Catherine relève le défi de Patrick : Elle doit pervertir son médecin généraliste.

- Par l'auteur HDS Caro16 -
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Récit libertin : Catherine relève le défi de Patrick : Elle doit pervertir son médecin généraliste. Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Catherine relève le défi de Patrick : Elle doit pervertir son médecin généraliste.
Je poursuis ma série sur nos amis libertins Catherine et Patrick que je vous représente brièvement :
Catherine, est une très belle femme brune de cinquante-quatre ans, séductrice, féminine, sociable, douée pour la discussion, très sportive, tonique toujours très joyeuse.
Patrick, lui est âgé de cinquante-huit ans, c’est un très bel homme, sportif, à la silhouette entretenue. Libertin depuis l’âge de trente-cinq ans, son comportement sexuel a évolué en rencontrant Catherine, femme plutôt « sage » qu’il a transformée en femme aguicheuse et avide d’aventures sexuelles. L’effet déclencheur fut la rencontre et l’aventure de la plage avec Nabil ou elle l’avait trompé avec un parfait inconnu. Cela aurait dû le rendre jaloux. Ce fut une révélation, il a trouvé une excitation dans le fait de partager sa compagne de façon respectueuse et consensuelle. Cela fait bientôt cinq ans qu’il vit avec sa tendre et belle Catherine et le fait de partager sa vie nourrit son esprit de toutes sortes de pensées les plus folles. Sans limites ! Ses fantasmes font travailler son imaginaire !
Sachant que Catherine ne réalisera jamais ce qu’elle ne désire pas, ce qu’elle ne veut pas.
Depuis une dizaine de jours, Catherine souffre de vertiges et d’étourdissements. Elle est fatiguée excessivement, elle se sent épuisée en manque d’énergie, même après un repos adéquat. Cette fatigue persistante affecte sa capacité à effectuer ses tâches quotidiennes de manière efficace.
Malgré cela, Patrick, très imaginatif, lui demande de bien vouloir vivre une expérience : « jouer au docteur », c’est-à-dire à se livrer à des plaisirs charnels avec leur docteur. Une expérience particulièrement transgressive et immorale, puisqu’il faut réussir à pervertir un docteur dans son cabinet médical. Sachant que celui-ci ne leur semble pas libertin, qu’ils le connaissent très peu car ils habitent la région depuis quinze mois.
Le jour de la consultation, Patrick, travaille et ne peut se libérer. Mais il a mis Catherine au défi de séduire le « praticien », de s’exhiber et même davantage. Il sait pertinemment que s’il ne s’est rien passé, elle lui dira sans mentir. Catherine est perplexe, ce n’est pas simple comme défi, mais cela l’excite terriblement.
Elle se dirige donc vers le cabinet du Docteur Philippe à Royan. Ce matin, elle se sent mieux, seul son dos est douloureux, quelques courbatures persistent.
Le climat est doux, nous sommes au printemps, l’air n’est ni chaud, ni froid. Quelques temps plus tôt, elle sortait de sa douche et enfilait un petit string blanc, une petite jupe noire, un débardeur blanc moulant avec un décolleté plutôt plongeant. Afin d’être la plus claire possible, elle choisit des talons aiguilles de dix centimètres et bas nylons. Monsieur Philippe connaît leurs pratiques libertines, c’est très important lorsqu’on est libertins pratiquants de pouvoir se confier librement au personnel de santé.
Elle arrive à la porte de la maison de santé. L’entrée débouche directement sur une salle d’attente. Le cabinet est installé dans une ancienne maison. Elle patiente sagement en attendant son tour comme une patiente normale en feuilletant une revue people. Sauf qu’elle a une idée en tête… Il ne lui faut pas trop tergiverser, sinon elle va se dégonfler.
La porte s’ouvre. Catherine est la suivante
- Bonjour Madame Com…, vous êtes ravissante, comment allez-vous ? Lui dit le docteur d’une voix virile mais enjouée.
- Très bien et vous Monsieur Philippe ? Répondit-elle sur un ton tout aussi jovial et coquin.
- Parfaitement bien merci. Entrez, je vous en prie ! L’invite le docteur.
Les mains de Catherine sont moites, son cœur s’emballe, elle sait qu’elle va foncer droit dans un tabou pour relever un challenge « ordonné » par son « petit cocu » de compagnon et cela l’excite. Elle adore.
Il lui tient la porte, elle se faufile à l’intérieur de la salle lumineuse, dépose ses affaires sur le porte-manteau.
