peu plus. Après quelques coupes et une conversation qui dure plus longtemps que je ne l'aurais imaginé, nous quittons le salon pour nous rendre dans le parc de ma maison pour prendre l’air. Catherine marche à mes côtés, ses doigts effleurant brièvement les miens. À chaque contact, une étincelle me parcoure, tandis que Patrick nous suit tranquillement, le regard toujours empreint d'une chaleur discrète mais intense. Cette nuit d'été est parfaite. Une légère brise fait frémir l'air, et les sons lointains des conversations des voisins donnent à la soirée une sensation d'irréalité. L'idée de ce qui va suivre flotte dans mon esprit, de plus en plus concrète. L'anticipation rend chaque seconde plus vibrante.
Nous décidons de regagner la maison, nous entrons dans ma chambre que j’avais préparée avec des lumières tamisées et une douce musique de jazz en fond sonore pour créer une ambiance confortable.
Catherine fut surprise par la sérénité du lieu, un espace chaleureux et accueillant, un lit moelleux, loin de ce que son imagination lui avait laissé croire.
- Faites comme chez vous, leur dis-je, avec un sourire. Vous voulez boire quelque chose ?
- Pourquoi pas un dernier verre, dit Patrick, tentant de garder un ton détendu.
Je demande à Patrick de préparer les coupes du breuvage préféré de Catherine. Elle me rejoint sur le lit. La proximité de son corps contre le mien m'envoie un frisson d'excitation. Nos jambes se touchent légèrement, et la tension entre nous est palpable, mais elle ne dit rien. Son silence est chargé de promesses.
Patrick revient avec trois coupes et s'assoit de l'autre côté, me piégeant agréablement entre lui et Catherine. Nous trinquons en silence, le moment suspendu dans le temps. Puis, doucement, Catherine pose sa coupe déjà vide, se penche vers moi, et murmure à mon oreille :
- Tu es toujours aussi sûre de vouloir ça ?
Je tourne la tête pour croiser son regard. Ses yeux pétillent de malice et d'excitation. Je n'ai aucune hésitation.
- Oui, répondis-je, ma voix légèrement coquine.
C’est Catherine qui fait le premier pas. Ses lèvres effleurent les miennes avec une douceur qui enflamme immédiatement tous mes sens. Je me laisse aller à son baiser, profond, délicat mais chargé d'une intensité. Pendant ce temps, Patrick pose une main légère sur mon bras, puis mes seins, ses doigts traçant des lignes invisibles qui font battre mon cœur à toute vitesse.
Il n'y a aucune précipitation. Le moment est exquis parce qu'il est lent, presque rituel. Lorsque je me tourne vers Patrick, il est déjà prêt, ses yeux me dévorant du regard. Son baiser est différent de celui de Catherine, plus calme, plus langoureux, mais tout aussi ensorcelant.
A partir de ce moment-là, les choses ont vite dérapé.
J’adore les petits baisers, mais l’envie est trop forte pour moi, alors je me mets nue et je commence directement à manger véritablement la bouche de Catherine. Pendant ce temps, Patrick est en train de se déshabiller, il enlève son pantalon, Le coquin bande comme un taureau. Comme s’il avait pris du viagra. C'est comme irréel…Pas mal pour un mec de cinquante-sept ans.
Puis je glisse ma langue dans la bouche de la belle brune, cherchant la sienne. Nous approfondissons le baiser. Je l’attire vers moi, sentant sa poitrine contre la mienne. Mes bras sont sur son dos en train de la caresser. Je l’embrasse jusqu’à ce que je la sente me toucher. Je gémis dans sa bouche. J’allonge Catherine sur le lit. Nous la comblons Patrick et moi avec des baisers dans le cou. Je la lèche avec ma langue. Elle grignote le lobe de mon oreille, tout en la touchant. Mes mains retrouvent ses seins. Sa poitrine est belle et ferme. Je sens ses mamelons devenir durs. Patrick vient lentement rejoindre mes mains. La poitrine de Catherine a l’air de vouloir se libérer de son soutien-gorge que je dégrafe rapidement. Je pince vite un mamelon. Ma bouche trouve d’abord un mamelon, puis l’autre. Je suce, lèche et touche doucement ses mamelons. Je n’en ai jamais assez. D’abord l’un, puis l’autre. Patrick me caresse de nouveau. Quelle bonne sensation !!!
