Caroline 15

- Par l'auteur HDS Candaule13 -
Récit érotique écrit par Candaule13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Caroline 15 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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(10.0 / 10)

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Caroline 15
Partie 15 :

Le jour s’était levé depuis plusieurs heures, un rayon de soleil illuminait la pièce, Valentine ouvrit les yeux. Allongée nue sur le lit, elle regardait le plafond, le cerveau un peu embrumé par sa soirée de la veille. Elle ne pensait à rien, se sentant absente de ce corps qui l’enveloppait. Elle s’assit sur le bord du lit, cherchant du regard ses vêtements mais ils ne semblaient pas être dans la pièce. Elle avait du mal à se souvenir de la fin de la soirée, se rappelant bien l’épisode du balcon mais après c’était le trou noir. Comment s’était finie la soirée ? A quelle heure s’était-elle couché ? L’avait-on couchée ? Trop de question mais pas de réponses.
Se levant, elle sentit un liquide s’écouler de son sexe et glisser sur sa jambe. D’un doigt, elle en recueillit un peu et l’amena à nos nez pour le sentir. Du sperme. Du sperme de son partenaire qui l’avait baisé devant tout le monde sur le balcon. Les images de la soirée lui revenaient à l’esprit. Tous ces gens qui applaudissaient et sifflaient quand elle se faisait baiser.
Valentine ouvrit la porte, entrant dans le salon, elle retrouva Clémence et Jules qui buvaient un café assis sur le canapé.

- Bonjour ma chérie, tu as bien dormi ?
- Oui Clémence, ça va. Tu sais où sont mes fringues ?
- Je les ai mis à laver, tu pourras les récupérer quand elles seront propres et sèches.
- Mais elles n’étaient pas sales !
- Si - Bon ok. Tu aurais des fringues à me prêter en attendant, s’il te plait ?
- Non, j’aime bien que tu sois à poil. En fait je veux que tu sois toujours à poil quand tu es chez moi.
- Mais Clémence….
- Suffit ! Je ne t’ai pas demandé ton avis, c’est clair !
- Oui Clémence.

Valentine n’avait plus la force de se rebeller, elle était perdue, sous l’emprise de son amie qui elle jubilait de la situation. Jules ne disait pas un mot, il se délectait de la vue de cette nymphe, une grosse bosse déformait son caleçon. S’il ne se retenait pas, il aurait déjà tenté sa chance avec la jeune femme mais il attendait la suite, sachant que Clémence avait surement déjà pensé à la suite.

- Il reste du café pour moi ?
- Non, on vient de le finir.
- Ah bon ce n’est pas grave.
- Mais si Valentine, tu vas en demander chez des voisins. De toute façon j’en reveux moi aussi.
- Non c’est pas grave, je…- Valentine, je veux du café alors tu vas chez les voisins en chercher. Compris.
- Mais je ne peux pas y aller comme cela…
La jeune femme commençait à paniquer, nue, elle ne pouvait pas sortir dans le couloir pour aller toquer chez les voisins. Jules pouffait de rire, amusé par la situation. Clémence se leva pour dans sa chambre et revint avec une chemise blanche.

- Tu as raison. Tiens tu mets ça et tu vas à l’étage du dessus chez Kévin et Fiona, ils vont nous dépanner en café.

Valentine était désarçonnée, elle enfila la chemise ample et commença à la boutonner mais Clémence d’un geste du pouce ne lui autorisa qu’un seul bouton.
Chaque mouvement faisait s’entrebâiller les pans de la chemise. Elle essaya de changer de bouton plus haut mais le résultat était pire, faisant apparaitre son sexe à chaque pas. La chemise tombait juste en dessous de ses fesses et la couleur blanche laissait transparaitre sa poitrine en dessous. La vision érotique de la jeune femme ne permettait pas à l’érection de Jules de retomber.

- Tu aurais aussi un bas ou une culotte, s’il te plait Clémence.
- Non ma chérie, c’est bien comme cela, tu peux y aller.

La tête basse, Valentine se dirigea vers la porte de sortie et attrapa la poignée. Clémence la retint.

- Attends ma chérie, tu ne peux pas sortir comme cela, tu as raison.

Valentine se retourna, soulagée de la bienveillance de son amie et se redirigea vers elle.

- Tu es terriblement sexy ma chérie avec ta chemise, regarde le pauvre Jules, tu le fais bander comme un âne. … Avant de partir, tu vas le soulager avec ta bouche. Allez fais lui plaisir.