Le docteur Philippe doit avoir une bonne quarantaine d’année, ses cheveux commencent à devenir poivre et sel, des petites rides font leur apparition au coin de ses yeux, il doit mesurer un mètre-quatre-vingt, il est ni gros ni maigre, le visage rectangulaire, le regard vif, le sourire mignon avec des yeux bridés. C’est un adepte de la course à pied puisque Catherine et Patrick le croisent très souvent sur la corniche de Pontaillac. Il est élégamment vêtu d’une chemise blanche et d’un pantalon fin noir.
En se retournant vers le docteur, elle remarque que celui-ci en a profité pour laisser son regard observer sa silhouette. Il a l’air gêné, mais reprend très vite la parole.
- Asseyez-vous, je vous en prie.
Elle s’exécute avec un sourire enjôleur, prenant bien soin de croiser ses jambes en dévoilant le haut de ses cuisses.
Le docteur fait le tour de son bureau pour s’assoir sur sa chaise.
- Alors, que vous arrive-t-il ? Demande le docteur.
En croisant ses mains en la regardant avec un sourire charmeur. Regard posé sur sa tenue, ses longues jambes, ses escarpins. Catherine saute sur l’occasion (et non sur le médecin) pour soulever sa jupe et lui en montrer un peu plus.
Il devient rouge pivoine !!! Mince !!!
Elle lui explique ses baisses de tensions, sa fatigue générale et son mal de dos, le docteur l’écoutant avec la plus grande attention en continuant de fixer ses cuisses et sa poitrine partiellement découverte.
- Vous avez une charge de travail plus importante actuellement ? Lui demande-t-il sur un ton sérieux.
- Rien de spécial, docteur.
- Pratiquez-vous un sport ? Je suppose que oui en dehors de vos activités libertines, rajoute le docteur avec un regard pétillant et coquin.
- Oui, bien sûr, le libertinage c’est vital pour nous, la natation et la course à pieds, mais nous nous croisons très souvent, docteur.
- Bien ! C’est très bien ! Vous n’avez pas de fièvre ? Avez-vous attrapé un coup de froid, pas d’éternuement, de maux de gorge ?
- Je ne pense pas. C’est vrai que je ne me couvre pas autant que je le devrais, mais j’adore être sexy. Vous comprenez ?
- Oui, je comprends et j’apprécie ! Vous dormez assez ? Vous ne faites pas trop de soirées coquines avec votre mari ? Enchaine le docteur.
- Nous rencontrons de temps en temps les week-ends, mais rarement en semaine. Répondit-elle, le plus naturellement possible, comme si c’était la normalité.
- Vous voyant, j’aurais pensé que vous aviez une forte « activité ». Non ? Lui répond le médecin de plus en plus coquin, tandis que Catherine rougissait du compliment.
- Nous allons faire un petit examen pour voir tout cela.
Catherine est contente, car son approche un peu osée fonctionne. Par le passé, elle a déjà essayé la subtilité et les allusions plus ou moins explicites en étant seule, mais ça n’a jamais abouti à rien. Elle acquiesçait alors que le docteur Philippe se levait et refaisait le tour de son bureau.
- Pouvez-vous vous lever, s’il vous plait, lui demande-t-il d’un ton sec et avec le regard de plus en plus coquin.
- Oui, bien sûr, répond-t-elle en se levant et en le regardant fixement dans les yeux.
- Très bien. Maintenant tournez-vous.
Une fois de plus, Catherine s’exécute. Elle sent que le docteur s’accroupit face à son cul. La main chaude et douce se pose sur le bas de son dos. C’est une grosse main, d’une délicatesse extrême. Ses gestes sont calmes et rassurants.
- C’est ici que vous avez mal ? Demande le docteur.
Elle le guide vers les endroits ou la douleur se fait ressentir. Ses mains s’égarent et parcourent son dos avec virilité et tendresse. Puis ses mains se glissent sous sa « jupette », se posent sous ses fesses et palpent ses cuisses fermes. Elle frémit, ce bon docteur l’excite au plus haut point. Elle laisse échapper un petit gémissement de satisfaction avec une respiration de plus en plus forte.
- Humm !
- Détendez-vous ! Je suis médecin… Lui dit-il calmement.
- Désolée, mais c’est tellement bon. Répond-elle, en le fixant droit dans les yeux.
- Vous avez également mal aux cuisses ? Lui demande-t-il, en continuant de lui palper les jambes sur toute la longueur avant de revenir vers le haut des cuisses en effleurant son string.
