Catherine baise seule à la plage avec un inconnu :
Récit érotique écrit par Caro16 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Catherine baise seule à la plage avec un inconnu :
Je continue ma série sur nos amis libertins Catherine et Patrick. Cette histoire est peu glorieuse pour mon amie Catherine, mais elle a des circonstances atténuantes.
Catherine est une très belle femme de cinquante-cinq ans, elle est toujours séduisante, elle a un corps de rêve, avec des formes harmonieuses et galbées, de belles jambes fermes et fines, une taille de guêpe et de belles fesses. C’est une très belle femme brune très sportive, tonique toujours très joyeuse.
Nous sommes fin juin 2024, Patrick participe à un séminaire avec son entreprise dans un château près du Mans. C’est un moment de convivialité partagé entre collaborateurs, loin des soucis quotidiens. Les sessions de travail alternent avec des animations interactives, permettant aux participants d'échanger dans une atmosphère propice au dialogue et à l'innovation. C’est un moment important pour Patrick cat il doit être officiellement promu directeur régional de sa grande entreprise de BTP.
Bien évidemment chaque soir, Catherine et Patrick échange longuement au téléphone en se racontant leurs journées respectives. Catherine se sent seule, le mardi, elle est allée prendre un verre avec des amies pour se changer les idées. Le mercredi, elle est fatiguée, mais elle n’a pas très envie de rentrer chez elle à la sortie de son travail. Elle prend sa voiture, la route est dégagée, personne à part elle. Elle repense à sa journée, elle avait été longue, c’était l’une des dernières, les vacances arrivaient enfin. Elle décide alors de se détendre un peu. La petite plage discrète qu’elle avait repérée la semaine précédente allait pouvoir être utile. Elle cherche un peu pour la retrouver. Enfin, elle arrive près du chemin qui y mène.
Elle se gare sur un parking désert. Elle se débarrasse de ses talons hauts et chausse ses tropéziennes Elle prend son sac de plage et sa serviette et descend ce petit chemin escarpé qui dessert la crique. En sortant de sa voiture, Catherine est surprise par une brise fraiche, mais elle est plutôt agréable. Le petit chemin n’est pas facile à suivre, car peu de gens doivent l’emprunter, tant la végétation y a repris ses droits. Ses tropéziennes ne sont vraiment pas adaptées au terrain. Mais, elle pense déjà qu’elle sera tranquille.
Elle rejoint le sable déjà bien chaud. Quel bonheur ces premiers pas sur la plage, elle s'éloigne du sentier en traînant les pieds dans le sable, les cheveux au vent, elle est d'ores et déjà déstressée de sa journée… Pourtant arrivée en bas, elle remarque que quelqu’un a déjà investi les lieux. Une serviette de plage est étalée, des affaires en vrac l’accompagnent. Mais il n’y a personne aux alentours, ni sur la plage, ni dans l’eau. Cela intrigue quelque peu Catherine, elle regarde de nouveau à droite et à gauche, il n’y a personne, de plus le parking était désert.
Elle pense que ce doit être un oubli… Elle s’installe donc, ravie d’être seule. Elle s’est assise un moment. Quel bonheur… !!!
Puis, elle se déshabille, elle se sent bien nue sur cette plage. Elle m’a avoué que grisée par cet instant, allongée sur le dos, elle sent des fourmillements dans le bas-ventre et une envie folle de prendre du plaisir. Seule !!
Pour se calmer, elle décide d’aller nager, en se disant qu’elle pourrait essayer son nouveau maillot acheté avec Patrick, spécialement pour leurs vacances dans le Var, chez les parents de celui-ci. Elle enfile son maillot. La chaleur du soleil sur sa peau est toujours un régal, un enchantement, une caresse. Elle rejoint rapidement l’eau, elle regarde encore autour d’elle, il n’y a toujours personne. Elle est seule, tranquille.
L’eau est légèrement fraîche malgré la saison. Mais avec cette chaleur, elle n’en demandait pas tant. Quelques brasses finissent par la persuader. Elle se dit qu’elle a bien fait de venir. Elle se sent tellement détendue dans cette eau limpide. Ne pas être venue, aurait été une erreur. Ce nouveau maillot n’est pas mal non plus. Par contre, la vendeuse l’avait assuré que malgré la couleur blanche, on ne verrait rien au travers, une fois mouillé. Que c’était fini ce temps-là. Quelle conne !
Patrick lui avait demandé d’acheter un maillot plus convenable que ses strings habituels pour ne pas froisser sa maman et surtout ne pas trop excité son père et son frère qui vivait chez ses parents depuis un récent divorce.
Et bien c’est raté. Sachant que très souvent, elle ne porte pas de maillot.
Elle continue ses allers et retours, c’est agréable de nager dans cet endroit désert. En ressortant de l’eau, elle s’aperçoit qu’elle est plus fraîche qu’elle ne l’avait pensée. Ses seins sont durs et pointent avec insolence à travers le haut de son maillot, qu’elle s’apprête à retirer quand elle remarque aussi que la serviette de tout à l’heure est occupée cette fois-ci. Un homme y bronze nonchalamment, lui tournant le dos.
Après s’être rapidement séchée, elle s’allonge sur sa serviette et défait le nœud du haut de son maillot, offrant ainsi entièrement sa peau à ce soleil qui finit sa course. D’ailleurs, il la réchauffe plus vite que prévu. Une dose d’huile solaire serait la bienvenue pour préserver cette douce peau bronzée.