Pendant que je fais cela, ma main descend le long de son corps, se frayant un chemin jusqu’à sa petite jupe. Je mets d’abord ma main dessous. Je sens la chaleur à travers son string. Je suis en train de trouver une fente. Tout en lui léchant les seins. Je l’a sent mouiller. J’enlève sa jupe et son string d’un seul geste. Elle écarte les jambes, sa chatte est magnifique. Toute épilée avec un petit ticket de métro de poils juste au-dessus. Elle est déjà toute trempée et sa mouille brille sous la lumière tamisée.
Je ne lui donne pas le temps de reculer. J’écarte encore plus ses jambes et j’entre. Je prends un long coup de langue. De l’arrière de sa chatte à l’avant. Doucement. Je fais ça encore et encore. Elle dégouline sur ma langue. Je suis en train de lui en mettre plein la vue. Puis je m’arrête à son clito. Je trouve son bouton dur et gros. Il s’adapte parfaitement dans ma bouche. Je commence juste à le sucer.
Je caresse en même temps ses nichons qui sont bien fermes et m’amuse à lui pincer ses tétons. La petite cochonne a l’air d’aimer ça !!!
Patrick se met aussi rapidement dans le bain en venant me bouffer la chatte. Catherine gémit et se tortille partout sur le lit. Elle mouille bien la salope !!! C’est un déluge de cunnilingus ! Patrick me lèche, pendant que je lèche sa compagne. Toutes les deux gémissons de plaisir… Mais ma bouche ne quitte pas sa chatte, je tiens bon. Je mets mon majeur dans son trou chaud pendant que je lèche son clito. Je la baise avec mes doigts et je la lèche, puis elle explose dans ma bouche. Elle commence à crier qu’elle éjacule :
- Oh oui ma chérie ! Suce-moi encore, suce ma chatte !!! Lèche-moi pendant que je jouis !
Elle n’arrête pas de le répéter jusqu’à ce que son corps ne tremble plus. Je regarde Patrick ébloui par le spectacle offert qui se masturbe énergiquement. L’excitation est à son comble dans cette chambre, dans ma chambre conjugale, notre espace sacré à Roger et moi.
Je ne veux pas lui donner le temps de faire des choses. Alors, je demande à Patrick de m’attraper un jouet que j’avais préparé. Patrick me tend, quelque chose qui va l’époustoufler vraiment. C’est un gode de trente centimètres.
En me le passant celui-ci me déclare :
- Voyons ! Carole, ce n’est pas possible, tu vas lui faire mal.
- Ne t’inquiètes pas, Chéri, Roger me l’enfonce dans le cul ! Lui répondis-je.
Je le mets sur ses lèvres, pour qu’elle le lèche et le mouille bien. Elle le lèche de bas en haut. Elle adore cela, cela la rend folle. Je prends le jouet et je le traîne sur son corps. Au-dessus de ses beaux seins, en mouillant ses tétons, sur son ventre, et sur sa chatte humide et chaude. Je le passe sur les lèvres de sa chatte, elle écarte, elle-même ses jambes le plus largement possible. Au début, je ne veux pas m’en mêler. Je veux qu’elle me désire aussi. Alors je la taquine avec. Je lui passe sur les lèvres, sur le clito, juste en le touchant. Elle est en feu, la belle Catherine.
Doucement j’enfonce le gros gode dans sa chatte, dans son trou chaud, humide et prêt. Elle commence à baiser sur le jouet. Je prends de la vitesse et je pousse de plus en plus fort.
- C’est ça, ma chérie, baise-moi !!! Plus fort !!! Fais-moi jouir !!!
Nous nous regardons avec Patrick, qui se masturbe toujours excité par cette situation inédite pour lui. Sa femme se fait défoncer par une autre femme.
Elle crie toujours. Elle s’agite partout sur le lit, hystérique et impressionnante. Puis elle explose encore.
Je sens son corps trembler et trembler. Je vois ses tétons devenir si durs. Elle est épuisée. Elle est allongée sur le lit, avec un sourire doux et fatigué sur le visage.