- Oui, vous avez raison, je ressens un petit quelque chose, mais ce n’est pas vraiment de la douleur, si vous voyez ce que je veux dire.
- Bien, asseyez-vous sur la table d’examen. Lui dit le bon docteur Philippe en se relevant.
Elle s’assoit sur la table en prenant soin de bien relever sa jupe, pendant que le médecin met ses instruments à portée de main. Il l’observe en fixant son entrecuisse, il lui passe un brassard autour de son bras et lui prend la tension. Ses yeux passent de l’entrecuisse au petit cadran qui lui affiche le résultat à son décolleté qui semble les hypnotiser.
- Votre tension est un peu faible, ma chère ! Lui dit-il sur un ton apaisant.
Ses mains douces enlèvent le brassard, un frisson la parcoure, l’excitant toujours plus. Le docteur Philippe saisit un stéthoscope et le passe autour de son cou tout en la regardant intensivement.
- Pouvez-vous enlever votre haut, « Mademoiselle ». Demande –t-il d’une voix polissonne.
- Mais bien sûr, « jeune homme », mais je n’ai pas de soutien-gorge.
- Vous savez, je suis médecin, j’ai déjà vu plus d’une poitrine, mais vous c’est différent…Lui confie-t-il de plus en plus coquin.
Très vite, elle libère ses seins et lui expose sa belle poitrine. Elle voit le regard du médecin se poser sur ses seins ferme et bien ronds. Ses tétons commencent à pointer et une bouffée de chaleur s’empare d’elle. L’excitation est de plus en plus palpable, elle est là, seins à l’air, la jupe relevée au maximum, dévoilant son petit string blanc déjà bien humide sans aucune gêne.
- Souhaitez-vous, vous allonger sur le dos ? lui prose le docteur Philippe.
- Oui, je veux bien.
Elle s’allonge en prenant bien soin d’écarter les cuisses tout en incurvant la région lombaire pour projeter sa poitrine vers l'avant. Elle le regarde effrontément dans les yeux fixement, offerte à la vue de ce bel étalon. Son cœur bat la chamade, son string est trempé et elle gémit encore lorsqu’elle sent le petit disque se poser sur sa peau. Le médecin pose délicatement son instrument contre elle, provoquant à chaque fois un frisson. Elle n’en peut plus, elle a très envie de lui sauter dessus. Ses seins sont tout durs et pointent de plus en plus, Catherine essaie vainement de contrôler sa respiration. Une fois encore les gestes du toubib sont délicats, elle sent une chaleur s’emparer de son bas ventre alors que ses mains caressent ses seins.
- Votre pouls est normal. Lui dit-il tout en continuant à lui frôler les seins.
- Et croyez-moi, votre poitrine est de loin la plus belle que j’ai eu la chance de voir depuis très longtemps. Rajoute-t-il.
- Merci, ça fait toujours plaisir, docteur. Répondît-elle toujours aussi coquinement.
- Vos amis libertins doivent être ravis lors de vos soirées. Ajoute-t-il.
- Vous devriez venir pour vérifier !
La chaleur la submerge intérieurement, honorée du compliment, elle se demande quand va-t-il passer à l’action. Le docteur Philippe va ranger son stéthoscope et elle remarque que son pantalon fin met en évidence une bosse importante. Le bon docteur bande comme un malade. Il revient vers elle, son regard parcourant son corps offert et lui demande :
- Pouvez-vous, vous mettre sur le ventre, « belle jeune fille », je vous prie.
- Oh oui, avec plaisir, « jeune homme ».
Elle s’installe sur le ventre, elle sent de suite les mains délicates du docteur lui caresser le bas du dos. Il alterne palpations, caresses et massages. Cela lui fait un bien fou, et s’abandonne à ses mouvements sensuels lorsqu’il ajoute :
- Je vais prendre votre température. Cela vous gêne si j’utilise un thermomètre rectal ? Lui demande-t-il le plus naturellement possible.
- Bien sûr, bien sûr, vous faites ce que vous voulez docteur. Répond encore une fois la coquine.
- Je peux comprendre, si vous ne voulez pas. Répond-t-il après avoir marqué un moment de silence.
- Oh, non, allez-y ! Je suis d’accord.
- Très bien ! Si vous permettez. Dit le docteur en saisissant le haut de sa jupette avec ses deux mains.