La jeune femme s’accroupit devant le jeune homme, elle passa ses mains sous le caleçon et fit sortir la queue bien dure. Excité, du gland coulait un peu de liquide. Dans cette position, la chemise remontait sur ses fesses qui s’exposaient à la vue de Clémence. De son côté Jules avait une vue plongeante dans l’ouverture de la chemise qui ne cachait rien du corps de rêve.
Quand Valentine le prit en bouche, Jules laissa tomber sa tête en arrière de plaisir. Elle suçait bien cette garce, avec application et ardeur. Clémence sentait le contrôle total qu’elle avait maintenant sur son amie, elle aimait cela et voulait la pousser encore plus loin.

- Ma chérie, tu garder tout dans la bouche, interdiction d’avaler, d’accord.

Sans arrêter son ouvrage, Valentine fit oui d’un hochement de tête et mit encore plus d’ardeur à sucer le jeune homme. Jules était aux anges, la jouissance montait et n’allait pas tarder, voulant en profiter au maximum, il plongea ses mains dans la chemise pour malaxer la poitrine de sa bienfaitrice.
Jules jouit abondamment, la bouche de sa partenaire n’arriva à tout prendre, deux grosses coulures sortaient de sa bouche. Clémence riait, de ses doigts, elle rattrapa les coulures et les remit dans la bouche son amie.

- Lève-toi !

Valentine se releva face à elle.

- Montre !

Elle ouvrit la bouche découvrant l’épaisse liqueur qui tapissait sa bouche.

- Bien ! Et maintenant tu vas chercher du café ! Attention, tu n’avales pas et tu reviens avec. Allez file.

Clémence, sans attendre de réaction accompagna son amie à la porte, la mit dans le couloir et referma la porte. Le couloir était sombre mais elle n’avait aucune envie d’allumer la lumière. Des bruits dans l’immeuble se faisaient entendre mais ils semblaient lointains. Valentine essaya de se repérer et de trouver les escaliers. L’ascenseur lui paraissait trop périlleux avec le risque de croiser quelqu’un alors que dans les escaliers elle pourrait mieux apprécier les passages. Au bout du couloir elle trouva les escaliers, tout semblait calme et désert, ça la rassurait beaucoup. Elle monta d’un étage et sur le palier chercha sur les sonnettes les prénoms de Kévin et Fiona.
A la 4ème porte, elle trouva les deux prénoms, elle prit une grande inspiration par le nez et sonna.

La porte s’ouvrit, un gars apparut. Il ne semblait nullement surpris par la visite d’une jeune femme vêtue d’une simple chemise entrouverte.

- Bon..your… auyez you dou cahé à nous préher.

La bouche pleine, Valentine peinait à s’exprimer de façon compréhensive. Le gars sourit et appela son amie.

- Fiona, viens voir.

La porte s’ouvrit en grand et une belle blonde rejoignit le jeune homme.

- Oh oui Kévin, c’est la meuf qui s’est fait sauter hier soir sur le balcon d’en face. Quelle salope !

Valentine baissa les yeux de honte.

- Entre ma poule, Clémence m’a envoyé un message pour me prévenir que tu passais.

La jeune femme, les yeux tournés vers le sol entra dans l’appartement suivi par Fiona. Kévin ferma la porte derrière elle. Elle sentit la main de Fiona lui pétrir une fesse.

- Tu te balades sans culotte, t’as vraiment le feu au cul toi.

Valentine ne broncha pas, se contentant de garder le regard baissé. Fiona la prit par le menton et lui releva la tête pour capter son regard.

- Tu sais que ce n’est pas poli de parler la bouche pleine.

Et Fiona l’embrassa, entrant sa langue pour recueillir le jus de male qui remplissait la bouche de Valentine. Elle fut surprise de ce baiser mais se laissa faire, se doutant que Clémence était derrière tout cela. Plus que se laisser faire, elle rendit son baiser fougueux à la jeune femme, propulsant la semence dans sa bouche.

- Quelle salope tu es ! Putain, Clémence avait raison ! Tu veux quoi ?
- Je viens vous demander du café s’il vous plait.
- Et pourquoi on t’en donnerait ?
- Clémence m’a dit d’aller sonner chez vous et que vous nous dépanneriez.
- Bien sûr ma petite salope, avec plaisir.

Fiona récupéra un paquet de café à la cuisine et le tendit à Valentine.

- Merci… et…- Et quoi ? Il te faut autre chose que le café ?
- Oui… vous m’avez fait avaler le sperme que j’avais en bouche ….
- Et alors…- Clémence m’a interdit d’avaler et si je reviens sans ….
- Et tu ne crois pas que je vais te laisser sucer mon mec ? Tu rêves ma petite.
- ….
- Après réflexion, on peut peut-être s’arranger et te trouver une solution.
- Oui d’accord, c’est quoi ?
- On baise avec Kévin devant toi, il se vide dans ma chatte et tu récupères tout ce qui coule de ma chatte.
- D’accord si vous voulez.
- Fous toi à poil.