Sans se poser de question, Catherine jette un œil vers son voisin de plage. Il est assis sur sa serviette, le regard perdu vers le large. Pas mal du tout… Plutôt beau garçon, la quarantaine, type méditerranéen, des muscles bien dessinés, mais pas trop non plus. Manifestement, un homme qui s’entretient, pas un adepte de la gonflette. Brun, une barbe de trois jours sur les joues, une paire de Ray-Ban sur les yeux, oui, pas mal du tout. Sans réfléchir aux conséquences, elle l’appelle en lui demandant si cela ne le dérange pas de lui mettre de l’huile dans le dos. Il acquiesce et se lève. Une voix grave, mais douce, une démarche assurée, un torse en harmonie avec ce qu’elle avait aperçu précédemment, décidément, il lui plaît.
Il s’installe à côté d’elle, saisi le flacon qu’elle lui tend et s’exécute. Ses mains sont un délice. Douces, de longs doigts fins lui massant délicatement le dos et l’huilant la peau méthodiquement. Il s’attarde sur ses trapèzes et sa nuque. C’est si bon. Un massage en prime, que demander d’autre ?
Il est doué en plus, ce qui ne gâche rien au plaisir. Le moment de détente qu’elle espérait, n’était pas aussi parfait. Elle sent de nouveau des fourmillements dans le bas-ventre…
Lorsqu’il commence à descendre vers ses lombaires, un frisson l’envahit. Elle, malgré tout, elle le croquerait bien. Un inconnu. Dont elle ne connait même pas le nom. Et pourtant…
Perdue, dans ses pensées, elle revient à elle, lorsqu’elle sent que ses mains descendent vers ses fesses. Elles s’arrêtent à la hauteur de son maillot, mais elle aimerait bien, qu’elles continuent leur course. Comment le lui faire comprendre, sans brusquer les choses et assombrir cet instant de bonheur ?
Elle écarte un peu les jambes, très légèrement. Mais suffisamment pour qu’il le remarque. Pourtant, il s’arrête. Le charme est rompu.
Elle regrette déjà ce mouvement, lorsqu’il repose ses mains sur elle. Il reprenait de l’huile. Il ne faisait que commencer…
Il s’occupe à présent de ses jambes. De la pointe des pieds vers ses cuisses avec fermeté et tendresse. Mmm !!! Elle gémit, malgré elle. Mais c’est si bon…
Après lui avoir longuement massé les jambes, il s’attarde sur ses cuisses qu’elle entrouvre légèrement plus.
- Vas- y. Pense-t-elle. Vas-y, occupe-toi de moi. Fais de ce moment, un morceau d’éternité.
Soudain, elle repense à la blancheur de son maillot. Est-il encore mouillé ? Voit-il au travers ? Un frisson la parcourt alors. Oui ; elle sent qu’il est encore humide. Ce qui veut dire…Mmm !!!
Elle gémit à nouveau. Il est à présent en train de lui masser l’intérieur des cuisses. Il vient de lui frôler le sexe avec ses doigts, par inadvertance. Mmm !!! Il recommence. Ce n’est pas involontaire cette fois-ci, espère-t-elle. Non, ce n’est pas possible, pas deux fois de suite.
Et il recommence, encore et encore. Mais cette fois-ci plus intensément.
L'histoire aurait pu prendre fin à cet instant, aurait dû prendre fin à cet instant. Pourtant, elle m’a avoué que ce massage intense lui a retourné le cerveau. Ne tenant plus, elle relève un peu le bassin, s’offrant entièrement à ses mains. Cette plage déserte est décidément le meilleur endroit où elle pouvait se rendre aujourd’hui…
Ses mains sont maintenant sur ses fesses, qu’elles caressent plus qu’elles ne massent. Cette sensation de s’abandonner à l’autre est si nouvelle pour elle, qu’elle en est presque troublante. A aucun moment, elle n’a une pensée pour Patrick.
Elle sent un léger mouvement de l’inconnu vers ses hanches. Il se dirige vers les deux nœuds qui retiennent encore le bas de son bikini. Elle relève un peu plus son bassin pour lui faciliter la tâche, lui donnant par la même occasion son approbation. Les nœuds tombent. Catherine est nue. Le bassin relevé, les cuisses entrouvertes, avec deux mains sur les hanches.
L’une d’elle reprend ses caresses tandis que l’autre se déplace vers son sexe. D’un doigt, il en fait le tour, plusieurs fois, resserrant à chaque fois le rayon de son cercle. Enfin, oui enfin, il y arrive. Sa chatte est déjà humide. Ce n’est pas dû seulement au bain de tout à l’heure. Elle est aussi fortement excitée. Cette situation ravit notre belle nageuse. Et même si n’importe qui pourrait les surprendre d’un instant à l’autre, elle ne ressent aucune gêne. Au contraire, cela l’excite encore plus.
Elle sent alors ses longs doigts fins entrer en elle. En surface seulement dans un premier temps, puis plus profondément. Mmm !!! C’est si bon.
Après tout l'un comme l'autre, ne cherchent que le plaisir et l'occasion est trop grande pour passer à côté. Elle oublie une fois de plus tous ses principes, ce type explore son corps du bout des doigts lui en enfilant même deux au passage sans qu’elle ne bronche, bien au contraire puisque qu’elle écarte les jambes un peu plus.
Alors, qu’il retire ses doigts, elle sent une douce chaleur sur son entrejambe humide. Le soleil doit être en train de tourner. Plus qu’une chaleur, c’est un souffle. Puis une langue.