Sa première fois est pulsionnelle, sauvage… Elle n’avait jamais pensé se retrouver dans cette situation un jour… Dans un lit avec une autre femme, avec ses doigts en moi et nos corps fusionnés pendant une longue période. Nous ne formons plus qu’une personne. Nous laissons Patrick nous caresser, Catherine, la compagne possessive et jalouse, est prête à partager son chéri !!! L’ambiance est devenue de plus en plus chaude, Patrick enfile un préservatif, il est temps que son chéri enfonce sa grosse bite dans ma chatte de salope après avoir autant fait jouir sa belle. L’un comme l’autre, nous ne nous sommes pas fait prier avant de se mettre en action.
Catherine est très excitée de nous voir baiser de la sorte. Elle essaie de se frayer un chemin pour gober les couilles de son compagnon pendant que sa queue me défonce. Elle se met derrière moi afin de me malaxer les seins et de titiller mon clito pendant que je chevauche son homme. Mon petit cul bombé rebondit contre ses couilles pleines. Je cris comme une coquine et dit à un moment à voix haute :
- Donne-moi des fessées, tire-moi les cheveux, je veux que tu me prennes comme une chienne.
Pour Patrick, c’est l'apothéose ! Il a deux coquines soumises rien que pour lui…Deux salopes…
Je ne peux retenir mes gémissements qui ne font qu’accroître son excitation. Je ne mets d’ailleurs pas longtemps à jouir.
Puis c’est au tour de Catherine de se mettre en position de chevauchement de Patrick et là c’est moi qui lèche ses nibards et l’embrasse à pleine bouche. Tout comme moi, elle laisse exploser un orgasme de malade. Puis elle déclare en murmurant :
- Qu’est-ce que c’est bon ce plan avec toi, ma chérie…
Pour clôturer cette bonne baise, une première pour nous trois, et surtout pour moi en l’absence de Roger, nous suçons Patrick en duo, celui-ci n’a pas tardé à lâcher tout son foutre chaud sur nos visages. Nous nous sommes léchées le visage, avalant sa semence jusqu'à la dernière goutte.
- C'était magique, comme un film porno mais en vrai ! Un plan à trois de rêve ! Dit Patrick satisfait.
Le matin suivant, le soleil filtre à travers les rideaux de ma chambre, et l'odeur du café emplit l'air. Je m'éveille lentement, sentant la chaleur de deux corps contre le mien. Catherine dort encore, la tête appuyée contre mon épaule, tandis que Patrick, déjà réveillé, sirote une tasse de café en silence.
- Bien dormie ? murmura-t-il avec un sourire complice.
Je souris à mon tour, encore enveloppée dans la douceur de la nuit passée.
- Merveilleusement.
Patrick pose sa tasse et se penche pour déposer un baiser léger sur ma joue.
- Tu as été parfaite. Pour une première fois, pour nous.
Je laisse échapper un rire, légèrement gênée mais heureuse.
- Merci. Vous avez été incroyables.
Il hausse les épaules, l'air malicieux.
- Nous sommes juste nous-mêmes.
Catherine ouvre un œil à ce moment-là, son sourire endormi ajoutant à la chaleur du moment.
- La prochaine fois, on pourrait essayer quelque chose d'encore plus… aventureux, dit-elle en étirant ses bras.
- La prochaine fois ? Répétai-je, mon cœur battant de nouveau à toute vitesse.
Elle rit doucement, un éclat joyeux dans le regard.
- Oui, si tu es toujours partante.
Je vais laisser le soin à Catherine et Patrick de clôturer ce récit en laissant leurs commentaires.
« Pour un premier trio improbable avec une belle femme mâture, la femme d’un nos amis en plus, je peux vous dire que c’est encore plus fou que ce que je pouvais imaginer. Ma première fois fut jouissive…Elle m’a initié aux plaisirs lesbiens. J’en mouille rien qu’en y pensant !!! ». Déclare Catherine.
« Voilà comment j'ai découvert le sexe avec deux femmes « bisexuelles » ! Ma compagne et la femme d’un ami. Depuis ce jour-là, nous essayons régulièrement de rencontrer Carole dès que nous en avons l'occasion. Ce plan à trois a changé a jamais ma sexualité et je ne regrette pas d'avoir répondu au SMS de Carole. Je n'aurai jamais réalisé ce fantasme sans elle. Même si cette rencontre a légèrement déplu à Roger ! Et je peux le comprendre. » Déclare Patrick.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour votre commentaire Jacques. Vous avez parfaitement raison et je me dois de vous donner quelques explications.