Valentine fit tomber sa chemise au sol. Fiona alla dans une chambre et revint avec des objets cachés dans sa main.

- Tiens, c’est pour toi.
- C’est quoi ? Euh non merci.

Fiona lui avait tendu un flacon de lubrifiant et un plug noir assez large.

- Attends ma salope, tu ne crois pas que tu vas me mater pendant que je me fais enfiler sans contrepartie ?
- Mais c’est un peu trop gros pour mon sexe.
- T’es une cruche toi ! C’est un plug ! Et un plug, c’est fait pour le cul.
- Mais c’est trop gros, ça ne rentra jamais.
- Ton cul il est élastique, si tu joues bien avec, tu y arriveras bien. Alors maintenant soit tu le fais, soit tu te casses ! 8 cm de diamètre tu vas le sentir mais j’ai du 10 si tu préfères.
- Non, je…
Valentine étala du lubrifiant sur le plug et sur sa rondelle. Elle se positionna sur le plug et essaya doucement d’appuyer pour le faire entrer. Son cul n’avait pas l’habitude et elle se montrait gauche dans ses tentatives.

- Donne le lubrifiant.

Fiona lui prit le flacon, en fit couler une grosse dose sur ses doigts et commença à masser sa rondelle. Valentine ne disait rien. Un doigt entra sa résistance, suivi rapidement d’un second. Elle sentait son sphincter se détendre et accepter les passages plus facilement. Un troisième doigt entra en action puis elle sentait la main de Fiona qui essayait de forcer le passage, tournant sur elle-même avant de repousser en avant.

- Voilà ma salope, ton trou est un peu plus ouvert, je pose le plug sur le sol et tu viens t’assoir dessus.

Valentine se plaça assise au-dessus du plug, en appui sur ses pieds et ses mains, n’osant pas trop relâcher de peur d’avoir mal. Fiona prit les fesses et les écarta, la jeune femme sentit son sphincter se relâcher et le plug avancer entre ses fesses.

- Allez encore un peu et tu l’auras pris ma salope !
- Il est trop gros, ça fait mal, je ne peux pas.

Fiona se plaça à genou à côté d’elle, elle posa ses mains sur les hanches et mis tout son poids. Valentine paniqua, la pression la faisait inexorablement descendre sur le plug qui ouvrait le passage.

- Non, aïe, arrête, … il … non … oh….

Le plug était entièrement fiché en elle. Le cul dilaté, elle avait l’impression qu’il allait se déchirer. Jamais elle ne l’aurait cru possible. La chair de poule dressait les poils sur ses avant-bras. La bouche grande ouverte, elle semblait manquer d’air.

- Et bien ma salope, je ne pensais pas que tu arriverais à le prendre. Clémence a raison, tu as des prédispositions assez incroyables !

La douleur de son anus était assez vive mais elle s’atténuait lentement. Assise sur le plug, les jambes écartées, elle donnait un spectacle plus que torride au jeune couple.

- T’as la chatte toute luisante, tu coules ! En fait tu râles mais tu aimes qu’on te traite comme cela.

Valentine ne bronchait pas, se contentant de regarder le couple et essayant de se détendre pour que la douleur entre ses fesses se calme. Fiona se leva et rejoint Kévin qui était assis sur le canapé. Elle lui tira son short et lui enleva son tee shirt. Il était nu, la queue dressée en face de Valentine.

- Alors comment tu trouves la bite de mon mec ? Elle te plait ?

Sans un mot, elle répondit juste oui par un hochement de tête.

- La bite de mon mec, elle est à moi et juste à moi ! Hors de question que tu y touches ! Compris ?

Encore une fois, le visage sans expression, elle répondit juste oui par un hochement de tête.

- Regarde comme il est déjà bien dur, te voir les cuisses écartées avec le cul défoncé ça l’excite. Fais nous plaisir, montre-nous comment tu te donnes du plaisir, branle-toi petite salope.

Sans quitter le couple des yeux, Valentine s’exécuta. Commençant par caresser ses seins doucement, jouant avec ses pointes puis faisant glisser une main entre ses cuisses à la rencontre des lèvres déjà gonflées de désir. Elle ferma les yeux et joua lentement avec son sexe, cherchant de la volupté pour oublier ce plug qui lui déchirait les fesses. Voyant que la jeune femme lui obéissait, Fiona se déshabilla à son tour, elle avait des très petits seins et un sexe complètement lisse. Faisant face à Valentine, elle s’assit sur Kévin, s’emmanchant sur sa queue dressée. Le jeune homme la caressait en même temps qu’elle bougeait sur son sexe, navigant entre sa mini poitrine et sa fente qui accueillait sa bite.