Ses mains plaquées sur les hanches de la belle quinquagénaire, frôle légèrement ses lèvres avec sa langue. Puis, elle se fait plus présente. Au fur et à mesure, elle s’immisce dans sa petite chatte déjà bien trempée. Elle la caresse tranquillement avant de se charger de son clitoris. Elle gémit à nouveau et les coups de langue s’accélèrent. Elle n’en peut plus. Elle a une cruelle envie de se faire baiser. Le désir l’inonde par vagues successives, comme s’il suivait le rythme de la mer toute proche. Elle se redresse et l’embrasse sans prévenir, avec fougue et passion. Leur étreinte dure longtemps, un baiser tel qu’on souhaite qu’il ne se termine jamais. Elle fixe cet inconnu, bien plus jeune qu’elle, plutôt mignon, Ils se sourient et doucement sa main descend vers son sexe, déjà enflé, et le saisi vigoureusement.
Le type a vite compris à son regard à quel point, elle était envieuse. A genoux à côté d’elle, il se caressait la queue… Oui effectivement, elle n’avait qu'une envie : remplacer sa main par la sienne...
Une de ses mains se perd dans les cheveux de Catherine, l’autre, lui caresse la poitrine. Délicatement et sans lui poser de questions. Elle sent qu’il souhaite embrasser sa belle poitrine, la toucher, la lécher, mais ce sera pour plus tard. C’est à elle d’agir maintenant. D’un mouvement de bassin, elle colle son sexe contre le sien. Elle aime le sentir contre elle. Elle se frotte contre lui, de plus en plus fort, de plus en plus vite, afin que sa queue gonfle encore. Elle descend vers elle, le regarde d’en dessous, et ouvre sensuellement sa bouche en l’approchant de son sexe. A son tour de gémir…
Elle commence par l’embrasser, puis la lécher, de haut en bas. Puis elle l’a prend dans sa bouche et la suce doucement. Sa langue chaude caresse sa queue, ses lèvres se resserrent dessus. Elle accélère un peu, il gémit à nouveau. Avec sa main, elle la caresse en même temps, dans toute sa longueur. Sa queue grossit encore, jusqu’à son maximum. Elle est dure comme jamais. Elle est dure comme elle aime. Elle pompe cette bite bien dure avec un certain plaisir. Elle la veut en elle. Maintenant. Elle se relève et le pousse sèchement. Surpris par le geste de cette femme « inconnue », il tombe sur le dos, en plein milieu de la serviette de celle-ci. Il est à elle. Entièrement à elle. Et bientôt en elle. Oh ! Oui.
Tous les deux, ils ont cette même envie et très vite, ils se sont compris. S’asseyant à califourchon sur lui, râlant qu’elle avait très envie... Elle lui plaque le visage contre sa poitrine, qu’il s’empresse de saisir, de caresser, d’embrasser, de lécher. Ne pouvant plus attendre, un mouvement du bassin la place juste au-dessus de sa queue sur laquelle elle commence à s’empaler. Sa queue est à l’étroit, le pénis du « Monsieur » est bien au-dessus de la « norme ». C’est chaud. C’est humide. C’est bon. Il la remplit avec sa queue, tellement elle gémit encore, plus fort cette fois-ci. Baiser avec un homme qui a une grosse queue peut parfois s’avérer difficile, surtout pour la pénétration, mais Catherine accélère petit à petit les mouvements. Elle a chaud. Elle est enivrée par la situation et tout ce désir entre eux. Quel plaisir de sentir ce gland chaud s'introduire en elle. Plus elle se ruait sur lui, plus elle criait et en redemandait... Un moment de folie à se sentir la dernière des salopes se faisant sauter par un inconnu au gré de ses envies.
Le risque que quelqu’un les surprenne l’excite d’avantage. Il est au plus profond de sa petite personne, et lui donne des coups de reins qui la comblent. Elle se couche sur lui et effectue à son tour des mouvements de va et vient avec son bassin. De plus en plus vite. Elle a envie de jouir.
Mais il s’arrête, la redresse, se lève et l’oriente pour une levrette. Ses mains viennent se placer sur ses hanches qu’elles agrippent et il la pénètre, plus sauvagement que tout à l’heure. Violemment, il accélère, en mâle dominateur. Ses couilles lourdes tapent contre les fesses de la belle inconnue.
Puis, il se couche sur elle et prend ses seins à pleines mains, calmant sans arrêter ses coups de butoir. Elle commence à ne plus retenir ses petits cris. Elle se cambre, encore et encore. Ses muscles se tendent. L’orgasme la délivre dans un cri de jouissance, il en profite pour venir à son tour en elle. Il a du mal à respirer un instant, son sperme emplissant la belle pendant ce temps. Elle tremble, lui aussi. Elle lui prend la tête à deux mains et l’embrasse passionnément. Elle tombe haletante sur sa serviette, le ventre brûlant de ses multiples assauts. Allongée à ses côtés, elle savoure cet instant de magie. Satisfaite, de ce moment de plaisir. Emportée par le feu de leur désir, ils ne se sont pas protégés. Ce n’est pas qu’elle n’y a pas pensé, non, elle voulait totalement s’offrir. Pour Catherine, baiser « nature » et recevoir l'éjaculation de son inconnu fut surtout intense cérébralement, satisfaite d'avoir donné du plaisir et le sperme est la récompense de cet échange. C'est un peu idiot car c'est un plaisir purement psychologique, elle adore se dire qu’elle a servi de "sac à foutre". Mais c’est surtout très risqué.