Elle soulève son bassin pour lui faciliter la tâche. Le docteur lui retire délicatement sa petite jupe qu’il pose sur un fauteuil. Son regard scrute son petit string qui se perd dans le sillon de ses fesses. Puis il alla chercher le thermomètre et en le posant à côté de lui d’un ton coquin :
- Détendez-vous, cela va bien se passer
Ses mains délicates accompagnent ses paroles et se posent sur le bas de son dos et sur ses fesses qu’il caresse pour la relaxer. Le cœur de la belle s’emballe, son sexe est en feu. Elle sent les doigts du brave docteur Philippe passer sous les ficelles de son string et le plus délicatement possible, les tirer vers le bas.
- Vous pouvez l’enlever, docteur, s’il vous gêne. Dit-elle en ayant très envie d’être entièrement nue. Offerte.
- Je n’osais pas vous le demander. Ma belle. Répondit-il.
Elle sent un sourire se dessiner sur ses lèvres. Il a bien compris qu’elle ne souhaite pas résister, elle n’a qu’une seule envie, c’est clair et pourtant son attitude est charmante et respectueuse. Il lui demande l’autorisation d’ôter ses escarpins et ses bas afin de lécher ses orteils. Il retire ses nylons avec vigueur, précipitamment. Il oublie pour l’instant la prise de température. Il est comme un adolescent, fou d’excitation, et très spontané même si par moment la réalité le rattrape et le stress avec !!! Il caresse sa jambe, complimente sa douceur, et met le pied de sa patiente à sa bouche. Il lèche séparément chacun de ses orteils, du pouce au petit doigt de pied, puis entreprend de lécher la plante. Il le fait vraiment très bien.

Catherine est chatouilleuse et là, rien ne la chatouille.
Son regard se porte sur son sexe dénudé offert à son regard. Il lui demande s’il peut la lécher. Elle accepte impatiente. La bouche du médecin alterne entre son pied droit et son minou humide d’excitation.
Il ne sait plus où donner de la tête. Il prend ses jambes et la soulève pour qu’elle soit mieux allongée sur la table d’examen. Il plonge son visage entre ses cuisses et lui lèche la chatte avec gourmandise. Il s’enquiert de savoir si cela lui plaît : elle est aux anges !!! Elle a déjà réussi, elle a relevé le défi de Patrick.
Sans savoir ce que le docteur pense, il se calme soudainement. C’est étonnant. Il arrête de la lécher, lui demande de se remettre sur le ventre, pour reprendre la consultation, Catherine sur le moment ne comprend pas. Les mains du docteur se posent sur ses hanches. Catherine écarte les jambes et bombe les fesses. Les mains du toubib glissent sensuellement sur ses fesses. Elle a la chair de poule, l’excitation est toujours bien présente.
Il saisit le thermomètre et écarte délicatement son entrejambe qui s’offre à lui. Elle sent impatiente la petite languette du thermomètre se poser sur son petit trou, puis toujours aussi calmement, le docteur exerce une petite pression et l’enfonce dans son anus. Habituée aux grosses queues dans son cul, la sensation est bizarre pour Catherine qui s’accoutume rapidement. Monsieur Philippe lâche le thermomètre qui tient droit, et lui caresse les fesses et le haut de ses jambes. Ses caresses allant flirter avec son sexe, la belle mouille de plus en plus. Le docteur Philippe a du s’en apercevoir, tant son entrejambe lui est offert. Le signal sonore du thermomètre retentit, il le saisit et l’enlève doucement de l’anus de sa patiente, lui arrachant au passage un petit râle de plaisir.
- Votre température est un peu élevée. Vous sentez-vous fiévreuse Catherine ? Lui demande-t-il en rangeant son matériel.
- C’est vrai que j’ai un peu chaud depuis quelques temps, Nicolas. Répondit-elle coquinement en écartant bien les jambes.
- Je vois, je vois… Reprit-il en saisissant un petit flacon de crème. Je vais vous masser, cela ne peut pas vous faire de mal.
- Je vous en prie. Dit –elle.
Le docteur s’enduit les doigts de crème, se frotte les mains et commence le massage sur le bas du dos de sa belle patiente. Le massage est exquis, Catherine se détend toujours plus, elle savoure en laissant échapper de petits gémissements. Les mains du médecin descendent sur ses fesses qu’elle bonde naturellement. Enfin, une main quitte ses fesses pour se poser entre les lèvres trempées de son sexe. Elle lui demande continuer, elle soulève un peu plus son bassin, pour l’inviter à poursuivre. Les doigts de « Nicolas » glissent sensuellement le long de son sexe pour le pénétrer délicatement, et le docteur reprend en la caressant :
- Je vois que votre chaleur n’est pas due à la fièvre, Catherine.