- Ouvre les yeux ma petite salope et regarde cette belle queue qui me fait du bien. Je suis sûre que tu aimerais la prendre toi aussi.

Valentine ouvrit les yeux, sans un mot, elle continuait à se caresser, faisant entrer un doigt puis un autre dans sa fente toute ouverte en fixant la queue qui coulissait dans la fente de Fiona.

- Oh mon chéri, le spectacle a l’air de te plaire, je te sens tout dur et si gros. Tu me fais du bien, continue.

Le plaisir montait dans le corps de Fiona, elle n’arrêtait plus de parler, commentant ses sensations à tout va, caressant la queue qui coulissait si délicieusement en elle. Sentant que son mec soupirait de plus en plus, Fiona se releva, quittant le pieu qui lui faisait tant de douceur.

- Allez petite salope, allonge-toi sur le dos.

Elle obéit et Fiona se plaça tête bèche au-dessus d’elle. Le visage de Valentine était à quelques centimètres de la fente coulante de sa maitresse. L’intérieur des cuisses était maculé de cyprine, dont un filet coulait d’entre ses lèvres. Kévin de positionna au-dessus du visage de Valentine et enfila d’un coup le sexe de Fiona. Le spectacle était troublant.

- Lèche-moi la chatte petite pute, donne-moi du plaisir avec ta langue.

Valentine avança sa bouche pour atteindre la fente où coulissait la queue de Kévin mais elle sentit une forte introduction dans son sexe qui la foudroya.

- Allez petite pute dépêche toi pendant que je m’occupe de ta chatte de salope.

Fiona l’avait pénétré d’un coup rapide avec 3 doigts et frénétiquement les faisaient entrer et sortir. Le temps de reprendre ses esprits et la langue de Valentine léchait avec application l’union des deux sexes, passant alternativement sur la queue de Kévin ou et sur les lèvres de sa partenaire. De trois doigts, elle était passé à essayer de rentrer sa main entière dans le sexe de Valentine qui de sont côté aspirait le clitoris tout rouge de Fiona.

- Ah petite pute, tu me rends folle, je vais partir, continue….

Valentine sentit tout le corps de la jeune femme se raidir, son partenaire avait lui aussi avait accéléré la cadence et la suivit peu après. Kévin enfilé entièrement dans sa partenaire jouit bruyamment en lui griffant les côtes. Du sperme s’échappait de la fente encore rempli par la queue, Valentine ouvrait la bouche le plus grand possible pour essayer de ne pas en perdre. Le sexe de Kévin glissa hors de son fourreau, pendant juste au-dessus de la bouche de Valentine. Obsédée par la semence à récolter, voyant que ce sexe en était maculé, Valentine, levant sa tête pris le sexe entre ses lèvres pour la nettoyer.

- Ah ça non petite pute, c’est la queue de mon mec, tu n’y touches pas !

Furieuse, Fiona avait pincé le clitoris de la jeune femme qui lâcha instantanément le sexe du garçon.

- Tiens nettoie moi la chatte plutôt !

Et elle abaissa son bassin pour lui coller sa fente dégoulinante de semence sur le visage. Valentine passa sa langue dans tous les recoins, cherchant à prélever le maximum de sperme sans l’avaler sous le regard amusé de Kévin.
Au bout de longs instants, Fiona se releva, contemplant le spectacle de Valentine au sol, le visage avec des longues trainées de sperme qui commençait à sécher.

- Ma pauvre fille, si tu te voyais ! Tu ne ressembles à rien. Mais ta langue est diabolique, tu t’en sers très bien.

Valentine la bouche pleine ne broncha pas. Elle se releva, essuya son visage aussi bien que possible, prit sa chemise et la réenfila. Prenant le paquet de café, elle se dirigea vers la porte. Fiona l’attendait devant la porte, elle l’ouvrit mais quand Valentine voulut la franchir, la jeune femme l’enlaça et l’embrassa à pleine bouche. Surprise, Valentine fut prise au dépourvu et se laissa faire. Le long baiser finit, elle se rendit compte que sa bouche était quasiment vidée.

- Ben quoi petite salope, tu ne croyais pas que tu pourrais sucer mon mec sans conséquence. Allez maintenant tu dégages et tu offriras le plug à Clémence de ma part.

Fiona la poussa à l’extérieur et referma la porte.

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Texte coquin : Caroline 15
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