Puis, la réalité reprenant ses droits, elle regarde sa montre. Mince, il faut qu’elle rentre. Elle n’a absolument pas vu le temps passer. Il commence à être tard. Elle se lève, l’homme lui administre une bonne petite fessée en lui disant sur le ton amusé qu’elle a un joli petit cul de salope...
Elle relève la tête éblouie par le soleil, elle reste quelques secondes à récupérer. Elle ramasse son bikini dans le sable et le secoue, puis enfile ses habits, range maillot, serviette, huile solaire dans son sac et se retourne vers lui en sentant le sperme lui dégouliner le long des cuisses...
- On se reverra ?, J’espère, lui dit-elle.
- Je viens ici tous les soirs, lui répondit-il.
Enchantée par cette nouvelle, elle remonte le sentier vers sa voiture. Décidément, elle ne regrette pas cette escapade. A mi-chemin, elle s’aperçoit qu’elle a oublié quelque chose. Elle se retourne et lui crie :
- Comment t’appelles-tu ? Moi, c’est Catherine.
- Nabil, répondit-il sur le même ton. A bientôt Catherine, j’espère que ça t’a plu.
Elle regagne le parking et sa voiture certes perturbée mais heureuse de son début de soirée pour le moins inattendu. Elle ne connait pas cet homme, elle pense que leur histoire fut brève mais ô combien appréciable et jouissive. Elle a essuyé son plaisir à la porte de son véhicule à l'aide de papier éponge et elle m’a assuré que même là, elle éprouvait encore un grand plaisir.
Sur la route du retour, elle est encore euphorique, comme connectée à son inconnu, elle voudrait recommencer « les câlins », dès maintenant, poursuivre les touchers et les caresses afin de continuer à vibrer encore un peu avant de reprendre le cours de la vie. Nabil, l’a massé comme jamais auparavant. Ses mains, ses doigts sont magiques, et sa queue….
En arrivant chez elle, en ayant une pensée pour Patrick, elle ne manifeste aucun regret, aucun remords, au contraire, c’est lui qui lui a ouvert la porte du libertinage. Bien évidemment, elle n’a pas respecté les règles, mais son désir sexuel était tellement intense qu’il fallait l’assouvir pleinement. Même si la raison et la morale lui dictent que la tromperie est mal, sa pulsion physique irrépressible l’a poussé à jouer avec cet inconnu, baiseur exceptionnel.
Comme chaque soir depuis le début de cette semaine, Patrick appelle sa chérie. Il lui raconte en détail sa journée de séminaire. Catherine écoute principalement, elle ne lui parle pas de sa rencontre de la plage. Cet appel lui semble interminable. Mais comment mettre fin à cette conversation sans froisser Patrick ? Poliment, elle met fin à la causerie en prétextant qu’elle est vraiment fatiguée.
Pourtant, elle va avoir beaucoup de difficultés à trouver le sommeil, en repensant à ce moment magique vécu avec Nabil. Pour Catherine, le problème n’est pas tant de s’être envoyé en l’air avec un autre que de retrouver ensuite Patrick, d’abord au téléphone et ensuite quand il rentrera à la maison. Peut-elle faire semblant, l’air de rien, la tête farcie de questions ?
Elle le dit ou elle ne le dit pas, pour Nabil ? L’infidélité, quand c’est juste une fois, ça compte quand même ? Elle va le revoir, Nabil ? Il sera sur la plage demain donc la question de le revoir se pose vraiment. L’infidélité, est-ce un fantôme qui va lui chatouiller les pieds chaque nuit ?
La journée du jeudi est difficile et longue pour Catherine, très peu concentrée sur son travail, elle a toujours ses mille interrogations sans réponse satisfaisante. Enfin, regardant sa montre régulièrement, la journée est enfin finie, elle quitte l’entreprise, elle est très fatiguée, à cause de sa nuit agitée. C’est le moment crucial pour se détendre et se ressourcer après une pénible journée. C’est le moment idéal pour prendre du temps pour soi et se relaxer. Pense-t-elle.
Pourquoi ne pas aller à la plage de « l’inconnu ». Elle prend sa voiture, sur la route, elle est préoccupée, tourmentée. Elle retrouve très rapidement cette plage, arrive près du chemin qui y mène. Elle se gare sur le parking, une voiture est déjà stationnée. Elle prend son sac de plage et sa serviette et descend ce petit chemin escarpé qui dessert la crique. En descendant, elle aperçoit sur la gauche un homme dans l’eau, mais ce n’est pas Nabil, elle poursuit, et arrivée presqu’en bas, elle voit Nabil allongé sur une serviette de plage. Elle stoppe net, réfléchit quelques secondes. Elle n’a aucune pensée pour Patrick, son désormais « petit cocu ». Non, sa seule préoccupation : son désir, son bien-être, finalement, elle se reprend, elle veut garder ce moment de plaisir vécu la veille intact. Est-ce que la deuxième rencontre aura la même saveur ?
Elle décide de remonter le sentier discrètement, elle s’installe dans sa voiture. A ce moment, elle se sent perdue, énervée et en colère après elle-même. Elle n’a pas respecté les règles établies dans son couple hier. Elle s’est laissée submergée par ses envies, ne pensant pas aux conséquences ni à son conjoint qu’elle adore...
Et pourtant, c'était merveilleux, avec Nabil, comme si elle l’avait toujours fait, un moment exquis qu’elle ne pourra oublier.
Catherine est une très belle femme de cinquante-cinq ans, elle est toujours séduisante, elle a un corps de rêve, avec des formes harmonieuses et galbées, de belles jambes fermes et fines, une taille de guêpe et de belles fesses. C’est une très belle femme brune très sportive, tonique toujours très joyeuse.