Ses allers et retours sont langoureux et surs, le médecin accélère le rythme, elle ne peut plus retenir ses cris, ses doigts sont très vite recouverts de cyprine qu’elle éjacule dans des cris de plaisir incontrôlables en espérant ne pas être entendue dans la salle d’attente.
Le médecin retire délicatement ses doigts tout en continuant de lui caresser les lèvres, son autre main lui massant le dos. Elle essaie de reprendre sa respiration, le bassin relevé pour recevoir ses caresses. Elle a très envie de son sexe. Les doigts trempés du « Docteur Mamour » remontent son entrejambe et se posent sur son anus. Elle écarte volontairement un peu plus ses jambes. Le docteur exerce une légère pression avec son majeur qui ne tarde pas à disparaitre dans son petit trou. Tandis qu’il doigte tendrement son anus, puis plus énergiquement, le docteur Nicolas Philippe se rapproche du visage de sa patiente. Ses yeux se posent sur l’énorme bosse du pantalon. En le baissant, celui-ci bute sur le sexe érigé du docteur, mais elle parvient tout de même à le descendre au niveau de ses genoux. Devant elle, s’offre un sexe magnifique, droit et large, épilé et puissant. Le médecin continuant à la doigter vigoureusement, son petit cul remuant pour bien le sentir.
Elle ne peut plus résister. Cela fait quatre semaines qu’elle ne goûte qu’au sexe de son compagnon, leur dernière rencontre libertine étant déjà lointaine. Elle saisit le gland du docteur qui s’offre à ses lèvres. Elle le sent immédiatement contracter son mandrin, ce qui lui donne un diamètre important. Sa langue de fellatrice professionnelle entre en action, elle adore sucer, sa langue fait des allers et retours dans sa bouche et son gland. Elle aspire passionnément cette grosse queue. La main libre du docteur passe dans ses cheveux et exerce une bonne pression comme pour l’encourager. Elle apprécie sa virilité, il n’hésite pas à la brusquer et prendre les choses en main en guidant les fellations, en maintenant sa gorge avec sa main.
Un deuxième, puis un troisième doigt se frayent un passage dans son petit trou, ce qui valut à Catherine de pousser des petits gémissements. Elle adore, elle est très excitée, elle suce son sexe avec encore plus d’ardeur et de passion pour le plus plaisir du généraliste qui râle de plaisir.
Ils n’y tiennent plus. La tension sexuelle est de plus en plus palpable et elle lui demande s’il souhaite la prendre. Pour toute réponse, le coquin de Docteur a tout prévu et a clairement un coup d’avance sur elle ! Il sort sous la table d’auscultation un préservatif avec un regard malicieux. Le filou !!!
Il lui demande quelle position à sa préférence, elle opte pour la levrette bien cambrée sur la table d’auscultation.
Il humecte encore ses doigts, mais ce n’est pas nécessaire, qu’il glisse dans sa petite chatte et s’introduit en douceur en elle. C’est extraordinaire !!!
Le corps de la coquine frémit sous ses coups de reins. Elle le sens très à l’aise maintenant. Ses mains caressent ses seins avec amour et tendresse. Elle est aux anges.
Ils changent de position, il souhaite la voir de face et agripper ses jolis seins pendant qu’il la baise. Leurs regards plongent l’un dans l’autre et l’excitation est à son paroxysme.
Le Doc se montre d’un naturel dominant et n’hésite pas à empoigner sa gorge ou le bas de son visage, ce qui a le don de l’exciter plus encore.
Etant parfaitement informé de ses activités libertines, il sait qu’il peut se permettre d’être viril. Qu’elle adore cela, qu’elle ne demande que cela.
Il glisse sa tête entre ses cuisses pour dévorer de nouveau son minou et dilater sa chatte davantage, c’est ce qu’il lui dit, qu’il veut ouvrir suffisamment le passage !!! C’est bien la première fois qu’on lui dit cela ! Bizarre ce médecin.
Seul point délicat, mais néanmoins très excitant : elle doit faire attention au bruit, et pourtant l’intensité de ses vocalises est des plus élevée pendant les rapports, les patients dans la salle d’attente doivent entendre car cette auscultation n’a rien de… classique !!!
Après l’avoir prise de face sur la table, il lui propose de la prendre sur son bureau. C’est la partie qu’elle a préféré !!!