A la suite de cette liaison adultère, j’étais torturée entre l’angoisse de faire mal à Roger et ce besoin de déculpabiliser. J’avais peur de faire exploser la confiance dans notre couple. J’éprouvais le sentiment d’être fautive, c’était une bêtise, j’avais franchi la ligne jaune de l’infidélité, voire ébranler complètement les fondations de notre histoire d’amour.
Avant d’avouer mon infidélité à Roger, je voulais savoir pourquoi je l’avais trompé. Inutile de me chercher des excuses car je savais que Roger ne me trouverait aucune circonstance atténuante.
Avouer ou pas? Quelle que soit l’explication donnée pour minimiser ma tromperie, Roger sera anéanti pour une escapade d’un soir, pour le désir de vivre une expérience différente et assouvir un fantasme.
Après de longues interrogations pendant deux semaines, j’ai donc choisi d’avouer, pour être honnête, nous nous étions promis de tout nous dire dans notre couple. Ce n’était pas un accident, ni une insatisfaction dans notre vie commune ou à notre vie sexuelle. Roger connait parfaitement ma sexualité compulsive et ma recherche continue et persistante du plaisir sexuel. Il m’a avoué que son absence de cinq semaines avait favorisé cette rencontre avec nos amis libertin, mais il n’a pas compris de ne pas être informé de ma décision de les rencontrer sans lui ou même avec sa bénédiction qu'il m'aurait accordée. C'était vraiment une erreur de ma part. Je dois vous l'avouer.
Carole
A la suite de cette liaison adultère, j’étais torturée entre l’angoisse de faire mal à Roger et ce besoin de déculpabiliser. J’avais peur de faire exploser la confiance dans notre couple. J’éprouvais le sentiment d’être fautive, c’était une bêtise, j’avais franchi la ligne jaune de l’infidélité, voire ébranler complètement les fondations de notre histoire d’amour.
Avant d’avouer mon infidélité à Roger, je voulais savoir pourquoi je l’avais trompé. Inutile de me chercher des excuses car je savais que Roger ne me trouverait aucune circonstance atténuante.
Avouer ou pas? Quelle que soit l’explication donnée pour minimiser ma tromperie, Roger sera anéanti pour une escapade d’un soir, pour le désir de vivre une expérience différente et assouvir un fantasme.
Après de longues interrogations pendant deux semaines, j’ai donc choisi d’avouer, pour être honnête, nous nous étions promis de tout nous dire dans notre couple. Ce n’était pas un accident, ni une insatisfaction dans notre vie commune ou à notre vie sexuelle. Roger connait parfaitement ma sexualité compulsive et ma recherche continue et persistante du plaisir sexuel. Il m’a avoué que son absence de cinq semaines avait favorisé cette rencontre avec nos amis libertin, mais il n’a pas compris de ne pas être informé de ma décision de les rencontrer sans lui ou même avec sa bénédiction qu'il m'aurait accordée. C'était vraiment une erreur de ma part. Je dois vous l'avouer.
Carole
J’aurais probablement eu la même réaction que Roger. Les aventures de couples se vivent en couple.
Savoir que sa conjointe s’envoie en l’air pendant que moi je résiste et réussi à respecter mon contrat ne m’aurait réjouit en aucun temps.
Ça n’aurait pas marché pour moi non plus et effectivement un gros problème aurait été décelé.
Savoir que sa conjointe s’envoie en l’air pendant que moi je résiste et réussi à respecter mon contrat ne m’aurait réjouit en aucun temps.
Ça n’aurait pas marché pour moi non plus et effectivement un gros problème aurait été décelé.
Je suis désolée pour la faute de frappe..."poursuivre l'écriture"...
Merci Jef, merci pour ces compliments qui peuvent que m'encourager à poursuivre l'écritures de nos aventures et celles de nos amis libertins.
Vous avez raison, Patrick est très endurant et surtout très bienveillant, le seul petit problème fut le retour de Roger !!!
Carole.
Vous avez raison, Patrick est très endurant et surtout très bienveillant, le seul petit problème fut le retour de Roger !!!
Carole.
Belle écriture , beau scénario, ça aurait pu durer encore, je suis sur que Patrick avait de la réserve !
Jef
Jef