Nous sommes fin juin 2024, Patrick participe à un séminaire avec son entreprise dans un château près du Mans. C’est un moment de convivialité partagé entre collaborateurs, loin des soucis quotidiens. Les sessions de travail alternent avec des animations interactives, permettant aux participants d'échanger dans une atmosphère propice au dialogue et à l'innovation. C’est un moment important pour Patrick cat il doit être officiellement promu directeur régional de sa grande entreprise de BTP.
Bien évidemment chaque soir, Catherine et Patrick échange longuement au téléphone en se racontant leurs journées respectives. Catherine se sent seule, le mardi, elle est allée prendre un verre avec des amies pour se changer les idées. Le mercredi, elle est fatiguée, mais elle n’a pas très envie de rentrer chez elle à la sortie de son travail. Elle prend sa voiture, la route est dégagée, personne à part elle. Elle repense à sa journée, elle avait été longue, c’était l’une des dernières, les vacances arrivaient enfin. Elle décide alors de se détendre un peu. La petite plage discrète qu’elle avait repérée la semaine précédente allait pouvoir être utile. Elle cherche un peu pour la retrouver. Enfin, elle arrive près du chemin qui y mène.
Elle se gare sur un parking désert. Elle se débarrasse de ses talons hauts et chausse ses tropéziennes Elle prend son sac de plage et sa serviette et descend ce petit chemin escarpé qui dessert la crique. En sortant de sa voiture, Catherine est surprise par une brise fraiche, mais elle est plutôt agréable. Le petit chemin n’est pas facile à suivre, car peu de gens doivent l’emprunter, tant la végétation y a repris ses droits. Ses tropéziennes ne sont vraiment pas adaptées au terrain. Mais, elle pense déjà qu’elle sera tranquille.
Elle rejoint le sable déjà bien chaud. Quel bonheur ces premiers pas sur la plage, elle s'éloigne du sentier en traînant les pieds dans le sable, les cheveux au vent, elle est d'ores et déjà déstressée de sa journée… Pourtant arrivée en bas, elle remarque que quelqu’un a déjà investi les lieux. Une serviette de plage est étalée, des affaires en vrac l’accompagnent. Mais il n’y a personne aux alentours, ni sur la plage, ni dans l’eau. Cela intrigue quelque peu Catherine, elle regarde de nouveau à droite et à gauche, il n’y a personne, de plus le parking était désert.
Elle pense que ce doit être un oubli… Elle s’installe donc, ravie d’être seule. Elle s’est assise un moment. Quel bonheur… !!!
Puis, elle se déshabille, elle se sent bien nue sur cette plage. Elle m’a avoué que grisée par cet instant, allongée sur le dos, elle sent des fourmillements dans le bas-ventre et une envie folle de prendre du plaisir. Seule !!
Pour se calmer, elle décide d’aller nager, en se disant qu’elle pourrait essayer son nouveau maillot acheté avec Patrick, spécialement pour leurs vacances dans le Var, chez les parents de celui-ci. Elle enfile son maillot. La chaleur du soleil sur sa peau est toujours un régal, un enchantement, une caresse. Elle rejoint rapidement l’eau, elle regarde encore autour d’elle, il n’y a toujours personne. Elle est seule, tranquille.
L’eau est légèrement fraîche malgré la saison. Mais avec cette chaleur, elle n’en demandait pas tant. Quelques brasses finissent par la persuader. Elle se dit qu’elle a bien fait de venir. Elle se sent tellement détendue dans cette eau limpide. Ne pas être venue, aurait été une erreur. Ce nouveau maillot n’est pas mal non plus. Par contre, la vendeuse l’avait assuré que malgré la couleur blanche, on ne verrait rien au travers, une fois mouillé. Que c’était fini ce temps-là. Quelle conne !
Patrick lui avait demandé d’acheter un maillot plus convenable que ses strings habituels pour ne pas froisser sa maman et surtout ne pas trop excité son père et son frère qui vivait chez ses parents depuis un récent divorce.
Et bien c’est raté. Sachant que très souvent, elle ne porte pas de maillot.
Elle continue ses allers et retours, c’est agréable de nager dans cet endroit désert. En ressortant de l’eau, elle s’aperçoit qu’elle est plus fraîche qu’elle ne l’avait pensée. Ses seins sont durs et pointent avec insolence à travers le haut de son maillot, qu’elle s’apprête à retirer quand elle remarque aussi que la serviette de tout à l’heure est occupée cette fois-ci. Un homme y bronze nonchalamment, lui tournant le dos.
Après s’être rapidement séchée, elle s’allonge sur sa serviette et défait le nœud du haut de son maillot, offrant ainsi entièrement sa peau à ce soleil qui finit sa course. D’ailleurs, il la réchauffe plus vite que prévu. Une dose d’huile solaire serait la bienvenue pour préserver cette douce peau bronzée.
Sans se poser de question, Catherine jette un œil vers son voisin de plage. Il est assis sur sa serviette, le regard perdu vers le large. Pas mal du tout… Plutôt beau garçon, la quarantaine, type méditerranéen, des muscles bien dessinés, mais pas trop non plus. Manifestement, un homme qui s’entretient, pas un adepte de la gonflette. Brun, une barbe de trois jours sur les joues, une paire de Ray-Ban sur les yeux, oui, pas mal du tout. Sans réfléchir aux conséquences, elle l’appelle en lui demandant si cela ne le dérange pas de lui mettre de l’huile dans le dos. Il acquiesce et se lève. Une voix grave, mais douce, une démarche assurée, un torse en harmonie avec ce qu’elle avait aperçu précédemment, décidément, il lui plaît.