Tout en goutant à ses lèvres, il la porte par les cuisses, puis l’allonge sur le bureau en faisant tomber quelques documents au passage. Ses jambes étant entremêlées autour de la taille du médecin. Leurs regards ne se quittent plus, leurs lèvres ne se séparent que pour se lancer des sourires.
Le gros sexe du médecin pénètre virilement la belle, il la baise bestialement sur le bureau pendant de longs instants.
Catherine ne peut retenir ses cris de gémissements, ses ongles s’enfoncent dans son dos musclé et ses doigts passent dans ses cheveux.
- Continue, baise moi fort, défonce moi, lui susurre-t-elle à l’oreille avant de la mordiller.
Les jambes de Catherine sont désormais en l’air et Nicolas redouble d’effort, il lui demande de s’accrocher.
- Je vais te défoncer, salope !
Il la prend sans ménagement en lui mettant quelques fessées sans faire trop de bruit, il lui demande de répéter qu’elle était là pour le vider…
- Oui, je suis là pour te vider !!! Nicolas.
Qu’il la prendrait à chaque fois qu’elle viendrait en consultation…Avec ou sans son mari.
- Oui, tu pourras me prendre à chaque consultation !!!
Qu’elle était sa salope…
- Je suis une salope, je suis ta salope !!!
Elle était à deux doigts de gicler tellement cela l’a excitée qu’il lui parle ainsi. Elle lui a répété avec plaisir :
- Je suis un garage à bites bonne à vider des couilles.
Instant particulièrement hard et cérébral qu’il a ponctué en lui demandant de penser à son petit cocu pendant qu’il la baise virilement.
La « belle » commence à gémir, la bouche grande ouverte, les yeux à moitié fermés, mais il continue de plus belle à la défoncer de plus en plus virilement. Son corps est parcouru de spasmes, ses muscles se contractent, tout comme son vagin, elle ne peut s’empêcher d’hurler de plaisir. Pas de doute pour les patients dans la salle d’attente qui doivent bien se demander ce qui se passe dans le cabinet du bon docteur Nicolas Philippe !!!
Elle sent le sexe de son amant se contracter à son tour, entrainant une vague de chaleur dans son bas ventre.
Il l’embrasse avec amour en restant en elle. Leurs corps étant collés l’un à l’autre. Leurs mains se caressent avec passion.
- Je suis vraiment désolé Catherine, dit-il d’un air honteux et confus.
- Pourquoi ?
- Je suis vraiment désolé de t’avoir prise ainsi, et de t’avoir traité.
- J’adore, chéri, vraiment, ça m’excite vraiment d’être insultée.
Ils veulent rester indéfiniment dans cette position mais ils conviennent de se revoir très rapidement. Le docteur Philippe se retire délicatement et l’aide à se relever. Elle enfile ses bas, sa petite jupe noire, son débardeur et remet ses chaussures négligemment posées sur le sol. En ramassant le petit string blanc de sa patiente qu’il garde comme un trophée, il lui dit alors :
- Je n’ai même pas eu le temps de te bouffer le cul ma petite salope.
Et là, son visage part entre ses fesses après avoir soulevé sa mini-jupe. Il lui prodigue un anulingus debout en appui contre son bureau.
Le docteur Philipe regarde sa montre. Ses prochains patients doivent « poireauter » dans la salle d’attente. Sur un ton professionnel, il lui conseille de faire une cure de vitamines, puis l’embrasse tendrement et la raccompagne à la porte. En ouvrant cette dernière, ils découvrent plusieurs personnes qui les regardent avec de larges sourires. Elle se retourne vers le docteur Philippe, prête à éclater de rire et lâche :
- Au revoir docteur, à la prochaine fois. Comme si de rien n’était.
Il est heure d’y aller pour Catherine. L’instant volé est fini !!! Il a été mémorable et terriblement excitant pour elle. A peine sortie, elle a vite envoyé une dizaine de SMS à son petit amour Patrick pour lui montrer deux petites vidéos qu’elle venait de prendre et tout lui expliquer dans le détail.
Avant de lui dire de vive-voix. Elle est méga heureuse : elle a rendu fou d’excitation son bon docteur Philippe. Elle a réussi le défi de son compagnon, de faire une « visite médicale coquine et sexe avec leur docteur ».
Sur la route du retour, elle a reçu un petit message de Nicolas Philippe leur médecin :
- Il faudrait qu’on refasse ça, je n’arrête pas de bander, cela a duré douze à quinze minutes en tout, mais quel pied entre deux patients.

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