Il s’installe à côté d’elle, saisi le flacon qu’elle lui tend et s’exécute. Ses mains sont un délice. Douces, de longs doigts fins lui massant délicatement le dos et l’huilant la peau méthodiquement. Il s’attarde sur ses trapèzes et sa nuque. C’est si bon. Un massage en prime, que demander d’autre ?
Il est doué en plus, ce qui ne gâche rien au plaisir. Le moment de détente qu’elle espérait, n’était pas aussi parfait. Elle sent de nouveau des fourmillements dans le bas-ventre…
Lorsqu’il commence à descendre vers ses lombaires, un frisson l’envahit. Elle, malgré tout, elle le croquerait bien. Un inconnu. Dont elle ne connait même pas le nom. Et pourtant…
Perdue, dans ses pensées, elle revient à elle, lorsqu’elle sent que ses mains descendent vers ses fesses. Elles s’arrêtent à la hauteur de son maillot, mais elle aimerait bien, qu’elles continuent leur course. Comment le lui faire comprendre, sans brusquer les choses et assombrir cet instant de bonheur ?
Elle écarte un peu les jambes, très légèrement. Mais suffisamment pour qu’il le remarque. Pourtant, il s’arrête. Le charme est rompu.
Elle regrette déjà ce mouvement, lorsqu’il repose ses mains sur elle. Il reprenait de l’huile. Il ne faisait que commencer…
Il s’occupe à présent de ses jambes. De la pointe des pieds vers ses cuisses avec fermeté et tendresse. Mmm !!! Elle gémit, malgré elle. Mais c’est si bon…
Après lui avoir longuement massé les jambes, il s’attarde sur ses cuisses qu’elle entrouvre légèrement plus.
- Vas- y. Pense-t-elle. Vas-y, occupe-toi de moi. Fais de ce moment, un morceau d’éternité.
Soudain, elle repense à la blancheur de son maillot. Est-il encore mouillé ? Voit-il au travers ? Un frisson la parcourt alors. Oui ; elle sent qu’il est encore humide. Ce qui veut dire…Mmm !!!
Elle gémit à nouveau. Il est à présent en train de lui masser l’intérieur des cuisses. Il vient de lui frôler le sexe avec ses doigts, par inadvertance. Mmm !!! Il recommence. Ce n’est pas involontaire cette fois-ci, espère-t-elle. Non, ce n’est pas possible, pas deux fois de suite.
Et il recommence, encore et encore. Mais cette fois-ci plus intensément.
L'histoire aurait pu prendre fin à cet instant, aurait dû prendre fin à cet instant. Pourtant, elle m’a avoué que ce massage intense lui a retourné le cerveau. Ne tenant plus, elle relève un peu le bassin, s’offrant entièrement à ses mains. Cette plage déserte est décidément le meilleur endroit où elle pouvait se rendre aujourd’hui…
Ses mains sont maintenant sur ses fesses, qu’elles caressent plus qu’elles ne massent. Cette sensation de s’abandonner à l’autre est si nouvelle pour elle, qu’elle en est presque troublante. A aucun moment, elle n’a une pensée pour Patrick.
Elle sent un léger mouvement de l’inconnu vers ses hanches. Il se dirige vers les deux nœuds qui retiennent encore le bas de son bikini. Elle relève un peu plus son bassin pour lui faciliter la tâche, lui donnant par la même occasion son approbation. Les nœuds tombent. Catherine est nue. Le bassin relevé, les cuisses entrouvertes, avec deux mains sur les hanches.
L’une d’elle reprend ses caresses tandis que l’autre se déplace vers son sexe. D’un doigt, il en fait le tour, plusieurs fois, resserrant à chaque fois le rayon de son cercle. Enfin, oui enfin, il y arrive. Sa chatte est déjà humide. Ce n’est pas dû seulement au bain de tout à l’heure. Elle est aussi fortement excitée. Cette situation ravit notre belle nageuse. Et même si n’importe qui pourrait les surprendre d’un instant à l’autre, elle ne ressent aucune gêne. Au contraire, cela l’excite encore plus.
Elle sent alors ses longs doigts fins entrer en elle. En surface seulement dans un premier temps, puis plus profondément. Mmm !!! C’est si bon.
Après tout l'un comme l'autre, ne cherchent que le plaisir et l'occasion est trop grande pour passer à côté. Elle oublie une fois de plus tous ses principes, ce type explore son corps du bout des doigts lui en enfilant même deux au passage sans qu’elle ne bronche, bien au contraire puisque qu’elle écarte les jambes un peu plus.
Alors, qu’il retire ses doigts, elle sent une douce chaleur sur son entrejambe humide. Le soleil doit être en train de tourner. Plus qu’une chaleur, c’est un souffle. Puis une langue.
Ses mains plaquées sur les hanches de la belle quinquagénaire, frôle légèrement ses lèvres avec sa langue. Puis, elle se fait plus présente. Au fur et à mesure, elle s’immisce dans sa petite chatte déjà bien trempée. Elle la caresse tranquillement avant de se charger de son clitoris. Elle gémit à nouveau et les coups de langue s’accélèrent. Elle n’en peut plus. Elle a une cruelle envie de se faire baiser. Le désir l’inonde par vagues successives, comme s’il suivait le rythme de la mer toute proche. Elle se redresse et l’embrasse sans prévenir, avec fougue et passion. Leur étreinte dure longtemps, un baiser tel qu’on souhaite qu’il ne se termine jamais. Elle fixe cet inconnu, bien plus jeune qu’elle, plutôt mignon, Ils se sourient et doucement sa main descend vers son sexe, déjà enflé, et le saisi vigoureusement.
Le type a vite compris à son regard à quel point, elle était envieuse. A genoux à côté d’elle, il se caressait la queue… Oui effectivement, elle n’avait qu'une envie : remplacer sa main par la sienne...
Une de ses mains se perd dans les cheveux de Catherine, l’autre, lui caresse la poitrine. Délicatement et sans lui poser de questions. Elle sent qu’il souhaite embrasser sa belle poitrine, la toucher, la lécher, mais ce sera pour plus tard. C’est à elle d’agir maintenant. D’un mouvement de bassin, elle colle son sexe contre le sien. Elle aime le sentir contre elle. Elle se frotte contre lui, de plus en plus fort, de plus en plus vite, afin que sa queue gonfle encore. Elle descend vers elle, le regarde d’en dessous, et ouvre sensuellement sa bouche en l’approchant de son sexe. A son tour de gémir…
Elle commence par l’embrasser, puis la lécher, de haut en bas. Puis elle l’a prend dans sa bouche et la suce doucement. Sa langue chaude caresse sa queue, ses lèvres se resserrent dessus. Elle accélère un peu, il gémit à nouveau. Avec sa main, elle la caresse en même temps, dans toute sa longueur. Sa queue grossit encore, jusqu’à son maximum. Elle est dure comme jamais. Elle est dure comme elle aime. Elle pompe cette bite bien dure avec un certain plaisir. Elle la veut en elle. Maintenant. Elle se relève et le pousse sèchement. Surpris par le geste de cette femme « inconnue », il tombe sur le dos, en plein milieu de la serviette de celle-ci. Il est à elle. Entièrement à elle. Et bientôt en elle. Oh ! Oui.
Tous les deux, ils ont cette même envie et très vite, ils se sont compris. S’asseyant à califourchon sur lui, râlant qu’elle avait très envie... Elle lui plaque le visage contre sa poitrine, qu’il s’empresse de saisir, de caresser, d’embrasser, de lécher. Ne pouvant plus attendre, un mouvement du bassin la place juste au-dessus de sa queue sur laquelle elle commence à s’empaler. Sa queue est à l’étroit, le pénis du « Monsieur » est bien au-dessus de la « norme ». C’est chaud. C’est humide. C’est bon. Il la remplit avec sa queue, tellement elle gémit encore, plus fort cette fois-ci. Baiser avec un homme qui a une grosse queue peut parfois s’avérer difficile, surtout pour la pénétration, mais Catherine accélère petit à petit les mouvements. Elle a chaud. Elle est enivrée par la situation et tout ce désir entre eux. Quel plaisir de sentir ce gland chaud s'introduire en elle. Plus elle se ruait sur lui, plus elle criait et en redemandait... Un moment de folie à se sentir la dernière des salopes se faisant sauter par un inconnu au gré de ses envies.
Le risque que quelqu’un les surprenne l’excite d’avantage. Il est au plus profond de sa petite personne, et lui donne des coups de reins qui la comblent. Elle se couche sur lui et effectue à son tour des mouvements de va et vient avec son bassin. De plus en plus vite. Elle a envie de jouir.
Mais il s’arrête, la redresse, se lève et l’oriente pour une levrette. Ses mains viennent se placer sur ses hanches qu’elles agrippent et il la pénètre, plus sauvagement que tout à l’heure. Violemment, il accélère, en mâle dominateur. Ses couilles lourdes tapent contre les fesses de la belle inconnue.
Puis, il se couche sur elle et prend ses seins à pleines mains, calmant sans arrêter ses coups de butoir. Elle commence à ne plus retenir ses petits cris. Elle se cambre, encore et encore. Ses muscles se tendent. L’orgasme la délivre dans un cri de jouissance, il en profite pour venir à son tour en elle. Il a du mal à respirer un instant, son sperme emplissant la belle pendant ce temps. Elle tremble, lui aussi. Elle lui prend la tête à deux mains et l’embrasse passionnément. Elle tombe haletante sur sa serviette, le ventre brûlant de ses multiples assauts. Allongée à ses côtés, elle savoure cet instant de magie. Satisfaite, de ce moment de plaisir. Emportée par le feu de leur désir, ils ne se sont pas protégés. Ce n’est pas qu’elle n’y a pas pensé, non, elle voulait totalement s’offrir. Pour Catherine, baiser « nature » et recevoir l'éjaculation de son inconnu fut surtout intense cérébralement, satisfaite d'avoir donné du plaisir et le sperme est la récompense de cet échange. C'est un peu idiot car c'est un plaisir purement psychologique, elle adore se dire qu’elle a servi de "sac à foutre". Mais c’est surtout très risqué.
Puis, la réalité reprenant ses droits, elle regarde sa montre. Mince, il faut qu’elle rentre. Elle n’a absolument pas vu le temps passer. Il commence à être tard. Elle se lève, l’homme lui administre une bonne petite fessée en lui disant sur le ton amusé qu’elle a un joli petit cul de salope...
Elle relève la tête éblouie par le soleil, elle reste quelques secondes à récupérer. Elle ramasse son bikini dans le sable et le secoue, puis enfile ses habits, range maillot, serviette, huile solaire dans son sac et se retourne vers lui en sentant le sperme lui dégouliner le long des cuisses...
- On se reverra ?, J’espère, lui dit-elle.
- Je viens ici tous les soirs, lui répondit-il.
Enchantée par cette nouvelle, elle remonte le sentier vers sa voiture. Décidément, elle ne regrette pas cette escapade. A mi-chemin, elle s’aperçoit qu’elle a oublié quelque chose. Elle se retourne et lui crie :
- Comment t’appelles-tu ? Moi, c’est Catherine.
- Nabil, répondit-il sur le même ton. A bientôt Catherine, j’espère que ça t’a plu.
Elle regagne le parking et sa voiture certes perturbée mais heureuse de son début de soirée pour le moins inattendu. Elle ne connait pas cet homme, elle pense que leur histoire fut brève mais ô combien appréciable et jouissive. Elle a essuyé son plaisir à la porte de son véhicule à l'aide de papier éponge et elle m’a assuré que même là, elle éprouvait encore un grand plaisir.
Sur la route du retour, elle est encore euphorique, comme connectée à son inconnu, elle voudrait recommencer « les câlins », dès maintenant, poursuivre les touchers et les caresses afin de continuer à vibrer encore un peu avant de reprendre le cours de la vie. Nabil, l’a massé comme jamais auparavant. Ses mains, ses doigts sont magiques, et sa queue….
En arrivant chez elle, en ayant une pensée pour Patrick, elle ne manifeste aucun regret, aucun remords, au contraire, c’est lui qui lui a ouvert la porte du libertinage. Bien évidemment, elle n’a pas respecté les règles, mais son désir sexuel était tellement intense qu’il fallait l’assouvir pleinement. Même si la raison et la morale lui dictent que la tromperie est mal, sa pulsion physique irrépressible l’a poussé à jouer avec cet inconnu, baiseur exceptionnel.
Comme chaque soir depuis le début de cette semaine, Patrick appelle sa chérie. Il lui raconte en détail sa journée de séminaire. Catherine écoute principalement, elle ne lui parle pas de sa rencontre de la plage. Cet appel lui semble interminable. Mais comment mettre fin à cette conversation sans froisser Patrick ? Poliment, elle met fin à la causerie en prétextant qu’elle est vraiment fatiguée.
Pourtant, elle va avoir beaucoup de difficultés à trouver le sommeil, en repensant à ce moment magique vécu avec Nabil. Pour Catherine, le problème n’est pas tant de s’être envoyé en l’air avec un autre que de retrouver ensuite Patrick, d’abord au téléphone et ensuite quand il rentrera à la maison. Peut-elle faire semblant, l’air de rien, la tête farcie de questions ?
Elle le dit ou elle ne le dit pas, pour Nabil ? L’infidélité, quand c’est juste une fois, ça compte quand même ? Elle va le revoir, Nabil ? Il sera sur la plage demain donc la question de le revoir se pose vraiment. L’infidélité, est-ce un fantôme qui va lui chatouiller les pieds chaque nuit ?
La journée du jeudi est difficile et longue pour Catherine, très peu concentrée sur son travail, elle a toujours ses mille interrogations sans réponse satisfaisante. Enfin, regardant sa montre régulièrement, la journée est enfin finie, elle quitte l’entreprise, elle est très fatiguée, à cause de sa nuit agitée. C’est le moment crucial pour se détendre et se ressourcer après une pénible journée. C’est le moment idéal pour prendre du temps pour soi et se relaxer. Pense-t-elle.
Pourquoi ne pas aller à la plage de « l’inconnu ». Elle prend sa voiture, sur la route, elle est préoccupée, tourmentée. Elle retrouve très rapidement cette plage, arrive près du chemin qui y mène. Elle se gare sur le parking, une voiture est déjà stationnée. Elle prend son sac de plage et sa serviette et descend ce petit chemin escarpé qui dessert la crique. En descendant, elle aperçoit sur la gauche un homme dans l’eau, mais ce n’est pas Nabil, elle poursuit, et arrivée presqu’en bas, elle voit Nabil allongé sur une serviette de plage. Elle stoppe net, réfléchit quelques secondes. Elle n’a aucune pensée pour Patrick, son désormais « petit cocu ». Non, sa seule préoccupation : son désir, son bien-être, finalement, elle se reprend, elle veut garder ce moment de plaisir vécu la veille intact. Est-ce que la deuxième rencontre aura la même saveur ?
Elle décide de remonter le sentier discrètement, elle s’installe dans sa voiture. A ce moment, elle se sent perdue, énervée et en colère après elle-même. Elle n’a pas respecté les règles établies dans son couple hier. Elle s’est laissée submergée par ses envies, ne pensant pas aux conséquences ni à son conjoint qu’elle adore...
Et pourtant, c'était merveilleux, avec Nabil, comme si elle l’avait toujours fait, un moment exquis qu’elle ne pourra oublier.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Olga,
Qui n'a pas une fois dans vie transgressé les règles établies ?
J'adore cette citation de Mark Twain :
"La vie est courte, enfreignez les règles.
Pardonnez rapidement, embrassez lentement.
Amour sincère.
Rire incontrôlable et ne jamais regretter rien qui vous fait sourire".
Carole.
Qui n'a pas une fois dans vie transgressé les règles établies ?
J'adore cette citation de Mark Twain :
"La vie est courte, enfreignez les règles.
Pardonnez rapidement, embrassez lentement.
Amour sincère.
Rire incontrôlable et ne jamais regretter rien qui vous fait sourire".
Carole.
Pour voir avoir vécu des situations similaires et; moi aussi, ne pas avoir respecté les règles, comme je comprends Catherine!

